vendredi 5 juin 2015

Poursuite de 200 M$ contre la LCF: «Fallait le prévoir», dit Boulay

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Publié par 98,5 fm pour 98,5fm Sports le vendredi 05 juin 2015 à 16h31. Modifié à 17h58.
Poursuite de 200 M$ contre la LCF: «Fallait le prévoir», dit Boulay
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(98,5 Sports) - Deux anciens joueurs poursuivent la Ligue canadienne de football, l'ex-commissaire Mark Cohon et un neurologue pour un montant de 200 millions de dollars.
La poursuite, qui a été déposée par Korey Banks et Eric Allen, stipule que la ligue aurait dû savoir que les commotions cérébrales répétées pouvaient causer des dommages irréversibles au cerveau.
Les deux anciens joueurs remettent également en cause le suivi médical offert par la LCF.
Le Québécois Étienne Boulay, qui a joué pour les Alouettes et les Argonauts au cours de sa carrière, n'est nullement surpris par cette poursuite.
«Ça ne m'étonne pas, a déclaré Boulay au micro de Mario Langlois sur les ondes du 98,5 Sports. Je n'ose pas trop m'avancer sur le dossier, je suis encore aux prises avec les symptômes post-commotion. Je le vis au jour le jour. Fallait le prévoir, ça s'est passé dans la NFL et dans les autres grandes ligues. On était dus.»
Au-delà de l'argent - rappelons que la NFL a réglé à l'amiable pour près de 800 millions de dollars il y a quelques mois - Boulay croit que les joueurs ont de bonnes raisons d'aller de l'avant avec un tel recours.
«Les joueurs veulent des dédommagements, mais en faisant ça, les joueurs essaient de faire prendre conscience. Ils veulent que des actions soient prises. Ce dossier-là est sérieux. Il y a des effets sur notre corps, sur notre santé mentale. Il y a des questions sur la gestion de la ligue. Je pense que ça va faire progresser notre sport.»
Boulay, aujourd'hui âgé de 32 ans, a subi plusieurs coups à la tête au cours de ses sept saisons dans la Ligue canadienne. Même s'il a encore des séquelles, il dit ne pas avoir songé à poursuivre ses anciens patrons.
«C'est encore trop tôt pour moi, a expliqué Boulay. Je n'ai jamais, mais jamais douté des intentions des médecins de ceux qui m'ont traité. Je sais qu'ils voulaient ce qui était le mieux pour moi. Je peux aussi dire que je ne me suis pas aidé non plus, et ce, pour 1001 raisons. J'ai hâte de lire davantage sur le dossier. Y a-t-il eu des cas de négligence? Peut-être, mais je ne pense pas que c'était volontaire. Si ce n'est pas le cas, c'est une autre paire de manches.»

Glen Sather songe à se retirer

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Publié par 98,5 fm pour 98,5fm Sports le vendredi 05 juin 2015 à 14h34.
Glen Sather songe à se retirer
Glen Sather (Buchanan-Hermit)
(98,5 Sports) - Le directeur général des Rangers de New York, Glen Sather, est indécis sur son avenir au sein de l'organisation.
Le New York Post rapporte vendredi que l'homme de 71 ans est présentement en réflexion et qu'il songerait à prendre sa retraite.
Qui plus est, plusieurs sources avancent que l'organisation a refusé aux Maple Leafs et aux Bruins d'interviewer son bras droit, Jeff Gorton, qui pourrait éventuellement lui succéder.
Sather occupe les fonctions de président et directeur général des Rangers depuis 2000. Il est en lice, en compagnie de Steve Yzerman (Tamap Bay) et Boib Murray (Anaheim) pour le titre de directeur général de l'année.
Gorton a quant à lui occupé brièvement occupé les fonctions de directeur général des Bruins avant l'arrivée de Peter Chiarelli.

