lundi 28 décembre 2015

Peyton Manning pourrait intenter des poursuites en diffamation

http://www.985sports.ca/football/nouvelles/

Publié par Jacques Thériault pour 98,5fm Sports le dimanche 27 décembre 2015 à 22h16. Modifié à 22h31.
Peyton Manning pourrait intenter des poursuites en diffamation
denverbroncos.com
(98,5 Sports) - Le quart-arrière Peyton Manning est tellement furieux des allégations d'utilisations d'hormones de croissance que s'apprête à diffuser le réseau Al-Jazeera qu'il songe à intenter une poursuite pour atteinte à sa réputation.
Le journaliste Peter King, chroniqueur au Sunday Night Football du réseau NBC, s’est entretenu avec celui qui entrera par la grande porte au Temple de la renommée du football après sa retraite. Lorsque King lui a demandé s’il avait l’intention de poursuivre ceux qui avaient lancé ces allégations, Manning a clairement laissé entendre que c’était son intention.

«Je vais probablement le faire, je suis tellement en colère, a répondu Peyton Manning».

Le reportage soutient que Manning aurait reçu des hormones de croissance d'une clinique « anti-âge » en 2011 alors qu'il était toujours avec les Colts.

On y apprend que le médicament, qui était banni par la NFL dans la convention collective de 2011, lui aurait été fourni par sa femme Ashley pour faire en sorte que le nom du quart ne soit jamais associé à cette affaire.

Charly Sly, un pharmacien d’Austin au Texas, aurait fait ces déclarations à Liam Collins, un sauteur de haies britannique.

Sly affirme maintenant qu’il a été enregistré à son insu et que ce que s’apprête à diffuser Al Jazzera est complètement faux.

En entrevue au Sunday NFL Countdown, au réseau ESPN, Peyton Manning était à court de mots pour qualifier les allégations.«Ces allégations sont ordurières, ce sont des vidanges, il y a d’autres mots que j’aimerais utiliser. a déclaré Manning. Ça me rend malade qu’on traîne le nom de mon épouse et son historique médical dans cette histoire. On a violé la confidentialité de son dossier médical. Ça me rend malade.»

Manning était visiblement bouleversé que le reportage fasse allusion à l’année 2011 durant laquelle il a subi plusieurs opérations au cou. Durant cette année où il n’a pas joué, il s’est soumis à un long processus de réhabilitation et de traitements qui lui ont permis de revenir au jeu.

«En 2011 j’avais plus ou moins le cou brisé, j’ai eu quatre opérations, a-t-il rappelé. Mon cou était dans un piteux état. J’ai travaillé comme un chien pour retrouver la santé, j’ai travaillé fort. J’ai consulté de nombreux médecins, je suis allé dans une clinique où il y avait une chambre hyperbare. Les médecins et les entraîneurs me disaient que ce serait bon pour moi.»

Pour Peyton Manning le temps et le travail acharné ont été ses meilleurs médicaments.

«Ça me renverse que cette personne que je ne connais pas insinue que j’ai tourné les coins ronds, que j’ai enfreint les règles de la NFL pour retrouver la santé, c’est une blague, une horrible blague, a ajouté Peyton Manning.»

«J’aimerais comprendre pourquoi ce gars-là raconte une histoire puis admet qu’il l’a inventé et que ça fasse quand même les nouvelles, se demande Manning. J’aimerais qu’on m’explique pourquoi.»

«On a toutes les raisons pour être en feu contre ces gars-là» - Lars Eller

http://www.985sports.ca/hockey/nouvelles/

Publié par Jacques Thériault pour 98,5fm Sports le dimanche 27 décembre 2015 à 18h32. Modifié à 20h04.
«On a toutes les raisons pour être en feu contre ces gars-là» - Lars Eller
Lars Eller dimanche après l'entraînement/Twitter
(98,5 Sports) - Les joueurs du Canadien cherchent à se sortir du marasme dans lequel ils sont enlisés. Pour ce faire il est évident qu'ils doivent faire preuve de solidarité, se serrer les coudes et garder confiance les uns envers les autres.
Torrey Mitchell
00:00
00:00
Après la défaite de samedi soir, les joueurs ont d’ailleurs tenu une réunion de 15 minutes avant d’ouvrir le vestiaire aux médias.

Pour le vétéran Tomas Plekanec c’est important que les joueurs aient ce genre de réunion pour faire le point.

