mardi 19 janvier 2016

Le CH portera son chandail de la Classique hivernale

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Publié par Charles Payette pour 98,5fm Sports le mardi 19 janvier 2016 à 07h37. Modifié par 98,5 fm à 13h26.
Le CH portera son chandail de la Classique hivernale
AP
(98,5 Sports) - La visite des Bruins de Boston sera-t-elle le remède à l'actuel plongeon du Canadien au classement ?
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Mis en ligne le mardi 19 janvier 2016 dans avec Alain Crête
Alors que les rumeurs de congédiements et de transactions se répandent avec la même violence que les vents qui s'abattent sur la métropole, les joueurs de Michel Therrien ne devraient avoir aucun mal à se présenter motivés, ce soir au Centre Bell.

La formation montréalaise vient d'être rejointe au classement par les Sénateurs d'Ottawaau huitième rang de l'Association Est, mais pourrait passer devant les Bruins (23-16-5), au septième rang, avec une victoire, ce soir.

Smith-Pelly ou Flynn ?

Le Canadien (23-19-4), qui a déjà battu les Bruins trois fois cette saison contre une seule défaite, continue d'être leur bête noire.

On se souviendra de la victoire éclatante lors de la Classique hivernale au Jour de l'an. D'ailleurs, peut-être pour s'inspirer de cette performance, les joueurs porteront ce soir le même chandail historique que lors de cette occasion.

Tomas Plekanec est à son mieux contre Boston comme en font foi ses deux buts et cinq points. C'est un peu le même scénario pour Patrice Bergeron des Bruins avec ses deux buts et une passe.

Un seul point d'interrogation demeurait pour la rencontre de ce soir: qui de Devante Smith-Pelly ou Brian Flynn se retrouvera au sein du quatrième trio en compagnie de Jacob De La Rose et Torrey Mitchell ?

Trios, ce matin

Pacioretty-Plekanec-Gallagher
Galchenyuk-Desharnais-Weise
Fleischmann-Eller-Byron
De La Rose-Mitchell-Smith-Pelly (Flynn)

Défenseurs


Markov-Subban
Emelin-Petry
Beaulieu-Barberio

Bartley-Pateryn

G: Condon

Pire dossier de la LNH depuis le 1er décembre

Chez les Bruins, on attend avec impatience le retour des attaquants David Krejci et David Pastrnak. L'équipe a remporté ses deux derniers matchs, contre Buffalo et Toronto.

Le Canadien, qui a perdu ses quatre derniers matchs, montre une séquence de 5-15-1 depuis le 1er décembre. Il s'agit du pire rendement de toutes les équipes de la LNH depuis cette date.

«On aime notre entraîneur» - P.K. Subban

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Publié par 98,5 fm pour 98,5fm Sports le mardi 19 janvier 2016 à 13h01. Modifié à 13h27.
«On aime notre entraîneur» - P.K. Subban
P.K. Subban / 98,5 Sports
(98,5 Sports) - Les rumeurs se sont intensifiées à Montréal, principalement sur deux fronts, au cours des derniers jours. L'un concerne l'avenir de Michel Therrien et l'autre, un possible échange majeur.

«Ça fait partie de la réalité de notre métier, a reconnu P.K. Subban mardi. On connaît une période difficile et les rumeurs sont là. Plus tu perds, plus les gens commencent à parler d'éventuels changements. Au bout du compte, on aime notre groupe de joueurs et on aime notre entraîneur.»
Lundi, le journaliste Brian Wilde de CTV a révélé que le directeur général Marc Bergevin avait déposé une offre significative à son homologue du Lightning, Steve Yzerman, dans le but d'acquérir le Québécois Jonathan Drouin.

Pour le capitaine Max Pacioretty, la solution aux problèmes et à la débandade de l'équipe se trouve déjà à l'interne.

«On n’a pas besoin de nouveaux visages et on est à l’aise avec ce qu’on a dans ce vestiaire, a expliqué le no 67, auteur de trois buts à ses cinq derniers matchs. On est plus près de ce que bien des gens pensent. On joue du bon hockey, pas chaque soir, pas toujours pendant soixante minutes, mais il y a eu du positif dernièrement. On doit bâtir là-dessus. Il faut garder ça en tête.»

Le Canadien aurait certainement mérité mieux à quelques reprises au cours des derniers matchs, mais la chute est néanmoins brutale. À peine cinq victoires en temps réglementaire depuis le 1er décembre. Il s'agit, et de loin, du pire dossier dans la LNH.

«C’est certain qu’on est ébranlés, mais suffit d’en coller deux ou trois de suite, estime David Desharnais. On est proches, on a joué de bons matchs dernièrement. On a confiance en notre groupe de joueurs. Ce qu’on a fait en début de saison, ce n’est pas arrivé en claquant des doigts. On a confiance. On va être capable de s'en sortir.»

On a pu le remarquer samedi quand ça a brassé contre les Blues à St. Louis, les joueurs du Canadien semblaient avoir du plaisir ensemble, que ce soit sur la glace... ou sur le banc des punitions. Au final, le défenseur P.K. Subban assure que chaque membre de cette équipe est sur la même longueur d'onde.

«On est un groupe soudé, tissé serré, et ce depuis le début de la saison, assure P.K. qui semble avoir retrouvé sa touche au cours des derniers matchs. La frustration, elle existe, mais elle est partagée. Les gars veulent gagner. Parfois, quand ça va mal, il y a des divisions, mais ce n’est pas le cas dans ce vestiaire.»

Claude Julien comprend Michel Therrien

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Publié le 19 janvier 2016 à 12h43 | Mis à jour à 12h43
Comme Michel Therrien présentement, Claude Julien aussi a... (Photo Bernard Brault, archives La Presse)
PHOTO BERNARD BRAULT, ARCHIVES LA PRESSE
Comme Michel Therrien présentement, Claude Julien aussi a été pointé du doigt pour les insuccès d'une équipe par le passé, ayant même à en payer le prix à plus d'une occasion.

