jeudi 19 novembre 2015

Eugenie Bouchard incertaine de sa présence aux Internationaux d'Australie

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Eugenie Bouchard
Eugenie Bouchard (Source d'image: Getty )

Eugenie Bouchard tente toujours de se rétablir d’une commotion cérébrale subie lors des Internationaux des États-Unis au début du mois de septembre.
Bouchard a participé à une émission de télévision sur la chaîne torontoise CP24 et a dit ne pas savoir si elle sera en mesure de prendre part au premier tournoi majeur de la prochaine campagne, les Internationaux d’Australie, en janvier.
« Je ne sais pas encore. Je ne veux pas faire de commentaires ou de promesses à ce sujet, a-t-elle déclaré. J’essaie simplement de faire de mon mieux pour retrouver la santé, je tente de rester positive. »
Après avoir atteint la ronde des 16 à Flushing Meadows cet automne, Bouchard s’est blessée à la tête en tombant dans le vestiaire. Sa seule participation à un évènement depuis ce temps remonte à octobre, dans une défaite au premier tour en Chine.
« Je vais bien. J’ai hâte d’être en santé et de pouvoir jouer l’année prochaine, a ajouté la Québécoise, qui est désormais 48e au monde selon le classement de la WTA. C’est tout un processus. »
Le mois dernier, Bouchard et la firme Morelli ont intenté une poursuite contre l’Association américaine de tennis.

MAX DOMI ENCENSE UN ESPOIR DES CANADIENS

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LONDON, ON - NOVEMBER 6: Michael McCarron #24 of the London Knights celebrates his 2nd goal of the game against the Guelph Storm in an OHL game at Budweiser Gardens on November 6, 2014 in London, Ontario, Canada. (Photo by Claus Andersen/Getty Images)
Crédit photo : Claus Andersen/Getty Images – londonknights.com
Max Domi aurait pu avoir l’occasion d’affronter deux de ses anciens coéquipiers des Knights de London alors que les Coyotes et les Canadiens batailleront pour la victoire au Centre Bell. Le fils de Tie Domi a déjà porté le même uniforme que deux joueurs qui sont présentement dans l’organisation du CH : Jarred Tinordi et Michael McCarron.
Toutefois, il ne pourra pas les confronter durant la rencontre ce soir. Domi sera en action pour les Coyotes, mais du côté des Canadiens, aucun des deux joueurs mentionnés ci-haut ne jouera. D’une part, Tinordi est avec le Tricolore depuis le début de la saison, mais il n’a disputé aucune partie jusqu’à maintenant et ce ne sera pas ce soir qu’il enfilera le maillot bleu-blanc-rouge. D’une autre part, McCarron, lui, joue avec les IceCaps de St. John’s, le club-école des Canadiens. L’athlète de 20 ans n’a pas encore fait le saut dans la LNH.
Bref, Domi n’aura pas la chance se voir ses deux ex-coéquipiers, mais cela ne l’a pas empêché de lancer des fleurs à l’endroit de McCarron.
Le meilleur buteur des Coyotes depuis le début du calendrier régulier a souligné de bons éléments à propos de McCarron.
Il a d’abord tenu à indiquer que le CH a de la chance d’avoir un joueur comme lui dans son organisation. Domi a d’ailleurs précisé que McCarron est un joueur polyvalent que tout entraîneur peut utiliser sur les unités spéciales.
Au moment de leur passage à London, Domi et McCarron étaient de bons amis. Lorsqu’ils étaient en route pour l’aréna, McCarron était toujours le copilote de Domi.
« Il est un gars incroyable et il travaille excessivement fort. Tout ce qu’il a en tête, c’est de gagner. »

Une forte domination du Canadien sur les Coyotes de l’Arizona

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Dale Weise et Tomas Fleischmann
Dale Weise et Tomas Fleischmann (Source d'image: Getty )

