samedi 17 octobre 2015

Le flambeau est passé

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La cérémonie d'ouverture


Images of Francois Gagnon
Lorsque Guy Carbonneau a remis à Max Pacioretty le flambeau étroitement associé à la glorieuse histoire du Canadien, l’ancien capitaine a respecté une tradition chère au Tricolore.
En plus d’investir symboliquement Pacioretty des pouvoirs et responsabilités associés à son nouveau rôle, Carbo s’est assuré de livrer un message au 29e capitaine. « Je lui ai souhaité de profiter au maximum de cette expérience et d’avoir la chance que j’ai eue de soulever la coupe Stanley », m’a indiqué Carbonneau que j’ai joint en avant-midi vendredi.
Carbo aurait aussi pu offrir à Pacioretty quelques conseils dans l’art d’être un capitaine. Dans l’art d’être un leader capable de donner le ton autant sur la patinoire que dans le vestiaire. Mais parce que l’heure était à la fête et que les cris des partisans étouffaient la voix de Carbo, ce n’était ni l’endroit ni le moment. « Il y avait tellement de bruit que je ne peux pas te dire si Max a compris ce que je lui ai dit. Mais cette cérémonie est tellement spéciale, autant pour celui qui donne le flambeau que pour celui qui le reçoit, que le message passe tout seul », a reconnu Carbo qui a été touché par l’honneur que lui a réservé le Canadien en lui demandant de porter le flambeau bien haut avant de le remettre à Pacioretty.
Guy Carbonneau, comme les capitaines qui l’ont précédé et ceux qui l’ont suivi, pourra toujours conseiller Pacioretty s’il décide un jour ou l’autre de faire appel à lui. À eux. Il est toutefois clair qu’à ses premiers coups de patin avec le « C » brodé sur le côté gauche de sa poitrine, Pacioretty a déjà l’étoffe d’un leader, d’un vrai capitaine.
Il en a fait la preuve à plusieurs reprises l’an dernier lorsqu’il s’est élevé au-dessus des trois autres assistants afin de remplir le rôle de capitaine sans avoir le titre. Il en a fait la preuve à plusieurs reprises depuis le discours en français qu’il a prononcé lors de sa nomination. Il en a fait une fois encore la preuve en toute fin de match jeudi lorsqu’il a laissé la rondelle tirée par son joueur de centre Tomas Plekanec glisser jusqu’au fond du filet déserté par Henrik Lundqvist pour permettre à l’entraîneur-chef Alain Vigneault d’envoyer un sixième Ranger à l’attaque afin de tenter ce qui semblait alors impossible : déjouer deux fois plutôt qu’une Carey Price afin de niveler les chances alors que le meilleur gardien au monde était en voie de signer son 35e jeu blanc en carrière.
Plekanec a tiré de loin. De très loin. Et bien que la rondelle donnait nettement l’impression qu’elle se rendrait au fond du filet, Pacioretty aurait facilement pu l’intercepter et en profiter pour inscrire son cinquième but de l’année. Son deuxième dans un filet désert.
Parce que Pacioretty est l’as marqueur du Tricolore, parce qu’il a flirté avec le plateau des 40 buts sans jamais l’atteindre, parce qu’il voudrait non seulement l’atteindre, mais fracasser ce plateau et flirter vers celui des 50 buts, Pacioretty aurait facilement pu s’emparer de la rondelle et l’aider à compléter le trajet qu’elle suivait. Et ce n’est certainement pas Plekanec, un joueur qui a toujours fait passer les besoins de l’équipe avant ses objectifs personnels, qui s’en serait plaint.
Mais Pacioretty s’est bien gardé de s’interposer. « Si j’avais eu des doutes sur les chances de la rondelle de se rendre ou qu’un joueur des Rangers avait donné l’impression qu’il pourrait l’atteindre avant qu’elle ne passe la ligne rouge, c’est évident que je serais intervenu. Mais Pleky, ayant plus de matchs disputés que moi dans la LNH, je me suis limité à regarder la rondelle aller », assurait Pacioretty après le match.
Bon! Il est évident que l’ancienneté permet parfois à des vétérans de profiter de petits traitements de faveur offerts par les plus jeunes. C’est vrai chez le Canadien. C’est vrai chez toutes les équipes de la LNH. C’est une vérité du sport professionnel point.
Mais un geste comme celui de Pacioretty m’a semblé bien plus motivé par le souci d’être un bon gars d’équipe, un bon leader, un bon capitaine que par le simple fait de respecter le principe d’ancienneté.
Surtout que depuis le début de la saison, Pacioretty s’assure de louanger l’ensemble de ses coéquipiers après les rencontres. Il s’assure de bien faire passer le concept d’équipe préconisé par l’entraîneur-chef Michel Therrien. Un concept qui porte fruit comme en témoignent les résultats du Canadien après cinq rencontres. Et je ne parle pas ici seulement des cinq victoires. Je parle surtout du fait que le Canadien joue du hockey solide – après son match d’ouverture ordinaire à Toronto – du hockey inspiré, du hockey impliquant tous les joueurs.
« Je l’ai dit lors de notre voyage et je vais le répéter encore ce soir. Nous formons une équipe. Une bonne équipe. Tous nos joueurs embarquent dans le système et respectent les mandats qui leur sont donnés. Mais encore ce soir (jeudi) c’était frappant de voir que nous complétions nos rotations de trios normalement, peu importe qui les Rangers envoyaient sur la glace: leurs première ou quatrième unités. C’est une preuve concrète du concept d’équipe », assurait le capitaine.
Il est évident qu’il est plus facile d’assumer un rôle de capitaine lorsque ton club enfile les victoires comme le Canadien le fait depuis le début de l’année au lieu d’accumuler les défaites. Il sera donc intéressant d’analyser le travail de Pacioretty à titre de capitaine lorsque le Tricolore connaîtra quelques matchs difficiles. Lorsqu’il amorcera une petite glissade en perdant plus de matchs qu’il n’en gagnera.
Mais en agissant comme il le fait en ce moment, en prouvant à ceux qui en doutaient peut-être un peu – ils n’étaient pas nombreux – qu’il a déjà les atouts et la confiance pour assumer son rôle de capitaine, Pacioretty démontre d’une façon rassurante qu’il saura également s’imposer dans la tourmente. Et si jamais il se sent un brin démuni pour réagir adroitement face aux écueils qui menacent son équipe et ses coéquipiers, il pourra toujours compter sur Guy Carbonneau et les autres anciens capitaines qui seront alors de bon conseil.

