mercredi 13 janvier 2016

«Il va apprendre de ça» - Michel Therrien au sujet de Galchenyuk

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Publié par Danielle Arsenault pour 98,5fm Sports le mercredi 13 janvier 2016 à 13h30. Modifié à 15h16.
«Il va apprendre de ça» - Michel Therrien au sujet de Galchenyuk
Therrien et Galchenyuk à l'entraînement mercredi/PC
(98,5 Sports) - Bien qu'il ait concédé qu'il aurait préféré ne pas avoir à gérer ce type de distractions, Michel Therrien s'est toutefois montré compréhensif envers Alex Galchenyuk. Et comme un bon père de famille, il espère que son jeune attaquant apprendra de ses erreurs.
Le point de presse de Michel Therrien
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Pas besoin d'un diplôme universitaire pour savoir que Michel Therrien aurait préféré ne pas avoir à gérer ce qui est convenu d'appeler «l'incident Alex Galchenyuk» dont il a appris l'existence lundi.

Déjà que son équipe traverse sa plus difficile période de la saison - une fiche de 3-7-0 au cours des 10 derniers matchs - et qu'elle ne cesse de dégringoler au classement, voilà que Therrien doit également gérer des distractions hors glace.

«Tu ne veux pas avoir de distractions dans une équipe de hockey et oui, ça l’a été à partir d’hier, a confirmé l’entraîneur-chef Michel Therrien en début de son point de presse, mercredi. Ça l’est encore un peu aujourd’hui. Mais c’est certain que ce sont des choses que tu ne veux pas entendre.»

«C'est certain que j'aimerais mieux que tous mes joueurs mangent des biscuits au chocolat et boivent du lait après un match, mais ce n'est pas la réalité», a-t-il ajouté en riant.

«Faut pas oublier qu’on fait affaire à un jeune homme, Il a seulement 21 ans. Il va apprendre de ça, c’est comme ça que je le vois. On a beau les entourer et les avertir, mais à quelques occasions, les jeunes dans de telles situations vont faire des erreurs. On sait tous que Chucky n’est pas content de se retrouver dans cette situation. Mais il va apprendre beaucoup et ça va faire de lui un meilleur athlète professionnel», a assuré Therrien.

Comme une famille

Therrien a expliqué qu'une équipe de hockey ressemblait beaucoup à une famille, avec ses hauts et ses bas.

«Moi je gère ça comme une famille. Et les choses à l'interne, je garde ça chez-nous. C'est comme dans la vie de tous les jours. À la maison, il peut y avoir des distractions. Il peut y avoir des chicanes, mais je pense pas qu'à la maison, les gens vont cogner chez le voisin pour dire qu'il est arrivé une distraction. Ils ne mettent pas une pancarte dans le quartier disant qu'il est arrivé tel incident. Tout ça pour dire que oui, il est arrivé un incident, Marc (Bergevin) a rencontré les joueurs après l'entraînement (d'hier). Il voulait avoir leur version», a expliqué Therrien.

Avec toutes ses années d'expérience derrière un banc de hockey professionnel, Therrien n'est pas à sa première gestion de crise.

«Ça fait partie d'un de nos défis. C'est pas le défi numéro un, mais ça fait partie du défi de s'assurer d'avoir de bons professionnels, d'avoir de bons athlètes, des joueurs qui montront l'exemple. Il ne faut pas oublier que la Ligue nationale est de plus en plus jeune. On leur donne des conseils, on les encadre bien, mais on ne peut pas leur tenir la main 24 heures sur 24», a dit Therrien.

Therrien ne croit pas qu'il faut uniquement blâmer les salaires élevés de ces jeunes joueurs pour expliquer «ces incidents».

«Les clubs de hockey les encadrent. Ils sont entourés par la Ligue nationale, ils sont entourés par l'Association des joueurs. Il y a certains joueurs qui vont capter le message et il y en a d'autres qui doivent se brûler sur le rond de poêle pour apprendre.»

Une coïncidence

Therrien est revenu sur l'incident impliquant Christian Thomas et Nathan Beaulieu il y a quelques semaines. Une vidéo circulant sur les réseaux sociaux montrait Beaulieu faisant un doigt d'honneur à la caméra lors d'un party privé.


Michel Therrien a tenu à convaincre les journalistes que le départ de Thomas n'avait rien à voir avec l'incident.

«C'est une coïncidence. Nous n'étions pas satisfait de son jeu et Nathan (Beaulieu) n'a pas disputé le match suivant. Quant à la transaction de Christian Thomas, vous allez avoir de la difficulté à me croire, mais je vous le dis, c'est une coïncidence. C'est la vérité. Je ne base pas mes décisions (hockey) sur ce qui se dit ou s'écrit sur les médias sociaux», a assuré Therrien.

