mercredi 17 juin 2015

Eugenie Bouchard va affronter Kristina Mladenovic mercredi

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Eugenie Bouchard
Eugenie Bouchard (Source d'image: PC )

L'adversaire de deuxième ronde d’Eugenie Bouchard au tournoi de Birmingham sera Kristina Mladenovic.
Cette dernière a battu Alison Riske 6-3, 7-6 (7) lors de son match de premier tour mardi.
Il y a quelques semaines, Bouchard s’était inclinée en deux sets de 6-4, 6-4 contre la Française d’entrée de jeu à Roland-Garros. Elle aura donc la chance de se reprendre demain, sur gazon cette fois.
La Québécoise a été éliminée dès son premier match de double qu’elle disputait en compagnie de Svetlana Kuznetsova hier.

L’attaque du Lightning ressemblait à celle du Canadien!

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Steven Stamkos
Steven Stamkos (Source d'image: PC )

Roger Leblond
Il ne faut pas chercher d’excuses, c’est l’attaque qui a fait en sorte que le Lightning de Tampa Bay a été éliminé dans la finale de la Coupe Stanley, car leurs joueurs n’ont pas été très productifs dans cette série.
En effet, la formation dirigée par Jon Cooper ressemblait beaucoup à celle du Canadien de Montréal, étant incapable de marquer régulièrement, sans oublier que son jeu de puissance a été anémique.
Lors des six matchs de la finale, face aux Blachkawks de Chicago, le Lightning n’a marqué que 10 buts, une anémique moyenne de 1,67 but par rencontre et cette fiche est encore pire que celle du Canadien, qui avait marqué seulement 25 buts dans ses 12 matchs éliminatoires (une moyenne de 2,08), 12 dans les six matchs de la première série, face aux Sénateurs d’Ottawa et 13 dans les six rencontres, de la deuxième série, contre le Lightning.
Pis, le jeu de puissance de la troupe de Jon Cooper a été tout simplement lamentable, n’ayant marqué qu’un but en 13 occasions, une efficacité de 7,69%, lors des six rencontres, comparativement à un rendement de 5,56%, pour le Canadien, qui n’a marqué que deux maigres buts en 36 occasions, lors de ses 12 rencontres éliminatoires.
Pourtant, le Lightning a dominé la LNH lors du calendrier régulier, ayant réussi 262 buts en 82 matchs (un de plus que les Stars de Dallas), une moyenne de 3,20 par rencontre, alors que dans les séries, il n’a marqué que 65 buts en 26 rencontres, une moyenne de 2,50 par rencontre.
Il a réussi 17 buts dans les sept matchs (moyenne de 2,42) de la première série contre les Red Wings de Detroit, 17 buts dans les six matchs (moyenne de 2,83) de la deuxième série contre le Canadien de Montréal, 21 buts dans les sept rencontres (moyenne de 3,00) de la finale de l’Association de l’est contre les Rangers de New York et 10 buts dans les six matchs (moyenne de 1,67), dans le six rencontres jouées contre les Blackhawks de Chicago, dans la grande finale.
Le capitaine Steven Stamkos n’a pas été en mesure de produire d’une manière régulière et il a été lamentable et aussi malchanceux dans la finale, car il n’a pu faire mieux qu’un dossier de 0-1-1 avec un différentiel de moins un dans les six matchs disputés contre les Blackhawks, lui qui a frappé quelques poteaux et qui a été victime de quelques bons arrêts de la part du gardien Corey Crawford, lors des dernières parties.
Le plus drôle est le fait que le Lightning a excellé en défense, ne concédant que 13 buts lors des six rencontres de la finale, une moyenne de 2,17 par rencontre et les gardiens Ben Bishop (malgré une blessure) et la recrue Andrei Vasilevkiy ont été efficaces, permettant à l’équipe d’avoir une chance de triompher dans les six rencontres.
Mais, nous le constatons plus que jamais, le jeu est toujours plus serré dans les séries éliminatoires que durant le calendrier régulier, sans oublier que les équipes affrontent toujours des adversaires qui sont dans l’ensemble très puissants.
Les Oilers d’Edmonton avaient aussi été victimes d’une telle chose en 1982-1983
