samedi 1 août 2015

«J'aimerais bien jouer avec lui» -Galchenyuk à propos de Semin

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Publié par Charles Payette pour 98,5fm Sports le vendredi 31 juillet 2015 à 11h21. Modifié à 11h38.
«J'aimerais bien jouer avec lui» -Galchenyuk à propos de Semin
Alex Galchenyuk/AP
(98,5 Sports) - L'attaquant du Canadien Alex Galchenyuk n'a pas tourné autour du pot. Oui, il aimerait bien jouer aux côtés de la nouvelle acquisition de l'équipe, Alexander Semin.
«J'étais à Montréal pour un camp avec des jeunes au même moment où il rencontrait la direction pour son contrat à lui. C'était bien, j'ai pu lui parler. J'étais content pour lui et j'aimerais beaucoup jouer avec lui. Il est bourré de talent, il a déjà marqué plein de buts. Ce sera excitant de l'avoir avec nous.»

Pas d'objectifs précis

À l'aube de sa quatrième saison à Montréal et alors qu'on s'attend à ce qu'il devienne l'une des pièces maîtresses en attaque chez le Tricolore, Galchenyuk n'est pas du genre à se fixer des objectifs au chapitre de sa production souhaitée en 2015-16.

«Je me concentre à bien me préparer physiquement et mentalement. J'ai hâte de reprendre l'action. Nous sommes dans le groupe des bonnes équipes du circuit et avec Carey (Price) devant le but, ça fait déjà de nous une équipe spéciale».

À l'aile ou au centre ?

Nouveau contrat oblige, le sempiternel débat à savoir s'il aimerait se voir confier un poste de centre a refait surface.

«Je ne suis qu'un joueur, a-t-il résumé. À l'aile ou au centre, ça m'est égal. Ça ne me dérange pas. Ce sont aux dirigeants que la décision revient à savoir à quelle position je serai le plus utile à l'équipe.»

Galchenyuk a établi des sommets personnels avec 20 buts et 26 passes.

DES JOUEURS DE LA LNH SE PRÉPARENT DÉJÀ POUR LE PROCHAIN LOCK-OUT

http://25stanley.com/

Avec la convention collective qui vient à échéance en septembre 2022, c’est beaucoup trop tôt pour parler du prochain lock-out. Ceci étant dit, c’est difficile de ne pas s’apercevoir que certains des meilleurs joueurs de la LNH se préparent déjà pour le prochain conflit de travail, qui devrait avoir lieu en 2020 alors que l’association des joueurs et la ligue auront une clause de sortie.
Pour un joueur de la LNH, la meilleure façon de se protéger contre un lock-out est un bonus de signature lors de la saison du conflit de travail. Ces bonus sont distribués le premier juillet et le lock-out commencerait en septembre. Comme leurs chèques de paie normaux commencent à arriver en octobre, c’est la seule façon de recevoir un peu d’argent de la LNH en cas de conflit de travail.
Depuis le dernier lock-out, 45 joueurs ont signé un contrat qui sera encore en vigueur en 2020-21 (la première saison menacée par le prochain lock-out). Dans le groupe, 17 gars ont des bonus de signature d’au moins 1 M$ pour cette saison-là. Ça veut dire que plus que le tiers des joueurs sous contrat recevront un peu d’argent en cas de conflit de travail.
Deux joueurs (Gallagher et Tarasenko) ont opté pour une autre sorte de protection. Les deux ont un contrat avec un salaire clairement inférieur pendant l’année menacée par le lock-out. Tarasenko s’est même protégé en 2022-23 juste au cas. Lors de ces deux saisons, l’attaquant des Blues fera 5,5 M$, ce qui est une bonne baisse de salaire par rapport au 9,5 M$ qu’il gagnera en 2019-20 et en 2021-22. La baisse de Gallagher est plus subtile puisqu’il a un salaire de 4 M$ en 2019-20 avant de gagner 2,5 M$ la saison suivante.
Il y a donc 19 joueurs de la LNH qui ont pris le possible lock-out de 2020 en compte pendant leurs négociations de contrat. Ce n’est pas une bonne nouvelle pour les partisans puisque ça nous rappelle que cette possibilité est bien réelle. Ceci étant dit, ces protections font en sorte que les propriétaires auront 56,75 M$ à verser en bonus même s’il y a un lock-out.
Les équipes les plus touchées sont les Blackhawks (11,5 M$), les Penguins (10 M$), les Canadiens (7 M$) et les Rangers (7 M$). Même si on parle d’organisations assez riches, ce serait surprenant que les proprios acceptent de verser des montants aussi importants tout en sacrifiant une tonne de revenus avec l’annulation de plusieurs matchs.
Les propriétaires auront une partie de leurs salaires à verser peu importe ce qui se passe en 2020 et ces dépenses seront certainement plus faciles à avaler si elles leur permettent d’engranger des revenus. La somme de 56,75 M$ n’est pas extravagante, mais en approchant le conflit potentiel, on devrait voir plus de contrats du genre, ce qui veut dire que la facture finale sera plus salée.
Les fans pessimistes peuvent donc voir chaque bonus de signature cédulé pour 2020 comme une mauvaise nouvelle puisque ça nous montre que le joueur (et son agent) croient vraiment à la possibilité du lock-out. Les plus optimistes croiront plutôt que ce bonus se rajoute aux coûts fixes des proprios pendant le conflit de travail, ce qui pourrait les motiver à revenir au jeu plus rapidement.

