samedi 13 juin 2015

Une finale enlevante

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PHOTO AFP

Corey Crawford a été ­exceptionnel lors du dernier match, même si on commençait à douter de lui.

Les quatre premiers matchs de la finale sont joués et on peut affirmer sans gêne qu’on ­assiste à un très bon spectacle. Le jeu est spectaculaire d’un côté comme de l’autre sans que les joueurs vedettes se mettent en évidence, alors que les meilleurs attaquants se frottent aux meilleurs ­défenseurs. Et ces derniers ont le dessus jusqu’à présent.
Jonathan Toews et Patrick Kane, chez les Blackhawks, et Steven Stamkos, du Lightning, n’ont pas produit à leur rythme habituel, mais ce n’est pas à cause d’un manque d’efforts. Les matchs sont serrés et ce n’est pas parce que les entraîneurs préconisent la trappe. Ça bloque des tirs, les joueurs se placent exactement où les entraîneurs le veulent en zone défensive et les joueurs de chaque équipe sont bien dirigés.
De plus, les gardiens se mettent en évidence. Par exemple, Corey ­Crawford a été exceptionnel lors du dernier match, même si on commençait à douter de lui. Si les Hawks perdaient, on disait même que Scott Darling retournerait devant le filet pour la cinquième rencontre à Tampa. Mais les doutes se sont ­dissipés.
Chez le Lightning, on a pris une décision assez importante en envoyant Andrei Vasilevsky pour un premier départ en carrière en séries d’après-saison. Comme Tampa a l’avantage de la glace et que la nature de la blessure n’a pas été dévoilée publiquement, les dirigeants du Lightning se sont peut-être dit que ça donnerait cinq jours de repos à Bishop. Je ne serais pas surpris que Bishop soit devant le filet ce soir. J’ai hâte de voir.
L’offensive surpasse la défensive
Les gagnants servent d’exemple habituellement. Il y a eu des années où des équipes axées sur un style défensif remportaient la coupe Stanley, puis, l’année suivante, on tentait d’imiter ladite équipe gagnante. Maintenant, avec du jeu plus spectaculaire et rapide, je crois que ça va servir d’exemple. Le hockey va s’en sortir.
Il s’est souvent dit que l’Association de l’Ouest était supérieure à celle de l’Est, mais il va falloir ­réviser nos positions.
Le Lightning est un adversaire coriace. J’ai choisi Chicago en sept au début de la finale, mais actuellement, je ne parierais pas un sou là-dessus.
À qui, le Conn-Smythe?
Selon moi, même si Tyler Johnson a de bonnes statistiques, Victor ­Hedman est le candidat numéro un pour le trophée Conn-Smythe. Il joue d’une façon qui lui permet de contrôler la partie.
On le découvre de match en match. Je le compare à Nicklas Lidstrom en raison de son calme sur la patinoire et de la façon dont il fait ses passes. Il ne frappe pas nécessairement ses adversaires solidement, mais il les sort du jeu. C’est important.
Même constat pour Chicago, alors qu’il faudrait penser à Duncan Keith comme le joueur le plus utile des ­séries. Il connaît des séries ­extraordinaires.
– Propos recueillis par Roby St-Gelais

Pourquoi cet entêtement ?

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Pourquoi Gary Bettman tient-il à ­garder les Coyotes à Glendale ?
PHOTO D’ARCHIVES

Pourquoi Gary Bettman tient-il à ­garder les Coyotes à Glendale ?

