jeudi 14 mai 2015

Le frère cadet des Subban s’entend avec les Canucks

http://www.journaldequebec.com/

Belleville Bulls v Mississauga Steelheads
PHOTO AFP

AGENCE QMI
MISE à JOUR 
VANCOUVER |  Le défenseur Jordan Subban a signé son premier contrat professionnel, jeudi, avec les Canucks de Vancouver.
Subban a récemment complété sa quatrième saison avec les Bulls de Belleville, une équipe de la Ligue de hockey junior d’Ontario qui avait aussi vu évoluer ses grands frères P.K. et Malcolm.
L’arrière de 20 ans a terminé au premier rang de son équipe pour les buts marqués (25), les filets en avantage numérique (8) et les points (52) en 63 parties régulières. Il a ensuite touché la cible trois fois en quatre rencontres éliminatoires.
Sur son compte Twitter, Subban s’est permis d’exprimer son enthousiasme: «Tellement excité de signer aujourd’hui mon premier contrat dans la Ligue nationale! C’est génial de faire officiellement partie de la famille des Canucks!»
L’athlète de 5 pi et 9 po et 185 lb a été choisi au quatrième tour, le 115e au total, par Vancouver lors du repêchage de 2013.

Les 10 commandements de Marc Bergevin

http://www.danslescoulisses.com/fr/l

Publié le 13 mai 2015 à 19:30 par

Tony "Ken" Patoine

DLC vous a parlé des 12 travaux, cet après-midi… Je vais pour ma part y aller avec les 10commandements de Marc Bergevin!
Carey Price a beau nous faire sa meilleure imitation d’Oskar Schindler et nous dire qu’il aurait pu « en sauver plus », il demeure qu’il n’est nullement à blâmer pour ce revers (annoncé) en 6  contre Tampa Bay.
Bon, on sait que Bergevin parlera à son groupe d’entraîneurs et qu’il l’évaluera. On sait aussi qu’il fera la même chose avec chacun des joueurs de la formation.
Mais, plus précisément, quelles seront les tâches impératives qui devraient l’attendre cet été?
Voici les 10 commandements de Bergevin!
1. S’entendre avec Jeff PetrySi vous et moi avons remarqué la qualité du jeu de Petry il y a sans doute une majorité de DG de la LNH qui ont vu la même chose. Petry n’est pas parfait – parfois il laisse trop d’espace à l’adversaire en entrée de zone – mais, règle générale, c’est tout un défenseur. Un très bon 3e défenseur dans la plupart des équipes.  Une priorité. Sans lui, ou un défenseur équivalent, il n’y a pas de fenêtres d’opportunités dans les prochaines années.
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« Ne me quitte pas! »
2. Régler le problème au centre
Après les dernières séries, il est difficile de s’imaginer que Bergevin nous présentera encore la même ligne de centre la saison prochaine. Ç’a été dit à maintes reprises ; le CH ne pourra jamais espérer gagner la Coupe avec les centres en place, aussi bien en échanger un ou deux pendant qu’ils ont encore une certaine valeur. Plekanec en sera à sa dernière année de contrat. Il en restera deux à Desharnais. Quant à Eller, malgré des séries très honnêtes, il vient de connaître une autre saison décevante. En séries 2015, les trois pivots ont combiné un gros 10 points en 35 matchs. C’est lamentable. Il faudra donc garder un œil ouvert sur le marché des transactions, il y a peut-être des solutions à l’externe. Des solutions comme Evgeny Malkin (28 ans, 9,5M$), que connaît bien Michel Therrien, ou encore, Joe Thornton (35 ans, 6,75 M$ pour encore deux ans), par exemple… Bergevin se tiendra au courant du prix à payer, soyez-en presque assurés.
3. Choisir une chaise dans le dossier Galchenyuk
Il nous a montré quelques beaux flashs en 2014-2015 mais est-ce que Galchenyuk ne représenterait pas justement LA solution au centre pour la suite des choses? C’est ce que plusieurs souhaitent, à commencer par les dirigeants du club probablement. À 21 ans, à sa quatrième saison, Galchenyuk devrait être en mesure de prendre le flambeau. Mais pour cela, Bergevin et Therrien devront lui serrer la vis un peu. Galchenyuk doit se présenter au camp dans une forme exceptionnelle. Pour lui, tout partira de là, car, on l’a vu,  plus la saison avançait moins il avait d’énergie et de force. Si jamais on s’intéressait à, disons, Malkin et que l’on croyait plus vraiment à Galchenyuk, ce dernier sera possiblement le premier nom en haut de la liste des demandes de Jim Rutherford à Pittsburgh, à moins qu’il ne soit davantage intéressé par Pacioretty… Bien sûr dans un cas comme dans l’autre, il faudra passer au moins un autre gros salarié aux Penguins…