Le plafond montera, ce qui aidera Marc Bergevin… Mais combien d’argent offrira-t-il à Galchenyuk? | Quel ailier s’amènera à Montréal?

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Publié le 5 juin 2015 à 09:38 par

DLC

Bon vendredi matin à tous et à toutes! Enfin… Le week-end est à nos portes!
Il n’annonce pas très chaud (entre 19 et 21 degrés Celcius), pour la fin de semaine… Mais c’est tout de même trèschaud pour s’enfermer dans la maison et regarder un match de la finale de la Coupe Stanley!
Pas grave… I’ll do this!
Est-ce que Steven Stamkos et le Lightning réussiront (devant leurs partisans) à créer l’égalité (1 à 1) dans la série (finale) les opposant aux Blackhawks? On le saura avant de trouver le sommeil, demain soir… #TVASports
Si les Hawks parviennent à l’emporter encore, ce soir, ils retourneront à la maison avec une avance de 2 à 0. Gros match important, vous dîtes?
En 1ere ronde, je me disais que c’était une bonne nouvelle pour le CH, à un certain point, de voir Antoine Vermette être laissé de côté. Si Marc Bergevin décide de bel et bien sacrifier Tomas Plekanec, un gars (québécois, de surcroît) comme Antoine Vermette pourrait être fort utile aux Montréalais…
Vermette aura 33 ans cet été (sensiblement le même âge que Plekanec). Il gagne 3,75 millions $ cette saison et touchera son plein autonomie en juillet. De mauvaises performances auraient peut-être pu permettre à Marc Bergevin de le signer pour pas trop cher…
Mais la force de caractère démontrée récemment par Vermette vient tout changer. Ses 2 buts gagnants prouvent qu’il peut encore offrir du gros hockey à une équipe de la LNH et qu’il a la bonne attitude, lorsqu’il traverse des moments difficiles! Ce sera pas mal plus difficile pour Bergevin…
Il y aura certes un DG un peu fou à quelque part pour lui offrir une augmentation de salaire considérable désormais!S’il y en a eu un pour dérouler le tapis rouge à Benoit Pouliot, suite à de bonnes séries…
Et… Ne rayez pas l’option retourner en Arizona, si Vermette gagne la Coupe!
On jase là… Mais si tu échanges Plekanec et son salaire de 5 millions $, aller chercher Vermette et le payer le même montant ne fait pas de sens! Vermette est aussi fiable défensivement et polyvalent que Plekanec… Mais il est moins bon offensivement!
Le CH doit chercher à s’améliorer à l’attaque, pas le contraire…
Or, l’option Vermette semble très peu probable, ce matin!
La bonne nouvelle, cependant, c’est que Marc Bergevin est BEAUCOUP moins coincé financièrement que certains ne pourraient le croire.
Gary Bettman a confié il y a 2 jours que le plafond salarial pourrait être de 71,5 millions $ l’an prochain. Ça signifierait une hausse de 2,5 millions $…
Or, le Canadien a 64,275 millions $ d’engagés, présentement. Reste donc 7,225 millions $ pour 3 attaquants et un défenseur (Beaulieu)…
Beaulieu pourrait signer un contrat à court terme (transition) d’une valeur se situant entre 1 et 2 millions $.
Bournival, Thomas, Andrighetto, Dumont, Hudon, Carr, Mitchell, Flynn ou Scherbak ne coûteraient/coûteront pas très cher…
Le problème, c’est Alex Galchenyuk!
Il sort d’un contrat qui lui rapportait 925 000 $ en salaire fixe… Mais une possibilité de 2,3 millions $ en bonis!
Il ne signera clairement pas pour des peanuts, cet été!
Son agent regardera le contrat de Lars Eller en se disant mon client produit près de 2 fois plus que lui et Eller touche un salaire moyen de 3,5 millions $.
Sauf qu’il y a 2 années d’autonomie d’achetées, dans le contrat d’Eller…