Quant à la possibilité que Galchenyuk et Smith-Pelly soient sur la galerie de presse pour le match contre les Blackhawks jeudi soir, Therrien a indiqué qu'il n'avait pas encore pris de décision à ce sujet.

«Je me sens mal» - Alex Galchenyuk

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Publié par Danielle Arsenault pour 98,5fm Sports le mercredi 13 janvier 2016 à 12h42. Modifié à 15h57.
«Je me sens mal» - Alex Galchenyuk
Alex Galchenyuk/FlashQuébec
(98,5 Sports) - Alex Galchenyuk a fait face aux journalistes pour la première fois, mercredi midi, depuis l'incident survenu avec sa copine le week-end dernier.
On en parle en ondes :
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Mis en ligne le mercredi 13 janvier 2016 dans Les amateurs de sports avec Martin McGuire et Mario Langlois
Rappelons que dimanche matin, la copine d'Alex Galchenyuk a été arrêtée, puis relâchée dans une affaire de violence conjugale qui s'est déroulée à l'appartement du jeune attaquant du Canadien.


Au terme de l'entraînement quotidien de mercredi, Galchenyuk a rencontré les membres de la presse.

«Hier, ma priorité était de discuter avec mon agent et le directeur général (du Canadien). Aujourd'hui, je suis disponible pour parler avec les médias. La première chose que je veux dire, c'est que je me sens mal que cet incident ait été rendu public. Je me sens mal pour mes coéquipiers, l'organisation et plus particulièrement, pour les fans. Je suis un jeune joueur, c'est une leçon de vie. Mais ça reste un sujet personnel, donc je ne commenterai pas la situation», a dit Alex Galchenyuk.

DSP peu bavard

Smith-Pelly a lui aussi dû affronter les journalistes et s'est fait peu bavard, reconnaissant cependant qu'il doit être plus conscient de ses choix.

«Je sais ce qui s'est passé, Chucky aussi, a-t-il dit au sujet des incidents de dimanche matin. Quant aux autres qui commentent, je ne me préoccupe pas de leur opinion.»

Smith-Pelly a également dit que le marché de Montréal était propice pour ce genre d'incident soit rendu public.

«Mais nous jouons ici, alors on doit en être conscients et mieux gérer ça. Mais le positif de jouer ici dépasse largement le négatif. On doit tourner la page maintenant», a-t-il dit.

Markov ajoute son grain de sel

Habituellement peu bavard - et encore moins pour des incidents de la sorte - Andrei Markov a accepté de donner son opinion sur les difficultés de jouer dans un marché montréalais, reconnu pour être l'un des plus scruté par les amateurs et les journalistes.

«Honnêtement, lorsqu'on évolue dans une ville comme Montréal, on se doit d'être prudents. Ce n'est pas facile parce que parfois, les gens te courent après pour créer une histoire. C'est la réalité. Selon moi, il n'y a rien de méchant qui s'est passé. On doit donc mettre ça de côté», a dit le vétéran défenseur russe qui préférait rappeler que les rencontres avant la pause du Match des étoiles étaient très importantes pour le Canadien.

«Nous devrons travailler fort et donner notre 100%. Nous devons nous concentrer sur un match à la fois et marquer plus de buts», a-t-il dit.

L'ancien des Alouettes Lawrence Phillips retrouvé mort

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L'ancien des Alouettes Lawrence Phillips retrouvé mort
L'ex-porteur de ballon des Alouettes de Montréal Lawrence Phillips a été retrouvé sans vie, tôt mercredi, dans une prison de la Californie, selon ce qu'a rapporté le quotidien USA Today Sports.
Le corps de celui faisant face à une accusation de meurtre a été découvert inanimé dans sa cellule de la prison Kern Valley State, a confirmé le porte-parole de l'institution Terry Thornton au journal américain.
L'homme de 40 ans a été transporté dans un hôpital, où son décès a été constaté.
Une enquête est actuellement en cours et la mort de Phillips pourrait être considérée comme un suicide.
L'ancien demi offensif a été condamné en 2009 à une peine d'emprisonnement de 31 ans pour une série de délits. Il a, entre autres, heurté trois adolescents avec son véhicule, en plus d'être mêlé à plusieurs incidents de violence conjugale. Il a aussi été reconnu coupable de vol et de menaces.
En 2015, Phillips a été accusé du meurtre de son compagnon de cellule, Damion Soward.
Après avoir connu beaucoup de succès à l'Université du Nebraska, Phillips a été un choix de premier tour, le sixième au total, des Rams de St. Louis lors du repêchage de la NFL de 1996. Il a connu une courte carrière avec les Rams, les Dolphins de Miami et les 49ers de San Francisco, des séjours ombragés par ses démêlés avec la justice.
Phillips a ensuite fait le saut dans la Ligue canadienne de football avec les Alouettes, aidant l'équipe montréalaise à remporter la coupe Grey en 2002. L'année suivante, il a porté les couleurs des Stampeders de Calgary.
AUSSI SUR CANOE.CA

Kassian, Beaulieu, Galchenyuk : la liste s'allonge...