4. S’entendre avec ce même Galchenyuk (s’il y a lieu de le faire)
Bien sûr, si Galchenyuk est une partie intégrante de la solution dans l’esprit des dirigeants – et c’est probablement le cas – Bergevin aura à s’entendre avec lui. Deux options : un contrat passerelle de deux ans autour de 3,5 millions par année ou un contrat à plus long terme, disons de 5 ans à 5 M$ par année. Dans les deux cas, Bergevin en sortirait gagnant, mais miser un peu plus sur la première option…
5. S’entendre avec Torey Mitchell… Flynn?
Mitchell, qui n’a que 29 ans, a été une des belles prises du deadline cet hiver et Bergevin, sans que ce ne soit une priorité,  pourrait facilement lui faire signer un contrat de valeur avoisinant 1 M$ par saison. Les centres droitiers ne pleuvent pas dans l’organisation – il y a lui et Flynn – et des deux Mitchell, qui est UFA, semble être celui qui cadre le plus dans le rôle recherché. De son côté, Flynn est « avec restrictions » donc, Bergevin peut lui faire signer une entente pour une bouchée de pain, s’il le désire. Flynn ne gagnait que 650 000$ l’hiver dernier. Une police d’assurance ou un throw  in intéressant dans un échange…
6. Faire de la place pour quelques jeunes à l’attaque (le cas échéant)
Autant Bergevin doit consolider la position de centre droitier avec des Mitchell et/ou des Flynn, autant il doit penser aux Andrighetto, Hudon et Thomas, qui attendent de l’autre côté de la porte, sans oublier les McCarron et Scherbak qui pourraient tout simplement la défoncer dès l’automne. Mais c’est justement à l’automne que Bergevin fera cette place pour un ou des jeunes s’il les juge assez mûrs. C’est ici que des gars comme Parenteau, Flynn, Smith-Pelly (s’il arrive dans une forme de jambon), voire même des Prust et des Weise, s’ils connaissent dans camps de misère, pourraient être (assez facilement) échangés ou se retrouver au ballottage.
7. Échanger Alexei Emelin… ou pas?Il y a le salaire de 4,1 M$ pour encore trois ans qui est à considérer. Mais il y a aussi qu’à 28 ans, le meilleur d’Alexei Emelin est peut-être toujours devant lui et que le principal intéressé vient encore de connaître d’assez bonnes séries. Puis, il y a le petit détail que Tinordi, que l’on croyait capable d’occuper son rôle à moindre coût,  n’a encore rien montré de très encourageant à l’organisation et qu’à ce stade, son papa et lui, ne demanderaient pas mieux qu’un échange. Il y a cependant, toujours du côté gauche, un certain Beaulieu qui pourrait occuper un plus gros rôle et le mobile Mac Bennett qui pointe à l’horizon, malgré un départ somme toute assez timide à Hamilton. Emelin demeure un joueur remplaçable et s’il y a de l’intérêt pour lui – et il pourrait très bien y en avoir – Bergevin sera TRÈS à l’écoute. Ça pourrait aider la signature de Petry. Mais il faudra peut-être alors oublier les trois duos gaucher-droitier et s’en remettre un peu plus à Gilbert et Pateryn sur la dernière paire. Ça se fait.
8. Régler le problème de l’avantage numérique
Si Michel Therrien ne devrait pas trop se sentir menacé par le nombre (et la qualité) impressionnant des candidats disponibles cet été, peut-on en dire autant de Daniel Lacroix, le responsable de l’avantage numérique? Être Bergevin, à moins que le dossier soit déjà réglé dans sa tête, dans un sens comme dans l’autre,  j’aurais une sérieuse discussion avec le principal intéressé, genre, « quelles solutions proposes-tu mon Dan? » Cela dit, que Daniel Lacroix ait ses torts dans les insuccès du PP, ou non, ou plus ou moins, Bergevin doit identifier un attaquant capable d’améliorer l’avantage numérique. Brière et Parenteau ont été des échecs ces deux dernières saisons à ce chapitre. Est-ce qu’il y a quelque chose d’intéressant sur le marché des échanges ou des UFA? Est-ce que la solution est à l’interne? Galchenyuk et Eller sont-ils capables de naviguer le « bureau de Kovalev »? Vraiment pas sûr… Charles Hudon, Scherbak, voire Reway pourraient-ils surprendre dès l’an prochain? Pas évident. Surtout pour Reway qui devrait poursuivre l’aventure tchèque pour une autre saison. Dommage, car du lot, c’est lui que j’aime le plus en PP