«Tout le monde a des choses importantes à dire, a-t-il expliqué. C’est une chose de le dire dans le vestiaire, mais il faut le concrétiser sur la patinoire.»

Plekanec croit toujours que ce groupe de joueurs et lui-même ont les ressources pour s’en sortir.

«C’est le même groupe que l’an dernier, a-t-il dit. On a ce qu’il faut, mais il faut trouver les solutions rapidement. Il faut travailler le plus fort possible. On doit rester positif, mais réfléchir à ce qu’on fait de bien et de moins bien. En travaillant fort, les choses vont finir par se replacer, pour moi comme pour l’équipe.».

Lars Eller qui en est à sa 6e saison avec le Canadien fait partie du noyau de jeunes vétérans. Il estime qu’il est temps pour eux de renverser la vapeur.

«On a beaucoup parlé, a dit Eller. Les gars ont tous de bonnes intentions, ils disent les bonnes choses. Ça l’air d’un cliché, mais quand les choses vont mal, il faut revenir à la base aux fondamentaux du hockey et être compétitifs.»

Le grand Danois n’est pas fâché d’affronter Tampa Bay, une équipe contre laquelle le Canadien a développé une rivalité depuis les séries de l’an dernier. Rappelons que le Lightning avait éliminé le Canadien en 6 matchs au deuxième tour du tournoi pour la Coupe Stanley

«On devrait être gonflé à bloc pour le match de demain (lundi), affirme Lars Eller. On a toutes les raisons au monde pour être en feu contre ces gars-là. Tour ceux qui étaient ici l’an dernier savent pourquoi. Je crois que c’est une bonne chose pour nous.

Évidemment lorsqu’une équipe traverse vents et tempêtes, des rafales de rumeurs de transactions font tanguer le navire. Lars Eller, lui, refuse de s’en faire.

«Il ne faut pas se laisser distraire par ça, affirme-t-il. C’est votre département ce genre de choses, ce sont les gens de l’extérieur qui se préoccupent de ça. Les joueurs savent que c’est une possibilité qui peut se produire n’importe quand, que les choses aillent bien ou non.»

Torrey Mitchell, spécialiste des missions défensives, demeure lui aussi confiant que les joueurs sauront retrouver le chemin de la victoire.

«C’est difficile d’avoir confiance au sujet des matchs, a reconnu Mitchell. Mais on a confiance aux joueurs et aux entraîneurs, et je crois qu’on va s’en sortir. Il faut continuer à travailler et à communiquer entre joueurs et avec les entraîneurs.»

Pour la première fois depuis le début de la saison, le Canadien a cédé le premier rang de la division Atlantique alors que les Red Wings de Detroit ont pris la pole, avec le même nombre de points (43) que Montréal, mais avec deux matchs en main.

Mitchell est dans la même ligne de pensée que son entraîneur : l’objectif de l’équipe est de qualifier pour les séries éliminatoires. Il est toutefois conscient que plusieurs équipes, le Lightning, les Panthers et les Bruins soufflent dans le dos du Canadien.

«C’est ça notre but, jouer dans les séries, affirme-t-il. Ça ne fait aucune différence. Mais tous les deux points sont importants, il faut gagner des matchs.»

Zack Kassian échangé aux Oilers

http://www.985sports.ca/hockey/nouvelles/

Publié par Valérie Beaudoin pour 98,5fm Sports le lundi 28 décembre 2015 à 09h05.

(98,5 Sports) - Marc Bergevin, a annoncé, lundi, l'acquisition du gardien Ben Scrivens des Oilers d'Edmonton, en retour de l'attaquant Zack Kassian.
(Plus de détails à venir)

Stone marque 2 buts, Anderson réussit 38 arrêts et les Sénateurs battent les Bruins 2-1

http://www.rds.ca/hockey/lnh/senateurs/

Bruins 1 - Sénateurs 3


OTTAWA - Mark Stone a inscrit deux buts, Craig Anderson a stoppé 38 tirs et les Sénateurs d'Ottawa ont défait les Bruins de Boston 3-1, dimanche.
Mika Zibanejad a été l'autre buteur des Sénateurs, qui ont mis fin à une série de deux défaites.
David Krejci a été le seul à déjouer Anderson et les Bruins ont encaissé un troisième revers d'affilée. Tuukka Rask a repoussé 19 lancers.
Krejci s'est blessé et n'a pas joué en troisième période.
Les deux équipes s'affronteront à nouveau mardi, à Boston.
Les Bruins ont tenté de niveler le pointage en troisième période, mais Anderson a fermé la porte. Stone a ajouté un but d'assurance dans un filet désert avec 54 secondes à écouler.
Les Sénateurs menaient 2-1 après 40 minutes de jeu même s'ils avaient été dominés 31-17 au chapitre des tirs au but.