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La vie privée et les performances sur la glace


Images of Francois Gagnon
L’épisode de violence conjugale impliquant Alex Galchenyuk relève de sa vie privée. On sera tous d’accord. Du moins, je l’espère.
Si Galchenyuk avait donné les baffes plutôt que les avoir encaissées, ce serait une autre histoire. Si c’est lui qui avait passé la nuit en prison et qui faisait l’objet d’une enquête afin de déterminer le bien-fondé, ou non, de déposer des accusations criminelles contre lui, ce serait bien sûr une tout autre histoire. L’incident aurait déjà pris des proportions bien plus grandes. Sur toutes les tribunes, on parlerait de l’affaire Galchenyuk et le logo du Canadien serait entaché.
Mais on n’en est pas là.
Le fait que Galchenyuk soit la « victime » dans cette affaire fera simplement du jeune attaquant une cible de choix pour ses adversaires qui trouveront bien une façon de lui rappeler l’incident survenu dans la nuit de samedi à dimanche afin de le déconcentrer sur la patinoire. Comme s’il avait besoin de ça pour rendre plus difficile encore une saison qui l’est déjà pas mal.
Pourquoi alors se pencher sur ce triste épisode de la vie privée de Galchenyuk?
Parce que cet incident hors glace – un appel d’urgence a quand même été logé au service 9-1-1 obligeant ainsi une intervention policière au domicile de Galchenyuk – est le troisième à chambouler la vie privée des joueurs du Canadien cette saison.
Un épisode, c’est un accident de parcours. Deux : c’est un avertissement. Trois : c’est un signal qu’il faudrait peut-être se pencher plus sérieusement sur ce qui se passe dans l’entourage du Canadien.
Zack Kassian avait un passé associé à des ennuis de surconsommation de drogues et/ou de stupéfiants. Et comme il a embouti un arbre avec la camionnette qu’il occupait et qu’il a subi une fracture à une cheville, il lui a été impossible d’échapper à l’attention médiatique. Suspendu illico par la Ligue, il s’est retrouvé en cure et le Canadien l’a échangé dès qu’il est revenu dans l’entourage de l’équipe.
Il y a ensuite eu Nathan Beaulieu et Christian Thomas qui ont entaché leur image personnelle et celle du Canadien en même temps en étant les « vedettes » d’une vidéo compromettante tournée dans un bar d’abord et ensuite dans un appartement. Parce qu’il n’y avait que peu de place, ou pas de place du tout, pour Thomas dans le futur du Canadien, il a vite été échangé.
Mais comme Beaulieu est plus qu’un simple pion dans l’avenir du Canadien à la ligne bleue, il était impossible de le larguer vite fait sans prendre les risques de ne rien obtenir en retour.
Et voilà que c’est au tour de Galchenyuk – qui était accompagné de Devante Smith-Pelly – de se retrouver dans une situation délicate.
Encore une fois très tard dans la nuit. Encore une fois dans des circonstances qui sont loin de favoriser les critères de bonnes formes physiques essentielles – du moins, il me semble – pour maximiser les chances de réussite sur des patinoires de la LNH.
Pour toutes ces raisons, la question qui suit mérite d’être posée : le Canadien est-il miné par des ennuis hors patinoire impliquant un ou des joueurs? Si oui, le problème est-il répandu? Si oui, quels sont les moyens qui doivent être pris, et pris rapidement, pour éviter que ce problème, s’il en est un, s’ajoute à la perte de Carey Price et à la panne offensive de l’équipe et contribue à plonger le Canadien plus creux au classement?
Ces réponses viendront du bureau de Marc Bergevin.
À titre de directeur général, c’est lui qui doit faire le tour de son vestiaire. Il doit obtenir les informations qui lui permettront de brosser le véritable portrait de la situation. Il devra ensuite prendre les moyens nécessaires pour corriger une situation qui semble exiger correction. Tout ça, bien sûr, avec la complicité de son propriétaire Geoff Molson qui, au-delà les mots réconfortants qu’il lance à l’endroit de ses joueurs et de son état-major, pourrait commencer à exiger un retour positif sur l’investissement qu’il verse en salaire. Un retour positif sur la patinoire bien sûr, mais aussi à l’extérieur.