Dustin Byfuglien fait la différence

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Flames 1 - Jets 3


WINNIPEG - Dustin Byfuglien a brisé l'égalité avec 1:28 à faire en temps réglementaire et les Jets de Winnipeg ont vaincu les Flames de Calgary 3-1, vendredi.
Byfuglien a provoqué un revirement, a accepté une passe et a contourné le défenseur des Flames Dennis Wideman avant de surprendre le gardien Karri Ramo d'un tir bas d'un angle difficile.

L'entraîneur-chef des Flames, Bob Hartley, a demandé la vérification vidéo, croyant que Byfuglien était en position de hors-jeu. Le but a été accordé puisque Byfuglien était en contrôle de la rondelle quand il a franchi la ligne bleue en effectuant une feinte entre ses patins.

Blake Wheeler a ajouté un but d'assurance dans un filet désert, son 150e but en carrière, et il domine les Jets avec sept points cette saison, lui qui a aussi récolté une aide. Bryan Little a également amassé un but et une aide pour les Jets (4-1-0).

Mikaël Backlund a inscrit l'unique but des Flames (1-3-0).

Ondrej Pavelec a effectué 19 arrêts devant le filet des Jets. Ramo a cédé deux fois sur 29 lancers devant la cage des Flames.
Une première pour les Kings, une première pour le Wild
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Le but d'Anze Kopitar à 2:19 de la prolongation a permis aux Kings de Los Angeles de l'emporter 2-1 sur le Wild du Minnesota.
Kopitar a déjoué Darcy Kuemper d'un tir des poignets à sa droite sur une aide de Tanner Pearson.
Tyler Toffoli avait placé les Kings en avance en début de deuxième période. Il s'agit d'une première victoire en quatre parties pour Los Angeles.
Pour le Wild qui encaisse un premier revers après trois victoires en ce début de saison, l'unique but est venu de Mikko Koivu.

Les Blues retrouvent leurs couleurs face aux Canucks
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Alexander Steen a inscrit un but et une aide, aidant les Blues de St. Louis à vaincre les Canucks de Vancouver 4-3.