Yvon Pedneault
Il y a deux ans, on posait la ­question. Pourquoi Glendale? Les chiffres étaient pourtant éloquents. L’équipe perdait alors 30 millions $ par saison. On ne se bousculait pas aux ­tourniquets.
Il était clair que le hockey passait loin derrière le football, le baseball, le basketball, bref nommez le sport que vous désirez et ça passe devant les Coyotes.
Au bout du compte, il ne restait pas grand-chose du dollar sportif pour l’équipe de hockey.
Quand on doit faire des promotions invitant les gens à se procurer quatre billets pour 99 $, stationnement et hot dog inclus, on ne parvient pas à faire ses frais. Mais les penseurs de la Ligue nationale – avec Gary Bettman en tête – croient qu’il y a un avenir intéressant pour le hockey dans le désert de l’Arizona.
C’est ce que le commissaire claironnait en 2013, après avoir gagné sa bataille contre la Ville de Glendale ­relativement au contrat de gestion de l’amphithéâtre.
Deux ans plus tard, les Coyotes ont généré, la saison dernière, 25 millions $ de revenus aux guichets alors que la moyenne de la Ligue nationale est de 48 millions $. On viendra dire qu’il y a un avenir pour le hockey dans cette ­région de l’Arizona.
Menace
Alors pourquoi cet entêtement de la part des propriétaires de la ligue et surtout de la part de Bettman à vouloir garder les Coyotes à Glendale? Ne ­réalise-t-on pas qu’à la suite des derniers événements, les citoyens de Glendale ne veulent plus des Coyotes, que les membres du conseil de ville prient tous les jours pour qu’ils ­quittent la ville.
Mais Bettman a la tête dure.
Pourquoi?
Qu’y a-t-il de si attrayant en ­Arizona? Est-il coincé par les réseaux de télévision, qui ne veulent surtout pas perdre le marché de cet État? Il s’agit d’une piètre excuse, d’autant plus que les matchs aux heures de grande écoute sont moins importants que les films de fin de soirée.
Alors pourquoi?
Mercredi soir, l’avocat des Coyotes a menacé les élus municipaux. Anthony LeBlanc a menacé les élus municipaux. «On va vous poursuivre...», a-t-il affirmé. Voilà une réaction qui ne fait qu’empoisonner les relations entre les deux groupes. Pensez-vous sincèrement que les citoyens de Glendale ont apprécié les charges à l’emporte-pièce des deux représentants des Coyotes?
On négocie par la menace.
Mais les élus sont demeurés de glace, ils ont voté à 5 contre 2 pour que la résiliation du contrat. «Nous sommes prêts à reprendre les négociations, mais en modifiant les règles du jeu.»
La LNH joue gros
Les membres du conseil de ville ont-ils un doute sur les intentions des propriétaires des Coyotes, qui possèdent une clause dans leur contrat leur permettant de quitter la ville si jamais ils encaissent des pertes de 50 millions $ sur une période de cinq ans?
Ont-ils devancé l’échéance dans le but de sauver quelques millions de dollars, sachant très bien qu’après deux saisons, les propriétaires des Coyotes ont déclaré des pertes de 34 millions $? Alors pourquoi continuer à verser
15 millions $ par année provenant de l’argent des contribuables?
Ira-t-on devant les tribunaux? La Ligue nationale joue gros dans ce dossier. Déjà qu’elle ne gagne pas des points en menaçant une ville de représailles juridiques, en menaçant les citoyens qui sont les propriétaires de l’amphithéâtre.
On rapportait même qu’Andrew Barroway, le propriétaire majoritaire de l’équipe, n’a jamais avisé le maire de la ville, Jerry Weiers, qu’il est maintenant le principal décideur.
«Quand on pense que les Coyotes reçoivent 15 millions $ de la Ville et que tu ne daignes pas rencontrer le maire, encore moins l’impliquer dans les relations avec la communauté, c’est pas très fort de la part des dirigeants des Coyotes», aurait déclaré sous le couvert de l’anonymat le propriétaire d’une équipe de la Ligue nationale.
Mystère
On voit déjà que la patience de certains gouverneurs a des limites. Si, comme le prétend Bettman, il y a un intérêt marqué de la part de certains marchés pour obtenir une concession de la LNH, qu’attend-on pour sortir les Coyotes de l’Arizona?
C’est ça qui est mystérieux...
Pourquoi cet entêtement?
Une question: si Bettman avait attendu le moment propice pour modifier les divisions, la Ligue nationale se retrouverait-elle dans une situation aussi ridicule? La réponse est non.
Il n’aurait pas à s’inquiéter du déséquilibre chez les équipes, 14 dans l’Association de l’Ouest, 16 dans ­l’Association de l’Est.
Peut-être a-t-il mis la charrue devant les bœufs dans le dossier de Seattle? Était-il si urgent de transférer les Blue Jackets de Columbus et les Red Wings dans l’Association de l’Est?
Autre question: Donald Fehr et l’Association des joueurs ne sont-ils pas des partenaires avec la Ligue nationale? Alors, pourquoi Fehr n’intervient-il pas dans le dossier en portant à l’attention des propriétaires que les deux groupes perdent des revenus importants en maintenant à Glendale une concession vivant sur du temps emprunté?
Intéressant n’est-ce pas?