Les années RFA d’Eller (plus vieux toutefois) ont été signées à 2,5 millions $…
Peut-on offrir moins que 2,5 millions $ à Galchenyuk, si on lui offre un contrat à court terme (transition)?
Price avait signé un contrat de transition lui rapportant 2,75 millions $ par saison, après son ELC. Pacioretty? 1,625 million $.
Subban? 2,875 millions $ (après une petite grève).
C’est là que l’option signer Galchenyuk à long terme devient intéressante…
Mais à combien d’argent? Et surtout… Est-on certain que Galchenyuk a la bonne attitude? Plusieurs dirigeants se posent la question présentement, à Brossard…
Certains vétérans comme Brandon Prust devront modifier (un peu) leur rôle ou ils quitteront tout simplement la métropole…
C’est pourquoi je crois qu’on tentera de mettre Galchenyuk sous contrat pour 2 ans, à un salaire annuel d’environ 2,25 millions $. Y parviendra-t-on? Pas sûr…
Bonne nouvelle, cela dit : Avec le plafond qui risque de monter à 71,5 millions $, Marc Bergevin pourrait avoir lelousse nécessaire pour aller se dénicher un ailier capable de marquer des buts (en sacrifiant aussi un gars comme Emelin ou Plekanec). Rick Nash? Il a ralenti, il a subi quelques commotions cérébrales et il y a 2 ans, Glen Sather exigeait Max Pacioretty en retour!
Patrick Sharp? Une belle option… Le gars quittera Chicago, mais il y aura plusieurs DG prêts à l’accueillir dans leur ville!
En échangeant Bourque et Moen, Bergevin s’est offert un luxe que n’ont pas les Hawks et les Bruins…
Le casse-tête sur la table de Marc Bergevin est loin d’être facile! Pas vraiment le genre de casse-tête à 20 morceaux que mon fils complète en le temps de le dire!
Sauf qu’avec Jeff Petry de signé, ça fait un gros morceau de placé!
En rafale
– Claude Julien sera de retour à la barre des Bruins… Mais à la première série de défaites, le sort de Peter Laviolette (Flyers, octobre 2013) l’attend probablement! LIEN
Attendre 2 mois avant de le confirmer dans ses anciennes fonctions… Ce n’est pas la plus grande marque de respect, disons…
– Todd McLellan amènera ses propres adjoints, à Edmonton!
– Jack Eichel a confiance en ses moyens! #CockyOuConfiant?
– Connor McDavid est (déjà) un homme riche! LIEN #ContratCommandite
– C’était un secret de polichinelle : Le Canadien avait un grand intérêt envers Teuvo Teravainen, en 2012! LIEN#AnnéeGalchenyuk
– Lars Eller est encore important pour le Canadien… Selon moi AllHabsLIEN
– La question qui attire des lecteurs :
La réponse? Probablement pas!
– Le Canadien fera partie des formations qui rencontreront le défenseur Mike Reilly. Rielly est un jeune défenseur gaucher de 21 ans qui a été repêché en 4e ronde par les Blue Jackets, mais qui n’a jamais signé de contrat avec eux. Il mesure 6’1 et a obtenu de bonne statistiques l’an dernier, à l’Université du Minnesota. Ce serait une bonne signature, mais pas non plus le plus grand coup de l’histoire! Bergevin a environ 10 % de chances d’attirer Reilly.Mais 10 %, c’est mieux que 0…
– Les Bulldogs ont nommé Steve Staios président de la concession (qui œuvre désormais dans la OHL et qui n’est plus affiliée au Canadien, rappelons-le). LIEN
– Pourquoi Steven Stamkos joue-t-il moins que plusieurs autres attaquants du Lightning?
– Oups!
– Patrice Bernier sort la cassetteLIEN
– Rappel : C’est la fin de semaine du Grand Prix! Ça risque d’être très achalandé dans le centre-ville montréalais…
– Chapeau… Mais pas mon genre de filles, mettons!