9. S’entendre avec Nathan Beaulieu
Encore ici, ça sent le contrat passerelle à plein nez.  Le potentiel optimal de Beaulieu, qui aura 22 ans en décembre prochain, demeure un mystère pour à peu près tout le monde. Quelques flashs par-ci, par-là de deuxième défenseur en puissance, puis d’autres de 4e défenseur « correct ». Donnons-lui encore deux ans pour établir sa vraie valeur, c’est ce que son agent et Bergevin finiront probablement par se dire. À moins que Beaulieu ne fasse partie d’un échange impossible à refuser, évidemment…
10. Appeler Peter Chiarelli à Edmonton…
Mathias Brunet m’a pris de vitesse sur celle-là! J’ai constaté qu’il a eu la même idée que moi pendant que je mangeais mon pita ce midi… Mais bon, Bergevin, comme plusieurs autres DG risque de passer une bonne partie de son été au téléphone avec Chiarelli. Je ne sais pas si ce dernier était son grand ami lors de son règne à Boston, mais il serait grand temps qu’il le devienne! C’est simple, avec l’arrivée de McDavid, Edmonton a juste trop d’options intéressantes capables de régler les problèmes du CH à l’attaque et pouvant leur permettre de régler leur propres problèmes. Un ailier droit de qualité? Eberle ou Yakupov. Un joueur de centre de premier plan? Nugent-Hopkins ou Draisaitl. Un ailier gauche? Hall. Avec ses jeunes attaquants et ses quelques défenseurs appétissants pour les Oilers, en plus d’un certain Fucale dans les filets, Bergevin pourrait se permettre d’être agressif dans ses offres à Chiarelli. Il faudra bien les régler ces problèmes offensifs et les solutions ne sont pas toutes à l’interne. Pas dans l’immédiat en tous cas.
En rafale– Les joueurs rencontreront les médias demain, à Brossard (11:00). Vendredi, ce sera le point de presse de Marc Bergevin. #PostMortem
– 5 raisons pour lesquelles le Canadien est éliminé (au lieu d’être en train de se préparer pour un match #7). LIEN
– Après Bob McKenzie, c’est au tour d’Aaron Ward (TSN) de remettre en question le travail de Michel Therrien!
Therrien ne sera pas congédié… Mais il devra peut-être modifier un peu son système de jeu!
Ward a aussi remis en question le fait de payer un coach 5 millions $ par année! #Babcock
Et il a ajouté son nom à ceux qui ont critiqué Andrei Markov, récemment!
– Jacques Demers s’est porté à la défense de Michel Therrien! LIEN
– Tout indique que le prochain entraîneur des Oilers sera bel et bien Todd McLellan.
Chiarelli et McLellan… Tout un upgrade!
– Carl Soderberg (Bruins) s’est payé la luxueuse demeure de Zlatan Ibrahimovic, en Suède! LIEN
Un demeure de 3 à 4 millions $? Il me semble que Soderberg pourrait se montrer plus « prudent »…
– Rich Peverley pourrait-il effectuer un retour au jeu la saison prochaine, avec l’une des 30 formations de la LNH?

Lemieux, la prochaine coqueluche de la boxe québécoise?