Richard Labbé
RICHARD LABBÉ
La Presse
Claude Julien comprend très bien la situation dans laquelle se trouve Michel Therrien ces jours-ci.
Les rumeurs, le club qui ne gagne plus, les fans impatients... Julien, qui va tenter ce soir de mener ses Bruins de Boston à la victoire contre le Canadien au Centre Bell, est déjà passé par là. Comme Therrien présentement, lui aussi a été pointé du doigt pour les insuccès d'une équipe par le passé, ayant même à en payer le prix à plus d'une occasion.
Alors que le Canadien et les Bruins se préparent au match de ce soir, les rôles sont inversés: ce n'est plus Julien qui doit faire face aux rumeurs de congédiement, mais bien Therrien, dont l'équipe n'a récolté que neuf points depuis le 2 décembre, la plus faible récolte par une équipe de la LNH depuis cette date.
Quand on lui a demandé ce matin s'il pouvait sympathiser avec Michel Therrien, Claude Julien a répliqué avec ceci: «Je suis dans cette situation à toutes les années!»
«Je reste moi-même comme coach, a ajouté Julien, plus sérieusement. C'est avant tout le respect que tu dois acquérir de tes joueurs. Ce qu'il faut, c'est de garder ça intéressant pour les joueurs, changer un peu les choses, ajouter du neuf à ce qu'on fait.»
Comme Michel Therrien, Claude Julien a eu lui aussi droit aux rumeurs de congédiement cette saison, mais dans son cas, c'était en début de calendrier. Drôle de hasard, c'est Julien qui avait pris la place de Therrien à la barre du Canadien, en janvier 2003, après que ce dernier eut été viré par le directeur général d'alors, André Savard.
Julien assure qu'il ne se laisse guère dérangé par les rumeurs de congédiement, qui font souvent partie de la réalité d'entraîneur. «Ça ne m'a jamais affecté. Je fais mon travail et je m'inquiète de mon équipe, pas de ce qui se passe autour de moi.»
Depuis leur défaite de 5-1 face au Canadien lors de la Classique hivernale du 1er janvier, les Bruins ont récolté trois victoires en sept matchs, incluant deux victoires à leurs deux dernières sorties, contre Toronto et Buffalo. C'est suffisant pour permettre à l'équipe de se maintenir dans la course aux séries dans l'Est, avec une quatrième place dans l'Atlantique, un point devant le club montréalais.
Comme le Canadien, les Bruins ont eux aussi eu à composer avec les blessures.
L'attaquant David Krejci ne jouera d'ailleurs pas ce soir, et devra donc rater un 10e match de suite. Un autre attaquant, David Pastrnak, est lui aussi blessé et pourrait rater le même rendez-vous, lui qui a dû déclarer forfait lors des trois derniers matchs. «Je suis enfin capable de lancer une rondelle, je me sens bien et je suis prêt, on verra ce soir», s'est-il limité à dire.
«Il y a plusieurs gars qui ont profité des blessures pour se faire remarquer, a expliqué l'attaquant Brad Marchand. C'est facile de se motiver quand chaque match est important à cause du classement qui est si serré.»
Claude Julien n'a pas confirmé l'identité de son gardien pour ce soir, mais tout laisse croire que c'est Tuukka Rask qui sera l'élu.

Canadien: un match déterminant face aux Bruins

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Publié le 19 janvier 2016 à 10h39 | Mis à jour à 11h42
À tort ou à raison, le sort de... (Photo André Pichette, archives La Presse)
PHOTO ANDRÉ PICHETTE, ARCHIVES LA PRESSE
À tort ou à raison, le sort de l'entraîneur-chef Michel Therrien est désormais sur la sellette en raison des insuccès du Canadien, qui n'a remporté que quatre de ses 20 derniers matchs.

Tous les joueurs en santé étaient présents à l'entraînement matinal, mardi, alors que le Canadien se préparait à un match déterminant face aux Bruins de Boston. Peut-être leur plus important de la saison jusqu'à maintenant.
Le fait de retrouver leurs rivaux traditionnels, contre qui ils avaient pourtant bien amorcé l'année 2016, les aidera peut-être. Comme le fait d'enfiler ce soir leur chandail de la Classique Hivernale!
«À l'interne on sait très bien dans quel esprit est notre groupe, a déclaré Michel Therrien après l'entraînement. On fait beaucoup de bonnes choses et on bâtit là-dessus. Les joueurs sont excités par le match de ce soir, mais ils comprennent aussi très bien la situation.»
La situation, faut-il, le rappeler, c'est que le Tricolore n'a remporté que quatre de ses 20 derniers matchs et n'a pas été en mesure d'aligner deux gains consécutifs depuis la fin novembre.
Dans le vestiaire, qu'il s'agisse de Max Pacioretty, P.K. Subban ou David Desharnais, on assurait que les joueurs continuaient de se serrer les coudes et qu'il n'y avait pas de divisions au milieu de la tempête.
«Nous sommes tous unis et ça inclut Michel Therrien, a affirmé Desharnais. C'est ensemble qu'on va s'en sortir. C'est certain qu'on est un peu ébranlés parce qu'on n'est pas capables d'aller chercher deux victoires en ligne, mais c'est tout ce qu'on recherche en ce moment. Gagner un match ou deux va nous permettre de retrouver notre confiance du début de l'année. On n'est pas loin. On a joué de très bons matchs récemment.»
À tort ou à raison, le sort de Therrien est désormais sur la sellette en raison des insuccès du Tricolore. À une collègue qui lui demandait comment il composait avec toutes les rumeurs l'entourant, l'entraîneur-chef a répondu: «Je te remercie de te soucier de mes sentiments, mais ma seule préoccupation c'est le match de ce soir.»
Petite consolation dans tout cela: les Penguins de Pittsburgh avaient la chance de prendre la place du Canadien parmi les deux équipes repêchées avec une victoire, hier, mais n'ont pas été en mesure de profiter de l'occasion.
«J'ai regardé leur match en ayant ça en tête, a dit Max Pacioretty. Nous sommes chanceux d'avoir vécu une glissade aussi longue et que nos adversaires n'aient pas gagné plus de terrain. Mais on sait qu'on peut s'en sortir et il n'y a pas de meilleur moment pour commencer que face à un rival de division.»
Smith-Pelly de retour
Mike Condon sera devant le filet du Canadien face aux Bruins.
À noter que Carey Price et Tom Gilbert ont encore une fois patiné plus tôt en matinée.
«Je sais que Carey a continué de patiner au cours des derniers jours et j'ai entendu beaucoup de choses par rapport à sa convalescence, a indiqué Therrien. On s'approche du moment où il pourra recommencer à patiner avec son équipement.»
Sur le quatrième trio, on assistera ce soir au retour dans la formation de Devante Smith-Pelly. Le jeune Jacob De La Rose sera laissé de côté de façon à donner une autre chance à Smith-Pelly de démontrer un peu d'agressivité face aux Bruins.
Par ailleurs, l'échange de Jarred Tinordi et la blessure à Tom Gilbert confirment la place de Mark Barberio à Montréal, du moins à moyen terme. Il disputera ce soir son dixième match avec le Tricolore, de sorte qu'il devra désormais être soumis au ballottage avant d'être rétrogradé à la Ligue américaine. C'est une petite victoire pour lui.
«Quand j'ai été rappelé, mon but était de faire ma place, a confié le défenseur québécois. Je sais que j'arrive à mon dixième match mais, ça ne change rien pour moi. Je dois continuer à prendre cela un jour à la fois parce qu'il n'y a jamais rien de certain dans cette business-là.»