Gary Bettman ouvre la porte à une expansion

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Gary Bettman

Images of Francois Gagnon
TAMPA BAY - Pour la première fois en près de 18 ans, soit depuis que la LNH a confirmé la naissance des Blue Jackets de Columbus et du Wild du Minnesota en juin 1997, Gary Bettman ouvre la porte à une éventuelle expansion.
Avec Las Vegas qui vient de franchir le cap des 11 500 dépôts sur d’éventuels billets de saison – l’objectif du promoteur Bill Foley était 10 000 –  Seattle où la LNH aimerait établir une équipe et Québec qui a maintenant un amphithéâtre tout neuf pour permettre aux Nordiques de revenir là où ils n’auraient jamais dû partir, Gary Bettman reconnaît que les circonstances sont favorables à un tel projet. Et comme les prochains propriétaires devront verser 500 millions $ en droit d’entrée, les proprios actuels pourraient être motivés d’étirer les cadres de leur circuit afin de partager ce magot.
« Il n’y a pas de plan d’expansion à l’étude présentement. Mais si les gouverneurs des 30 équipes m’indiquent qu’ils sont ouverts à une telle idée, nous mettrons en branle un processus d’expansion », a reconnu le commissaire de la LNH dans son traditionnel bilan annuel effectué lors du premier match de la finale de la coupe Stanley.
Les gouverneurs de la LNH se réuniront à Las Vegas le 24 juin prochain dans le cadre des festivités entourant la remise des trophées individuels. Les directeurs généraux seront également présents pour faire le point sur les améliorations proposées et les changements de règlements à adopter dès la saison prochaine.
Lancer un processus d’expansion ne veut pas dire qu’il y aura nécessairement une expansion. Si les éventuels proprios peinent à amasser le demi-milliard nécessaire, si les amphithéâtres ne sortent pas de terre, si les gouvernements et les amateurs boudent les projets, la LNH pourrait finalement court-circuiter tour projet d’expansion.
Mais avec son amphithéâtre qui prend forme au centre-ville de Las Vegas et ses 11 500 dépôts sur d’éventuels billets de saison, Bill Foley parle de son équipe comme si elle était déjà la 31e de la LNH. Il lorgne même une première saison dès l’automne 2017. Et comme il compte sur l’appui financier de la riche famille Maloof, l’ardeur de Foley ne devrait pas être refroidie par les 500 millions $ requis pour rejoindre la LNH et les millions de dollars qui seront ensuite nécessaires pour bâtir le club.
Mauvaises nouvelles pour Québec
Cette expansion, si elle se concrétise, ne représente pas nécessairement une bonne nouvelle pour Québec. Déjà que les éventuels propriétaires devront composer avec un plafond salarial qui oscillera autour des 71 millions $ l’an prochain et qui atteindra les 80 millions $ avant longtemps – surtout si les revenus de la LNH sont gonflés à coup de 500 millions $ par le biais d’une éventuelle expansion –, il est permis de se demander si les futurs propriétaires des Nordiques auront un demi-milliard à offrir comme prix d’entrée.
C’est beaucoup d’argent. Énormément d’argent. Et comme si ce n’était pas déjà gigantesque, il est loin d’être acquis que le retour sur l’investissement sera en mesure d’éponger un jour ces 500 millions $.
Pour Québec, et je le dis et écris depuis toujours, le succès associé au retour des Nordiques passe par une relocalisation. Que ce soit des Hurricanes de la Caroline – le jour où Peter Karmanos fils sera tanné de perdre de l’argent – des Panthers de la Floride ou, encore eux, des Coyotes de l'Arizona.
Mais voilà : Gary Bettman a offert une plus mauvaise nouvelle encore aux amateurs de Québec en niant catégoriquement que les Coyotes avaient des ennuis majeurs avec la ville de Glendale ou que les Panthers de la Floride étaient sur le bord de la faillite.