Les joueurs du Canadien, comme ceux des 29 autres équipes de la LNH, deviennent des super-étoiles de plus en plus jeunes. Ces jeunes sont riches. Non... très riches. Ils sont adulés. Ils sont vénérés.
Mais ils sont aussi payés pour jouer au hockey. Pour bien jouer au hockey et contribuer aux succès de leur équipe.
Si le Canadien gagnait en ce moment comme il le faisait en octobre dernier et que Galchenyuk était en voie de connaître une saison du tonnerre, le genre de saison que tous attendent, mais qui ne semble pas vouloir se montrer le bout du nez, le dernier incident n’attirerait pas l’attention. Ou bien peu.
Mais voilà! Non seulement le Canadien perd, perd souvent, perd trop souvent, mais l’équipe ne joue pas à la hauteur des attentes. Et plusieurs joueurs, dont Galchenyuk, sont loin d’offrir le rendement exigé de leur part.
D’où l’importance accrue accordée à la nouvelle entourant la rixe qui a mis fin à une soirée à son domicile et qui a nécessité l’intervention des policiers.
Quand le Canadien, sous Jean Perron, était sans gouvernail autant sur la patinoire qu’à l’extérieur de la glace, le grand Serge Savard a donné le coup de barre qui s’imposait. Il s’est tourné vers Pat Burns pour remplacer Jean Perron. L’ancien policier qui était aussi tout un coach de hockey a mis ses connaissances et ses qualités au service de Savard et du Canadien pour rétablir l’ordre autant dans le vestiaire que sur la patinoire.
Marc Bergevin doit imiter Savard.
Non! Il n’a pas à congédier Michel Therrien sur-le-champ et à se chercher un nouveau Pat Burns. Mais il doit faire équipe avec son coach afin que l’état-major reprenne un contrôle qui semble faire défaut en ce moment. Autant sur la patinoire qu’à l’extérieur.
Avec l’équilibre qui règne autour de la LNH depuis quelques années, il est impensable qu’une équipe qui ne peut compter sur l’implication totale de tous ses joueurs – que ce soit en raison des blessures, de cas de mauvaises attitudes ou encore de mauvaises habitudes à l’extérieur de la patinoire – puisse croire en ses chances de gagner plus souvent qu’elle ne perd.
Bergevin a rencontré Galchenyuk et Smith-Pelly après l’entraînement mardi. Que fera-t-il ensuite pour aider la cause de son équipe? Accentuera-t-il ses efforts pour conclure une transaction significative? Se débarrassera-t-il plus simplement d’un joueur marginal comme l’est DSP simplement pour servir un autre avertissement à ses joueurs? Prendra-t-il des mesures disciplinaires plus sévères pour s’assurer d’être pris au sérieux dans le vestiaire?
Marc Bergevin a refusé de répondre aux questions des journalistes aujourd’hui. Son entraîneur-chef Michel Therrien ne parlera que mercredi à la veille du match contre les Blackhawks de Chicago. Il faudra donc attendre avant d’obtenir une réponse ou à tout le moins une idée des plans de l’état-major.
Cela dit, les actions du Canadien, autant sur la patinoire qu’à l’extérieur de la glace, devraient nous guider vers des formes de réponses au cours des prochains jours.
Et je ne parle pas ici du retour sur patins de Carey Price. Un retour qui est la première vraie bonne nouvelle dans ce dossier depuis un très long moment.
Combien de temps faudra-t-il à Price pour être prêt à revenir devant son but? Je ne le sais pas. Et comme je vous l’ai déjà soumis, cette réponse ne me préoccupe pas trop. Ce n’est pas la date du retour au jeu de Price qui me préoccupe, c’est de savoir si ce retour au jeu sera le bon. S’il pourra garder le filet pour amener le Canadien le plus loin possible en séries au lieu de redonner à Mike Condon et Ben Scrivens le mandat bien ingrat de le remplacer.
Dans ce cas-ci également, les prochains jours devraient nous amener des réponses.