Roger Leblond
Comme c’était le cas face aux anciens Jets (1) de Winnipeg, on peut dire que le Canadien a vraiment le numéro des Coyotes de l’Arizona, depuis qu’ils ont été transférés de Winnipeg, à la fin de la saison 1995-1996.
En effet, le Tricolore présente un superbe rendement à vie de 45-14-9 (0) en 68 matchs contre cette formation, une moyenne de réussite de ,728, ce qui est tout simplement phénoménal, car c’est presqu’une moyenne de trois victoires par tranche de quatre matchs.
La fiche du Canadien face aux anciens Jets (1) de Winnipeg a été de 31-10-5 (0) (moyenne de ,728) en 46 matchs, comparativement à 14-4-4 (0) (moyenne de ,727) en 22 matchs depuis le transfert de l’équipe à Phoenix.
Le Canadien a une fiche de 10-2-0 (0) lors des 12 dernières rencontres face à cette équipe et de 12-2-3 (0) lors de ses 17 dernières.
L’an dernier, le CH a subi une défaite de 3-2, au Centre Bell, le 1er février 2015, avant de triompher 2-0 au Gila River Arena, le 7 mars 2015.
Avant de subir une défaite de 5-2 à Phoenix le 6 mars 2014, le dernier revers du Tricolore remontait aussi loin qu'au 9 décembre 1998, 4 à 2 sur la patinoire de ces derniers, où son rendement est de 6-1-1 (0) lors de ses huit dernières rencontres.
Lors de la séquence de 14 matchs sans défaite, le CH avait surclassé les Coyotes 48-27 (plus 21) au chapitre des buts marqués, concédant trois buts ou moins 13 fois sur les 14 rencontres.
Le Tricolore a vraiment dominé cette équipe à Montréal
Le Tricolore a toujours eu du succès contre cette formation à domicile, car il présente un rendement à vie de 28-4-2 (0) en 34 matchs locaux, une moyenne de réussite de ,853. Avant son échec du 1er février dernier, son précédent revers à Montréal remontait au 28 octobre 1996, 5-4 en prolongation, et les deux seules autres défaites ont été celles du 23 février 1984 (5-3) et du 14 mars 1985 (4-1), les deux dans l’ancien Forum.
On sait que lors de leur gain de 3-2, du 1er février dernier, au Centre Bell, l’entraîneur-chef Dave Tippett avait fait appel au québécois Louis Domingue pour défendre le filet de son équipe et ce dernier avait bien répondu à l’appel, arrêtant 18 des 20 tirs dirigés vers lui et il avait eu le meilleur sur Dustin Tokarski, qui avait cédé trois fois sur 32 tirs et soulignons que le Canadien avait laissé filer une avance de 2-0, concédant un but en deuxième période et deux autres lors du troisième vingt.
LES 17 DERNIERS MATCHS DU CANADIEN CONTRE LES COYOTES
14 décembre 1998-Phoenix 2 à Montréal 2 (pro.)
22 février 2000-Phoenix 0 à Montréal 1
13 janvier 2001-Phoenix 2 à Montréal 5
10 mars 2001-Montréal 3 à Phoenix 3 (pro.)
8 décembre 2001-Phoenix 3 à Montréal 3 (pro.)
7 décembre 2002-Montréal 4 à Phoenix 2
5 mars 2004-Montréal 4 à Phoenix 3
13 décembre 2005-Phoenix 2 à Montréal 5
6 mars 2008-Montréal 4 à Phoenix 2
18 octobre 2008-Phoenix 1 à Montréal 4
12 novembre 2009-Montréal 4 à Phoenix 2
25 octobre 2010-Phoenix 2 à Montréal 3 (pro.)
10 novembre 2011-Montréal 3 à Phoenix 2 (pro.)
17 décembre 2013-Phoenix 1 à Montréal 3
6 mars 2014-Montréal 2 à Phoenix 5
1 février 2015-Arizona 3 à Montréal 2
7 mars 2015-Montréal 2 en Arizona 0
19 novembre 2015-Arizona à Montréal (19 h)
15 février 2016-Montréal en Arizona (22 h)
Patrick Marleau à un cheveu du plateau des 1000 points dans la LNH
Plus que jamais, l’attaquant Patrick Marleau, des Sharks de San Jose, s’approche d’un plateau important de sa carrière dans la Ligue nationale de hockey.
En effet, le premier choix de l’équipe, le 2e au total du repêchage de 1997, qui présente un dossier de 6-5-11 avec un différentiel de moins quatre en 18 matchs cette saison, affiche un rendement de 462-537-999 avec un différentiel de plus six en 1347 matchs en carrière.
Il n’a besoin que d’un seul point pour devenir le 83e joueur de l’histoire de la LNH à atteindre le plateau des 1000 points en saison régulière, lui qui est le meneur de l’histoire de cette équipe au chapitre des parties disputées, des buts et des points.
Marleau, qui a eu 36 ans le 15 septembre dernier et dont le rendement est de 60-43-103 en 147 matchs éliminatoires, n’a jamais gagné la Coupe Stanley et n’a jamais participé à la grande finale du circuit.
Sera-t-il le seul joueur à atteindre le plateau des 1000 points en 2015-2016 ?
Soulignons qu’il sera possiblement le seul joueur à atteindre le plateau des 1000  points cette saison, car les autres qui suivent sur cette liste sont Vincent Lecavalier, des Flyers de Philadelphie, qui a 932 points (411-521-932) en 1170 matchs, Henrik Sedin, des Canucks de Vancouver, dont la fiche est de 930 points (216-714-930) en 1112 rencontres, Alex Ovechkin, des Capitals de Washingon, qui a un rendement de 483-428-911 en 776 parties, Brad Richards, des Red Wings de Detroit, qui est 288-618-906 en 1064 matchs et Shane Doan, des Coyotes de l’Arizona, qui a un rendement à vie de 372-534-906 en 1412 parties.
