vendredi 27 novembre 2015

Marcel Aubut perd «son» aréna

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Publié par Charles Payette pour 98,5fm Sports le vendredi 27 novembre 2015 à 06h59.
Marcel Aubut perd «son» aréna
Marcel Aubut/COC - Graham Hughes
(Cogeco Nouvelles) - L'aréna de St-Hubert-de-Rivière-du-Loup ne s'appellera plus l'aréna Marcel-Aubut.
Selon Radio-Canada, le maire et les conseillers ont décidé de se dissocier de l'avocat natif de cette localité en raison des alléguations de harcèlement sexuel dont il a fait l'objet récemment.

Dans une résolution adoptée à l'unanimité au début de novembre, le conseil indique que l'aréna est fréquenté par des jeunes et que St-Hubert accorde une importance au respect des femmes.

«Ce que je cherche avec un 2e contrat dans la LNH, c'est d'avoir du succès» - Guy Boucher

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Publié par Danielle Arsenault pour 98,5fm Sports le jeudi 26 novembre 2015 à 19h40. Modifié à 20h54.
«Ce que je cherche avec un 2e contrat dans la LNH, c'est d'avoir du succès» - Guy Boucher
Guy Boucher / La Presse Canadienne
(98,5 Sports) - Bien qu'il ait été congédié de son poste d'entraîneur-chef du SC Berne en Suisse il y a environ une semaine, Guy Boucher prendra son temps afin de dénicher un prochain boulot qui lui permettra de s'épanouir complètement comme homme de hockey.
Entrevue avec Guy Boucher
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Son objectif est clair, il veut revenir en Amérique du Nord afin de pouvoir retrouver un poste dans la LNH.

Même si sa première expérience dans le circuit Bettman avec le Lightning de Tampa Bay a été de courte durée, Guy Boucher estime qu’il a encore sa place dans la Ligue nationale.

Il s’inspire des succès actuels d’entraîneurs-chefs comme Alain Vigneault, Michel Therrien et Bob Hartley qui ont tous dû abandonner momentanément leur rêve de diriger dans la LNH avant de pouvoir y revenir.

«Je pense que la plupart des entraîneurs de qualité et d’expérience finissent habituellement par se retrouver quelque chose. Mais le but, ce n’est pas de se retrouver quelque chose vite, mais plutôt d’avoir une bonne opportunité au bon moment avec les bonnes personnes parce que ce que tu veux, c’est une chance d’avoir du succès. Coacher dans la LNH avec un club qui a aucune chance de gagner, ça devient très rapidement l’enfer. Donc, l’idéal, c’est de revenir dans la LNH avec une bonne situation. Moi avec mon deuxième contrat de la LNH, ce que je cherche, c’est d’avoir du succès», a-t-il confié au micro de Mario Langlois, jeudi, dans le cadre de l'émission Les Amateurs de Sports.

Ouvert à toutes les propositions

Sans surprise, Guy Boucher rêve de revenir dans la LNH en tant qu’entraîneur-chef, mais il n’est pas fermé à l’idée d’être un adjoint.

«Évidemment, (instructeur) en chef, c’est la priorité. Mais des fois, on peut se retrouver dans des situations où tu n’es pas en chef, mais tu te retrouves avec des individus où tu peux apprendre ou avec des équipes gagnantes.»

Et Boucher ne croit pas que ses années loin de la LNH seront un désavantage pour lui. Il admet d’ailleurs avoir dû refuser quelques offres l’an dernier parce qu’il voulait respecter son contrat sans clause de sortie avec le SC Berne.

«J’ai été obligé de refuser trois jobs, deux pour s’occuper de l’avantage numérique et une autre comme coach associé. C’était de superbes opportunités avec des individus de qualité. Et cet été j’avais une petite fenêtre où j’avais le droit d’accepter une job et il y a eu trois équipes qui étaient intéressées à moi en tant qu’entraîneur-chef, mais ça ne s’est pas soldé par un boulot», a-t-il expliqué.

