samedi 29 août 2015

Damian Warner et Melissa Bishop empochent l'argent

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Mise à jour le samedi 29 août 2015 à 7 h 57 HAE
Damian Warner
Damian Warner  Photo :  GI/Alexander Hassenstein

Les Canadiens Damian Warner et Melissa Bishop ont chacun récolté une médaille d'argent, samedi, aux Championnats du monde d'athlétisme de Pékin.
Warner a maintenu son rythme de croisière pour finalement boucler les 10 compétitions avec un impressionnant cumulatif de 8695 points, une nouvelle marque canadienne.
L'Ontarien de 25 ans avait lui-même réalisé le pointage de référence (8659 points) lors des Jeux panaméricains de Toronto, il y a un mois.
Warner a été devancé par Ashton Eaton (9045 points), également vainqueur en 2013 à Moscou. Le représentant des États-Unis a abattu l'ancien record, qu'il détenait d'ailleurs, par six points.
L'Allemand Rico Freimuth (8561 points) a pour sa part récolté le bronze.
Bishop sur la deuxième marche
Melissa BishopMelissa Bishop  Photo :  GI/Ian Walton
Championne de l'épreuve du 800 m aux derniers Jeux panam, Bishop a cette fois-ci récolté une médaille d'argent.
L'athlète de 27 ans a franchi la ligne d'arrivée en 1 min 58 s 12/100. Neuf centièmes de seconde l'ont séparé de la gagnante, la Bélarussienne Marina Arzamasova (1:58,03).
La championne sortante, la Kényane Eunice Sum (1:58,18), a rejoint Arzamasova et Bishop sur la tribune.
Les trois médaillées ont nettement émergé dans le dernier droit de la course, la Marocaine Rababe Arafi terminant au pied du podium en 1:58,90.
D'autres détails suivront.