LISTE DES JOUEURS PROTÉGÉS AVEC UN BONUS

P.K. Subban (6 M$)
Ryan O’Reilly (5 M$)
Jonathan Toews (5 M$)
Patrick Kane (5 M$)
Evgeni Malkin (5 M$)
Phil Kessel (5 M$)
Jakub Voracek (4 M$)
Corey Perry (3 M$)
Ryan Getzlaf (3 M$)
Derek Stepan (3 M$)
Marc Staal (3 M$)
Johnny Boychuk (2,75 M$)
Dion Phaneuf (2,5 M$)
Artem Anisimov (1,5 M$)
Patrice Bergeron (1 M$)
Jeff Petry (1 M$)
Henrik Lundqvist (1 M$)

Alex Galchenyuk est satisfait de son contrat de transition

http://www.rds.ca/hockey/canadiens/

Top-5: Alex Galchenyuk


C’est en direct de Miami qu’Alex Galchenyuk a signé son deuxième contrat professionnel avec le Canadien de Montréal.
L’attaquant de 21 ans est réjoui d’être arrivé à une entente de deux ans d’une valeur de 5,6 millions $.
« C’était mon idée (un contrat de transition). J’en ai parlé à Pat (Brisson) avant les négociations et il était d’accord », a expliqué l’Américain lors d’une conférence téléphonique vendredi.
P.K. Subban et Carey Price ont profité de leur contrat de transition pour prouver leur valeur et ils ont ensuite décroché de lucratives ententes à long terme. Galchenyuk a le même état d’esprit que ses deux coéquipiers.
« C’est simple. Je dois aller sur la glace et prouver ma valeur. Je dois aider l’équipe du mieux que je le peux. Et on verra ce qui se passera dans deux ans », a indiqué celui qui a récolté 20 buts et 26 passes la saison dernière.
Bien que l’annonce du contrat a été faite le 30 juillet, Galchenyuk n’a pas trouvé le processus très long. En raison de la saison estivale et du voyagement des principaux acteurs des négociations, quelques pauses ont eu lieu.
« Personnellement, je n’ai pas trouvé ça trop long. Nous ne sommes pas au moins d’août encore. J’ai changé d’agent, donc il a fallu arrêter les négociations pour un petit bout. Puis, je suis retourné en Russie pour voir ma famille. Avec le décalage, nous nous ne sommes pas beaucoup parlés. Depuis que je suis revenu, j’ai parlé à Pat, ça s’est bien passé et le dossier s’est réglé rapidement », a résumé Galchenyuk.
Le choix de premier tour du CH en 2012 a donné les raisons pour son changement d’agent, lui qui était auparavant représenté par Igor Larionov.
« Nous avions des visions différentes. Je croyais que c’était le temps pour un changement et que Pat était une meilleure option pour moi. En ce moment, je suis très heureux avec ma décision », a expliqué l’ancien du Sting de Sarnia qui a hâte que la saison commence.
La grande question entourant Alex Galchenyuk est maintenant de savoir s’il évoluera au centre ou à l’aile lors de la prochaine saison. Le numéro 27 du Tricolore ne s’en fait pas avec ça.
« À la fin de la journée, je ne suis qu’un joueur. Avec les années, je me sens à l’aise tant au centre qu’à l’aile. Ça ne me dérange pas. La position qui sera la meilleure pour l’équipe, c’est à celle-là que j’évoluerai. Ce sera aux entraîneurs de décider à quelle position je jouerai et je serai prêt », a-t-il affirmé, lui qui poursuit son entraînement en Floride.
Galchenyuk, qui a des racines russes, a pu souhaiter la bienvenue à son nouveau coéquipier, Alex Semin, lorsque ce dernier s’est entendu avec le Canadien. Galchenyuk était au complexe de Brossard pour un camp d’été de hockey avec des jeunes.
Semin était avec ses agents et lorsque Galchenyuk est sorti de la patinoire, le vétéran russe était un nouveau membre du Canadien.
« J’aimerais définitivement jouer avec lui. C’est un joueur talentueux. Il a montré par le passé qu’il était capable de marquer beaucoup de buts. Je pense que ça fonctionnera et je suis excité pour la suite. »
Les attentes sont grandes comme à chaque année à Montréal, mais Galchenyuk est excité pour la prochaine saison.
« Nous avons une équipe qui est parmi les meilleures formations de la Ligue. Nous avons confiance en nous-mêmes. Nous avons un bon groupe de jeunes joueurs et de bons vétérans leaders. Avec Carey, ça fait nous une équipe spéciale », a-t-il déclaré.