John Scott capitaine de la Division pacifique

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Mise à jour le mardi 19 janvier 2016 à 12 h 25 HNE
John Scott
John Scott  Photo :  GI/Christian Petersen

Le nouveau venu dans l'organisation du Canadien John Scott sera le capitaine de la Division pacifique au prochain match des étoiles disputé le 31 janvier à Nashville.
La LNH a confirmé la nouvelle mardi.
Le Tricolore a obtenu Scott des Coyotes de l'Arizona la semaine dernière, mais l'a cédé aux IceCaps dans la Ligue américaine. Cette décision a créé une situation pour le moins particulière puisqu'il a été le joueur qui a récolté le plus de votes au scrutin mené auprès des partisans.
« Je regarde en avant afin de vivre une expérience unique à Nashville en compagnie de ma famille », a déclaré l'homme fort.
Scott, qui mesure 2,01 m (6 pi 7 po), a inscrit une passe en 11 matchs cette saison dans la LNH. Au cours de sa carrière, il présente une fiche de 5 buts et 6 passes.

Simona Halep et Venus Williams battues à Melbourne

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 Mise à jour le mardi 19 janvier 2016 à 7 h 22 HNE  Radio-Canada avec La Presse Canadienne
Simona Halep
Simona Halep  Photo :  GI/Mark Kolbe