http://www.985sports.ca/combats/

Publié par Danielle Arsenault pour 98,5fm Sports le mercredi 13 mai 2015 à 15h42. Modifié à 17h33.
Lemieux, la prochaine coqueluche de la boxe québécoise?
David Lemieux/La Presse Canadienne
(98,5 Sports) - Le 20 juin prochain, David Lemieux (33-2-0) aura la chance de devenir champion du monde IBF des poids moyens s'il arrive à vaincre Hassan N'Dam (31-1-0).
On en parle en ondes :
Non seulement le québécois de 26 ans aura aussi la chance de faire taire ses dénigreurs, mais il pourrait occuper le poste de boxeur le plus populaire au Québec.
Lemieux a connu certaines ratées en 2011 s’inclinant à deux reprises face à Marco Antonio Rubio et Joachim Alcine. Mais depuis, le puissant cogneur s’est remis sur la bonne voie, remportant huit combats consécutifs.
« Je pense que même lorsque Lucian Bute, Jean Pascal et Adonis Stevenson brillaient, il y avait de la place pour moi au sommet de la boxe québécoise. Il fallait juste saisir cette chance. Je suis à l’aise avec les réflecteurs et je veux être plus présent, je suis prêt pour cela. »
Son entraîneur, Marc Ramsey, s’est joint à l’équipe de Lemieux il y a quatre ans et a vu l’évolution de son boxeur depuis ce temps.
« Quand j’ai accepté le défi, j’ai expliqué que ça allait prendre du temps. Je voulais lui faire faire le tour du jardin bien comme il faut avant de le voir se battre en combat de championnat du monde. C’est comme ça qu’on bâtit une confiance. Pas en criant sur tous les toits qu’on est le plus fort.»
Selon son agent Camille Estephan, Lemieux a tout pour devenir le nouveau visage de la boxe au Québec.
« Nous sommes tellement heureux de pouvoir lui donner cette chance. David a fait tous les sacrifices nécessaires. Ce n’est pas pour rien que HBO et Golden Boy voulaient l’avoir. »
L’appui d’une légende
Bernard Hopkins a fait le voyage pour appuyer Lemieux. La légende vivante du monde de la boxe était présente à la conférence de presse, elle qui représente les intérêts de Golden Boy - pour qui il a longtemps combattu.
Celui qui a récemment baissé pavillon face à Sergey Kovalev était ravi de pouvoir finalement confirmer l’arrivée de Lemieux dans l’équipe d’Oscar de la Hoya.
« Dans ma carrière, j’ai toujours voulu affronter les meilleurs, c’est comme ça qu’on se bâtit une crédibilité et une réputation. Je vois cela en David quand je le regarde. Il a un talent incroyable et nous sommes certains de pouvoir le pousser jusqu’au sommet.»
Pour sa part Hopkins a indiqué qu’il n’avait toujours pas décidé s’il voulait prendre sa retraite, mais il envisage de faire une annonce en juin. Advenant la tenue d’un autre combat, il pourrait avoir lieu cet automne.
« Je suis bien présentement, je ne suis pas certain de ma décision, car HBO m’a offert un contrat de 10 ans pour faire l’analyse des combats. Les boxeurs qui ont mon âge, mon expérience et qui sont capables de faire une phrase complète cohérente sont rares. Je me sens privilégié de pouvoir le faire et j’ai du plaisir aussi. J’aime enseigner l’art de la boxe et je pense être le gars le mieux placé pour faire ce travail. »
Hopkins est demeuré sur place pendant plus de deux heures pour échanger avec les journalistes qui étaient accrochés à ses lèvres pour chacun de ses commentaires et conseils.
Le dossier Kovalev-Stevenson déçoit Hopkins
Comme la majorité des amateurs de boxe, Bernard Hopkins s’est dit très déçu de voir que le combat entre Adonis Stevenson et Sergey Kovalev n’aura pas lieu. Il croit savoir pourquoi le duel a été annulé.
« Je suis dans la boxe depuis assez longtemps pour vous dire que tout le monde a du sang sur les doigts dans ce dossier. D’après moi, Al Haymon, a fait un chèque à Kovalev qui a accepté l’argent et s’est finalement tassé. Tout le monde est à blâmer dans ce dossier. »
Mais Hopkins est d’avis que c’est à Stevenson de prendre en charge le dossier et faire comprendre à son gérant qu’il désire réellement affronter Kovalev.
« Comment Adonis peut-il se promener à Montréal en se proclamant champion du monde alors qu’il a peur d’affronter un gars que j’ai moi-même affronté à 50 ans? C’est bien beau de vouloir faire de l’argent sans se mettre en danger, main une réputation, ça ne s’achète pas. »
Selon Hopkins, il faut donner crédit à Jean Pascal qui a immédiatement signé le contrat pour affronter Kovalev.
« Même si je pense que ses chances de gagner étaient minces, je lève mon chapeau à Jean qui n’a pas hésité de se battre contre Kovalev. D’ailleurs, si Stevenson ne veut pas affronter Kovalev, pourquoi n’affronte-t-il pas Pascal? Ce serait fabuleux comme combat et facile à vendre. Ce sont deux Haïtiens qui ne s’aiment pas et qui vivent dans la même ville, les amateurs de boxe du Québec en raffoleraient. Mais mon petit doigt me dit que Stevenson refuserait ce combat aussi. »
Selon Hopkins, tous les promoteurs veulent protéger leurs boxeurs, mais si tout le monde faisait comme Haymon, la boxe n’existerait plus. Hopkins soutient qu'Haymon se moque littéralement des amateurs de boxe.
La sous-carte
Voici les noms des boxeurs qui feront partie de la sous-carte le 20 juin prochain : Dierry Jean (28-1), Schiller Hyppolite (15-1), Ghislain Maduma (16-1), Steven Butler (11-0), Mian Hussain (11-0), Ayaz Hussain (5-0), Yves Ulysse Jr. (6-0) et Mathieu Germain (1-0).
Il a aussi été question que le poids lourd et ancien champion du monde Bermane Stiverne fasse partie de la carte, mais selon Estephan, Stiverne ne sera pas prêt pour se battre au mois de juin. Il pourrait monter dans le ring vers la fin du mois de juillet, quelque part aux États-Unis.
(Un texte de Jeremy Filosa / 98,5 Sports)