La Coupe Spengler


Contrairement à sa première expérience derrière le banc d’équipe Canada, l’entraîneur-chef estime qu’il aura plus de facilité à obtenir les joueurs désirés

«L’an dernier, c’était plus difficile d’avoir les joueurs qu’on voulait, il y a avait beaucoup de blessés, beaucoup de joueurs qui n’étaient pas capables de participer. Cette année, quand on va dévoiler les noms, surtout à l’attaque, on a des noms connus. Ça va donc me laisser beaucoup plus d’outils pour travailler.»

Au terme de ce tournoi, Guy Boucher n’est pas encore certain s’il rentrera immédiatement au pays avec toute sa famille. Comme il n’a pas encore de maison au Québec et qu’il veut éviter que ses enfants ne changent d’école plus d’une fois, il se pourrait qu’il demeure en Suisse jusqu’à ce qu’il ait trouvé du boulot derrière un banc de hockey en Amérique du Nord.

Aux yeux de Boucher, cette expérience en Suisse a fait de lui un meilleur entraîneur-chef.

«Le simple fait d’être ailleurs, loin de ta famille, c’est beaucoup de choses à gérer. On ne dirige pas du hockey, on dirige des individus. C’est dur d’entendre les critiques dire, lorsqu’un joueur ne joue pas bien, qu’il devrait être échangé alors que toi, tu sais qu’il a de la misère à s’adapter, que ça ne va pas bien à la maison ou qu’il y a quelqu’un de malade. Mais ça tu ne peux pas l’annoncer. On sait très bien que n’importe qui dans cette situation aurait de la difficulté à performer, mais on ne peut pas en parler. Parfois, c’est dur à gérer», a-t-il indiqué.

Doublement en mission

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Publié par Charles Payette pour 98,5fm Sports le vendredi 27 novembre 2015 à 06h01.
Doublement en mission
AP
(98,5 Sports) - Le Canadien disputera ce soir le premier match d'une série aller-retour durant laquelle il verra les Devils du New Jersey deux fois en 24 heures.

Mike Condon sera de retour devant le filet et on verra au moins un nouveau visage au sein de l'attaque tricolore.
Le Canadien (17-4-2) a gagné deux de ses trois duels face aux Devils (11-9-1) la saison dernière, divisant les honneurs des deux rencontres au Prudential Arena. La victoire des Devils était survenue en tirs de barrage dans les derniers jours de la saison en avril dernier.

Le match de ce soir est radiodiffusé sur les stations Cogeco Diffusion, dès 18h30, avec l'avant-match.

Mike Condon (7-2-2) effectuera participera à une 13e rencontre déjà cette saison, encore en relève à Carey Price, blessé. Le Tricolore n’a pas souffert de sa présence fréquente entre les poteaux et sa moyenne de 2,16 et son taux d’efficacité de ,916 ne sont pas éloignées des statistiques de son renommé coéquipier, qui ratera un 10e match.

C’est Dustin Tokarski qui servira d’adjoint à Condon pour les prochaines rencontres. Christian Thomas a aussi rejoint le Tricolore qui verra aussi Bud Holloway effectuer ses débuts dans la LNH au sein du quatrième trio face aux Devils.

Retour d'Elias

Parlant des Devils, ils ont salué mercredi le retour du vétéran Patrik Elias dans une cause perdante de 2-1 mercredi face aux Blue Jackets de Columbus. Elias a raté les 20 premiers matchs des siens en raison d’une blessure à un genou.

«Il est en forme, rapide et son expérience fait en sorte qu’il ne dépense pas d’énergie pour rien», commentait l’entraîneur-chef de l’équipe John Hynes à propos du retour d’Elias, 39 ans, qui dispute une 19e saison complète dans la LNH, toutes avec les Devils.