Tours du chapeau de Max Domi et de Brock Nelson dans des victoires de leur équipe respective

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Oilers 3 - Coyotes 4 (Prol.)


GLENDALE, Arizona - Max Domi a réussi le premier tour du chapeau de sa carrière dans la LNH, Oliver Ekman-Larsson a inscrit le but victorieux en prolongation et les Coyotes de l'Arizona l'ont emporté par la marque de 4-3 face aux Oilers d'Edmonton, mardi soir.
Domi a entre autres touché la cible à deux reprises en troisième période pour permettre à son équipe d'effectuer une remontée. Les Coyotes ont remporté leurs quatre dernières rencontres.
Ekman-Larsson a marqué en avantage numérique avec 9 secondes à faire en prolongation. La troupe de Dave Tippett a inscrit trois buts en quatre jeux de puissance au cours du match.
Louis Domingue a remporté un quatrième départ de suite en repoussant 25 rondelles.
Leon Draisaitl, Justin Schultz et Benoit Pouliot ont été les marqueurs des Oilers qui subissent une troisième défaite de suite.
Anders Nilsson a effectué 27 arrêts dans le revers.
Les Coyotes sont au coeur d'une séquence de sept matches d'affilée à Glendale.
Trois buts aussi pour Nelson
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Brock Nelson a réussi un tour du chapeau pour se hisser seul en tête des buteurs de son équipe tandis que les Islanders de New York prenaient la mesure des Blue Jackets de Columbus 5-2.
Thomas Greiss a réalisé 18 arrêts devant le filet des Islanders, qui avaient perdu leurs deux matchs précédents.
Nelson a procuré les devants 3-2 aux siens avec son 16e but de la campagne, à 17:29 de la période médiane. Il a déjoué le gardien Anton Forsberg d'un lancer frappé du cercle gauche des mises en jeu. L'attaquant de 24 ans a aussi trouvé le fond du filet à la 12e minute du premier tiers, et il a complété son tour du chapeau en tirant dans un filet désert.
Ryan Strome a ouvert la marque avec son quatrième filet de la campagne. Il s'agissait de son premier but depuis le 30 novembre, et il s'est produit à 5:03 de la première période. Strome, qui a disputé huit matchs avec le club-école en décembre, a frappé une rondelle libre qui s'était frayé un chemin entre les jambières de Forsberg au fond de la cage des Blue Jackets.
L'attaquant des Jackets William Karlsson a créé l'égalité à 10:26 de la première période avec son quatrième but de la saison, s'emparant du retour de lancer de Jack Johnson avant de déjouer Greiss.
Après le premier but du match de Nelson qui donnait les devants 2-1 aux Islanders, les Blue Jackets ont ramené les deux équipes à la case départ à 13:49 du deuxième vingt, lorsque le défenseur David Savard a décoché un boulet du point d'appui droit.
Les Islanders (23-15-5) sont maintenant à égalité avec les Rangers au deuxième rang de la section Métropolitaine, et les deux formations new-yorkaises croiseront le fer jeudi au Barclays Center. Les deux clubs accusent 16 points de retard sur les meneurs, les Capitals de Washington.
Forsberg a entamé la rencontre devant le filet des Blue Jackets en raison des blessures aux gardiens Sergei Bobrovsky et Curtis McElhinney.
Skinner coule les Penguins en prolongation
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Jeff Skinner a marqué à 3:02 en prolongation pour permettre aux Hurricanes de la Caroline d'avoir le dessus 3-2 contre les Penguins de Pittsburgh.
Skinner domine les siens avec 16 buts cette saison. Il a réglé le débat en complétant un bel échange en triangle. Justin Faulk a refilé à Elias Lindholm, qui a glissé la rondelle à Skinner à l'embouchure droite.
Lindholm a fourni trois passes pour les Canes, qui ont remporté leurs trois derniers matches. Cela égale leur meilleure séquence de la saison.
Eric Staal et Kris Versteeg ont aussi marqué pour la Caroline, qui a bénéficié des 23 arrêts de Cam Ward.
Kristopher Letang et Chris Kunitz ont obtenu les buts des Penguins, qui ont échapé leurs trois derniers matches à se solder en prolongation.
Marc-André Fleury a bloqué 18 tirs pour les Penguins, qui vont conclure un séjour de quatre matches à l'étranger vendredi soir, à Tampa.