Une seule entre Ronda Rousey et Bethe Correia demeurera invaincue

http://www.rds.ca/combat/ufc/

Ronda Rousey - Bethe Correia 

Stéphane Patry
Il est plutôt rare en arts martiaux mixte d'assister à un combat de championnat du monde où les deux adversaires présentent une fiche immaculée. C'est pourtant ce scénario que nous offre l'UFC ce soir dans le cadre de la grande finale de l'événement UFC 190 en direct du HSBC Arena à Rio de Janeiro au Brésil.

La championne mondiale des poids coqs Ronda Rousey (11-0-0) se présente donc en terrain hostile pour affronter la vedette locale Bethe Correia (9-0-0). Après avoir été nommée l'athlète par excellence dans le monde par le prestigieux magazine américain Sports Illustrated, il est clair que Rousey est l'une des athlètes les plus populaires en arts martiaux mixtes - elle a, en compagnie de l'Irlandais Conor McGregor, complètement changé la face de l'UFC au cours de la dernière année. Cependant, elle devra être prête pour toute une tempête en début de combat face à l'ultra-agressive Correia.
Contrairement à Rousey, la Brésilienne n'a jamais été vraiment expéditive depuis le début de sa carrière alors que sept de ses neuf victoires ont été gagnées par décision des juges, ce qui lui donne un avantage marqué au niveau du nombre de rounds d'expérience (25 contre 13). La petite « pitbull » de Campina Grande au Brésil est définitivement supérieure à l'Américaine au niveau de la boxe thaïlandaise mais si le combat se retrouve au sol elle risque de trouver le temps très long face à la championne olympique de judo.

Attendez-vous à beaucoup de déplacements en début de combat de la part de Correia, qui essaiera sûrement de déstabiliser Rousey avec des coups de pieds dans les jambes. Si Correia est capable de garder Rousey debout, ses chances de causer du dommage à la championne et de l'épuiser seront bien plus grandes. Mais la question que l'on doit se poser est la suivante: Correia n'a que deux victoires par K.-O. en neuf combats et plus de 25 rounds - a-t-elle la force de frappe pour vaincre Rousey et surtout pour l'ébranler assez pour éviter que la championne l'amène au sol dans un long combat de cinq rounds?
Même si Correia a plus du double de rounds d'expérience, ce n'est pas une statistique qui effraie outre-mesure la méga-star de l'UFC et championne féminine des 135 livres. Rousey a une confiance inébranlable en ses aptitudes en judo mais aussi en sa boxe, qui s'est améliorée de façon incroyable au cours de la dernière année. C'est d'ailleurs cet aspect de son jeu qui a fait écarquiller les yeux de plusieurs lors de plusieurs séances d'entraînement. De ses 11 victoires, Rousey en a 10 au premier round (dont sept en moins d'une minute). Deux de ces victoires ont été obtenues par K.-O. et neuf par soumission. La championne n'a jamais eu besoin de l'avis des juges et c'est une tendance qu'elle désire poursuivre.

Pendant les semaines de promotion qui ont précédé le combat de ce soir, il y a eu beaucoup d'attaques personnelles de la part de la Brésilienne et des allusions familiales qui n'ont vraiment pas plu à Rousey qui entrera dans ce combat avec assurément beaucoup d'émotion. Sera t'elle encore une fois expéditive ou ira t'elle dans le sens d'une promesse qu'elle a fait il y a quelques semaines : faire souffrir Correia le plus longtemps possible dans le combat. Qu'à cela ne tienne, il est évident que la stratégie de Rousey devrait être de transporter le combat au sol le plus rapidement possible puisque dans cette position, très peu d'athlètes peuvent rivaliser avec elle. Ma prédiction : victoire de Rousey par arrêt de l'arbitre (T.K.-O.) dès le premier round.
Les autres combats de la carte principale :
Mi-lourds (205 lbs): Mauricio Rua (22-10-0) contre Antonio Rogerio Nogueira (21-6-0)
Légers (155 lbs): Fernando Bruno (15-2-0) contre Glaico Franca (12-3-0)
Lourds (265 lbs): Antonio Rodrigo Nogueira (34-9-1) contre Stefan Struve (25-7-0)
Lourds (265 lbs): Soa Palelei (22-4-0) contre Antonio Silva (18-7-0)
Pailles (115 lbs féminin): Jessica Aguilar (19-4-0) contre Claudia Gadelha (12-1-0)