Le Rouge et Noir à l'honneur au gala de la LCF

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Mise à jour le jeudi 26 novembre 2015 à 22 h 17 HNE
Henry Burris, joueur par excellence et récipiendaire du trophée Tom-Pate
Henry Burris, joueur par excellence et récipiendaire du trophée Tom-Pate  Photo :  PC/JONATHAN HAYWARD

Le quart-arrière du Rouge et Noir d'Ottawa, HenryBurris, a remporté son deuxième titre de joueur par excellence de la Ligue canadienne de football. Le Rouge et Noir a raflé quatre des sept prix individuels au gala de la LCF, jeudi à Winnipeg.
Le quart de 40 ans a mené la ligue au chapitre des verges par la passe avec 5693, ce qui représente un sommet personnel. À 40 ans, Henry Burris est devenu le plus vieux quart de l'histoire de la LCF à mener la ligue pour le nombre de verges par la passe. « Quand deux équipes ont décidé qu'elles ne voulaient plus m'avoir, je
voulais leur montrer qu'elles avaient tort » a avoué le vétéran qui a été réclamé au repéchage d'expansion il y a deux ans. Il a remporté 71 des 75 votes de première place. 
Burris s'est aussi vu décerner le trophée Tom-Pate pour son engagement communautaire.
Son coéquipier, le receveur de passes canadien Brad Sinopoli, remporte quant à lui le titre de joueur canadien par excellence. Il a connu la meilleure campagne de sa carrière. Brad Sinopoli a atteint un sommet personnel pour le nombre de passes attrapées (86) et le nombre de verges (1035). Il est l'un des quatre receveurs du Rouge et Noir à avoir franchi le cap des 1000 verges cette saison. Il a devancé le joueur des Blue Bombers de Winnipeg, Jamaal Westerman par 19 votes de première place.
Le titre de l'entraineur de l'année s'en va aussi à un représentant du Rouge et Noir. Rick Campbell a mené son équipe à une surprenante fiche de 12 victoires et six défaites à sa deuxième saison à la barre de l'équipe. L'an dernier, à la première saison de l'équipe dans le circuit, le Rouge et Noir avait enregistré le pire dossier de la LCF avec 2 victoires et 16 défaites.
Le receveur de passe des Eskimos d'Edmonton, Derel Walker, remporte sans surprise le titre de recrue par excellence. À sa toute première saison dans le circuit, Derel Walker a terminé au cinquième rang pour les verges aériennes (1110), au deuxième rang pour les attrapés (89) et au sixième rang pour les touchés même s'il n'a joué que 12 matchss. Derel Walker avait commencé la saison dans l'équipe d'entraînement. « Je pense que ça m'a aidé de commencer là, ça m'a permis de mieux maîtriser le football canadien », avoue-t-il.
Le titre de joueur defensif par excellence a été gagné pour une deuxième année d'affilée par un représentant des Lions de la Colombie-Britannique. Adam Baghill a enregistré 117 plaqués, un sommet dans la LCF.
SirVincent Rogers du Rouge et Noir d'Ottawa, qui avait la lourde tache de protéger l'angle mort de Henry Burris, reçoit le prix du joueur de ligne à l'attaque par excellence.
C'est Brandon Banks, le représentant des Tiger-Cats de Hamilton, qui remporte le titre de joueur par excellence dans les unités spéciales. Il a combiné 1766 verges sur les retours de bottés de dégagement et d'envoi.
Liste complète des gagnants:

  • Joueur par excellence : Henry Burris, quart-arrière, Rouge et Noir d'Ottawa
  • Joueur défensif par excellence : Adam Bighill, secondeur, Lions de la Colombie-Britannique
  • Joueur canadien par excellence : Brad Sinopoli, receveur de passes, Rouge et Noir d'Ottawa
  • Joueur de ligne à l'attaque par excellence : SirVincent Rogers, nloqueur à gauche, Rouge et Noir d'Ottawa
  • Joueur par excellence dans les unités spéciales : Brandon Banks, retourneur de bottés, Tiger-Cats de Hamilton
  • Recrue par excellence : Derel Walker, receveur de passes, Eskimos d'Edmonton
  • Entraîneur-chef de l'année : Rick Campbell, Rouge et Noir d'Ottawa