Un deuxième jeu blanc pour Bishop
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Ben Bishop a repoussé 21 rondelles pour son deuxième blanchissage de la saison et Steven Stamkos a marqué deux buts pour aider le Lightning de Tampa Bay à l’emporter par la marque de 4-0 face à l’Avalanche du Colorado pour mériter leur première victoire à Denver depuis 2004.
Ondrej Palat a amassé un but et deux passes et Tyler Johnson a inscrit un filet tard dans la rencontre alors que le Lightning a conclu son voyage de quatre parties avec trois victoires.
Stamkos a donné un coussin confortable à Bishop avec deux buts en 3 min 37 sec durant la deuxième période. Bishop a accordé deux buts ou moins dans 20 de ses 25 derniers départs.
Il s’agissait de la première victoire de Bishop dans un match qui a lieu un mardi, cette saison. Il présente une fiche de 1-5-1 lors de cette journée de la semaine.
Symeon Varlamov a repoussé 34 rondelles dans la défaite.
Trois victoires en quatre soirs pour les Sharks
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Joe Pavelski a signé son 22e but de la saison et les Sharks de San Jose ont battu les Jets de Winnipeg 4 à 1.
Joe Thornton, Chris Tierney et Joel Ward, dans un filet désert, ont aussi marqué pour les Sharks.
Ceux-ci viennent de remporter trois matches de suite, en quatre soirs.
Alex Stalock a fait 21 arrêts dans une cause gagnante, ne cédant que devant Nikolaj Ehlers.
Connor Hellebuyck a repoussé 23 rondelles pour les Jets, qui ont perdu leurs trois derniers matches.
Les Sharks ont marqué les premiers et ce en désavantage numérique, en fin de premier tiers. Tierney a fait mouche sans aide avec Tommy Wingels au cachot, pour avoir accroché.
Les Requins ont une fiche de 17-2 quand ils inscrivent le premier but.
Berglund sonne la charge
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Patrik Berglund a marqué deux buts, dont celui de la victoire en deuxième période, et Ty Rattie a inscrit son premier filet dans la LNH pour mener les Blues de Saint Louis à une victoire de 5-2 face aux Devils du New Jersey.
Scottie Upshall et David Backes ont aussi touché la cible pour Saint Louis, qui a enfilé l’aiguille lors de ses deux premiers jeux de puissance. Les Blues l’ont emporté en temps régulier pour la première fois depuis le 22 décembre.
Les Blues ont remporté un cinquième match de suite face au New Jersey, qui a perdu quatre de ses cinq derniers matchs cette saison.
Brian Elliott a réalisé 22 arrêts pour remporter un deuxième match consécutif depuis qu’il a pris la relève de Jake Allen qui est blessé à un genou.
Le match a été marqué par un geste disgracieux de Bobby Farnham. Ce dernier s’est vengé en assénant une mise en échec à Dmitrij Jaskin alors qu’il n’avait pas la rondelle. Une mêlée s’en est suivie et Jordin Tootoo des Devils a jeté les gants devant Ryan Reaves. Reaves a passé le K.-O. à Tootoo à l’aide d’un seul coup de poing et Tootoo a semblé se blesser.
Une 2e victoire de suite pour les Sabres
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Brian Gionta a marqué un but et récolté une mention d'aide tandis que les Sabres de Buffalo inscrivaient trois buts au premier vingt en route vers une courte victoire de 3-2 contre le Wild du Minnesota.
Jamie McGinn et Rasmus Ristolainen ont aussi fait vibrer les cordages pour les Sabres, qui ont savouré une deuxième victoire d'affilée après avoir traversé une séquence de six défaites. Linus Ullmark a réalisé 28 arrêts pour obtenir la victoire.
Ryan Suter et Thomas Vanek ont riposté pour le Wild.
Pour la première fois en neuf rencontres, un gardien des Sabres a entrepris un deuxième match de suite devant leur filet.
Il pourrait cependant s'agir du dernier départ d'Ullmark avec les Sabres. Robin Lehner, qui est à l'écart du jeu depuis le match d'ouverture en raison d'une élongation à une cheville, devrait rejoindre ses coéquipiers plus tard cette semaine après avoir effectué un séjour avec les Americans de Rochester pour des fins de conditionnement. En conséquence, Ullmark devrait être assigné au club-école.