Marleau tentera d’atteindre ce plateau en se mesurant aux Flyers de Philadelphie, au Wells Fargo Center, une équipe contre laquelle il présente un dossier à vie de 7-11-18 avec un différentiel de plus sept en 24 rencontres régulières, dont un excellent rendement de 6-8-14 avec un différentiel de plus quatre dans ses 12 matchs disputés sur la patinoire des Flyers.
Les Sharks, qui ont gagné les trois premiers matchs de leur voyage de six rencontres en 10 jours, ont une fiche de 4-0-0 lors de leurs quatre derniers matchs disputés à l’étranger.
Quelle domination outrageuse du Wild du Minnesota face aux Bruins de Boston !
Quand on parle de statistiques qui frappent un peu plus que d’autres, la fiche du Wild face aux Bruins se retrouve dans cette catégorie, car depuis son entrée dans la LNH en 2000-2001, on peut dire que le Wild s’avère la bête noire des Bruins.
En effet, la formation dirigée par Mike Yeo affiche un dossier superbe de 12-2-0 (2) en 16 matchs (moyenne de ,813) face à celle de Claude Julien, une fiche quasi-parfaite de 7-1-0 (0) en huit matchs au TD Garden et de 5-1-0 (2) en huit matchs à domicile.
Encore plus, le Wild a surclassé les Bruins 46-29 (plus 17) au chapitre des buts marqués, lors des 16 rencontres, dont seulement 13 buts concédés en huit matchs sur la patinoire de ces derniers, un rendement vraiment superbe, car il a concédé un but ou moins en cinq occasions.
Lors des 16 matchs, le Wild a blanchi les Bruins en trois occasions en plus de les limiter à un but cinq fois, à deux buts une fois et à trois buts en six occasions, alors que la seule fois où il a concédé plus de trois buts fut lors du revers de 4-1, au TD Garden le 17 mars 2014.
Les quatre seuls matchs que le Wild n’a pas remporté ont été ceux du 25 novembre 2009, alors qu’il s’était incliné 2-1, en tirs de barrage, à domicile, du 15 décembre 2005, s’inclinant 3-2, du 17 décembre 2014, 3-2, en prolongation, toujours à domicile et aussi celui du 17 mars 2014, 4-1, au TD Garden, son seul revers à cet endroit.
Dans le duel d’aujourd’hui, le Wild, qui a une fiche de 3-1-1 lors de ses cinq derniers matchs, a une dossier global de 3-3-3 lors de ses neuf matchs disputés à l’étranger cette saison, mais de 1-3-3 lors des sept derniers, car il avait gagné ses deux premières parties du calendrier sur les patinoires adverses.
Dans le cas des Bruins, dont le rendement est de 2-5-0 lors des sept dernières rencontres, ils en arrachent plus que jamais à domicile, eux dont le dossier est de 2-6-1 en sept matchs devant leurs partisans, ayant été surclassés 35-29 (plus six) au chapitre des buts marqués.
Les deux équipes devront éviter le banc des pénalités, car elles occupent les deux dernières positions de la LNH sur l’unité spéciale en infériorité numérique, le Wild ayant un rendement de 74,42% (11 buts concédés en 43 désavantages), au 29e rang, alors que les Bruins sont encore pires, au 30e rang, ayant une piètre efficacité de 70,77%, ayant concédé 17 buts en 65 désavantages numériques.
LES 16 MATCHS DU WILD DU MINNESOTA CONTRE LES BRUINS DE BOSTON
18 novembre 2000-Minnesota 6 à Boston 1
10 octobre 2001-Boston 1 au Minnesota 2
8 novembre 2001-Minnesota 5 à Boston 3
11 octobre 2002-Boston 1 au Minnesota 5
18 mars 2004-Minnesota 2 à Boston 0
15 décembre 2005-Boston 3 au Minnesota 2
8 mars 2007-Minnesota 2 à Boston 1
11 octobre 2008-Boston 3 au Minnesota 4
6 janvier 2009-Minnesota 1 à Boston 0
25 novembre 2009-Boston 2 au Minnesota 1 (fus.)
6 janvier 2011-Minnesota 3 à Boston 1
9 février 2012-Boston 0 au Minnesota 2
17 mars 2014-Minnesota 1 à Boston 4
8 avril 2014-Boston 3 au Minnesota 4 (fus.)
28 octobre 2014-Minnesota 4 à Boston 3
17 décembre 2014-Boston 3 au Minnesota 2 (pro.)
19 novembre 2015-Minnesota à Boston (19h)
Les Sabres de Buffalo  tenteront de poursuivre leur série victorieuse à l’étranger
Même s’ils ont perdu leurs derniers matchs à domicile, les Sabres de Buffalo vont tenter de poursuivre leur élan victorieux à l’étranger.
En effet, la troupe de Dan Bylsma, qui a perdu ses deux derniers matchs au First Niagara Center, 2-1, contre les Sharks de San Jose, samedi dernier et 3-1, contre les Stars de Dallas, mardi soir, va se mesurer ce soir, aux Blues de St Louis, au Scottrade Center et aux Stars de Dallas, au American Airlines Center, samedi soir.
Les Sabres ont une fiche globale de 8-9-1 en 18 matchs, 4-6-1 en 11 matchs à domicile et 4-3-0 en sept matchs à l’étranger, dont un rendement de 3-0-0 lors de leurs trois dernières parties jouées sur les patinoires adverses, un très longue séquence pour eux depuis un bon bout de temps.
Soulignons que les trois revers à l’étranger l’ont été par un mince écart d’un but dans les trois occasions.
Il faut remonter à la saison 2011-2012 pour y retrouver les Sabres avec une série de quatre gains de suite à l’étranger, alors qu’ils avaient amorcé leur calendrier avec quatre victoires lors de leurs quatre premières parties.
LES TROIS DERNIERS GAINS DES SABRES À L’ÉTRANGER
29 octobre 2015-Buffalo 3 à Pittsburgh 4 (dernier revers)
1 novembre 2015-Buffalo 2 à Islanders de NY 1
10 novembre 2015-Buffalo 4 à Tampa Bay 1
12 novembre 2015-Buffalo 3 en Floride 2
19 novembre 2015-Buffalo à St Louis (20 h)
21 novembre 2015-Buffalo à Dallas (20 h)