Duhamel et Radford premiers à Nagano, mais pas heureux

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Mise à jour le vendredi 27 novembre 2015 à 7 h 27 HNE
Meagan Duhamel et Eric Radford à Nagano
Meagan Duhamel et Eric Radford à Nagano  Photo :  GI/TOSHIFUMI KITAMURA

Meagan Duhamel et Eric Radford ont eu du mal à trouver leur rythme sur la patinoire olympique de Nagano, mais ils ont terminé au premier rang du programme court, vendredi.
Meagan Duhamel et Eric Radford ont eu du mal à trouver leur rythme sur la patinoire olympique de Nagano, mais ils ont terminé au premier rang du programme court, vendredi.
Le Trophée NHK est la sixième étape du circuit du Grand Prix de patinage artistique de l'ISU.
Meagan Duhamel, de Lively en Ontario, et Eric Radford, de Balmertown en Ontario, ont obtenu 71,04 points pour leur programme court patiné au son de la chanson « Your Song » d'Elton John. Mais ils savent qu'ils peuvent faire beaucoup mieux. 
« Nous avons dû nous battre tout le long, a dit Duhamel. Notre force et notre entraînement ont vraiment paru aujourd'hui. Nous savons que nous pouvons exécuter ce programme beaucoup plus en douceur et nous savons que si nous voulons être premiers contre les meilleurs, nous devons être meilleurs. »
« Il y a eu quelques petites erreurs qui ne s'étaient jamais produites avant, a dit Radford. Mais avec des réactions rapides, nous avons tout de même exécuté un programme décent. »
Ils visent une cinquième victoire d'affilée. Alexa Scimeca et Chris Knierim, des États-Unis, sont au deuxième rang avec 68,43 points et les Chinois Xiaoyu Yu et Yang Jin sont troisièmes avec 67,00 points.
L'autre couple canadien, composé de Lubov Iliushechkina et Dylan Moscovitch, de Toronto, a fini cinquième avec un pointage de 63,80.
Chez les hommes, Elladj Balde, de Pierrefonds au Québec, est 11e après le programme court tandis que chez les femmes, Kaetlyn Osmond, de Marystown à Terre-Neuve, est huitième après le programme court.
Le oprogramme court en danse et les programmes libres chez les hommes, les femmes et en couples auront lieu samedi. Le programme libre en danse aura lieu dimanche.

La rechute de Carey Price, cette fois, c'est inquiétant

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Mise à jour le jeudi 26 novembre 2015 à 14 h 37 HNE
Carey Price
Carey Price  Photo :  GI/Bruce Bennett