Jori Lehtera, Robert Bortuzzo et Kyle Brodziak ont aussi touché la cible pour les Blues (4-1-0), qui ont signé une troisième victoire de suite et une deuxième en deux soirs après avoir eu le meilleur 4-2 sur les Oilers d'Edmonton jeudi.
Jake Allen a effectué 31 dans la victoire, tandis que Vladimir Tarasenko et Carl Gunnarsson ont récolté deux aides chacun.

Brandon Sutter, avec un but et deux aides, Jared McCann et Daniel Sedin ont répliqué pour les Canucks (3-1-1), qui ont perdu leurs deux matchs à domicile depuis le début de la jeune saison.
Ryan Miller a stoppé 28 rondelles dans la défaite.

Les Canucks avaient compilé un dossier de 6-0-0 face aux Blues lors des deux dernières saisons et ils avaient une fiche de 9-0-2 face à cette équipe depuis janvier 2012. Les Blues menaient toutefois 3-0 à mi-chemin dans la rencontre et ils ont mis fin à cette séquence.
Les malheurs des Ducks se poursuivent
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Reto Berra a effectué 35 arrêts en route vers un premier jeu blanc cette saison et un deuxième en carrière et l'Avalanche du Colorado a défait les Ducks d'Anaheim 3-0.
Les Ducks (0-3-1), triples champions en titre de la section Pacifique, n'ont toujours pas gagné cette saison et ils ont inscrit un seul but depuis le début de la campagne.

Nathan MacKinnon, Jack Skille et John Mitchell, dans un filet désert, ont touché la cible pour l'Avalanche.

Berra est devenu le troisième gardien à blanchir les Ducks cette saison, réalisant plusieurs beaux arrêts. Le gardien suisse disputait un 52e match dans la LNH.

Frederik Andersen a stoppé 22 rondelles devant la cage des Ducks, qui n'ont pas marqué en plus de 163 minutes depuis que Sami Vatanen a inscrit leur seul but de la saison, lundi face aux Canucks de Vancouver.

Premier gain sous l'ère Babcock pour les Maple Leafs

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Maple Leafs 6 - Blue Jackets 3


COLUMBUS, Ohio - Leo Komarov a inscrit deux buts en fin de troisième période, aidant les Maple Leafs de Toronto et leur entraîneur-chef Mike Babcock à récolter une première victoire en 2015-2016, 6-3 aux dépens des Blue Jackets de Columbus.
Joffrey Lupul a obtenu un but et une passe pour les Maple Leafs, détenteurs d'un dossier de 1-2-1 après leurs quatre premières sorties. Jake Gardiner, James van Riemskyk et Nazek Kadri ont réussi les autres filets des vainqueurs.

Daniel Winnik a récolté trois passes et le jeune défenseur Morgan Rielly en a ajouté deux, pendant que le gardien James Reimer repoussait 24 tirs.

Dans la défaite, Scott Hartnell a marqué un but et ajouté une mention d'aide, une performance qui lui a permis d'atteindre le plateau des 600 points en carrière.

Boone Jenner et Nick Foligno ont également fait bouger les cordages pour les Blue Jackets, qui connaissent le pire début de saison de leur histoire avec une fiche de 0-5-0.

Le gardien Sergei Bobrovsky a connu une autre sortie difficile, accordant cinq buts sur 33 tirs, dont deux en troisième période aprés que son équipe eut effacé un déficit de deux buts pour égaler le score à 3-3.

Lupul a rompu l'impasse en marquant d'un tir de l'enclave après quatre minutes de jeu, puis Komarov a déjoué Bobrovsky d'un tir entre les jambières avec 4:45 à écouler au temps réglementaire.

Komarov a mis le match hors de portée avec un but dans une cage déserte.
 
Encore une bonne soirée pour Martin Jones
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Joe Pavelski et Brent Burns ont fait bouger les cordages lors de la fusillade et les Sharks de San Jose ont profitéd'une autre performance étincelante de Martin Jones pour signer une victoire de 2-1 face aux Devils du New Jersey.
Jones a effectué 31 arrêts et est passé à 3:38 d'enregistrer un troisième blanchissage d'affilée. Les Sharks sont tout de même demeurés invaincus en quatre matchs sous les ordres de l'ancien pilote des Devils, Pete DeBoer. Ils ont aussi privé les Devils (0-3-1) d'une première victoire avec John Hynes derrière le banc.