La Roumaine Simona Halep (no 2) a été éliminée mardi dès le premier tour de l'Open d'Australie par une inconnue, la Chinoise Zhang Shuai, qui n'avait encore jamais gagné un match en Grand Chelem.
À 27 ans, Zhang, 133e mondiale, avait déjà participé à 14 tournois majeurs, mais elle avait toujours perdu d'entrée.
Elle a pourtant largement dominé du fond du court face à Halep, méconnaissable et dont la contre-performance est probablement liée à un problème à un tendon d'Achille qu'elle traîne depuis quelque temps.
« Je suis si contente d'avoir tellement bien joué! C'est le plus beau jour de ma vie" » a réagi Zhang, qui n'a pu retenir ses larmes en exprimant sa joie.
Au prochain tour, la Chinoise sera opposée à la Française Alizé Cornet, 33e mondiale.
Venus aussi
Plus tôt, l'Américaine Venus Williams a subi l'élimination en s'inclinant 6-4, 6-2 contre la Britannique Johanna Konta.
La huitième tête de série a atteint les quarts de finale à Melbourne Park l'année dernière pour entamer une saison qui lui a permis d'effectuer un retour dans le top 10.
Contre Konta, cependant, elle a eu de la difficulté avec son premier service et n'a pu suivre le rythme imposé par la puissante Britannique. Elle n'a enregistré qu'un as contre cinq pour son adversaire.
Konta effectuait ses débuts aux Internationaux d'Australie, mais avait déjà connu du succès contre des adversaires du palmarès des 10 meilleures au monde.
Muguruza ne perd pas de temps
Muguruza, elle, a montré ses couleurs avec conviction, n'ayant besoin que d'une heure pour écarter l'Estonienne Anett Kontaveit 6-0 et 6-4 au premier tour.
Kontaveit a commis quatre doubles fautes contre aucune pour l'Espagnole de 22 ans, troisième raquette mondiale.
Muguruza s'est aussi limitée à 10 fautes directes, comparativement à 26 pour sa rivale.
Il y a deux semaines, une blessure au pied a écourté son tournoi à Brisbane après une saison 2015 étincelante, incluant une présence en finale à Wimbledon.
Guidée par son nouvel entraîneur Sam Sumyk, Muguruza aura comme prochaine rivale Kirsten Flipkens, de la Belgique, qui a prévalu 5-7, 6-2 et 7-5 contre Mirjana Lucic-Baroni, de la Croatie.
Keys hésitante avant de convaincre
L'Américaine Madison Keys, 15e tête de série, a progressé au tableau en battant la Kazakhe Zarina Diyas, 7-6 (5) et 6-1.
Elle a signé trois bris, grâce notamment à une domination écrasante de 25-4 pour les coups gagnants.
Keys affrontera au tour suivant la Bulgare Tsvetana Pironkova ou la Kazakhe Yaroslava Shvedova.
Autres résultats dames (1er tour):
  • Angelique Kerber (GER/no 7) bat Misaki Doi (JPN) 6-7 (4/7), 7-6 (8/6), 6-3
  • Alexandra Dulgheru (ROM) bat Storm Sanders (AUS) 6-4, 6-2
  • Madison Brengle (USA) bat Coco Vandeweghe (USA) 6-3, 6-4
  • Johanna Larsson (SWE) bat Irina Begu (ROM/no 29) 6-3, 6-2
  • Jelena Jankovic (SRB/no 19) bat Polona Hercog (SLO) 6-3, 6-3
  • Laura Siegemund (GER) bat Kiki Bertens (NED) 6-4, 7-5
  • Annika Beck (GER) bat Priscilla Hon (AUS) 6-0, 6-3
  • Timea Bacsinszky (SUI/no 11) bat Katerina Siniakova (CZE) 6-3, 7-5
  • Danka Kovinic (MNE) bat Samantha Crawford (USA) 6-2, 6-4
  • Naomi Osaka (JPN) bat Donna Vekic (CRO) 6-3, 6-2
  • Elina Svitolina (UKR/no 18) bat Victoria Duval (USA) 6-2, 6-3
  • Barbora Zahlavova Strycova (CZE) bat Caroline Garcia (FRA/no 32) 6-2, 6-4
  • Vania King (USA) bat Mona Barthel (GER) 3-6, 7-5, 6-4
  • Kirsten Flipkens (BEL) bat Mirjana Lucic-Baroni (CRO) 5-7, 6-2, 7-5
  • Zheng Saisai (CHN) bat Carina Witthöft (GER) 6-1, 6-2
  • Denisa Allertova (CZE) bat Bethanie Mattek-Sands (USA) 6-4, 6-7 (5/7), 6-3
  • Sabine Lisicki (GER/no 30) bat Petra Cetkovska (CZE) 6-4, 6-4
  • Ekaterina Makarova (RUS/no 21) bat Maddison Inglis (AUS) 6-3, 6-0
  • Tatjana Maria (GER) bat Olga Govortsova (BLR) 6-4, 6-3
  • Julia Görges (GER) bat Andreea Mitu (ROM) 6-3, 6-4
  • Karolina Pliskova (CZE/no 9) bat Kimberly Birrell (AUS) 6-4, 6-4
  • Yaroslava Shvedova (KAZ) bat Tsvetana Pironkova (BUL) 6-4, 6-4
  • Anastasija Sevastova (LAT) bat Jarmila Gajdosova (AUS) 6-0, 4-2 (abandon)
  • Ana Ivanovic (SRB/no 20) bat Tammi Patterson (AUS) 6-2, 6-3
  • Varvara Lepchenko (USA) bat Lesia Tsurenko (UKR/no 31) 6-7 (5/7), 6-2, 6-3
  • Lara Arruabarrena (ESP) bat Maryna Zanevska (UKR) 6-7 (4/7), 6-3, 6-3
  • Alizé Cornet (FRA) bat Bojana Jovanovski (SRB) 6-1, 6-0

Les Sénateurs se sauvent avec la victoire

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Sénateurs 4 - Sharks 3 (Tirs de barrage)


SAN JOSE, Calif. - Mika Zibanejad a tranché le débat en tirs de barrage et les Sénateurs d'Ottawa ont défait les Sharks de San Jose 4-3, lundi.
Max McCormick, Bobby Ryan, Zack Smith, sur un tir de pénalité, ont marqué en temps réglementaire pour les Sénateurs, qui ont conclu leur voyage en Californie avec une fiche de 2-1. Le but de Smith a été revu par les officiels pour s'assurer que la rondelle avait toujours poursuivi son mouvement vers l'avant.
Les Sénateurs ont réussi à écouler un désavantage numérique de deux minutes en fin de prolongation grâce au brio de Craig Anderson. Ce dernier a terminé la rencontre avec 32 arrêts.
Tomas Hertl, Logan Couture, Matt Nieto ont donné la riposte du côté des Sharks, qui ont comblé un déficit de deux buts avant de prendre les devants 3-2 en première moitié de troisième période.
De l'autre côté, Alex Stalock n'a pas été aussi occupé et a réalisé 14 arrêts.
Les Sénateurs pourraient avoir perdu les services d'un joueur important au cours du match. L'attaquant Mike Hoffman n'est pas revenu au jeu après être entré en collision avec le poteau du but lors d'une montée au filet en deuxième période.

Quatre points de Stastny coulent les Penguins

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Penguins 2 - Blues 5


SAINT-LOUIS - Paul Stastny a récolté un but et trois passes pour aider les Blues de St Louis à vaincre les Penguins de Pittsburgh 5-2, lundi.
Alexander Steen, Vladimir Tarasenko, Troy Brouwer et Kevin Shattenkirk ont complété le score pour les Blues, qui ont remporté quatre de leurs cinq derniers matches.
Brian Elliott a mis la main à la pâte en bloquant 36 tirs.
Evgeni Malkin et Chris Kunitz ont répliqué, avec Kristopher Letang contribuant à chaque filet.
Sidney Crosby a obtenu une passe, inscrivant un sixième point à ses quatre derniers matches.
Malkin a atteint le cap des 20 filets pour la huitième fois en 10 saisons dans la LNH.
Jeff Zatkoff a fait 20 arrêts pour les Penguins, qui ont perdu trois de leurs quatre dernières rencontres.