BILLET - En voyant Mike Condon s'installer devant le filet du CH après le deuxième entracte mercredi soir, au Madison Square Garden, on a peut-être assisté à ce qui deviendra LE fait saillant de la saison du Canadien. À peine cinq jours et huit périodes après son retour au jeu, Carey Price a subi une rechute et a dû déclarer forfait.
Un texte de Martin LeclercTwitterCourriel
Cette fois, il y a vraiment lieu de s'inquiéter.
Entouré de journalistes après le match, Michel Therrien s'est efforcé d'adopter un air détaché en confirmant que son gardien numéro un - le meilleur du monde - venait de voir réapparaître la blessure qui l'avait tenu à l'écart du jeu pendant trois longues semaines du 30 octobre au 20 novembre. Le CH n'a jamais révélé la nature de la blessure de Price. Mais mercredi, on a vu Price se jeter sur la patinoire, en douleur, après avoir tenté une rotation sur sa hanche droite.
Durant ces trois semaines d'absence, rappelons-le, Price s'était suffisamment inquiété de son état de santé pour ressentir le besoin d'aller chercher une seconde opinion médicale à New York. Rassuré, Price était finalement revenu au jeu vendredi dernier. Le revoilà au point de départ.
Pour Michel Therrien et Marc Bergevin, ce n'est vraiment pas une bonne nouvelle.
Dans le vaste univers du sport, lancer une balle de baseball est sans doute le geste sportif le moins naturel qui soit. Dans les ligues majeures, un lanceur dont la balle rapide frise les 100 mph a pour ainsi dire 100 % de chances de se blesser. Selon l'American Sports Medicine Institute, au moment de relâcher la balle, la pression exercée sur le coude est la même que si le lanceur tenait cinq boules de quilles de 12 livres dans la paume de sa main.
Bref, l'être humain n'a pas été conçu pour lancer des balles de baseball. C'est pourquoi les orthopédistes comme James Andrews sont aussi connus que bien des vedettes des majeures et font de véritables fortunes en reconstruisant des centaines de coudes chaque année.
La position papillon, que la quasi-totalité des gardiens au hockey adoptent, constitue sans doute le deuxième geste sportif le plus contre nature qui soit. L'être humain n'a pas été conçu pour se jeter au sol en serrant les genoux en tentant d'écarter les jambes le plus possible pour protéger le bas d'un filet. L'humain n'a pas été conçu, non plus, pour violemment piquer son patin dans la glace afin de se propulser latéralement, et ainsi mieux suivre les déplacements d'une rondelle.
Il y a quelques années, une étude réalisée conjointement par l'Université McGill et l'équipementier Bauer révélait que chaque fois qu'un gardien se jette sur la glace en position papillon, ses hanches et autres articulations encaissent un stress équivalent à celui ressenti par un haltérophile de niveau olympique qui réalise un épaulé-jeté.
Avez-vous déjà compté combien de fois Carey Price se retrouve sur les genoux et combien de poussées latérales il effectue au cours d'un match?
À chaque occasion, le cartilage et les ligaments subissent des chocs immenses, se détériorent et s'effritent un peu plus. Puis un beau jour, sans raison apparente, une blessure survient en faisant un geste qu'on a pourtant répété 100 000 fois.
Si bien que, pour les gardiens de haut niveau, les interventions chirurgicales aux hanches sont devenues presque aussi courantes que le sont les reconstructions de coude au baseball. Les blessures ligamentaires aux genoux aussi.
Parce que les gardiens déplacent des charges considérables (avec son équipement, Price pèse environ 260 livres) en effectuant des gestes qui ne sont pas normaux, les gardiens sont donc des créatures plutôt fragiles.
Pour toutes ces raisons, il y a lieu de s'inquiéter en voyant Carey Price retomber au combat pour la même blessure, après avoir passé trois semaines à se faire traiter par les meilleurs thérapeutes et à se faire examiner par les meilleurs médecins.
Si trois semaines n'ont pas suffi à lui permettre de se rétablir, combien de temps lui faudra-t-il cette fois? Sans doute bien plus que la convalescence d'une semaine évoquée jeudi par Michel Therrien. Et si les traitements précédents n'ont pas donné les résultats escomptés, quelle est la deuxième option envisagée pour le soigner?
Pour défendre son filet, le CH se retrouve de nouveau avec un gardien recrue, Mike Condon.
Dans le meilleur des scénarios, Condon ne devait pas effectuer plus de 15 ou 20 départs cette saison. Or, il entreprendra son 12e match demain. Au début du mois, l'Américain a bien pris les commandes quand s'est amorcée la longue absence de Price. Toutefois, garder les filets dans la LNH sur une base quotidienne n'est pas une sinécure. Et plus le temps passait, plus le jeu de Condon s'étiolait. Il avait d'ailleurs accordé un mauvais but à chacun de ses trois derniers matchs quand Price était finalement retourné au jeu, au grand soulagement de ses coéquipiers.
Décidément, tout change bien rapidement dans le monde du hockey. Hier encore, Marc Bergevin magasinait pour améliorer l'attaque de sa formation. Et aujourd'hui, discrètement, il scrute peut-être la liste des gardiens d'expérience disponibles dans la ligue, juste au cas où.