Marc Bergevin : Pas de marge d'erreur

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Alexander Semin
Alexander Semin (Source d'image: RDS )

Images of Bertrand Raymond
Marc Bergevin pratique un métier difficile. Le directeur général d'une organisation professionnelle est toujours à la merci de ses propres décisions. Il reçoit des fleurs quand tout va bien, mais le pot arrive rapidement quand ça ne tourne pas rond.
C'est un métier passionnant que le sien.  Il n'y a pas de journées sans histoire. À titre d'architecte de l'équipe, il ébauche constamment des plans. Il étudie les propositions qu'on lui fait et il passe aux actes quand cela s'avère nécessaire.
Bergevin a reçu beaucoup plus d'éloges que de critiques depuis qu'il a succédé à Pierre Gauthier. Avec raison, d'ailleurs, puisque le Canadien n'a jamais cessé de progresser sous son règne.
Il entre maintenant dans la phase la plus critique de son mandat. C'était facile d'aller de l'avant quand il a hérité du Canadien. L'équipe était bonne dernière dans l'Est et 27e au classement général. Le départ du duo Bergevin-Therrien a été fulgurant et les deux dernières saisons ont contribué à générer beaucoup d'espoir. Une première campagne de 100 points en six ans, il y a deux ans, a été suivie d'une récolte de 110 points et une seconde place au classement général l'an dernier.
La suite des choses sera plus difficile car le temps des expériences, qui servent souvent à colmater des brèches, tire à sa fin. Toute décision visant à donner à l'équipe le dernier coup de pouce qui l'enverra jusqu'à la finale de la coupe Stanley doit atteindre cet objectif dans un avenir très prochain. Pour y arriver, la marge d'erreur de Bergevin est quasi inexistante. Une erreur et c'est le recul.
Après 22 ans sans défilé dans les rue de Montréal, une fenêtre pouvant mener à un championnat existe enfin. Elle ne sera pas ouverte très longtemps. Deux ou trois ans, tout au plus. Avant trois ans, il faudra renégocier l'entente de Max Pacioretty. Dans un an, il faudra se pencher sur l'énorme contrat qui attend Carey Price car on ne voudra certainement pas le laisser jouer l'avant-dernière année de son entente. Il reste une autre année au contrat d'Alex Galchenyuk. Compte tenu aussi du lourd contrat de P.K. Subban, on ne pourra pas tous les garder, surtout si le plafond salarial régresse au lieu d'augmenter. En d'autres termes, la situation est plus urgente qu'elle en a l'air.
Jusqu'ici, on a aimé ce que Bergevin a accompli : un Weise par-ci, un Petry par-là, un Mitchell par-ci, un Fleischmann par-là. Malheureusement, comme on ne peut pas toujours frapper dans le mille, pour un Weise ou un Mitchell, il y a un Semin. Son embauche, on le sait maintenant, a été une erreur avec laquelle il faudra vivre.
Juste un an, mais une année de trop
Si Bergevin a pris une chance avec le controversé Russe, il faut reconnaître que son gros bon sens a prévalu quand il a limité son offre à une seule saison. Dans un passé pas si lointain, dans un autre moment d'improvisation de certains prédécesseurs, Semin aurait peut-être reçu une proposition de trois ans. Disons qu'il y a eu des situations plus gênantes que la sienne depuis 20 ans.
Quand on a appris son acquisition, on s'expliquait mal que le Canadien puisse avoir de l'intérêt pour un joueur paresseux de réputation qui donne aussi l'impression d'être un opportuniste-né. Comment Jim Rutherford et les Hurricanes de la Caroline ont-ils pu lui accorder 35 millions pour cinq ans à son retour d'une saison de 20 matchs dans la KHL? Sa dernière production dans la Ligue nationale avec les Capitals de Washington avait été de 21 buts. Sept millions $ par saison alors qu'il semblait déjà sur une pente descendante.
Le président des Hurricanes, Don Waddell, a peut-être fourni l'explication qui nous éclaire davantage aujourd'hui sur l'inertie actuelle de Semin. « Il était un joueur de premier plan quand la ligue n'était pas aussi rapide qu'aujourd'hui, a-t-il dit après l'avoir vu joindre les rangs du Canadien. La compétition est maintenant telle qu'on ne peut pas être compétitif si on ne patine pas. » Et Waddell a pris le soin d'ajouter que Semin n'était pas le plus travaillant du groupe. On l'a d'ailleurs constaté cette semaine alors qu'il a passé outre à un entraînement optionnel après avoir disputé une seule des huit parties précédentes.
Bergevin a couru un risque d'un million de dollars, ce qui est du petit change dans le sport professionnel d'aujourd'hui. Malheureusement, Semin ne sera rien d'autre qu'un passager à Montréal.
Chose sûre, il n'est pas le type de joueur que Michel Therrien affectionne. Il l'a mis en pénitence durant sept matchs pour lui permettre de réfléchir sur ce qu'on attend de lui. Cela n'a rien donné parce que Semin, on le réalise, ne peut pas donner ce qu'il n'a plus. Et le patron du Canadien n'a surtout besoin de personne pour lui ouvrir les yeux là-dessus.
Par contre, c'est bien beau d'affirmer qu'il ne représentait pas un gros risque à un million de dollars pour une saison, mais sa présence dans la formation fait encore plus mal à l'équipe que l'argent qu'on lui verse car elle prive le Canadien d'un ailier droit de qualité dans un moment où on cherche des solutions pour faire de Galchenyuk un centre à plein temps. Quand on réalise qu'un joueur d'utilité comme Weise est 10 fois supérieur à Semin, ça donne à réfléchir. Il a été embauché pour un an, mais de toute évidence, c'est une année de trop.
En Caroline, on lui a donné 14 millions $ pour qu'il foute le camp. Fallait-il qu'il soit mauvais pour qu'on en vienne là.
Un peu de ménage
Un aspect de la situation reste réconfortant pour les fans de l'équipe. On ne doute pas que Bergevin, dont la tête fourmille d'idées pour renforcer sa troupe, mijote un plan en ce moment. Il porterait un grand coup au cours des prochaines semaines que personne n'en serait étonné.
Habituellement, les bons directeurs généraux trouvent des solutions pour délester leurs organisations des joueurs inefficaces qui finissent par devenir des sources de distraction.
Les choses n'ont pas fonctionné avec Daniel Brière et il est parti. Même chose avec Pierre-Alexandre Parenteau. Après avoir férocement courtisé Jiri Sekac, Bergevin n'a pas aimé ce qu'il a vu de lui et il l'a vite échangé. Et c'est sans compter les Rene Bourque, Eric Cole, Travis Moen, Scott Gomez et quelques autres qui n'étaient pas ses acquisitions, mais qui empêchaient le Canadien de poursuivre sa progression.
Au sein du Canadien en ce moment, il existe une seule note discordante. Un seul élément dont on ne peut rien attendre. Semin va connaître éventuellement le même sort que les autres.