Une surenchère se pointe à l’horizon dans la LNH

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Marc Bergevin
Marc Bergevin (Source d'image:Vincent Éthier)

Alain Sanscartier
Ceux qui ont tendance à saliver à l’approche de la date limite des transactions dans la Ligue nationale risquent encore une fois d’être fort déçus de la tournure des évènements.
Un échange « hockey » comme celui impliquant Seth Jones (Nashville) et Ryan Johansen (Columbus) est très difficile à réaliser dans le contexte et les exigences d’aujourd’hui, surtout depuis l’entrée en scène de la nouvelle convention collective.
À moins d’une très grande surprise, penser un seul instant que tous ceux confrontés à l’autonomie complète à la fin de la présente saison, donc qui sont libres comme l’air à compter du 1er juillet 2016, pourraient changer d’adresse d’ici le 29 février prochain ne serait qu’illusoire.
Parité oblige, les équipes vendeuses risquent encore une fois d’être de moins en moins présentes lorsque l’on consulte dans les moindres détails les différentes luttes, autant dans l’Association de l’Est que celle de l’Ouest.
Cela devient encore plus intéressant si on pousse l’exercice à l’intérieur même des différentes divisions, divisions qui permettent même à certaines équipes de bas de classement, comme la division Pacifique, de s’accrocher tant bien que mal à une possibilité d’être de la prochaine danse du printemps.
Autant certains de ces joueurs sont intéressants en raison de leur talent et de la valeur ajoutée qu’ils pourraient apporter à leur nouvelle formation, autant le prix exigé sur le marché risque fortement d’en désenchanter plusieurs, surtout lorsque l’on parle de joueurs de type « location ».
Ces joueurs « de location », certaines organisations vont préférer prendre le risque de les garder, question de rivaliser et de demeurer compétitives jusqu’à la toute fin au lieu de se satisfaire de lointains choix au repêchage ou de projets à long terme sans avoir la certitude du potentiel réel de cette nouvelle acquisition pour les années futures.
Profitant d’une nouvelle entente contractuelle, Anze Kopitar (8 ans/80 millions) est un exemple parfait de ce qui risque de se produire dans les prochaines semaines. Il s’agit là d’une brochette de joueurs qui se fera de plus en plus mince pour les équipes qui feront partie du groupe des acheteurs.
La signature de Kopitar va éventuellement être l’élément déclencheur pour certains  autres joueurs dans le renouvellement potentiel de leur contrat, lire ici les Steven Stamkos, Andrew Ladd, Dustin Byfuglien, David Backes et compagnie, d’ici la date limite du 29 février.
Don MaloneyPendant que certaines équipes de premier niveau et aspirantes aux grands honneurs, comme les Capitals de Washington, les Blackhawks de Chicago, les Blues de St Louis et les Kings de Los Angeles (même si cela semble avoir été déjà fait avec l’acquisition de Luke Schenn et Vincent Lecavalier), les Stars de Dallas et autres seront à la recherche de profondeur, certaines autres tenteront tout simplement de frapper le gros coup de circuit.
Pourquoi? Tout simplement pour essayer de rivaliser avec les mieux nantis, à moins d’être en mesure de signer les nouvelles acquisitions sur du moyen et du long terme, comme Marc Bergevin a réussi à faire dans le dossier de Jeff Petry. Un jeu risqué et des plus dangereux, considérant que l’offre vis à vis la demande et le peu de vendeurs potentiels sur le marché à ce jour qui fait en sorte que les prix seront fort probablement à la hausse. Tout ça dans un contexte où le plafond salarial et sa gymnastique vont limiter le champ d’action de plusieurs directeurs généraux.
Don Maloney est fort possiblement le grand gagnant dans le camp des vendeurs la saison dernière, prenant en considération que seulement une vingtaine de transactions ont été effectuées à la date limite de mars 2015, impliquant une quarantaine de joueurs ou de jeunes espoirs du circuit Bettman, en plus de choix au repêchage.
Cette année, il y a de fortes possibilités que plusieurs resteront sur leur appétit, tant au niveau des directeurs généraux que des plus fidèles partisans.
Sénateurs et Canadiens : confrontés sensiblement à la même réalité!
Aussi surprenant que cela puisse paraître, en raison du départ canon de la Sainte-Flanelle en lever de rideau et des attentes organisationnelles, un fait demeure : tant le Canadien que les Sénateurs se retrouvent aujourd’hui dans un contexte peu enviable, et cela, pour un ensemble de facteurs.
Dave CameronBlessures, manque de constance et contre-performances généralisées certains soirs donnés expliquent assez bien les résultats brouillons de ces deux formations.
Confrontées à une situation des plus précaires et engagées dans une lutte à finir pour une place en séries dans l’Est, plusieurs dénominateurs communs tendent à expliquer les déboires actuels de ces deux formations qui tentent tout simplement de garder la tête au-dessus de l’eau.
Le rendement plus que questionnable de la ligne de centre de part et d’autre en est un exemple concret. Tomas Plekanec et Kyle Turris sont deux joueurs de centre de premier trio au sein de leur formation respective qui, en temps normal, ont davantage le profil de deuxièmes joueurs de centre.
Alex Galchenyuk (ailier depuis quelques parties) et Mika Zibanejad sont deux jeunes joueurs talentueux au profil offensif qui en raison de leur jeune âge sont toujours en mode « effet plasticine » et en mode essais et erreurs. Ils ont tout simplement besoin de davantage de millage et de vécu.
Les deux ont eu une production offensive identique en 2014-2015 avec 20 buts et 26 passes pour 46 points. Il s’agit de deux jeunes espoirs qui ont quelque peu « déraillé à l’extérieur de la patinoire » depuis leur entrée dans la cour des grands. Surtout en raison d’un certain manque de maturité de leur part.
Michel TherrienPour ce qui est de la défense, en faisant abstraction de P.K. Subban et d’Erik Karlsson, il faut dire que la situation de Nathan Beaulieu (choix de 1re ronde en 2011/17e au total)  interpelle. Son nom circule dans les rumeurs transaction.
Même son de cloche du côté de Cody Ceci (choix de 1re ronde/15e au total) chez les Sénateurs, alors qu’on avait fixé des attentes envers lui qui allaient au-delà du rendement offensif cette année et il faut dire qu’il déçoit. Malgré son jeune âge, Ceci en est quand même à sa troisième campagne avec la formation ottavienne.
Canadiens et Sénateurs, deux formations qui, même avec un rendement des plus efficaces de leur gardien respectif, se placent en sérieuses difficultés en raison du manque de production offensive de leurs joueurs de premier niveau sur une base quotidienne.
Deux formations qui depuis belle lurette ont de grandes difficultés à marquer trois buts et plus par partie afin de donner un peu de marge de manœuvre à ceux qui se retrouvent entre les deux poteaux.
Marc Methot inquiète chez les Sénateurs
Si en attaque Kyle Turris inquiète depuis un bon moment déjà chez les Sens, il y va de même pour le vétéran Marc Methot.
Marc MethotLié contractuellement pour les quatre prochaines saisons, avec un salaire plus que raisonnable, à moins d’une blessure non divulguée il faut dire qu’en ce moment Methot, qui est utilisé sur le deuxième et troisième duo des défenseurs, ne justifie pas le type de contrat que l’employeur lui a versé lors du dernier renouvellement.
Le fait que Methot soit utilisé approximativement 20 minutes et moins dans la majorité des parties au cours des dernières semaines, qu’il se retrouve dans un rôle plus effacé face aux meilleurs effectifs adverses et qu’il soit moins utilisé dans les moments critiques sont des indicateurs qui interpellent.
C’est une situation qui dérange énormément, car lorsque ce dernier avait été acquis des Blue Jackets de Columbus en retour de Nick Foligno, il démontrait toutes les qualités requises pour être le partenaire idéal pour le défenseur à caractère offensif qu’est Erik Karlsson et il pouvait facilement absorber entre 23 et 24 minutes par partie.
Le rendement actuel de Marc Methot, qui est reconnu comme un défenseur à caractère défensif (lire « stay-at-home ») et qui est efficace dans les batailles à un contre un en espace restreint et en situation de marquage devant le filet, sans compter son leadership dans le vestiaire, a de quoi inquiéter. Surtout dans le contexte actuel des choses, là où les Sénateurs tentent désespérément de s’accrocher à une possibilité de participer aux présentes séries éliminatoires.
Bref, on va espérer que des jours meilleurs se pointeront rapidement à l’horizon pour celui qui a déjà été considéré comme un défenseur de premier plan dans les petits cartons des Sénateurs.