Patrick Marleau a touché la cible après seulement 2:01 de jeu en première période et les Sharks ont préservé leur avance d'un but jusqu'à ce qu'Adam Henrique ne trompe la vigilance de Jones tard en troisième période.

Henrique a aussi marqué lors de la première ronde de la fusillade, mais Jones a ensuite frustré Jacob Josefson avant de voir Mike Cammalleri rater la cible.

Cory Schneider a stoppé 33 lancers dans la défaite.
Une 1re défaite avant une escale à Montréal
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Eric Staal et Kris Versteeg ont récolté un but et deux aides chacun et les Hurricanes de la Caroline ont infligé une première défaite aux Red Wings de Detroit en les battant 5-3.
À son premier match dans la LNH, Brock McGinn a inscrit un but et une aide, lui qui complétait le trio de Staal et Versteeg. Il a fait bouger les cordages sur sa première séquence sur la patinoire, seulement 55 secondes après la mise en jeu initiale.

Cam Ward a eu besoin de faire seulement 17 arrêts pour aider les Hurricanes à signer une première victoire cette saison. À l'autre bout de la patinoire, Jimmy Howard a fait face à un barrage de 36 tirs.

Justin Faulk, en avantage numérique, et Chris Terry ont aussi touché la cible pour les Hurricanes.

Gustav Nyquist et Riley Sheahan ont rendu les choses intéressantes en marquant dans un intervalle de 72 secondes tard en deuxième période pour les Red Wings, réduisant l'écart à 3-2. Howard a toutefois été incapable de fermer la porte en troisième période.

Teemu Pulkkinen a aussi marqué pour les Red Wings.

Le Canadien de Montréal affronte les Red Wings de Detroit

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Plan de match contre les Red Wings