Guy Boucher pourra à nouveau être considéré par les équipes de la LNH

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Guy Boucher
Guy Boucher (Source d'image: Getty )

Images of Francois Gagnon
Guy Boucher a fait ce qu’il devait faire lorsque Steve Yzerman l’a congédié après 31 matchs en 2012-2013 pour confier le Lightning de Tampa Bay à Jon Cooper : il est demeuré dans le hockey.
Contrairement à Alain Vigneault qui est retourné dans les rangs juniors avant de diriger le club-école des Canucks à Winnipeg et d’être promu à Vancouver, ou Michel Therrien qui est allé dans la Ligue américaine avant de revenir dans la LNH à Pittsburgh, Guy Boucher a choisi l’Europe. Ou c’est l’Europe qui l’a choisi.
Mais peu importe le scénario, Boucher devait demeurer dans le hockey afin de maintenir la cote de jeune entraîneur prometteur qui était associée à son nom. Il l’a fait en s’exilant à Berne où jusqu’à mercredi, il dirigeait le club local.
Il est toujours préférable de quitter volontairement son emploi que de se faire montrer la porte. C’est évident. Mais dans la situation de Boucher, ce congédiement ne devrait pas compromettre ses chances de se trouver de l’emploi en Amérique du Nord.
Au contraire!
Lié au Club de hockey de Berne par un contrat rigide qui l’empêchait d’écouter – lire négocier – avec une organisation de la LNH pendant la saison, Guy Boucher minait ses chances de revenir dans la grande ligue.
Vrai qu’il était libre de parler avec qui il voulait au cours de la saison morte. Ce qu’il a fait de façon active l’été dernier alors qu’il y avait des postes d’entraîneur-chef disponibles aux quatre coins du circuit. Mais au-delà sa réputation enviable, Boucher pouvait difficilement faire compétition aux Mike Babcock, Todd McLellan, Dan Bylsma et Peter DeBoer qui étaient eux aussi disponibles.
De fait, Boucher a perdu ses chances de diriger les Maple Leafs de Toronto lorsque Babcock a fait faux bond aux Sabres de Buffalo pour finalement prendre Toronto d’assaut.
Comme Babcock, McLellan (Edmonton), Bylsma (Buffalo) et Deboer (San Jose) ont vite trouvé de l’emploi. Au New Jersey, Ray Shero qui venait d’hériter des Devils après s’être fait congédier à Pittsburgh a fait confiance à l’ancien coach de son club-école à Scranton Wilkes-Barre. Une décision normale considérant la situation.
Ken Holland avait hâte de faire monter en grade Jeff Blashill qui s’est retrouvé à Detroit.
Il ne restait que les Flyers qui ont décidé de donner une première chance à Dave Hakstol que Ron Hextall a sorti des rangs universitaires américains.
Avec tous les changements effectués sous son nez l’été dernier, Boucher était condamné à attendre le déroulement de la saison pour obtenir une autre chance. Une chance dont il ne pouvait toutefois pas profiter en raison de son contrat en vigueur.
Les Blue Jackets auraient peut-être préféré Boucher à John Tortorella si le Québécois exilé en Suisse – il y a pire place sur la planète hockey où s’exiler – avait pu boucler ses valises et celles de sa famille en moins de temps qu’il n’en fait pour dire : comment se fait-il qu’on donne une autre chance à Tortorella?
Maintenant qu’il est «libéré» du contrat qui le liait au Club de hockey de Berne, Boucher peut maintenant être considéré par le ou les directeurs généraux qui se posent des questions sur l’avenir de leur coach respectif. Ou qui s’en poseront bientôt…
Ça ne veut pas dire que Boucher a maintenant un accès direct à la Ligue nationale. Ça non! Mais il pourra être considéré. Ce qui est déjà un grand pas en avant en comparaison de sa situation hier encore.
Avec leur saison en dents de scie, les Bruins ne font rien pour sécuriser le job de Claude Julien. Mais dans l’entourage des Bruins, c’est le nom de Bruce Cassidy, l’actuel entraîneur-chef des Bruins de Providence, qui circule à titre de candidat de Cam Neely. Et si Neely tient à Cassidy, il semble acquis que le d.-g. Don Sweeney respectera les volontés de son président.
Avec le léger redressement de situation à Anaheim, on peut croire que Bob Murray patientera un brin ou deux encore avant de statuer sur le sort de Bruce Boudreau. À Calgary? Bob Hartley est encore sur la vague de son trophée Jack Adams. S’il avait au moins un semblant de gardien devant son but, on pourrait peut-être se dire qu’il sera en danger un moment donné. Mais dans la situation actuelle, je ne peux croire une seconde qu’il soit en danger.
Patrick Roy au Colorado? À moins qu’il ne remplace un moment donné Joe Sakic et décide de laisser la job de coaching, Patrick n’a rien à craindre. Rien de rien…
En Caroline? Bill Peters écoule sa deuxième année. Il dirige un club ordinaire, qui évolue dans un marché plus ordinaire encore. Pas sûr que les Canes aient les moyens financiers pour se permettre de payer un coach congédié à ne rien faire.
Cela dit, si Peter Karmanos décidait de relocaliser son club – un scénario loin d’être actuellement envisageable – Boucher deviendrait un candidat plus que logique dans l’éventualité d’un déménagement vers Québec. Mais bon! Ça n’arrivera pas en cours de saison. C’est certain. On peut donc écarter Raleigh, ou Québec, comme destination à court terme.
Winnipeg? Les Jets ne jouent pas à la hauteur des attentes. C’est évident. Paul Maurice, justement revenu dans la LNH après un exil en Europe lui aussi, mais dans la KHL, a fait du bon travail depuis qu’on lui a confié cette équipe qui a accédé aux séries le printemps dernier. J’imagine que Maurice aura le privilège de se rendre aux séries – ou de les rater – avant de voir l’état-major se pencher sur son avenir.
On verra.
Mais peu importe qu’un poste se libère dans deux jours, deux semaines ou deux mois, où que ce soit dans la LNH ou même dans la Ligue américaine – qui ne serait pas une mauvaise destination non plus soit dit en passant – Guy Boucher pourra maintenant être considéré, être rejoint et être courtisé.
Et ça, c’est certainement une très bonne nouvelle pour lui. Une très bonne nouvelle qui pèse selon moi bien plus lourd dans la balance que celle qui a confirmé son congédiement mercredi matin. Un congédiement qui était envisageable depuis qu’il avait signifié à ses patrons son intention de quitter Berne à la fin de la présente saison.