La visite des Bruins, le meilleur remède ?

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Publié par Charles Payette pour 98,5fm Sports le mardi 19 janvier 2016 à 07h37. Modifié à 08h58.
La visite des Bruins, le meilleur remède ?
P.K. Subban et Brad Marchand/PC
(98,5 Sports) - La visite des Bruins de Boston sera-t-elle le remède à l'actuel plongeon du Canadien au classement ?

Alors que les rumeurs de congédiements et de transactions se répandent avec la même violence que les vents qui s'abattent sur la métropole, les joueurs de Michel Therrien ne devraient avoir aucun mal à se présenter motivés, ce soir au Centre Bell.
On en parle en ondes :
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Mis en ligne le mardi 19 janvier 2016 dans avec Alain Crête
Le CH vient d'être rejoint au classement par les Sénateurs d'Ottawa au huitième rang de l'Association Est, mais pourrait passer devant les Bruins (23-16-5), au septième rang, avec une victoire, ce soir.

Bête noire... des Bruins

Le Tricolore, qui a déjà battu les Bruins trois fois cette saison, continue d'être leur bête noire. On se rappellera de la victoire éclatante lors de la Classique hivernale au Jour de l'an. Le Canadien (23-19-4) n'a perdu qu'une fois face à la troupe de Claude Julien en 2015.

Tomas Plekanec est à son mieux contre Boston comme en fait foi ses deux buts et cinq points. C'est un peu le même scénario pour Patrice Bergeron des Bruins avec ses deux buts et une passe.

Pire dossier de la LNH depuis le 1er décembre

Chez les Bruins, on attend avec impatience le retour des attaquants David Krejci et David Pastrnak. L'équipe a remporté ses deux derniers matchs contre Buffalo et Toronto.

Le Canadien, qui a perdu ses quatre derniers matchs, montre une séquence de 5-15-1 depuis le 1er décembre. Il s'agit du pire rendement de toutes les équipes de la LNH depuis cette date.

Le duel de ce soir est présenté sur les ondes des stations Cogeco Diffusion à 19h, avec l'avant-match.

Le CH demeure 8e... avec les Sens

http://www.985sports.ca/hockey/nouvelles/

Publié par La Presse Canadienne le mardi 19 janvier 2016 à 01h21. Modifié par Charles Payette à 09h31.
Le CH demeure 8e... avec les Sens
Craig Anderson
SAN JOSE, Californie - Mika Zibanejad a tranché le débat en tirs de barrage et les Sénateurs d'Ottawa ont défait les Sharks de San Jose 4-3, lundi soir, rejoignant le Canadien de Montréal au 8e rang de l'Association Est.
Montréal et Ottawa ont disputé 46 matchs et montrent 50 points. Le CH demeure toutefois devant avec une victoire de plus que les Sens. Pendant ce temps, les Blues de St. Louis ont vaincu les Penguins de Pittsburgh 5-2, les empêchant de dépasser les Sénateurs et le CH au classement.

Max McCormick, Bobby Ryan, Zack Smith, sur un tir de pénalité, ont marqué en temps réglementaire pour les Sénateurs, qui ont conclu leur voyage en Californie avec une fiche de 2-1. Le but de Smith a été revu par les officiels pour s'assurer que la rondelle avait toujours poursuivi son mouvement vers l'avant.

Les Sénateurs ont réussi à écouler un désavantage numérique de deux minutes en fin de prolongation grâce au brio de Craig Anderson. Ce dernier a terminé la rencontre avec 32 arrêts.

Tomas Hertl, Logan Couture, Matt Nieto ont donné la riposte du côté des Sharks, qui ont comblé un déficit de deux buts avant de prendre les devants 3-2 en première moitié de troisième période.