Une huitième victoire de suite pour les Blackhawks de Chicago

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Predators 2 - Blackhawks 3


CHICAGO - Les Blackhawks de Chicago ont marqué les trois premiers buts de la rencontre pour par la suite tenir bon pour l'emporter par la marque de 3-2 face aux Predators de Nashville, mardi, pour signer une huitième victoire de suite.
Andrew Shaw a touché la cible à deux reprises pour les Hawks et Brent Seabrook a inscrit le troisième but des champions en titre de la Coupe Stanley.
Mike Ribeiro et Filip Forsberg ont offert la réplique des Preds.
Avec ce gain, l'entraîneur-chef des Hawks, Joel Quenneville, a rejoint Al Arbour au deuxième rang de tous les temps avec 782 victoires. Seul Scotty Bowman en a plus (1,244). Plus tôt mardi, l'équipe a prolongé de trois saisons l'entente de Quenneville.
Le prochain match des Blackhawks sera à Montréal, jeudi, face au Canadien.
Corey Crawford a repoussé 41 tirs, tandis que Marian Hossa a célébré ses 37 ans avec deux passes.

Quand les joueurs mènent la danse...

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Michel Therrien
Michel Therrien (Source d'image:PC)

Images of Bertrand Raymond
Qui sont les vrais patrons au niveau du vestiaire du Canadien? La réponse est fort simple : ce sont les joueurs.
Les joueurs qui font fonctionner l'équipe au rythme de leur combativité ou de leur complaisance. Les joueurs qui sont inattaquables parce que l'entraîneur ne peut jamais s'offrir le loisir d'une sévère critique à leur endroit. Les joueurs qu'on n'ose même pas identifier dans les points de presse de peur de les offusquer. Les joueurs qui peuvent lever le pied et provoquer la chute de l'entraîneur dès qu'ils sont fatigués d'entendre son message.
C'est tellement vrai qu'ils sont les vrais boss de la chambre que Michel Therrien ne peut même pas être l'entraîneur qu'il aimerait être. Le tempérament de Therrien n'a pas beaucoup changé au fil des ans. Il s'est juste assagi après avoir payé le prix pour avoir parlé trop fort à l'occasion de son premier stage derrière le banc du Canadien.
Il est toujours le même homme bouillant qui aurait parfois le goût de donner un solide coup de poing sur la table ou de faire virevolter une poubelle d'un énergique coup de pied. Certains soirs, il se contient d'une façon qui ne trompe personne. On l'entend souffler dans le microphone en réfléchissant à la question qui lui est posée. Il pompe l'huile. Il ravale. Et quand il s'aventure à dire quelque chose, la banalité qui sort de sa bouche n'est jamais matière à manchette. Puis, il tourne les talons et quitte les lieux en donnant l'impression d'avoir survécu à une torture de trois minutes.
Les commentateurs résument souvent sa prestation en disant simplement : « Ce soir, le coach est fâché ». Mais Therrien ne sera jamais assez furieux pour identifier ceux qui viennent de se traîner les pieds. Pourquoi? Pour sauver son job. Pour éviter que les joueurs se rebiffent et lui en fassent payer le prix. Pour ne pas se retrouver au chômage sans avoir la plus petite assurance qu'une autre organisation voudra de lui.
Dans l'horrible mois de décembre traversé par l'équipe, je peux vous assurer d'une chose. Les entraîneurs ont travaillé pas mal plus fort que tous leurs joueurs réunis. Therrien et ses adjoints ont passé un temps fou à chercher des solutions, à préparer des plans de match, à concocter des trios susceptibles de relancer la machine. Ils étaient au boulot tôt le matin jusqu'à tard le soir, sur la route comme à la maison. Ils peuvent essayer de tout prévoir, mais le bon vouloir des joueurs n'est pas leur responsabilité.
Après une séance d'entraînement pas très éreintante, les joueurs ont la journée devant eux pour planifier leurs activités extérieures. Même si on ne peut pas dire cela de tous les joueurs, n'allez pas croire que le party d'Alex Galchenyuk et de Devante Smith-Pelly est un écart de conduite isolé. Il ne faudrait pas être naïfs quand même.
Chez Galchenyuk, on a appelé la police à la même heure que Zack Kassian est entré dans un arbre en octobre dernier. Au lever du jour. Plus tard, Christian Thomas, une recrue plutôt ordinaire, a commis l'imprudence de faire la fête avec Nathan Beaulieu. Et c'est sans compter toutes les sauteries de riches célibataires qui échappent à l'attention du public.
Personnellement, les soirées bien arrosées des athlètes ne me dérangent pas. Ils sont jeunes et jouissent d'une popularité dont ils profitent largement. Ce qui me dérange et ce qui dérange également ceux qui les dirigent, c'est leur manque de respect envers une organisation qui les traite royalement et envers le chandail prestigieux qu'ils portent. Même si Galchenyuk n'est accusé de rien, ce qui s'est passé chez lui a été suffisamment dérangeant pour qu'on appelle le 911 et pour qu'une enquête de police s'avère nécessaire. L'organisation a été encore une fois inutilement entachée.
Il est où le prétendu caractère de l'équipe?
On dira tout ce qu'on voudra, mais cette formation n'a pas autant de caractère qu'on tente de nous le faire croire. De tout temps, les grandes équipes ont été capables de remporter leur large part de victoires pendant l'absence d'un joueur étoile.
Depuis plusieurs semaines, la majorité des joueurs semblent incapables d'un effort soutenu pour compenser la perte de Carey Price. Pis encore, ils jouent moins bien que lorsque Price leur sauvait les fesses grâce à son immense talent. Ce qui se passe à Montréal est devenu une évidence aux yeux des autres organisations de la ligue. Sans Price, toutes les équipes croient toutes en leurs chances de battre le Canadien. C'est Price qui rendait le Canadien intimidant. Pas sûr qu'on voue le même respect à l'équipe actuelle.
Pas moins de sept attaquants ont marqué un ou deux buts chacun en plus de 20 matchs. Tomas Plekanec, qui est de toutes les supériorités numériques, en a obtenu un seul en 27 parties. David Desharnais, à qui on pouvait difficilement arracher la rondelle au début de la saison, s'est contenté de deux buts à ses 24 derniers matchs. Lars Eller, qui n'a aucune idée de ce qui se passe sur la glace, a marqué un but en 24 parties.
Tomas Fleischmann, qui est un élément secondaire, dans le sens où on ne comptait pas sur lui pour faire une très grande différence cette saison, produisait au même rythme que Desharnais, Plekanec et Eller quand on l'a retranché de la formation pour passer un message, la semaine derrière. Un bien petit message qui n'a fait peur à personne. Ce n'est pas le genre de décision qui peut déranger un vestiaire. Un pétard mouillé en pleine tempête.
Bien sûr que Marc Bergevin est passé à côté de son mandat en ne fournissant pas à son entraîneur l'aide anticipée, mais l'absence d'un seul joueur, aussi talentueux soit-il, ne peut pas tout expliquer, surtout quand son remplaçant, Mike Condon, représente la plus belle surprise de la saison. Quant à Michel Therrien, il n'est pas différent de l'entraîneur qu'il était en octobre et en novembre.
Therrien ne peut pas être tenu responsable de la chute du Canadien. Il est juste un entraîneur qui met tout en oeuvre pour atteindre la rive dans une chaloupe sans rames. Les rames, c'est l'affaire de Marc Bergevin. Jusqu'ici on l'a laissé ramer sans trop lui offrir de secours.