Eugenie Bouchard fait une croix sur Washington

http://ici.radio-canada.ca/sports/tennis/

Mise à jour le vendredi 31 juillet 2015 à 19 h 20 HAE
Eugenie Bouchard
Eugenie Bouchard  Photo :  GI/Jan Kruger

Eugenie Bouchard a indiqué, vendredi, aux organisateurs du l'omnium de Washington qu'elle ne participerait pas au tournoi en raison d'une blessure aux muscles abdominaux.
« Je suis très déçue de déclarer forfait pour l'Omnium Citi de Washington, a déclaré Bouchard. Je travaille fort afin de me remettre de ma blessure abdominale, mais malheureusement, je ne suis pas encore prête à revenir au jeu. »
Il y a quelques semaines déjà que Bouchard est aux prises avec ce malaise qui a failli mettre en péril son passage à Wimbledon. Un passage très bref puisqu'elle y a subi la défaite d'entrée de jeu contre la Chinoise Ying-Ying Duan.
En principe, la 26e joueuse à l'échelle mondiale reprendra la compétition dans une semaine à Toronto, où a lieu le volet féminin de la Coupe Rogers cette année.
En 2014 à Montréal, Bouchard avait perdu dès son premier match contre Shelby Rogers des États-Unis.

Louis Domingue s’éloigne de la LNH | Marcus Johansson s’entend avec les Capitals

http://www.danslescoulisses.com/fr/

Publié le 31 juillet 2015 à 20:56 par

Simon Dessureault

Le sort de Louis Domingue s’éclaircit, mais sûrement pas dans le sens que le cerbère québécois l’aurait souhaité. Les infos de l’heure du souper mentionnent que Domingue ira jouer en Europe l’an prochain. LIEN
Le directeur général des Coyotes Don Maloney l’aurait affirmé à FOX Sports.
La prochaine équipe de Domingue n’est toutefois pas connue. Les Coyotes conserveraient aussi les droits du gardien pour quatre ans.
Mais bon, je ne pense pas que ce soit une bonne nouvelle pour Domingue! Ce dernier mentionnait récemment qu’il espérait encore signer un contrat avec la formation de l’Arizona. LIEN
Il semble qu’il n’y a pas de place pour lui, alors que les Coyotes ont embauché un gardien allemand de 24 ans il y a quelques jours. Ce dernier se nomme Nick Treutle. Il faut aussi dire que Mike Smith est plutôt indélogeable à Phoenix.
Mais Domingue aurait mérité mieux, selon moi.
Il n’a pourtant pas si mal goaler que ça l’an passé. À part un séjour de deux parties dans la ECHL, Domingue a conservé une moyenne de buts alloués de 2.73 en sept parties dans la LNH. Il a entre autres obtenu une victoire et deux défaites. Sa seule victoire a d’ailleurs été contre les Canadiens. J’imagine qu’il y avait une petite motivation supplémentaire pour lui. Domingue a aussi enregistré un pourcentage d’efficacité d’arrêts de 0.911 durant ses sept parties.
Il a également joué 20 matchs dans la Ligue américaine avec les Pirates de Portland. Il a récolté 11 victoires pour terminer avec une moyenne de buts alloués de 2.68.
Je crois aussi qu’il aurait été préférable qu’il continue à s’améliorer dans la Ligue américaine. Il y a du fort calibre en Europe assurément, mais la Ligue américaine est plus représentative du style de jeu de la LNH.
Hjalmarsson aura un plus grand rôle avec les Hawks
Voici une nouvelle intéressante du côté des champions de la Coupe Stanley.
Il est peut-être curieux d’affirmer qu’un défenseur qui a obtenu 21 :53 minutes de jeu en moyenne par match puisse avoir de plus grandes responsabilités. Mais c’est bel et bien le cas!
Hjalmarsson est le candidat désigné pour prendre le relais de Johnny Oduya qui est rendu à Dallas.
Même si Hjalmarsson a Duncan Keith et Brent Seabrook devant lui, il a une plus grande importante que l’on pense à Chicago. Ce dernier fait parti de l’organisation des Hawks depuis 2005, année où il a été repêché en quatrième ronde.
L’an passé, il a connu une saison de 44 points. Et il a surtout affiché un impressionnant différentiel de + 25.
À 28 ans, Hjalmarsson à la maturité nécessaire pour être le générateur d’attaque pour la deuxième paire de défenseurs.
Il va être intéressant de voir évoluer Hjalmarsson avec plus de responsabilités l’an prochain. À bien y penser, les Hawks ont vraiment beaucoup de profondeur. Quelle organisation! Il y a de quoi être jaloux!
En rafale
– Marcus Johansson s’entend pour une autre saison avec les Capitals.
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