Les Panthers s'emparent de la tête de la division Atlantique en battant les Blue Jackets 3-2

http://www.rds.ca/hockey/lnh/

Blue Jackets 2 - Panthers 3


SUNRISE, Floride - Aleksander Barkov a inscrit deux buts et les Panthers de la Floride ont pris la tête de la section Atlantique grâce à une victoire de 3-2, dimanche, face aux Blue Jackets de Columbus.
Aaron Ekblad a aussi touché la cible pour les Panthers. Jonathan Huberdeau a récolté deux aides. Reilly Smith et Vincent Trocheck ont également amassé une aide chacun.
Brandon Saad et Cam Atkinson ont fourni la réplique des Blue Jackets.
Roberto Luongo a effectué 15 arrêts devant le filet des Panthers. À l'autre bout de la patinoire, Curtis McElhinney a repoussé 29 lancers.
Les Panthers avaient amorcé la journée à un point du Canadien de Montréal et des Red Wings de Detroi au sommet de la section Atlantique. Ils ont reçu un coup de main quand les Sénateurs d'Ottawa ont défait les Bruins de Boston 3-1.

Une 11e victoire de suite à domicile pour les Flames, un record d'équipe

http://www.rds.ca/hockey/lnh/

Oilers 3 - Flames 5

Johnny Gaudreau a inscrit deux buts, dont celui de la victoire, alors que les Flames de Calgary ont défait les Oilers d'Edmonton 5-3 pour enregistrer une 11e victoire de suite à domicile, un record de concession.
Depuis leur dernière défaite au Saddledome le 30 octobre, les Flames ont été dominants devant leurs partisans - avec Gaudreau en tête. L'attaquant de 22 ans a touché la cible à huit occasions en 11 matchs et a récolté 15 buts et 22 points au cours de la séquence victorieuse des Flames. Gaudreau est à égalité au sixième rang des pointeurs de la LNH avec 39 points.
Mark Giordano, avec deux buts, et Matt Stajan ont aussi marqué pour les Flames, qui disputeront leur deux prochains matchs à domicile.
Benoit Pouliot a fait bouger les cordages à deux reprises et Teddy Purcell a ajouté l'autre but des Oilers, qui montrent une fiche de 1-4-1 depuis une séquence de six victoires.

Le boxeur de l'année : Floyd Mayweather fils

http://www.rds.ca/combat/boxe/

Floyd Mayweather fils
Floyd Mayweather fils (Source d'image:Getty)