BROSSARD, Qc - Michel Therrien n'est pas surpris que les Red Wings de Detroit survivent fort bien jusqu'à maintenant au départ de l'entraîneur Mike Babcock.
Les Red Wings espéraient se présenter au Centre Bell samedi avec un dossier sans tache. Ils ont toutefois subi un premier revers en quatre matchs vendredi soir, 5-3 face aux Hurricanes de la Caroline lors d'un duel présenté dans la ville de l'automobile.
« La structure des Red Wings est très bonne, a soutenu l'entraîneur du Canadien, vendredi. Ils n'ont pas tout recommencé à zéro. La structure est demeurée pratiquement la même. »
Comme quoi un entraîneur ne fait pas nécessairement une équipe. Les racines de l'organisation, sa philosophie et sa culture, sont des facteurs plus importants. Les Red Wings tentent cette saison d'accéder aux séries éliminatoires pour la 25e année d'affilée.
« C'est une concession qui a du succès. C'est tout un accomplissement cette séquence en séries, a noté Therrien. Les Red Wings prennent le temps de bien développer leurs jeunes joueurs. Ils les font graduer quand ils sont prêts. Comme organisation, nous estimons que nous pouvons (maintenant) nous offrir ce luxe. »
Le remplaçant de Babcock à la barre des Red Wings, le pilote recrue Jeff Blashill, a d'ailleurs baigné dans la tradition d'excellence de l'organisation.
Blashill, un Ontarien âgé de 41 ans, a dirigé l'équipe-école des Red Wings, les Griffins de Grand Rapids, pendant trois saisons, remportant le championnat de la Ligue américaine à sa première saison en 2012-13. La saison précédente, il avait fait ses débuts dans l'organisation comme adjoint à Babcock.
Therrien l'acrobate
Pour revenir au Canadien, Therrien doit faire des pirouettes devant les médias afin de marteler l'importance de rester les pieds sur terre et de ne pas s'emballer face à la série de succès de l'équipe.
« C'est très tôt, mais j'aime la composition de l'équipe et l'attitude des gars. Il y a beaucoup de choses qui m'emballent, mais il n'y a que cinq matchs de joués. Je vais laisser les gens exprimer leurs sentiments parce que pour moi la seule chose qui compte, c'est le match de samedi. »
Therrien n'a pas tort après tout. Une séquence de cinq victoires n'est pas si extraordinaire que ça.
Le record de la LNH est de 10 gains en succession pour partir la saison. Il appartient conjointement aux Maple Leafs de Toronto (1993-1994) et aux Sabres de Buffalo (2006-2007).
Le plus surprenant dans l'exploit du CH en ouverture de saison, c'est qu'il n'avait jamais été accompli au cours de la glorieuse histoire de la concession.
La saison dernière uniquement, le Tricolore a connu deux séries de six gains et une autre de cinq. C'est le lot de plusieurs équipes, des plus compétitives en tout cas.
Therrien a insisté sur l'attitude irréprochable de ses troupiers parce que tous font passer les succès de l'équipe avant leur propre gloriole.
« Le temps d'utilisation de plusieurs joueurs a diminué. Certains avaient l'habitude de jouer pendant près de 17 minutes, mais là, ils jouent en moyenne entre 12 et 14 minutes par match. La tarte, je dois la séparer et il n'y a que 60 minutes de jeu par match.
« Ça n'empêche pas les gars d'être productifs à l'attaque, comme on le constate pour David Desharnais. Au contraire, ça nous permet d'envoyer dans la mêlée des joueurs qui ont plus d'énergie. »
Joannette, dans le 1000!
Le match de samedi va marquer le 1000e de la carrière de l'arbitre québécois Marc Joannette.
« C'est un bel accomplissement, a dit Michel Therrien. La longévité est souvent synonyme de compétence. C'est un arbitre respecté à travers la Ligue nationale. J'ai eu de bons moments et de moins bons avec lui, c'est normal avec les arbitres.
« Je me rappelle de ses débuts comme arbitre. C'étaient également mes débuts comme entraîneur, ainsi que ceux d'Alain Vigneault, de Claude Julien et de Bob Hartley. Ça me rappelle de bons souvenirs. »
Joannette, qui fêtera le 3 novembre son 47e anniversaire de naissance, est né à Verdun. Il a fait ses classes dans la LHJMQ, à l'époque où Therrien a dirigé le Titan de Laval.
« Il a fait le saut dans la LNH parce qu'il a survécu aux matchs du lundi soir à Laval », a lancé Therrien à la blague.
Dans la LNH, Joannette a oeuvré en finale de la coupe Stanley pour la première fois en 2008. Il a fait partie du groupe d'arbitres retenus pour les Jeux olympiques de Vancouver en 2010.

Agnieszka Radwanska rejoint Danka Kovinic en finale à Tianjin

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Agnieszka Radwanska
Agnieszka Radwanska (Source d'image: Getty )

La Polonaise Agnieszka Radwanska (6e mondiale) affrontera dimanche la Monténégrine Danka Kovinic (75e) en finale du tournoi WTA de Tianjin.
Samedi en demi-finales, Radwanska a éliminé la Tchèque Karolina Pliskova (15e) 6-3, 6-1, tandis que Kovinic a écarté la Serbe Bojana Jovanovski (90e) 6-4, 6-7 (2), 6-2.

Jelena Jankovic rejoint Angelique Kerber en finale à Hong Kong

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Jelena Jankovic
Jelena Jankovic (Source d'image: PC )

L'Allemande Angelique Kerber, 9e mondiale, sera opposée à la Serbe Jelena Jankovic, 24e, dimanche en finale du tournoi WTA de Hong Kong.
Samedi en demies, Jankovic a éliminé l'Américaine Venus Williams (14e) 6-4, 7-5, tandis que Kerber a écarté l'Australienne Samantha Stosur (28e), 6-2, 6-2.

David Lemieux affronte Gennady Golovkin en combat d’unification samedi à New York

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Une pesée plus difficile pour Lemieux