Bettman n’est pas obligé de dire la vérité. J’en conviens. Et je suis convaincu aussi qu’il n’hésite pas à mentir de temps en temps lorsqu’il est question de la santé financière d’une, deux, trois ou peut-être même cinq clubs de son circuit.
Mais s’il nage souvent entre les vérités et les mensonges, Bettman se mouille rarement comme il l’a fait hier en niant d’un bloc ces rumeurs. « Je ne sais pas qui sort ces nouvelles et d’où elles viennent, mais il n’y a rien de vrai dans tout ça. La santé financière de nos équipes passe par des propriétaires de qualité. On en a un bel exemple ici à Tampa avec ce que Jeff Vinik a été en mesure de bâtir autour du Lightning. Tampa est non seulement devenu une belle et bonne ville de hockey, c’est aussi devenu une destination de choix pour les joueurs », qu’il a dit. Et hier soir, Bettman semblait sérieux. J’irais jusqu’à dire qu’il disait vrai tant il semblait outré par la teneur des rumeurs.
Ça ne veut pas dire que la réalité des équipes soi-disant en difficultés ne peut pas changer rapidement. Changer comme dans se détériorer. Et c’est là que Québec, avec son Colisée tout neuf, pourrait servir de bouée de sauvetage. Comme Winnipeg l’a été avec les Thrashers.
Patience et longueur de temps…
Les Penguins sont à vendre
Le fait que les Penguins de Pittsburgh soient maintenant à vendre n’aide pas non plus la cause des villes qui attendent l’implication d’un milliardaire pour leur offrir du hockey de la LNH.
Parce que Mario Lemieux et ses associés, Ron Burkle en tête, veulent profiter de la situation des Penguins pour passer à la caisse, il est évident que d’éventuels propriétaires qui attendaient une expansion pour joindre la LNH seraient avantagés d’acheter les Penguins.
Avec leur nouvel amphithéâtre et Sidney Crosby qui est à quelques saisons – du moins je ne crois pas qu’il y soit déjà – d’amorcer sa descente vers la retraite et une équipe qui compte encore sur des éléments clefs devant le filet (Marc-André Fleury) à la ligne bleue (Kristopher Letang et Olli Maatta) et à l’attaque avec Crosby, les Penguins demeurent une organisation de choix pour tout acheteur potentiel pourvu qu’il accepte de garder l’équipe là où elle est, tout en haut d’une des collines qui surplombent le centre-ville de Pittsburgh.
Ce qui n’est pas le cas de Bill Foley qui veut voir le hockey de la LNH s’installer dans le désert du Nevada au beau milieu de la capitale mondiale du jeu.
Pourquoi Mario Lemieux voudrait-il vendre les Penguins?
Parce qu’après les avoir sauvés une première fois à titre de premier choix de la cuvée 1984, leur avoir donné deux coupes Stanley à titre de capitaine et pierre angulaire de l’équipe, après les avoir sauvés une deuxième fois en faisant l’acquisition du club, en revenant au jeu après une pause de trois saisons et en obtenant la construction d’un nouvel igloo aux frais des contribuables– comme l’ont fait les Pirates, les Steelers, les Phillies et les Eagles – Mario Lemieux n’a encore jamais remis la main sur les millions que les Penguins ne lui ont jamais versés en raison de leurs déboires financiers.
Oui! Lemieux a sans doute fait beaucoup d’argent comme proprio des Penguins. Oui! Il a certainement bien plus peur de la fin du monde que de la fin du mois. Mais les dettes qui lui sont toujours dues pourraient être remboursées dans le cadre d’une vente éventuelle. Une fois remboursé, Mario Lemieux pourrait demeurer ambassadeur des Penguins, effectuer des mises en jeu protocolaires, des rencontres avec les clients importants et profiter d’une retraite plus que dorée à Pittsburgh, à Mont-Tremblant où il possède un château ou n’importe où ailleurs dans le monde.
On verra ce qui arrivera avec ce projet de vente des Penguins. Mais si j’avais un huard ou deux à miser, je jurerais que les Penguins auront un nouveau propriétaire – ou actionnaire principal si vous préférez – avant que la LNH ne procède à quelque relocalisation ou expansion que ce soit.