Francis Paquin
Comme cela est maintenu devenu la norme depuis quelques années, il n’y a pas de prétendant qui se démarque clairement dans la course pour l’obtention du titre de boxeur de l’année.
Les cinq candidats - Saul « Canelo » Alvarez, Tyson Fury, Gennady Golovkin, Roman Gonzalez et Floyd Mayweather fils - proposés par l’Association des chroniqueurs de boxe d’Amérique ont tous des arguments qui militent en leur faveur, si bien que tous les choix peuvent se valoir.
Étant donné qu’il a enfin fini par accepter d’affronter le plus grand rival de sa génération - Manny Pacquiao - après des années d’attente et qu’il a été au cœur du combat le plus lucratif de l’histoire de la boxe professionnelle, Mayweather est le boxeur de l’année en 2015 selon RDS.ca.
Cela faisait un bon bout de temps - depuis que « Money » était sorti de sa retraite en 2009 - que les amateurs réclamaient une rencontre au sommet entre ceux qui ont été considérés comme les deux meilleurs « livre pour livre » dans les classements de fin d’année de 2007 à 2011.
L’étoile de Pacquiao avait peut-être légèrement pâli à la suite de ses défaites contre Timothy Bradley fils et Juan Manuel Marquez en 2012, mais « Pac Man » avait néanmoins remporté ses trois combats suivants face à Brandon Rios, Bradley et Chris Algieri. Et Pacquiao reste Pacquiao.
L’engouement pour ce mégachoc a été immédiatement monstre et les réseaux américains HBO et Showtime se sont même associés pour télédiffuser le duel, une première depuis le combat entre Lennox Lewis et Mike Tyson en 2002. Mayweather-Pacquiao dépassait le cadre sportif.
Évidemment, la plupart des observateurs s’attendaient à une victoire Mayweather et c’est ce qui s’est produit. Sa domination a été telle qu’il a contraint Pacquiao à lancer son plus petit nombre de coups de poing dans un combat de 12 rounds depuis le début de sa carrière. C’était la 13e fois que le Philippin se rendait à la limite dans un duel de championnat du monde.
Mais plus impressionnant encore, le combat a généré des revenus de plus de 400 millions de dollars grâce à 4,4 millions d’achats à la télévision à la carte. Les précédents records étaient de 150 millions (Mayweather-Alvarez) et 2,48 millions (Mayweather-De La Hoya) respectivement.
Mayweather a conclu son année en battant Andre Berto pour porter sa fiche à 49-0 - égalant ainsi la marque de Rocky Marciano - avant de tirer sa révérence. Certains croient cependant qu’il sortira encore une fois de sa retraite pour disputer un 50e et ultime combat. Même s’il ne faisait pas l’unanimité, le départ de Mayweather laissera un immense vide difficile à combler.
Autres candidats au titre de boxeur de l’année
Saul « Canelo » Alvarez : Après être rentré à la « maison » en signant un lucratif contrat avec HBO en septembre 2014, Alvarez a profité de la dernière année pour devenir champion du monde dans une deuxième catégorie de poids différente depuis le début de sa carrière.
Alvarez a d’abord passé le knock-out à James Kirkland au troisième round en mai à Houston avant de se mesurer au champion des moyens du WBC Miguel Cotto en novembre à Las Vegas. « Canelo » a offert une prestation inspirée avant de l’emporter par décision unanime des juges.
Tout est maintenant en place pour un duel contre le champion unifié Gennady Golovkin, mais le promoteur Oscar De La Hoya osera-t-il mettre son veau d’or dans les pattes de l’intraitable kazakh? Le WBC a offert une défense optionnelle aux deux boxeurs, question de faire monter les enchères et susciter l’intérêt. Mais l’histoire prouve qu’il ne faut pas s’exciter trop rapidement.
James DeGale : Après avoir remporté la médaille d’or chez les moyens aux Jeux olympiques de Beijing en 2008, DeGale avait vu George Groves lui infliger un premier revers chez les professionnels en l’emportant par décision majoritaire à son 11e combat en mai 2011.
DeGale a ensuite parfait son apprentissage, ce qui l’a notamment mené au Danemark et à Gatineau - pour y affronter Sébastien Demers en mai 2013 -, puis il a eu l’occasion de s’emparer de la ceinture vacante des super-moyens de l’IBF en mai contre l’ancien Olympien Andre Dirrell.
En terrain ennemi à Boston, DeGale s’est étonnamment imposé par décision unanime, et il a effectué sa première défense face à Lucian Bute en novembre en finale du premier gala de l’histoire du Centre Vidéotron de Québec. Encore là, « Chunky » a eu le dessus aux points.
Tyson Fury : Normalement, Fury n’aurait dû être qu’une autre des victimes du champion unifié des lourds Wladimir Klitschko, mais le Britannique a choqué le monde de la boxe en surprenant l’Ukrainien par décision unanime pour mettre fin à la série de 22 victoires de ce dernier.
Déjà aspirant obligatoire depuis sa victoire sur Dereck Chisora en novembre 2014, Fury avait mis sa position en jeu contre Christian Hammer en février, mais il s’est débarrassé de l’Allemand en l’obligeant à abandonner après le huitième round. Il l’avait envoyé au plancher au cinquième.
Dans leur duel très peu palpitant disputé en novembre, Fury a été plus actif que Klitschko, le poids des années commençant à se faire sentir. L’ancien champion possède une clause de combat revanche et les deux boxeurs devraient normalement se retrouver l’année prochaine.
Gennady Golovkin : Les années se suivent et se ressemblent pour Golovkin, qui a vaincu les trois adversaires qu’il a affrontés avant la limite. Le champion unifié des moyens a remporté ses 21 derniers duels par knock-out ou arrêt de l’arbitre, ce qui est franchement impressionnant.
« GGG » a ainsi battu Martin Murray en février à Monaco, Willie Monroe fils en mai en Californie et finalement David Lemieux en octobre à New York pour ajouter la ceinture de l’IBF à celles de la WBA et du WBC intérimaire qu’il détenait déjà. À l’heure actuelle, personne ne peut l’arrêter.
Et c’est exactement ce qui le prive du titre de boxeur de l’année encore une fois. Malgré toute sa bonne volonté, l’élite refuse de l’affronter. Tel que mentionné précédemment, le WBC lui a offert une défense optionnelle avant qu’il ne soit « obligé » de se mesurer à Alvarez. À suivre!
Roman Gonzalez : Reconnu comme le meilleur « livre pour livre » de la planète depuis la retraite de Mayweather, Gonzalez n’a pas chômé en gagnant avant la limite les trois duels qu’il a livrés.
Il a défait Valentin Leon en février, puis a défendu son titre des mouches du WBC en prenant la mesure d’Edgar Sosa en mai et de l’ex-champion unifié des mouches Brian Viloria en octobre.
« Chocolatito » est toujours invaincu en 44 combats, mais est également victime de son talent. Leon présentait un dossier de 38-29-3 avant qu’il ne l’affronte, tandis que Sosa et Viloria avaient déjà franchi le cap de la mi-trentaine avant qu’il ne les domine. Mais qui pourra donc l’arrêter?
Badou Jack : Freiné dans son élan vers un titre mondial par Derek Edwards l’année dernière, Jack ne s’est pas laissé abattre par cette surprenante défaite subie au premier round.
Il avait remporté ses deux combats suivants et grâce à son association avec Al Haymon, il a été désigné comme adversaire au champion des super-moyens du WBC Anthony Dirrell pour la première défense de ce dernier. Jack a sauté à pieds joints sur l’occasion en l’emportant par décision majoritaire. Il a ensuite défendu son titre en battant Groves par décision partagée.
Ce n’est donc peut-être pas un hasard si Bute l’a mentionné comme l’un des rivaux avec qui il aimerait croiser le fer. Jack est évidemment prenable, mais il a prouvé qu’il peut gagner.
Daniel Jacobs : Jadis considéré comme l’un des plus beaux espoirs de la boxe professionnelle, Jacbos avait raté une première occasion de devenir champion en juillet 2010 en se faisant surprenant par Dmitry Pirog, qui a par ailleurs laissé planer un retour à la compétition en 2016.
Il avait disputé son combat de retour à Québec en décembre 2010 avant d’être frappé par la maladie. Il est éventuellement devenu champion des moyens de la WBA en août 2014 et a défendu son titre trois fois cette année contre Caleb Truax, Sergio Mora et Peter Quillin.
Jacobs a arrêté Truax au 12e round en avril avant de ne passer que 4:20 dans le ring avec Mora en août et Quillin en décembre. « Miracle Man » a même visité le plancher au premier round pendant son combat avec Mora, l’un des plus excitants présentés cette année.