Cy Young: Keuchel devance Price

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Publié par Associated Press le mercredi 18 novembre 2015 à 21h02. Modifié par Charles Payette le jeudi 19 novembre 2015
Cy Young: Keuchel devance Price
NEW YORK - Dallas Keuchel, des Astros de Houston, est le récipiendaire du trophée Cy Young dans la Ligue américaine, tandis que Jake Arrieta, des Cubs de Chicago, a reçu l'honneur du côté de la Ligue nationale.
Keuchel a compilé un dossier de 20-8 avec une moyenne de 2,48 et il a retiré 216 frappeurs sur des prises en 232 manches de travail. Les frappeurs adverses ont maintenu une faible moyenne au bâton de ,217 à ses dépens.

Il est devenu le premier lanceur des Astros à signer 20 victoires en une saison depuis Roy Oswalt (20) en 2005 et il a aussi guidé les Astros vers une première participation aux séries depuis 2005.

«C'est quelque chose que je ne pensais jamais gagner, a dit Keuchel. Je suis simplement content de jouer au baseball et c'est spécial d'être considéré parmi les meilleurs. Je n'arrive pas vraiment à saisir ce que j'ai accompli et je pense que ça va prendre du temps avant d'y arriver.»

Keuchel a reçu 22 votes de première place et a totalisé 186 points lors du scrutin auprès de l'Association des chroniqueurs de baseball d'Amérique.

David Price, qui a commencé la saison avec les Tigers de Detroit avant d'être échangé aux Blue Jays de Toronto tard en juillet, a terminé deuxième avec huit votes de première place et 143 points. Sonny Gray, des Athletics d'Oakland, a reçu 82 points.

Pour sa part, Arrieta a dominé les Ligues majeures avec 22 victoires. Il a affiché un dossier de 22-6 avec une moyenne de 1,77 et a lancé un match sans point ni coup sûr le 30 août.

Il a compilé une fiche de 11-0 à ses 12 derniers départs, aidant les Cubs à atteindre les éliminatoires pour une première fois depuis 2008.

Les Cubs sont devenus la première équipe de la Ligue nationale depuis les Braves d'Atlanta en 1991 à recevoir trois honneurs la même année. Kris Bryant a gagné le titre de recrue par excellence, tandis que Joe Maddon a été nommé gérant de l'année.

«J'étais très heureux de voir Joe et Kris gagner ces prix et ça démontre à quel point notre organisation a accompli quelque chose de particulier, a noté Arrieta. Il faut maintenant continuer dans la bonne direction.»