Le Lightning n'est pas inquiet de tirer de l'arrière dans sa série face aux Blackhawks

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Steven Stamkos
Steven Stamkos (Source d'image: PC )

TAMPA, Fla. - De bousiller une avance pour perdre le match no 1 de la finale de la Coupe Stanley n'a rien fait qui vaille pour la bonne humeur du centre du Lightning de Tampa Bay Brian Boyle.
« Vous vous réveillez le matin et vous devez être un petit peu fâché d'avoir laissé filer cette occasion de mettre la main sur la première rencontre, a déclaré Boyle jeudi. Vous ne devriez pas avoir de regret en vous levant le matin. »
Le Lightning pourrait bien regretter de s'être trop replié contre les Blackhawks de Chicago, ce qui a mené aux deux buts marqués en troisième. Mais tirer de l'arrière n'est rien de nouveau pour le Lightning, qui l'a emporté deux fois en pareille situation au cours des présentes séries.
Parce qu'il a été en mesure de venir de l'arrière contre les Red Wings de Detroit et les Rangers de New York, le Lightning est confiant de pouvoir rebondir dans le deuxième match, samedi.
« Ce n'est pas difficile pour nous de connaître une bonne performance après un match difficile, a expliqué le capitaine Steven Stamkos. Ce groupe a été en mesure de rebondir tout au long de la saison, alors je ne m'attends pas à ce que ça change à ce stade-ci de la saison. »
Le Lightning devrait s'en vouloir de ne pas avoir été suffisamment agressif avec l'avance d'un but, mercredi. Aussi efficace l'équipe avait-elle été pour dicter son rythme en début de rencontre, elle a laissé les Blackhawks s'imposer.
L'entraîneur-chef, Jon Cooper, est malgré tout satisfait de l'effort déployé par les siens et de la façon dont ils limité les occasions de marquer de l'adversaire pour la majeure partie de la soirée.
« Nous sommes excités par toutes les choses positives que nous avons accomplies, a ajouté Stamkos. On pourra bâtir là-dessus. On a affaire aux deux meilleures équipes du circuit pour une raison. »
Le Lightning a été en mesure de contenir Jonathan Toews et Patrick Kane en leur opposant sa meilleure paire de défenseurs en Victor Hedman et Anton Stralman, jumelés aux attaquants Ryan Callahan et Cédric Paquette. Mais c'est le troisième trio des Hawks qui a pris les choses en main.
Les Blackhawks n'ont pas obtenu beaucoup de bonnes occasions de marquer, du moins jusqu'à temps que le Lightning décide de protéger cette mince avance.
« Je pense qu'on a fait du bon boulot pour les garder vers l'extérieur de la zone et en se regroupant en zone neutre, a indiqué le défenseur Matt Carle. Vous savez qu'il profiteront de trois ou quatre présences étourdissantes dans votre zone, mais on n'a pas paniqué quand c'est arrivé. »
Si le Lightning a déjà tiré de l'arrière en séries, il ne l'a jamais fait face à une équipe aussi talentueuse que les Blackhawks. C'est pourquoi Stamkos estime qu'il s'agira d'un test comme le Lightning n'en a jamais subi.
Mais jusqu'ici en séries, le Lightning a passé avec succès tous ces tests.
« Depuis le début des séries, on ne cesse d'acquérir de l'expérience, a souligné Cooper. Nous avons confiance en nos habiletés défensives, nous l'avons démontré. Ils ont eu le meilleur (mercredi). Nous devons nous assurer que ça ne se produise plus. »