De l'autre côté, Alex Stalock n'a pas été aussi occupé et a réalisé 14 arrêts.

Les Sénateurs pourraient avoir perdu les services d'un joueur important au cours du match. L'attaquant Mike Hoffman n'est pas revenu au jeu après être entré en collision avec le poteau du but lors d'une montée au filet en deuxième période.
Avec NHL.com

Les Sabres l'emportent face aux Coyotes

GLENDALE, Arizona - Jack Eichel a marqué un but et récolté une aide, Chad Johnson a repoussé 26 lancers et les Sabres de Buffalo ont battu les Coyotes de l'Arizona 2-1, lundi.

Jamie McGinn a aussi touché la cible et Rasmus Ristolainen a amassé deux aides pour les Sabres, qui ont gagné deux matchs de suite et quatre de leurs cinq derniers.

Le but d'Antoine Vermette à 8:04 de la troisième période a mis un terme à une disette de plus de six périodes pour les Coyotes, qui ont encaissé un troisième revers consécutif. Louis Domingue a repoussé 26 lancers en étant battu en temps réglementaire pour la première fois en 11 départs.

Johnson a brillé en réalisant 11 arrêts en première période alors que les Coyotes ont été blanchis malgré qu'ils aient passé six minutes en avantage numérique.


Matchs truqués : deux autres révélations

http://www.rds.ca/tennis/

Des balles de tennis.
Des balles de tennis. (Source d'image:PC)

MELBOURNE, Australie - Deux joueurs de tennis, un espoir australien et un ancien membre de l'équipe britannique de Coupe Davis, ont révélé mardi avoir été approchés par des inconnus qui leur proposaient de perdre volontairement contre de l'argent, deux jours après les révélations de médias britanniques sur des matches truqués.
L'espoir du tennis australien Thanasi Kokkinakis a déclaré avoir été approché via Facebook. « C'étaient des gens venus de nulle part qui disaient: "je te donnerai telle somme pour balancer un match". J'ai essayé de bloquer ce genre de choses, de m'en débarrasser pour me concentrer sur ce que j'ai à faire », a raconté le jeune joueur de 19 ans à la radio australienne 3AW.
Par ailleurs, un ancien joueur britannique, Arvind Parmar, a raconté auTimes de Londres une tentative de corruption dont il a fait l'objet en 2004 dans un tournoi Challenger (2e division du circuit) aux Pays-Bas.
« On m'a proposé une enveloppe pleines d'euros pour perdre en deux sets, une heure avant d'entrer sur le court », a déclaré Parmar, 37 ans et désormais retiré du circuit.
« J'ai été approché par un inconnu alors que je quittais l'entraînement. Il m'a montré l'argent et m'a dit que je devais perdre en deux sets. Il semblait anxieux, nerveux et après quelques mots échangés il a essayé de me mettre l'enveloppe dans les mains », a-t-il ajouté.
« C'était une somme substantielle, des dizaines de milliers d'euros, bien plus que ce que j'aurais eu en gagnant le tournoi et plus que ce que la plupart des joueurs de ce niveau gagnent en un an », a dit l'ancien joueur.
Mardi, en marge des Internationaux d'Australie, le no 1 mondial Novak Djokovic avait raconté qu'en 2007 il avait lui aussi été indirectement approché, par l'intermédiaire de membres de son équipe, par des inconnus cherchant à le corrompre.
À Melbourne, le quotidien The Age a affirmé que la police, mise au courant des futures révélations de la BBC et de BuzzFeed, s'était renseignée dans le milieu du tennis pour savoir quels matches des Internationaux d'Australie risquaient de faire l'objet de trucage.
Ces deux médias britanniques ont affirmé dimanche que seize joueurs, dont huit sont inscrits aux Internationaux d'Australie, étaient soupçonnés d'être impliqués dans des matches truqués au cours de la dernière décennie. Ayant eu accès à des documents confidentiels, ils accusent également l'ATP, instance dirigeante du tennis professionnel, d'avoir cherché à étouffer plusieurs affaires.
À Melbourne, le président de l'ATP Chris Kermode a démenti toute tentative d'escamotage. « Les autorités du tennis rejettent toute allégation selon laquelle des preuves de trucage de matchs auraient été cachées ou ne feraient pas l'objet d'une enquête approfondie », a-t-il dit.

Patrick Côté et la théorie de l’évolution

http://www.rds.ca/combat/ufc/

Mayday, Mayday!! C'est terminé!