Al Arbour est décédé à l'âge de 82 ans

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Al Arbour,

Al Arbour, l'entraîneur qui a fait des Islanders de New York une dynastie dans la LNH avec quatre conquêtes de la coupe Stanley d'affilée dans les années 1980, inspirait immédiatement le respect de ses joueurs et des autres intervenants dans le milieu du hockey.
La communauté du hockey s'est souvenue d'Arbour pour sa personnalité et ses incroyables succès, vendredi, après l'annonce de son décès à l'âge de 82 ans des suites d'une longue bataille avec la maladie de Parkinson et de démence.
Originaire de Sudbury, en Ontario, Arbour a guidé les Islanders à la conquête de la coupe Stanley en 1980, 1981, 1982 et 1983 et il a gagné 19 séries d'affilée en éliminatoires jusqu'en 1984. Aucune équipe n'a remporté trois titres d'affilée depuis lors.
Avec ses 782 victoires, il vient au deuxième rang dans l'histoire de la LNH derrière Scotty Bowman, pour qui il a joué avec les Blues de St. Louis.
« Il était consciencieux, a mentionné Bowman au fil d'une conversation téléphonique. Il avait l'expérience avec les bonnes équipes, il savait ce qu'il faut pour gagner. C'était une personne sensée. Il établissait un plan et vous deviez l'exécuter. »
« C'était un homme que j'admirais beaucoup, autant comme homme que comme entraîneur, a déclaré Jacques Demers. Il s'est toujours comporté avec le plus grand respect. »
Arbour a guidé les Islanders, une équipe d'expansion, aux séries éliminatoires à leur troisième année d'existence seulement et à la conquête de la coupe à leur huitième, sa septième derrière le banc. Il a fait 15 présences en séries éliminatoires et il a dirigé les Islanders pour un total de 1500 matchs, atteignant ce jalon important quand il est sorti de sa retraite pour un dernier match en 2007 à la demande de Ted Nolan.
« C'était un homme extraordinaire, a commenté l'ancien défenseur Denis Potvin, qui a évolué sous les ordres d'Arbour durant 13 de ses 15 saisons dans la LNH. Je ne sais pas s'il y a eu un meilleur entraîneur-chef que lui. Il a été capable de nous garder focus durant cinq ans alors que nous avons gagné 19 séries éliminatoires consécutives. C'est quelque chose d'incroyable qui ne sera jamais répété.
« Avec Al Arbour, aucune situation n'était trop négative pour que ce soit impossible, avec notre énergie et notre volonté, de la tourner en situation positive. C'était quelque chose qu'il nous répétait tout le temps, s'est rappelé Potvin. J'ai gardé cette façon de vivre même 25 ans après la fin de ma carrière dans la LNH. »
« Nous nous souviendrons toujours d'Al comme de l'un des plus grands entraîneurs, sinon le plus grand, dans l'histoire de la Ligue nationale de hockey, a mentionné le directeur général Garth Snow dans un communiqué. Les Islanders de New York ont remporté quatre coupes Stanley, en grande partie grâce aux efforts incroyables d'Al.
« De ses méthodes d'entraînement novatrices, à son humble manière de vivre en dehors du hockey, Al est l'une des raisons pour lesquelles les Islanders de New York forment une concession historique. Au nom de toute l'organisation, nous transmettons nos plus sincères condoléances à toute la famille Arbour. »
Arbour, qui a également dirigé les Blues en partie pendant trois saisons, a été admis au Temple de la renommée du hockey dans la catégorie des bâtisseurs en 1996.
L'ancien attaquant des Islanders, Ray Ferraro, se rappelle autant d'Arbour comme personne que comme entraîneur à succès. Il conserve de bons souvenirs de la saison 1993 lorsque les Islanders ont eu raison des Penguins de Pittsburgh de Bowman en séries éliminatoires.
« Il était très ferme et très exigeant, mais il était tellement juste que je ne sais pas comment vous pourriez vouloir jouer pour quelqu'un d'autre, a déclaré Ferraro au téléphone. Il ne paniquait jamais, était toujours convaincu d'avoir raison, mais sans être un dictateur. »
Ses quatre coupes Stanley d'affilée ont beau être impressionnantes, ses 19 séries victorieuses de suite en éliminatoires demeurent l'un des records les plus inaccessibles du sport.
« Je pense que c'est un record qui ne sera pas brisé, a déclaré Bowman en riant. Il est difficile de gagner deux coupes d'affilée et ça signifie de gagner huit séries. Alors je pense que ce record est en sécurité. »
Comme défenseur, Arbour a contribué à gagner quatre championnats avec les Red Wings de Detroit, les Blackhawks de Chicago et les Maple Leafs de Toronto. Et il a été le premier capitaine des Blues. Il a disputé 626 matchs et il a été l'un des derniers joueurs à porter des lunettes sur la patinoire.
Bowman s'est souvenu d'Arbour comme d'un excellent spécialiste pour bloquer les tirs et un solide capitaine.
« Il était le joueur le plus compétitif. »
Arbour a pris part à 86 matchs éliminatoires comme joueur et à 209 autres comme entraîneur. Il a mené les Islanders à 15 présences dans les éliminatoires pendant son séjour à la barre de l'équipe.
Ferraro, qui a rendu visite à Arbour à Sarasota, en Floride, le printemps dernier avec ses anciens coéquipiers Pat Flatley, Glenn Healy et d'autres, a mentionné que son histoire favorite du légendaire entraîneur s'est produite en 1993.
Ferraro effectuait un retour au jeu après avoir été tenu à l'écart en raison d'une blessure à la cheville et quand son jeu n'a pas été la hauteur, Arbour l'a fait venir dans son bureau avec trois matchs à jouer avant les séries éliminatoires.
« "Il m'a dit, 'Seagull, tu as trois matchs pour passer à l'action. Si tu ne le fais pas, tu vas aller t'asseoir avec (mon épouse) Claire, et elle a occupé les mêmes sièges pendant 22 ans', s'est rappelé Ferraro. Je suis resté là et il a dit, 'C'est tout.' Il m'a offert l'occasion de bien jouer et il a ajouté que si ce n'était pas le cas, alors je vais faire appel à quelqu'un d'autre.
« J'ai réussi 13 buts en 18 matchs en séries cette année-là. Il m'a donné une opportunité. Et j'ai toujours trouvé qu'il était juste. »