«Les Coyotes devraient déménager»

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Marc-Édouard Vlasic, des Sharks, comprend mal l’entêtement de la LNH

NHL: Vancouver Canucks at Arizona Coyotes
USA TODAY SPORTS

Stéphane Cadorette
Si les joueurs actifs de la LNH se montrent habituellement frileux à l’idée de commenter le dossier épineux des Coyotes de l’Arizona, ce n’est pas le cas du défenseur des Sharks, Marc-Édouard Vlasic. «Ils devraient déménager», tranche-t-il.

L’ancien des Remparts vient de compléter sa neuvième saison à San Jose et se désole que ses rivaux de la division Pacifique évoluent toujours dans le désert malgré une panoplie de rebondissements dans leur saga à Glendale.
Bien au fait des derniers développements, le Montréalais d’origine qui passe maintenant ses étés à Québec n’en revient tout simplement pas que la LNH et les Coyotes s’accrochent aux cactus de l’Arizona.

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NHL: Vancouver Canucks at Arizona Coyotes«J’ai suivi ça. La ville voulait vraiment les garder, mais elle se rend compte qu’elle paie trop d’argent pour les avoir. Je ne comprends pas pourquoi ils (les élus) ont été d’accord avec ça au départ.
«Les Coyotes devraient déménager. C’est mon avis, ils devraient s’en aller, mais la LNH veut fortement la garder là-bas. On perd de l’argent à chaque année. Ils ont mis l’équipe là, mais ils se sont rendus compte qu’ils n’auraient pas dû et refusent de se l’avouer», a-t-il lancé sans détour avant de sauter sur la glace pour la première édition du ProHockey, en compagnie d’anciens de la LNH et d’amateurs, en soutien à la recherche sur le cancer de la prostate au CHU de Québec.
Pas une ville de hockey
Très posé et courtois, Vlasic n’est pas de nature à s’emporter. Toutefois, plus on évoque Glendale et ses Coyotes, plus l’agacement est perceptible.
«Un déménagement pour la ligue, pour les joueurs et pour les partisans, c’est ça qui devrait arriver. C’est une bien belle place où vivre, mais est-ce une ville de hockey? Non!
«Je crois par contre que ça ne bougera pas parce que la ligue a l’air tellement accrochée à l’idée de garder l’équipe à Phoenix. Je ne sais pas pourquoi. Sauf que ça peut arriver vite de même, comme à Atlanta...», a-t-il laissé tomber.
À Québec?
Spontanément, lorsqu’il est question des terres d’accueil potentielles pour les Coyotes si la situation devait dégénérer, Vlasic mentionne que «Las Vegas ou Seattle, ce serait mieux que Phoenix.»
Et Québec dans tout ça?
«C’est sûr, mais il faut que tu réajustes tes conférences. Un jour ça va arriver, c’est clair. Tu ne construis pas un tel aréna pour le fun. Quand tu mets 400 millions de dollars, il y a une raison.»

Un expert en droit sportif croit que la ville de Glendale a une cause perdante

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PHOTO CHRISTIAN PETERSEN/GETTY IMAGES/AFP

Stéphane Cadorette
En faisant tout en son pouvoir pour jeter aux ordures le contrat entre Glendale et les Coyotes de l’Arizona, les élus de la ville ont ouvert toute grande la porte à des acheteurs potentiels désireux de déménager la franchise, estime un expert en droit sportif.