Nicolas Landry
MONTRÉAL – Un direct au menton, une accumulation d’uppercuts, un travail de finition sans merci. C’est un scénario qui ne vous fera jamais tomber en bas de votre chaise quand vous regardez un combat de Patrick Côté.
Dimanche, à son retour dans l’octogone de l’UFC, Côté a suivi ce script à la lettre. Quand il a forcé l’arbitre Steve Rita à s’interposer entre ses poings et le visage de Ben Saunders, l’effet de surprise est surtout venu du fait qu’il venait de signer une deuxième victoire consécutive par K.-O. Pour lui, c’était une première séquence du genre depuis celle qui l’avait mené à l’obtention d’un combat de championnat contre Anderson Silva en 2008.
Mais quant à la méthode utilisée, c’était du Prédateur tout craché.
La vraie révélation à retenir de cette éclatante victoire est plutôt survenue quelques minutes avant le coup de grâce, au premier round, quand Côté, de son propre aveu, s’est fait prendre par surprise par une projection de Saunders et s’est retrouvé sur son dos, monté par un colosse de 6 pieds 3 pouces.
Des situations inconfortables, Côté en avait déjà connu quelques-unes depuis le début de sa carrière. On ne pratique pas les arts martiaux mixtes pendant près de 15 ans sans aller sentir le tapis de temps en temps. Mais contre Saunders, on a assisté à une autre preuve de la métamorphose opérée par le vétéran depuis son retour dans les ligues majeures, à l’une des raisons pour lesquelles, à 35 ans, il est redevenu un nom pertinent dans le sport qu’il a aidé à faire connaître au Québec et au Canada.   
Avec un adversaire dans sa garde, Côté est passé à l’attaque.  
« Avant, j’avais le jiu-jitsu, mais je m’en servais surtout pour m’en défendre, expliquait Côté à son retour de Boston, lundi après-midi. Je ne voulais pas y aller, c’était une question de confiance. Mais j’ai pris beaucoup de maturité et je n’ai plus peur d’essayer des affaires. Même si ça ne marche pas, je sais que je ne me mettrai pas dans le trouble, que je vais être capable de m’en sortir quand même. Ça me donne un outil de plus dans mon coffre au niveau des offensives et ça va faire réfléchir encore plus mes adversaires à l’avenir. »
Ben Saunders et Patrick CôtéDans pareille situation, l’ancien Côté aurait emprunté la voie de la prudence. Il aurait probablement cherché à se coller comme une ventouse à la poitrine de son assaillant, à fermer les espaces en enveloppant son adversaire dans ses membres en attendant que l’officiel ne remette l’action debout ou que la sirène annonçant la fin du round se fasse entendre. Si c’était ce que Saunders avait en tête, ses plans ont été déjoués.    
Côté s’est d’abord protégé, a étudié la situation, puis s’est activé. Il a évalué ses options à droite et à gauche jusqu’à ce qu’il juge le moment opportun pour passer à l’action. Lorsqu’il s’est emparé du bras droit de Saunders pour le piéger entre ses jambes, il croyait bien être en voie de célébrer sa première victoire par soumission en près de dix ans.
« C’est passé proche! Je dirais qu’elle était parfaite à 98%, estime celui qui gagne aussi sa vie comme analyste à RDS. C’est sûr que ça se fait vite, mais si on parle vraiment de la technique comme on l’enseigne, je n’ai pas suffisamment serré mes genoux pour emprisonner le bras et il a été capable de sortir le coude. Mais ça aurait pu passer contre n’importe qui. »
L’initiative de Côté a néanmoins été payante. Elle lui a permis de reprendre le contrôle du combat en s’emparant d’une position avantageuse et en portant les meilleurs coups dans la dernière portion du round.
Au deuxième, le naturel est revenu au galop. Côté a étudié son vis-à-vis pendant une petite minute avant de lancer une première combinaison qui a touché la cible. Saunders était ébranlé, Côté l’a senti et a trouvé l’audace de poser un geste en apparence osé : provoquer le corps à corps avec un expert de boxe thaïlandaise de la trempe de « Killa B ».
« Je suis rentré avec un gros direct et je l’ai pincé directement sur le menton, décrit-il. Dans le clinch, je sentais que son emprise n’était pas vraiment solide autour de ma tête et il y avait beaucoup d’espace, alors j’ai commencé à lancer des uppercuts. Le troisième qui a touché directement sur la mâchoire, j’ai vite compris qu’il avait vraiment fait mal. Quand j’ai vu les genoux plier, l’arbitre lui a donné une chance de revenir, mais j’ai complété le travail. »
Côté rit quand on lui demande s’il sait combien de coups il a pu passer sous la défense de sa victime avant que celle-ci ne s’écroule. Selon les données recueillies par FightMetric, 23 des 31 coups lancés par le Québécois au deuxième round ont touché la cible.
«  Je ne les ai pas comptés encore. Ils passaient tous, alors je n’ai pas arrêté. »
Prêt à accueillir Nick Diaz
Les critiques ont été dithyrambiques après la performance de Côté. Du nord au sud, de nombreux observateurs se sont empressés de la consacrer comme la plus impressionnante de sa carrière.
« Je ne cacherai pas que c’est une de mes bonnes, approuve le principal intéressé. Je me suis senti en confiance et en contrôle d’un bout à l’autre. C’est un des combats pour lesquels j’étais le moins nerveux de toute ma vie. Même dans le vestiaire, on s’est réchauffé pendant dix minutes et le reste du temps, on niaisait, on riait. Il n’y avait rien de stressant de notre côté et ça a bien été. »
Après sa victoire précédente, contre Josh Burkman, Côté avait fait campagne pour obtenir un adversaire classé dans le top-15 de la division des mi-moyens, mais son souhait n’avait pas été exaucé. Il a donc fait parler ses poings, livrant un argument qui risque de ne laisser aucun choix à ses patrons.
« Je pense avoir passé un message assez évident. Avec ce combat, je pourrais moi-même faire mon entrée dans le top-15, alors on verra. Je crois leur avoir mis un peu de pression », avance celui qui montre maintenant un dossier supérieur à ,500 (10-9) pour la première fois de sa carrière à l’UFC.
À tête reposée, Côté propose le nom de Matt Brown, présentement classé 6e chez les mi-moyens. Immédiatement après sa victoire, dans les coulisses du TD Garden, il avait été encore plus ambitieux en prononçant le nom de Nick Diaz, qui fait l’objet d’une suspension qui sera levée au mois d’août.
« Il m’en reste moins qu’il m’en restait, alors si je n’ai pas de combat contre quelqu’un qui est classé, je veux des combattants qui ont un nom. Je veux un combat qui vaut quelque chose au niveau du marketing. C’est ça qui est important pour moi maintenant. Je n’ai pas le goût de passer à travers une séquence de dix autres combats pour avoir une chance au titre. Donc si je ne peux pas avoir un gars bien classé, donnez-moi un nom. »
Alors, c’est pour quand, la première guerre de mots virtuelle? Pas cette fois, affirme Côté, qui compte revenir à la bonne vieille méthode pour trouver sa prochaine victime.
« Il n’y aura pas de challenge sur Twitter, promet-il en s’esclaffant. Je l’ai dit à voix haute, c’est sûr que ça va se rendre à ses oreilles. On va voir s’il va répondre. »