Atteint de la maladie d'Alzheimer, l'état d'Henri Richard s'est aggravé

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Publié par Jacques Thériault pour 98,5fm Sports le vendredi 28 août 2015 à 23h34. Modifié à 23h53.
Atteint de la maladie d'Alzheimer, l'état d'Henri Richard s'est aggravé
canadiens.nhl.com
(98,5 Sports) - Dans une touchante chronique publiée dans le Journal de Montréal, le journaliste Pierre Durocher nous apprend que l'état de santé d'Henri Richard s'est détérioré depuis quelque temps. Le «Pocket Rocket», frère cadet du grand Maurice Richard, est en effet atteint de la terrible maladie d'Alzheimer.
Pierre Durocher s’est entretenu avec quelques-uns des anciens coéquipiers du numéro 16, gagnant de 11 coupes Stanley dans le cadre su tournoi de golf Hector «Toe» Blake. Celui qui a mené le Canadien à la conquête de 5 coupes Stanley consécutives de 1956 à 1960 a succombé à la maladie en 1995.

Outre Henri Richard, il ne reste plus que Dickie Moore, Don Marshall et Jean-Guy Talbot à avoir été des 5 conquêtes.

Âgé de 84 ans, Dickie Moore, prolifique marqueur en son temps, a trouvé la dernière année particulièrement difficile en raison des décès de plusieurs anciens Canadiens, notamment du grand capitaine Jean Béliveau.

Les 11 titres d’Henri Richard constituent un record qui ne sera probablement jamais battu, compte tenu du nombre d’équipes et de la parité dans la Ligue nationale de hockey. Le Canadien a retiré le numéro le 16 en 1975 et il est entré au Temple de la Renommée en 1979.

Le tournoi des célébrités Hector «Toe» Blake, créé en 1994 a, depuis, amassé 1,3 million $ qui ont été versés à la Société Alzheimer Montréal

(Avec journaldemontréal - Pierre Durocher)

Le but gagnant de la coupe Stanley en 1971


Peter Budaj au camp des Kings

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Peter Budaj
Peter Budaj (Source d'image: Getty )

Peter Budaj tentera un retour dans la Ligue nationale de hockey.
L'ancien gardien du Canadien de Montréal et de l'Avalanche du Colorado a été invité au camp d'entraînement des Kings de Los Angeles.
Budaj a disputé 19 matchs avec le club-école des Jets de Winnipeg la saison dernière.
Le gardien slovaque compte 124 victoires au cours de sa carrière de neuf saisons dans la LNH.

Nordiques : Le Fonds FTQ étudiera toute demande de financement

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Centre Vidéotron
Centre Vidéotron (Source d'image: RDS )