Rodney K. Smith est directeur du programme de droit sportif et des affaires au Collège de droit Sandra O’Connor, à l’Université Arizona State. Selon lui, il ne fait aucun doute que le dernier mot dans le bras de fer juridique qui s’amorce entre les Coyotes et la ville de Glendale reviendra à l’équipe de hockey.
«Il y a quelques jours, si des acheteurs de Las Vegas ou Québec avaient entamé des discussions avec les Coyotes, ils auraient pu être tenus coupables de s’ingérer dans un contrat existant. Or, ce contrat vient d’être brisé.
«En posant ce geste, la ville invite pratiquement d’autres villes à aller parler aux Coyotes. Pour le moment, les Coyotes semblent résister à cette option, mais tôt ou tard c’est une avenue qu’ils pourraient décider d’étudier», s’est-il exprimé en discussion avec le Journal.
«Ils semblent honnêtes dans leur désir de rester, mais ils n’ont pas le choix de penser à un plan B même s’ils ne le diront pas.»
Démarches entamées
En fin de journée vendredi, les Coyotes ont confirmé via un communiqué qu’ils avaient officiellement déposé une demande d’injonction provisoire devant la cour, afin d’empêcher l’annulation de l’entente par la ville de Glendale, demande qui a été acceptée.
De son côté, la ville a aussi émis un communiqué pour faire savoir qu’une assemblée exécutive serait tenue à huis clos, mardi, afin de décider si une lettre pour officialiser la demande d’annulation d’entente sera expédiée aux Coyotes.
«Je suis confiant qu’en maintenant un dialogue ouvert, nous pourrons en arriver à une entente satisfaisante pour les deux parties», a commenté le maire Jerry Weiers.
Les deux parties se retrouveront devant la cour le 29 juin. Entre temps, l’équipe pourrait étudier la possibilité d’élire domicile au USAirways Center, au centre-ville de Phoenix, avec les Suns de la NBA. Le maire de Phoenix, Greg Stanton, a incité les Coyotes à agir en ce sens.

Beterbiev l'emporte par K.-O.

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Publié par La Presse Canadienne le vendredi 12 juin 2015 à 22h13. Modifié par Danielle Arsenault à 23h45.
Beterbiev l'emporte par K.-O.
Artur Beterbiev/La Presse Canadienne
CHICAGO - Artur Beterbiev s'est assuré de ne laisser aucun doute dans la tête des juges, alors qu'il poursuit sa route pour devenir l'aspirant obligatoire à Sergey Kovalev.
Le Québécois d'adoption a gagné son combat contre l’Américain Alexander Johnson par K.-O. au septième round vendredi soir à l’UIC Pavilion de Chicago, dans le cadre de la série Premier Boxing Champions d’Al Haymon.
Le choc entre poids mi-lourds, télédiffusé sur les ondes de Spike TV, était le premier de Beterbiev à l’extérieur du Québec. Il n'a paru nullement intimidé par la foule hostile, qui n'a d'ailleurs pas manifesté la moindre émotion lorsque sa victoire a été confirmée.

Beterbiev (9-0, 9 K.-O.) a rapidement envoyé Johnson (16-3, 7 K.-O.) au tapis à deux reprises au cinquième round, avant de lui offrir deux autres visites au septième. L'arbitre a alors décidé d'arrêter le combat, confirmant du même coup la neuvième victoire par K.-O. en autant de combats pour Beterbiev depuis le début de sa carrière professionnelle.

Déjà classé parmi les cinq premiers aspirants dans quatre grandes associations mondiales, Beterbiev s'est hissé au deuxième rang à la WBO en vertu de sa victoire contre Johnson, étant donné qu’une ceinture mineure était à l’enjeu.

Le prochain combat de Beterbiev, qui pourrait avoir lieu le 2 ou 3 octobre à Montréal, sera pour la position de premier aspirant. Entre-temps, Kovalev effectuera la défense obligatoire de sa ceinture le 25 juillet à Las Vegas.

Alvarez l'emporte aussi

En fin de soirée, le Colombien Eleider Alvarez (17-0, 10 K.-O.) a démontré qu'il ne souffrait plus après avoir subi une opération visant à retirer des fragments d’os de son coude en passant le K.-O. d'une solide droite à l’Ukrainien Anatoliy Dudchenko dès le deuxième round de son combat chez les lourd légers.