Les Rangers en finale

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Publié par 98,5 fm pour 98,5fm Sports le mercredi 13 mai 2015 à 22h50. Modifié par Charles Payette le jeudi 14 mai 2015
Les Rangers en finale
Marcus Johansson et Derek Stepan (AP Photo/Kathy Willens)
(98,5 Sports) - Alex Ovechkin n'a pu tenir promesse et mener les Capitals de Washington à la victoire lors du match no 7 de la série demi-finale de l'Association de l'Est contre les Rangers de New York.

Ces derniers l'ont emporté 2-1 grâce a un but marqué par Derek Stepan à 11 m 24 s de la première période de prolongation.
Le gardien Henrik Lundqvist a stoppé 35 tirs. Le roi Henrik, comme le surnomment les partisans des Rangers, a maintenant six victoires dans des matchs ultimes. Il s'agit d'un record de la LNH qu'il partage avec Martin Brodeur et Patrick Roy.
«C'est une victoire très spéciale», a convenu Lundqvist.
Ovechkin avait ouvert la marque à 12 m 50 s du premier vingt, mais Kevin Hayes a créé l'égalité en avantage numérique à 6 m 22 s au deuxième tiers.
Braden Holtby a bien fait pour les Capitals dans la défaite, repoussant 37 rondelles.
Les Rangers tiraient de l'arrière 3-1 dans cette série. Les hommes d'Alain Vigneault avaient aussi fait le coup aux Penguins en 2014. Ils deviennent la première équipe dans l'histoire de la LNH à réussir pareil exploit.
New York, qui atteint le carré d'as pour une deuxième saison de suite, affrontera le Lightning de Tampa Bay.

L'Impact refait le coup aux Torontois

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Publié par 98,5 fm pour 98,5fm Sports le mercredi 13 mai 2015 à 19h40. Modifié par Charles Payette le jeudi 14 mai 2015
L'Impact refait le coup aux Torontois
Courtoisie Impact de Montréal
(98,5 Sports) - Malgré une égalité au total des buts (3-3) et une défaite de 3-2 contre le Toronto FC mercredi dans la Ville Reine, l'Impact accède à la finale du Championnat canadien grâce à ses deux buts inscrits à l'étranger.
On en parle en ondes :
Écouter
Mis en ligne le mercredi 13 mai 2015 dans Bonsoir les sportifs avec Ron Fournier
Kenny Cooper (25') et Dominic Oduro (84') ont marqué pour les Montréalais.
«Les deux équipes ont obtenu des occasions pour mettre le match hors de portée à l'adversaire, mais nous avons réussi à marquer ce but important sur la route, suite à un excellent centre, a mentionné Oduro. Nous sommes heureux parce c'est comme une victoire pour nous ce soir. Tout le monde doit continuer à contribuer pour la suite des choses.»
Jozy Altidore (22'), Benoit Cheyrou (56') et Sebastian Giovinco (58') ont marqué pour le Toronto FC. Les Torontois ont marqué leurs deux buts rapidement alors que Maxim Tissot était examiné par l'équipe médicale à l'extérieur du terrain suite à un contact.
« Je pense que nous avions le contrôle du match en première demie, puis un incident malchanceux avec Tissot a changé le cours du match, a mentionné l'entraîneur-chef Frank Klopas. Puis nous avons apporté des changements et nous avons continué à tenter de marquer le deuxième but dont nous avions besoin. »
Les trois joueurs désignés de l'équipe étaient en uniforme pour l'occasion.
Rappelons que Montréal avait remporté le match aller, 1-0 au stade Saputo, mercredi dernier.
Le Québécois Patrice Bernier, qui a haussé le ton mardi, était titulaire ce soir à Toronto. Il a joué tout le match.