Le Lightning de Tampa Bay a constaté qu’il est difficile de marquer des buts contre les équipes qui excellent défensivement et son rendement ressemblait à celui qu’avaient présenté les Oilers d’Edmonton, lors de leur participation à la finale de 1982-1983, alors qu’ils avaient été neutralisés par les Islanders de New York.
Les Oilers, qui avaient marqué pas moins de 424 buts lors des 80 matchs réguliers, une moyenne de 5,30 buts par match et 74 buts lors des 12 premiers matchs disputés lors de leurs trois premières séries éliminatoires, une très haute moyenne de 6,17 par match, avaient été limités à seulement six buts dans leurs quatre matchs joués contre les Islanders de New York, dans la finale, une anémique moyenne de 1,50 par rencontre.
Suite à cet échec en quatre matchs (0-4), ils avaient pris leur envol lors de la saison 1983-1984 et ayant de nouveau été confrontés aux Islanders de New York lors de la finale de la Coupe Stanley, ils avaient explosés, marquant pas moins de 21 buts dans les cinq rencontres, une moyenne de 4,20 par match et ils avaient mis fin au règne des Islanders, qui avaient gagné l’honneur lors des quatres années précédentes.
C’est surtout à compter de la troisième partie que les Oilers avaient retrouvé leur élan irrésistible, car ils avaient réussi un total de 19 buts, eux qui avaient gagné le premier duel 1-0 et perdu le deuxième 6-1, au Nassau Coliseum, avant de triompher respectivement 7-2, 7-2 et 5-2, lors des trois parties suivantes, au Northlands Coliseum.
Les Oilers avaient été limités à seulement huit buts lors de leurs six premières parties à vie en finale de la Coupe Stanley, mais avaient eu 19 buts lors des trois suivantes.
Wayne Gretzky n’avait pas marqué et Ken Morrow avait explosé !
Pour illustrer jusqu’à quel point la finale de 1982-1983 avait été particulière, il faut souligner que la super-vedette Wayne Gretzky, des Oilers d’Edmonton avait été incapable de marquer un but, affichant un dossier de 0-4-4 en quatre matchs, alors que l’effacé défenseur Ken Morrow, des Islanders de New York, avait marqué trois buts, affichant un rendement de 3-2-5 dans les quatre parties !
En 1983-1984, tout était revenu à la normale, car dans la finale de cinq rencontres, Gretzky avait eu un dossier de 4-3-7, alors que Morrow avait eu une fiche de 0-1-1.
C’est à compter de ce moment-là que les Oilers d’Edmonton ont amorcé leur domination, gagnant la Coupe Stanley cinq fois sur une période de sept saisons, alors qu’ils avaient également mis fin au règne des Islanders, qui n’ont jamais participé à la finale depuis cette campagne.
FINALE DE LA SAISON 1982-1983
ISLANDERS DE NEW YORK 4 - OILERS D’EDMONTON 0
10 mai 1983-Islanders de NY 2 à Edmonton 0
12 mai 1983-Islanders de NY 6 à Edmonton 3
14 mai 1983-Edmonton 1 à Islanders de NY 5
17 mai 1983-Edmonton 2 à Islanders de NY 4
FINALE DE LA SAISON 1983-1984
OILERS D’EDMONTON 4 - ISLANDERS DE NEW YORK 1
10 mai 1984-Edmonton 1 à Islanders de NY 0
12 mai 1984-Edmonton 1 à Islanders de NY 6
15 mai 1984-Islanders de NY 2 à Edmonton 7
17 mai 1984-Islanders de NY 2 à Edmonton 7
19 mai 1984-Islanders de NY 2 à Edmonton 5

Les Warriors remportent le championnat de la NBA

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Publié par Léandre Drolet pour 98,5fm Sports le mardi 16 juin 2015 à 23h43. Modifié par Charles Payette le mercredi 17 juin 2015
Les Warriors remportent le championnat de la NBA
Andre Iguodala a connu un fort match pour les Warriors./AP
CLEVELAND - LeBron James a livré une autre solide performance, mardi soir, mais ce ne fut pas suffisant pour donner à la ville de Cleveland un premier championnat en plus d'un demi-siècle.
Menés par Stephen Curry et Andre Iguodala et par une profusion d'opportuns paniers de trois points au quatrième quart, les Warriors de Golden State ont remporté le championnat de la NBA grâce à une victoire de 105-97 face aux Cavaliers.

Curry, le joueur par excellence de la saison régulière dans la NBA, a également obtenu 25 points, dont 13 au quatrième quart, coupant tout espoir de remontée des Cavaliers.