Le Canadien rappelle le défenseur Mark Barberio

http://www.lapresse.ca/sports/hockey/

Publié le 27 décembre 2015 à 17h29 | Mis à jour le 27 décembre 2015 à 17h29
Mark Barberio... (PHOTO ARCHIVES LA PRESSE)
Mark BarberioPHOTO ARCHIVES LA PRESSE

La Presse Canadienne
MONTRÉAL
Le Canadien de Montréal a rappelé le défenseur Mark Barberio de son club-école de la Ligue américaine, dimanche.
Âgé de 25 ans et originaire de Montréal, Barberio a inscrit deux buts et 18 aides en 26 matchs avec les IceCaps de St. John's cette saison, sa première dans l'organisation du Canadien.
Barberio a disputé 103 matchs dans la LNH, tous avec le Lightning de Tampa Bay. Il a amassé six buts et 11 aides.
Le Canadien rendra visite au Lightning, lundi. Barberio devait rejoindre l'équipe à Tampa dimanche soir.
Par ailleurs, l'entraîneur-chef du Canadien Michel Therrien a confirmé après l'entraînement de l'équipe dimanche que Mike Condon allait être le gardien partant face au Lightning.
Condon en sera à un troisième départ de suite. Sa dernière victoire remonte toutefois au 1er décembre, face aux Blue Jackets de Columbus. Ses sept dernières décisions ont été des défaites.
Therrien a aussi mentionné que l'attaquant Sven Andrighetto serait en uniforme contre le Lightning.
Le Canadien a perdu ses six derniers matchs et traverse aussi une séquence de 10 revers en 11 parties.