Arrieta a reçu 17 votes de première place et a amassé 169 points lors du scrutin, qui a été moins serré qu'anticipé.

«Je suis un peu soulagé de savoir le résultat, a dit Arrieta après avoir reçu une douche de champagne de la part de ses amis. Je dois féliciter les gars qui ont connu des années remarquables et qui me poussent à me dépasser. Mon travail a été récompensé.»

Il a devancé Zack Greinke, des Dodgers de Los Angeles, qui a reçu 10 votes de première place et totalisé 147 points. Greinke a maintenu une moyenne de 1,66, la plus faible dans les Majeures depuis 1995.

Clayton Kershaw, aussi des Dodgers a terminé en troisième place avec 101 points, lui qui avait gagné le Cy Young trois fois lors des quatre dernières années. Il a retiré 301 frappeurs sur des prises, le plus haut total dans les Majeures depuis 2002.

Une chanson pour Mike Condon

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Publié par 98,5 fm pour 98,5fm Sports le mercredi 18 novembre 2015 à 20h35. Modifié à 21h16.
Une chanson pour Mike Condon
Mike Condon (Adrian Wyld/La Presse Canadienne)
(98,5 Sports) - Après Max Pacioretty, Carey Price, P.K. Subban et Dale Weise, c'est au tour du gardien de but Mike Condon de servir d'inspiration à notre animateur - et parfois chanteur - Ron Fournier.
Ron chante Mike Condon
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Ron a écrit et composé une toute nouvelle chanson en l'honneur de celui qui a été excellent en l'absence du gardien no 1 du Canadien.

La recrue de 25 ans a conservé un impressionnant dossier de 5-1-2 quand Price est tombé au combat.

Vous n'avez pas entendu la chanson sur Dale Weise? Cliquez ici pour l'écouter.

Semin encore dans les plans?

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Publié par La Presse Canadienne le mercredi 18 novembre 2015 à 14h07. Modifié par Charles Payette le jeudi 19 novembre 2015
Semin encore dans les plans?
Alexander Semin/FlashQuébec
BROSSARD, Qc - Michel Therrien refuse de dire que le Canadien et lui ont lancé la serviette au sujet d'Alexander Semin, mais rien n'empêche que l'énigmatique russe sera de retour sur la passerelle, ce soir, lors de la visite des Coyotes de l'Arizona.
L'entraîneur-chef du Tricolore l'a confirmé à la suite de la séance d'entraînement de l'équipe, mercredi matin, au Complexe Bell de Brossard. Au passage, il a aussi fait savoir que Torrey Mitchell évoluera à l'aile droite aux côtés d'Alex Galchenyuk et de Lars Eller.

Semin passera donc, déjà, un huitième match hors de la formation. Après un purgatoire de sept rencontres, Semin avait été réintégré lors du match de samedi, contre l'Avalanche du Colorado.

Lorsqu'il a été invité à élaborer sur le rendement de Semin, Therrien a été à peine plus volubile, mercredi, qu'il ne l'avait été dans les minutes qui ont suivi le match de lundi, face aux Canucks de Vancouver.

Lors de cette rencontre, que le Canadien a gagnée 4-3 en prolongation, Semin n'a plus joué après avoir écopé une mauvaise pénalité pour avoir retenu à 4:02 de la troisième période. Il n'a finalement effectué que 10 présences sur la patinoire pour un grand total de 6:48 de jeu.

«Je me suis assis avec lui ce matin, je lui ai dit qu'il ne jouera pas demain et je lui ai parlé des choses sur lesquelles il doit travailler. C'est là où nous en sommes», a expliqué Therrien.

Therrien irrité

Pour une raison qu'il est probablement le seul à connaître, Therrien n'a pas apprécié lorsqu'une journaliste lui a demandé si le Canadien avait lancé la serviette au sujet de Semin.

«Franchement, a-t-il d'abord laissé tomber. C'est à nous de continuer de travailler avec lui sur des choses qu'il doit améliorer», s'est-il limité à dire.

Par ailleurs, Therrien ne s'est pas gêné pour vanter les mérites de Mitchell, qui a terminé la rencontre de lundi auprès de Galchenyuk et d'Eller.

«L'une de nos priorités est de trouver des solutions à l'interne. Torrey Mitchell fait de l'excellent travail, nous sommes tous en mesure de le constater avec le trio qu'il pivote. Mais c'est un gars qui a de l'expérience à l'aile droite aussi. J'aime l'enthousiasme qu'il dégage. J'aime sa rapidité. Il fait beaucoup de bonnes choses sur la patinoire. Il a beaucoup de respect de ses coéquipiers. On pense qu'en le mettant à l'aile droite avec Galchenyuk et Eller, ça peut peut-être les aider.»

Dans un autre ordre d'idées, Therrien a confirmé que le défenseur Alexei Emelin, blessé au bas du corps, manquera la rencontre de jeudi et les deux matchs contre les Islanders de New York, vendredi et dimanche. Emelin a déjà raté les deux derniers duels de son équipe.

Les Coyotes en visite

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Publié par Charles Payette pour 98,5fm Sports le jeudi 19 novembre 2015 à 07h27. Modifié à 08h05.
Les Coyotes en visite
AP
(98,5 Sports) - Après avoir traversé une portion de calendrier moins intense, le Canadien amorce ce soir une séquence de trois matchs en quatre soirs en accueillant les Coyotes de l'Arizona.