QUÉBEC - Le Fonds de solidarité FTQ est intéressé par le projet de retour des Nordiques, a déclaré vendredi un porte-parole de l'organisme.
Aucune requête formelle n'a été transmise par le promoteur du projet, le conglomérat Québecor, mais le président et chef de la direction du Fonds, Gaétan Morin, étudiera toute demande d'investissement avec "un grand intérêt", a affirmé Patrick McQuilken, conseiller principal aux relations de presse et aux communications.
« On va regarder ça avec un grand intérêt parce qu'on reconnaît la valeur en développement économique et en création d'emplois, a-t-il dit. Mais il faut vraiment analyser le dossier en bonne et due forme. »
Le Fonds FTQ détient déjà des participations dans deux équipes sportives montréalaises, le club de hockey Canadien et l'équipe de soccer l'Impact. Le fonds de travailleurs a déjà également investi dans le club de baseball des Expos de Montréal, ainsi que dans les Nordiques de Québec, jusqu'à leur déménagement au Colorado en 1995.
« C'est un secteur que l'on connaît bien, c'est un secteur qui a des retombées économiques, a dit M. McQuilken. Mais on regarde chaque dossier à sa valeur. »
Plus tôt cette semaine, après avoir rejeté l'hypothèse que des subventions gouvernementales faciliteraient le retour des Nordiques, le chef du Parti québécois et actionnaire de contrôle de Québecor, Pierre Karl Péladeau, a évoqué le Fonds de solidarité de la FTQ, ainsi que la Caisse de dépôt et placement, en les identifiant comme des investisseurs institutionnels potentiels dans une concession de la Ligue nationale de hockey.
Le vice-président aux affaires publiques de Québecor, Martin Tremblay, a réagi positivement, vendredi, à l'intérêt du Fonds de solidarité FTQ.
« Nous sommes très heureux de l'intérêt que porte le Fonds de solidarité FTQ à ce projet, a-t-il écrit dans un courriel. Nous tenons toutefois à réitérer que nous n'avons eu aucune discussion formelle avec des partenaires potentiels et que Québecor est le promoteur unique soumis à la LNH dans le cadre de son dossier de candidature. »
La Caisse de dépôt et placement, une société d'État, a refusé de commenter, vendredi, toute éventualité d'un investissement dans le projet d'équipe de la LNH porté par Québecor.
L'entreprise a annoncé il y a une semaine que sa candidature au projet d'expansion de la LNH avait franchi une troisième étape, qui servira vraisemblablement à l'étude de son plan d'affaires par les dirigeants du circuit de hockey professionnel.
En septembre dernier, le premier ministre Philippe Couillard avait ouvert la porte à un partenariat financier pour le retour des Nordiques. M. Couillard avait cependant précisé que cela serait exclu avant le retour de l'équilibre budgétaire prévu d'ici la fin de mars 2016.
Vendredi, M. Péladeau a effectué sa première visite de l'amphithéâtre de Québec, géré par Québecor, à quelques jours de l'inauguration officielle de l'édifice, prévue début septembre.
Le chef péquiste avait été invité par le réseau TVA, une filiale de Québecor, à l'occasion de l'enregistrement d'une entrevue en compagnie du maire de Québec, Régis Labeaume, et de l'ancien premier ministre Jean Charest, qui ont tout comme lui été associés au projet à ses débuts.
Quand il était premier ministre, M. Charest a annoncé un financement de 50 pour cent des coûts pour la construction de l'amphithéâtre, en partenariat avec le Ville de Québec qui a défrayé le reste. M. Labeaume a récemment annoncé que le coût s'élèverait finalement à 370 millions $ au total.
L'attaché de presse péquiste Bruno-Pierre Cyr a affirmé que M. Péladeau n'avait pas été invité à titre de chef de l'opposition officielle.
« C'est à titre de responsable du projet d'amphithéâtre, quand il était chez Québecor », a-t-il dit.
Après avoir été accusé cette semaine de se placer en situation de conflit d'intérêts parce qu'il avait évoqué d'éventuels partenariats entre Québecor et la Caisse, M. Péladeau a mis ses adversaires libéraux au défi de tirer les mêmes conclusions avec son passage au Centre Vidéotron, vendredi.
« La machine (des relations publiques) du gouv(ernement) libéral Couillard s'active. Elle m'accusera de conflit d'intérêts », a-t-il écrit sur son fil Twitter en publiant une photo de lui devant l'édifice.
Le ministre de la Santé, Gaétan Barrette, a effectivement tiré la conclusion attendue par M. Péladeau, dans une réaction diffusée sur également sur Twitter.
« (Le) chef du PQ au centre de la glace de SA compagnie n'est pas l'apparence mais la démonstration d'un conflit d'intérêts », a-t-il écrit.
Guillaume Simard-Leduc, attaché de presse du cabinet du chef caquiste François Legault, a quant à lui soulevé la question de la confusion entretenue par M. Péladeau entre ses rôles de chef péquiste et d'actionnaire de contrôle de Québecor.
M. Simard-Leduc a relevé que M. Péladeau a multiplié les références écrites au Parti québécois dans ses messages sur Twitter où il publicisait son passage à l'amphithéâtre.
« Sur sa page Twitter, son outil de promotion comme personnage politique, de son parti, de son option, il le présente comme étant lié au Parti québécois, donc en partant il y a une confusion des genres qu'il doit absolument clarifier », a-t-il dit en entrevue.