Les joueurs québécois en déclin? | Michael Sam quitte le camp des Alouettes

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Publié le 12 juin 2015 à 19:04 par

Simon Dessureault

Il y a huit Québécois ‘’pure laine’’qui sont classés dans le top 50 des espoirs de la LNH en vue du repêchage qui aura lieu dans deux semaines en Floride. Est-ce encourageant? J’ose l’espérer, mais …… j’ai l’impression que l’époque des joueurs québécois vedettes (Lemieux, Roy, Bourque, Turgeon, Lecavalier, etc.) commence à être révolue. Et celle des Bossy, Lafleur, Dionne, ou la célèbre French connection à Buffalo…. oublié ça … on n’est plus là du tout.
Le Québécois qui a connu la meilleure saison dans la LNH cette année est un certain Mike Ribeiro ….. et oui … celui-là même qui a joué sous les ordres de Michel Therrien à Montréal …. Il a terminé au 45e rang des meilleurs pointeurs avec 15 buts et 47 passes. Patrice Bergeron 63e position et Alex Tanguay 64e …tient un autre ancien du bleu blanc rouge… décidément .., sont les suivants.
L’an passé, il n’y avait aussi aucun made in Québec dans le top 20 des espoirs et surtout aucun qui a été sélectionné en première ronde du draft. Le premier french canadian choisi a été Nicolas Aubé Kubel au 48e tour par les Flyers de Philadelphie. Le jeune homme originaire de Sorel s’est aligné pour les Foreurs de Val d’or l’année dernière. Alexis Vanier a été le Québécois suivant au 102e rang. Ayoye .. ça commence à faire loin.
Donc parmi ces huit Québécois sur qui on pourrait peut-être …. je dis bien peut-être se croiser les doigts …. Il y a Thomas Chabot 16e, Jérémy Roy 21e, Anthony Beauvillier 33e, Gabriel Gagné 36e, Nicolas Meloche 40e, Guillaume Brisebois 41e, Jérémy Lauzon 42e et Nicolas Roy 45e.
Sur le lot, j’en vois trois qui ont des statistiques intéressantes pour leur jeune âge, mais même là, il semble que seul Beauvillier pourrait devenir une élite internationale. Ce dernier a quand même enregistré 94 points en 57 matchs la saison dernière avec les Cataractes de Shawinigan. Ce n’est pas de la tarte! J’ai bien hâte de voir à quel rang il sortira et quelle organisation prendra son développement en charge. Ça va être intéressant de voir le cheminement de ce jeune-là, qui a aussi été le deuxième choix de la LHJMQ en 2013.
Jérémy Roy a de son côté obtenu 43 points en 46 matchs avec le Phoenix de Sherbrooke, alors que Gagné en a récolté 59 en 67 matchs et 37 en autant de parties la saison précédente avec les Tigres de Victoriaville.
Le joueur de centre Nicolas Roy, le premier choix de la LHJMQ en 2013, a amassé seulement 50 points en 68 parties avec les Saguenéens de Chicoutimi cette année.
Mais  en bout de ligne, quand je pense à ça au Québec, 22 ans sans Coupe Stanley … et de moins en moins de Québécois parmi l’élite mondiale…., ce n’est plus ce que c’était, au risque de me répéter.
Je me réjouis toutefois que Pascal Dupuis des Penguins de Pittsburgh se rétablisse du caillot de sang qu’il a malheureusement eu dans ses poumons.
Thornton, la solution miracle?
Joe Thornton est actuellement le 25e meilleur passeur de l'histoire de la LNH. (photo nhlsnipers.com)
Joe Thornton est actuellement le 25e meilleur passeur de l’histoire de la LNH.
(photo nhlsnipers.com)
J’écoutais aujourd’hui la chronique de Martin Lemay sur RDS.ca. Il a proposé une solution très intéressante pour améliorer le CH au poste de centre. Cette solution s’appelle Joe Thornton. Je ne reprendrai pas les arguments de M. Lemay, mais je veux dire que Thornton reste l’un des meilleurs passeurs de la LNH même s’il est en fin de carrière.
Il est présentement le 25e joueur qui compte le plus d’assistances dans l’histoire de la LNH. Il a récolté 852 passes en 1207 matchs. L’ex défenseur glorifique des Sabres de Buffalo, Phil Housley, est au 19e rang de l’histoire avec 894, donc Thornton peut encore gagner des échelons dans ce palmarès. Le Canadien ne serait aussi peut-être donc pas obligé de donner la lune aux Sharks en retour de Thornton.
Voici la chronique de Martin Lemay à ce sujet. LIEN
300 millions par année!!
Floyd Mayweather peut bien porter des gants en or avec l'argent qu'il encaisse. (photo hoy.com.ni)
Floyd Mayweather peut bien porter des gants en or avec l’argent qu’il encaisse.
(photo hoy.com.ni)
Maintenant un peu de délire..!! Vous serez d’accord avec le mot délire si vous avez regardé la liste des athlètes les mieux payés de la planète, selon le classement publié par le magazine économique Forbes il y a deux jours.
Juste comme ça, 300 M$ en un an pour le célèbre boxeur Floyd Mayweaether, 160 pour son adversaire Manny Pacquiao et 50,6 M$ pour Tiger Wood au 9e rang.
Je sais que ces athlètes d’exception rapportent une tonne de fric à l’économie en général, mais quand j’entends que le salaire moyen au Québec est de 40 000 $ annuellement, bien … je trouve qu’il y a quelque chose de délirant dans la race humaine…. Je m’en permet, mais bon!
Certains médias faisaient référence au fait qu’il n’y a pas joueurs de hockey dans ce palmarès. La chose ne me surprend pas du tout personnellement, même s’il se brasse de la grosse argent dans la LNH. Ça n’a toutefois pas l’envergure de la NFL, de la NBA ou de la boxe et du golf comme en font foi les résultats du palmarès.
Voici le fameux classement : LIEN
L’Impact au Yankee Stadium
Les joueurs de l'Impact de Montréal évolueront au Yankee Stadium samedi. (photo giantbomb.com)
Les joueurs de l’Impact de Montréal évolueront au Yankee Stadium samedi. (photo giantbomb.com)
Comme vous le savez sûrement, les joueurs de l’Impact joueront dans le mythique stade de baseball samedi lorsqu’ils se mesureront au New York FC. La raison : l’équipe newyorkaise n’a toujours pas de stade pour jouer. Et bien!
Dans le fond, je veux simplement prendre quelques lignes pour dire que je trouve ça cocasse, mais fort intéressant. Je ne sais pas s’il est autant intimidant d’aller jouer au soccer à cet endroit que ça l’est au baseball, mais une victoire dans ce stade serait historique selon moi.
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Les Alouettes affrontent le Rouge et Noir à Québec