Iguodala, qui a été nommé le joueur par excellence des séries, a également contribué à la victoire des Warriors en ajoutant 25 points.

Dans la défaite, James a récolté 32 points, 18 rebonds et ajouté neuf mentions d'aide, tout ça en un peu moins de 47 minutes de jeu.

Pour les Warriors, il s'agit d'un premier championnat en 40 ans, et du quatrième de leur histoire.

De leur côté, les Cavaliers participaient à une deuxième finale, ayant été balayés par les Spurs de San Antonio en 2007.

Les Warriors dominent

Grâce à une poussée de huit points sans riposte lors des deux dernières minutes du premier quart, les Warriors se sont bâti une avance de 28-15 après les 12 premières minutes de jeu.

Lors de cette première période, Curry a récolté neuf points pendant que James était limité à seulement quatre points.

Mais les Cavaliers ont renversé la vapeur au deuxième quart. James a mené la charge avec 11 points, pendant que Curry ne pouvait faire mieux que deux points, et à la demie, les Warriors avaient vu leur avance réduite à deux points, 45-43.

Les Cavaliers ont enchaîné avec les quatre premiers points du troisième quart, mais des paniers de trois points de Harrison Barnes et Draymond Green ont contribué à une séquence où les visiteurs ont obtenu 16 des 20 points suivants, pour se forger une priorité de 61-51.

Les Warriors ont maintenu la cadence et après le troisième quart, ils menaient 73-61.

Pourtant, James et ses coéquipiers ont redonné espoir à leurs partisans au début du quatrième quart et se sont approchés jusqu'à sept points de leurs rivaux dans les premières minutes du quatrième quart.

Mais deux paniers de trois points de Curry, deux par Iguodala, et un autre par Klay Thompson ont propulsé les Warriors vers une avance de 92-77 avec moins de six minutes à jouer.

Et lorsque l'on sait que les Warriors ont affiché un dossier de 57-0 cette saison à partir du moment où ils ont détenu une avance de 15 points lors d'un match, même les plus optimistes parmi les partisans des Cavaliers se doutaient que la remontée miracle ne se produirait pas.

Les Warriors ont enlevé les honneurs de la série finale 4-2 qui s'est terminée devant des partisans déçus à Cleveland.

Glendale est prête à négocier un nouveau bail avec les Coyotes

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Publié par Associated Press le mercredi 17 juin 2015 à 01h03. Modifié par Charles Payette à 07h36.
Glendale est prête à négocier un nouveau bail avec les Coyotes
coyotesnhl.com
GLENDALE, Arizona - Les autorités de Glendale se disent prêtes à négocier un nouveau bail avec les Coyotes de l'Arizona.

La décision du conseil de ville d'annuler le contrat est liée à un cas de conflit d'intérêt. «Une question de respect de la loi et la ville a une obligation envers la loi et ses citoyens, selon Tom Duensing, directeur général adjoint par intérim de Glendale.
La ville veut garder les Coyotes et souhaite que l'équipe obtienne du succès, mais Duensing soutient que sa cause a du mérite et que les faits le prouveront, éventuellement.

Le bail est bon selon les Coyotes
Dans un bref communiqué, le groupe de propriétaires des Coyotes a fait savoir qu'il comptait respecter le bail signé en 2013, et il s'attend à ce que la ville fasse de même.

La semaine dernière, les membres du conseil de ville ont voté majoritairement en faveur de la résiliation du bail de 15 ans avec les Coyotes, évalué à 225 millions $. Ils ont invoqué un cas de conflit d'intérêt impliquant deux anciens employés de la ville de Glendale qui ont quitté leur position pour aller travailler avec l'équipe.

Vendredi, un juge de la Cour supérieure du comté de Maricopa a émis une injonction provisoire qui empêche la ville de Glendale de résilier le bail.

Le litige a relancé les rumeurs de déménagement des Coyotes, et il semble qu'une ville ait manifesté son intérêt. Si les Coyotes ne pouvaient demeurer à Glendale, la ville de Phoenix aurait déjà commencé à établir les bases pour faciliter le retour de l'équipe dans l'aréna du centre-ville où évoluent les Suns de Phoenix de la NBA.

Les Coyotes ont joué dans cet édifice après leur déménagement de Winnipeg, en 1996. L'aréna de Glendale a été inaugurée en 2003.