Les deux clubs ont partagé les honneurs des deux matchs de la saison dernière, les Coyotes en profitant pour inscrire une victoire au Centre Bell, leur première depuis 1996 !
Le duel Coyotes/Canadiens est radiodiffusé sur les ondes de stations Cogeco Diffusion, dès 19h, avec l'émission d'avant-match.

Les plus fidèles partisans du CH se souviendront que le gardien Louis Domingue avait célébré la victoire devant le filet des Coyotes (9-8-1) à son deuxième départ dans la LNH.

Le Tricolore avait laissé filer une avance de 2-0 avant les Coyotes ne l'emportent 3-2 lors de cette rencontre présentée en après-midi, lors du week-end du dernier Super Bowl. Domingue joue toutefois actuellement dans la Ligue américaine à Springfield.

Smith vs Condon

C'est Mike Smith qui devrait se retrouver devant le filet des Coyotes, ce soir, face à Mike Condon. La recrue du Tricolore effectuera son 9e départ d’affilée.

Après deux matchs infructueux, l’attaquant Alexander Semin ratera le duel au profit de Torrey Mitchell qui appuiera le trio d.Alex Galchenyuk aux côtés de Lars Eller.

L'équipe de l'Arizona sera toutefois privée des services du défenseur Nicklas Grossman. Les joueurs de Michel Therrien devront toutefois se méfier d'un autre arrière, Oliver Ekman-Larsson, auteur d'une séquence de six matchs avec au moins un point.

L'USTA nie avoir mal agi dans une réplique à la poursuite intentée par Eugenie Bouchard

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Bouchard se remet toujours de sa commotion


L’Association américaine de tennis (USTA) a répondu à la poursuite intentée par Eugenie Bouchard après qu’elle eut glissé et tombé dans un vestiaire pendant la dernière présentation des Internationaux de tennis des États-Unis, rapporte Sports Illustrated lundi soir.
L’athlète de Westmount avait subi une commotion cérébrale et dû déclarer forfait des tableaux du simple et du double féminin. Dans sa poursuite, Bouchard avait stipulé avoir subi de sévères douleurs et d’importantes pertes financières en raison du mystérieux incident.
Dans sa réplique d’une longueur de 16 pages, l’USTA nie avoir mal agi, arguant que Bouchard était expérimentée et bien au fait des procédures et protocoles en vigueur sur le circuit féminin.
L'avocat de Bouchard, Me Benedict Morelli, a indiqué avoir pris connaissance de la réponse de l'USTA.
« L'Association américaine de tennis affirme qu'Eugenie aurait dû être consciente que le plancher était glissant si les lumières étaient éteintes. C'est absurde! », a-t-il clamé dans un entretien avec RDS.
« L'USTA a indiqué qu'elle prouvera tout en cour. Faites-moi confiance, l'association ne réussira pas », a-t-il assuré.
L’Association a demandé un procès devant jury, tout comme Bouchard dans la première version de sa poursuite.

Scheifele et Stafford marquent deux buts chacun et les Jets battent les Canucks

http://www.rds.ca/hockey/lnh/

Canucks 1 - Jets 4


WINNIPEG - Mark Scheifele et Drew Stafford ont récolté deux buts et une aide chacun, leur compagnon de trio Mathieu Perreault a amassé trois aides et les Jets de Winnipeg ont défait les Canucks de Vancouver 4-1, mercredi.
Stafford avait été blanchi de la feuille de pointage à ses 11 matchs précédents, mais il a retrouvé sa touche aux côtés de Scheifele et Perreault.
Il a brisé une égalité de 1-1 tard en deuxième période, avant de confirmer le résultat dans un filet désert en fin de rencontre.
Ondrej Pavelec a effectué 29 arrêts devant le filet des Jets, qui ont mis fin à une séquence de six défaites.
Daniel Sedin a été l'unique buteur des Canucks, tandis que Ryan Miller a accordé trois buts sur 33 tirs. Les Canucks ont conclu leur voyage de sept parties avec une fiche de 1-4-2.
Il s'agissait pour Sedin d'un septième but cette saison et d'un 899e point en carrière.
Kuznetsov tranche en prolongation
Sommaire
Evgeny Kuznetsov a fait bouger les cordages en prolongation et les Capitals de Washington ont défait les Red Wings de Detroit 2-1.
Kuznetsov a mis fin au match après 45 secondes de jeu en supplémentaire quand il s'est amené sur le flanc droit avant de couper dans l'enclave pour déjouer le gardien Petr Mrazek du côté éloigné.
Dylan Larkin a ouvert la marque en première période pour les Red Wings, qui n'ont qu'une victoire à leurs quatre dernières rencontres (1-2-1). Pavel Datsyuk a obtenu un premier point en quatre matchs cette saison sur la séquence, lui a qui a raté le début de la campagne en raison d'une opération à une cheville.
Justin Williams a créé l'égalité pour les Capitals à mi-chemin du premier engagement pendant un avantage numérique.
Braden Holtby a stoppé 25 rondelles devant le filet des Capitals, qui ont gagné quatre de leurs six dernières parties (4-1-1).
Mrazek a aussi effectué 25 arrêts du côté des Red Wings.
L'étoile des Capitals Alexander Ovechkin n'a pas marqué à ses quatre derniers matchs et il partage toujours le premier rang des buteurs russes dans l'histoire de la LNH avec Sergei Fedorov.