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Publié par Léandre Drolet pour 98,5fm Sports le samedi 13 juin 2015 à 09h40. Modifié à 10h13.
Les Alouettes affrontent le Rouge et Noir à Québec
Luc Brodeur-Jourdain refoulera le terrain de l`Université Laval.
(98,5 Sports) - Les Alouettes de Montréal disputeront leur premier match préparatoire contre le Rouge et Noir d'Ottawa sur le terrain du Stade TELUS de l'Université Laval à Québec, samedi soir.

Le match sera diffusé sur le réseau Cogeco avec Jean Saint-Onge à la description et Jacques Dussault à l'analyse et l'émission d'avant-match sera présentée dès 19h.
Le Rouge et Noir en sera à sa deuxième rencontre préparatoire. La formation dirigée par l’entraîneur-chef Rick Campbell a subi une défaite de 37-10 face aux Tiger-Cats de Hamilton plus tôt cette semaine.

L’entraîneur-chef des Alouettes, Tom Higgins, a l’intention de faire jouer plusieurs vétérans dans le match qui marquera le retour du football de la LCF à Québec pour la première fois depuis le 7 juin 2003.

«Tous ceux qui seront en santé seront en uniforme, a confirmé Higgins. Nous aimerions que tous nos joueurs participent au match. Nous savons ce que nos partants peuvent faire, alors nous n’aurons pas besoin de les voir aussi longtemps, mais nous voulons leur donner la chance de goûter à la vitesse d’un match.»


La rencontre revêtira un aspect particulier pour une quinzaine de joueurs des deux formations, dont Marc-Olivier Brouillette, Luc Brodeur-Jourdain, Patrick Lavoie, Antoine Pruneau et Samuel Giguère, pour ne nommer que ceux-ci, qui ont déjà foulé le terrain de l’Université Laval quand ils évoluaient au niveau universitaire.

Brodeur-Jourdain a joué avec le Rouge et Or entre 2004 et 2008.

(Communiqué des Alouettes)