Une session de « sparring » avec des hauts et des bas pour Jean Pascal

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Publié par Jacques Thériault pour 98,5fm Sports le mardi 12 janvier 2016 à 22h10. Modifié à 23h58.
Une session de « sparring » avec des hauts et des bas pour Jean Pascal
Jeremy Filosa / 98,5 Sports
(98,5 Sports - Hollywood) - Grâce à la volonté de Jean Pascal, les médias du Québec ont pu assister à la session de « sparring », n'en déplaise à son entraineur Freddie Roach.
Ce dernier aurait préféré voir tous les médias quitter le gymnase Wild Card de Hollywood lorsque Pascal a fait face à ses partenaires Ismayl Sillakh et Tyrell Hendricks. Mais Pascal a eu le dernier mot dans ce dossier.

Jean Pascal a énormément de matériel à assimiler durant ce court laps de temps aux côtés de Freddie Roach et la tâche n’est pas facile. On demande à Pascal d’utiliser beaucoup plus sa main gauche, de ne pas esquiver en se penchant vers l’arrière, de ne pas tenter le coup de circuit si la frappe n’est pas préparée et de mieux protéger ses oreilles en enroulant mieux ses épaules.

Voici les points positifs et négatifs de la séance de « sparring » de Pascal, qui a eu lieu mardi en fin d’après-midi.

Positifs

Pascal utilise beaucoup plus son jab (gauche) qu’à l’habitude pour garder son adversaire éloigné, ce que Roach exige.

Lorsque Pascal tente de lancer un gros coup, il ne vient plus seul, il suit une combinaison. Il prépare donc mieux ses coups en puissance, autre chose que Roach lui demande.

Il semble clair que Pascal désire que Sergey Kovalev fasse passer sa part de tempêtes. Il conserve son énergie pour un round complet pour éventuellement lancer une mitraille de coups qui peuvent durer plusieurs dizaines de secondes.

« Oui on lui demande de faire cela, racontait l’entraineur de la défensive Chris Byrd. Mais ça brûle énormément d’énergie. Il doit choisir le bon moment pour le faire. »

Pascal laissait souvent ses adversaires contrôler le rythme du « sparring » avant de leur en faire de toutes les couleurs et ce pendant de nombreuses secondes, tel l’aurait fait un chien enragé. Il se ruait littéralement vers eux en lançant des dizaines de coups sans arrêt.

À quelques reprises, Pascal a lancé des coups des deux bras en même temps. On aurait dit deux crochets venant des deux côtés. Roach ne semblait pas contre l’idée.

Pascal réussit à garder les mains plus hautes plus souvent. Byrd lui parlait du côté du ring pour lui rappeler de bien se protéger et garder ses gardes élevées en tout temps.

Négatifs

Pascal ne semble pas avoir tout à fait maîtrisé la façon d’esquiver que tente de lui inculquer Roach. Malgré le fait qu’il garde les mains plus hautes, les coups de Hendricks et de Sillakh touchaient régulièrement la cible au niveau de la tête. Souvent c’est entre les deux gants que le coup trouvait sa brèche.

« C’est vrai racontait Byrd, les coups passent trop souvent entre ses gants. En plus, il porte de gros gants à l’entrainement, il en aura de plus petits lors du combat. On doit travailler là-dessus d’ici le 30 janvier. Mais ça s’en vient.»

Pour sa part, Sillakh, qui s’est déjà fait passer le K.O. par Kovalev à Québec, est du même avis que Byrd.

«Je le touchais souvent entre les deux gants. Il ne peut absolument pas se faire frapper ainsi par Kovalev car il ne s’en sortira pas.»

Mis à part les attaques planifiées où Pascal mitrailles ses adversaires (tel que mentionné plus haut) Pascal lance moins de coups que ses adversaires et surtout en encaisse plus aussi. Il a semblé dans les temps les plus morts du « sparring », le boxeur le plus passif des deux.

Pascal en a encore pour une dizaine de jours à s’entrainer ici en Californie. Il s’envolera ensuite vers Montréal pour la traditionnelle semaine d’activités menant au grand gala du 30 janvier prochain au Centre Bell.

Jeremy Filosa / 98,5 Sports