Simon Larose croit que Connors peut aider Bouchard par sa fougue et sa passion

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Eugenie Bouchard a étonné plusieurs observateurs par son choix de faire équipe avec l'Américain Jimmy Connors, une légende du tennis masculin, afin de l'aider dans sa préparation à l'aube des Internationaux de tennis des États-Unis.
Pour Simon Larose, entraîneur à Tennis Canada, cette union ne peut certainement pas nuire, même s'il ne faut pas l'envisager comme une association à poursuivre dans une perspective de long terme.
« Rendu là où elle est, ça vaut le coup d'essayer pour Eugenie. Elle m’a l’air d’avoir perdu son aplomb, son désir de se battre sur chacun des points, et c’est attribuable à plusieurs facteurs, dont un manque de confiance », a-t-il évalué lors d'une entrevue accordée à RDS.
« Jimmy Connors est un gars très extraverti et passionné, a-t-il poursuivi. Ça se peut qu’il soit en mesure de lui transmettre ça. On sait qu’avec (Maria) Sharapova, ça n’avait pas duré bien longtemps (à peine une semaine). On verra s’il a appris de cela. Chose certaine, il est un passionné, et c’est ça qu’elle va essayer d’aller chercher de lui. »
Trop de changements?
L'ancien joueur du circuit ATP ne se gêne pas pour affirmer que le manque de stabilité de la Montréalaise à travers ses choix d'entraîneurs contribue négativement à l'amélioration de ses résultats sur les courts.
« Personnellement, je privilégie le long terme. Depuis sa jeunesse, Eugenie a changé souvent de coach. Ç’a fonctionné par le passé, mais est-ce que ça peut encore être la solution? Je ne crois pas. Elle doit s’entourer de quelqu’un qui sera là tous les jours. Ça prend quelqu'un en qui elle a confiance, et non une personne qui ne sera pas que le temps d'un mois », a martelé Simon Larose.
Après un court partenariat avec Sam Sumyk plus tôt cette année, Bouchard s'est tournée vers le Serbe Marko Dragic, avec qui elle avait déjà collaboré par le passé, toujours dans l'objectif de retrouver le droit chemin. Selon Larose, les changements fréquents de la dernière année n'aident en rien le manque de constance ayant caractérisé sa saison 2015 sur le circuit WTA.
« Elle ressent de la pression. Elle a monté très rapidement, et elle n’a pas suivi le cheminement idéal pour rejoindre les meilleures au monde. En faisant bien dans les tournois majeurs sans nécessairement connaître de succès dans les autres tournois d’importance, elle a sauté des étapes », a-t-il analysé.
Maintenant qu'elle a connu la médiocrité, la joueuse de 21 ans ne peut que se retrousser les manches pour retrouver sa forme d'antan, et surtout les victoires qui l'accompagnaient. Pour ce faire, elle devra croire fermement en sa capacité de renouer avec ce qui faisait d'elle une joueuse redoutable lorsqu'elle était membre du top-10 mondial.
« Eugenie va se remettre en place. C’est une personne qui travaille extrêmement fort et qui aime le tennis. Elle est bien entourée avec Tennis Canada et ses agents, donc ça va bien aller mais c’est vrai qu’en ce moment, elle passe un dur moment », a conclu Larose.