Francis Paquin
Le RDS.ca vous offrira une description round par round du combat d’unification des poids moyens entre David Lemieux et Gennady Golovkin qui ne commencera pas avant 23 h 30.
NEW YORK - Depuis l’annonce du mégacombat d’unification des poids moyens entre David Lemieux et Gennady Golovkin, les preneurs aux livres et la plupart des spécialistes s’accordent pour dire que le champion kazakh est largement favori pour sortir vainqueur de l’affrontement.
Golovkin est toujours invaincu en 33 combats depuis le début de sa carrière et n’a jamais visité le plancher en ajoutant ses duels disputés chez les amateurs. Mais cela ne veut pas dire pour autant que Lemieux n’a aucune chance de gagner, selon deux experts consultés par le RDS.ca.
« Quand tu es un cogneur, tu as toujours une chance. On dit souvent que la puissance est un raccourci vers la victoire, analyse l’entraîneur de réputation internationale Stéphan Larouche. David Lemieux est sans aucun doute le plus dur cogneur que Gennady Golovkin aura affronté. »
« Ça s’annonce pour être un combat vraiment serré qui se jouera dans les premières minutes, ajoute l’analyste au 98,5 FM Sébastien Gauthier. Un cogneur, tu ne peux jamais sous-estimer ça. L’histoire regorge d’exemples. La puissance de boxeurs comme Lemieux change la donne. »
Les deux experts sont également d’avis que Lemieux ne ressemble en rien au boxeur qui a subi ses deux défaites devant Marco Antonio Rubio et Joachim Alcine en 2011. Bref, il a changé.
« David a fait des choix de vie qui lui ont permis de devenir un athlète professionnel. Le mot professionnel, il l’a adopté, explique Larouche. Il a fait la preuve (pendant son combat de championnat contre Hassan N’Dam) qu’il est capable d’être en bonne condition pour 12 rounds.
« Son entraîneur Marc Ramsay et son gérant Camille Estephan ont créé autour de lui un entourage parfait. Et ce qui est encore mieux, c’est que le combat contre Golovkin se passe dans un beau moment de sa vie. Il sera extrêmement confiant lorsqu’il montera dans le ring. »
« David sera toujours porté sur l’attaque, mais il a appris à prendre le temps de récupérer, continue Gauthier. Il prend le temps de récupérer au lieu de partir en explosion. Golovkin est un finisseur exceptionnel, mais la meilleure défense sera assurément l’attaque pour David. »
Au final, Larouche et Gauthier ont de la difficulté à concevoir que le combat ne se terminera pas par un knock-out. Tous les ingrédients sont réunis pour vivre un moment unique dans l’histoire.
« Ça se compare au deuxième combat entre Marvin Hagler et Tommy Hearns, s’enflamme Larouche. Nous allons vivre ce genre d’émotion! Je crois même qu’il y aura un peu de drame!
« Si le combat devait se décider sur un coup de poing, je prendrais Lemieux. Mais je crois que ça se jouera sur la façon d’amener les coups. Golovkin attaque en angle et peut générer de la puissance des deux mains, tandis que David est peut-être un petit peu plus prévisible. »
« Golovkin a les mains extrêmement pesantes, mais a tendance à chercher le coup précis. Il travaille en qualité plutôt qu’en quantité et ça pourrait jouer contre lui s’il commence le combat en cherchant le coup parfait. Lemieux a une défense améliorée et travaille en volume. »

Les Hurricanes surprennent les Red Wings

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 Mise à jour le samedi 17 octobre 2015 à 0 h 05 HAE  Radio-Canada avec La Presse Canadienne
Les Hurricanes ont infligé aux Red Wings une première défaite cette saison
Les Hurricanes ont infligé aux Red Wings une première défaite cette saison  Photo :  PC/Duane Burleson

Eric Staal et Kris Versteeg ont récolté un but et deux aides chacun et les Hurricanes de la Caroline ont infligé une première défaite aux Red Wings en les battant 5-3, vendredi à Détroit.
À son premier match dans la LNH, Brock McGinn a inscrit un but et une aide, lui qui complétait le trio de Staal et Versteeg. Il a fait bouger les cordages à sa première séquence sur la patinoire, seulement 55 secondes après la mise en jeu initiale.
Cam Ward a eu besoin de faire seulement 17 arrêts pour aider les Hurricanes à signer une première victoire cette saison. À l'autre bout de la patinoire, Jimmy Howard a fait face à un barrage de 36 tirs.
Justin Faulk, en avantage numérique, et Chris Terry ont aussi touché la cible pour les Hurricanes.
Gustav Nyquist et Riley Sheahan ont rendu les choses intéressantes en marquant dans un intervalle de 72 secondes tard en deuxième période pour les Red Wings, réduisant l'écart à 3-2.
Howard a toutefois été incapable de fermer la porte en troisième période.
Teemu Pulkkinen a aussi marqué pour les Red Wings.