mardi 22 septembre 2015

Prédictions : les séries éliminatoires dans l’Ouest (1 à 4) | En rafale

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Publié le 22 septembre 2015 à 17:33 par

Harrison Kingsley

Chaque année, on a droit à des surprises au niveau des équipes qui prennent part aux séries éliminatoires dans la LNH. Cette année ne devrait évidemment pas faire exception à la règle. S’il est facile d’analyser, de chiffrer et d’argumenter, il est beaucoup plus difficile de prédire correctement un classement, si ce n’était pas le cas, il serait interdit de parier.
Comme la saison est déjà à nos portes, il est temps de se mouiller et d’y aller de prédictions. Voici donc la prédiction des huit équipes qui prendront part aux séries éliminatoires dans L’Association de l’Ouest, selon Harrison Kingsley.
 1- Ducks d’Anaheim
Les Ducks font partie des équipes qui aspirent légitimement à la Coupe Stanley. Ils sont très puissants en attaque avec les Perry, Getzlaf, Kesler, Silfverberg, Cogliano, Maroon et Rakell et ils ont ajouté des munitions et de la profondeur avec les acquisitions de Hagelin, Horcoff, Stewart et Santorelli. En défensive, ils ont également de bons soldats en Bieksa et Stoner, tandis que les jeunes Fowler, Després, Lindholm et Vatanen sont des joyaux dont le développement progresse très bien. Devant le filet, Andersen et Gibson offrent un rendement plus qu’adéquat. En fait, l’équipe n’a pas de faiblesse évidente. Petit plus : Ils disposent encore de plus de sept millions $ sous le plafond salarial.
2- Blackhawks de Chicago
Au lendemain des célébrations suite à leur conquête de la Coupe Stanley, les Blackhawks ont été forcés de liquider plusieurs joueurs à cause des contraintes liées au plafond salarial. Qui plus est, l’histoire de Patrick Kane est venue assombrir l’entourage de l’équipe. Cependant, le DG Stan Bowman a su faire des mouvements de personnel intelligents et il a su apporter du talent et de la jeunesse qui sauront garder l’équipe au-dessus de la mêlée. Le noyau de Kane, Toews, Hossa, Seabrook, Keith, Hjalmarsson et Crawford est toujours en place et c’est avec un noyau solide qu’on gagne. On a acquis plusieurs nouveaux visages au cours de l’été, notamment en attaque avec Anisimov, Panarin, Tikhonov et surtout Marko Dano. En défensive, l’équipe semble mieux outillée que l’an dernier, alors que Trevor Daley est venu s’ajouter au trio de vétérans.
Petit plus : L’équipe a offert des essais à plusieurs vétérans qui pourraient faire une différence.
3- Blues de St. Louis
On a effectué des mouvements de personnel étranges au cours de l’été, notamment quand on a transigé le jeune T.J. Oshie aux Capitals en retour de Troy Brouwer. Néanmoins, les Blues ont une formation de vétérans aguerris qui sauront mener l’équipe vers une place en séries. En attaque, on a octroyé un nouveau contrat à Vladimir Tarasenko, et les Stastny, Steen, Backes, Schwartz, Lehtera et Berglund sont toujours avec les Blues. En défensive, on peut compter sur un trio de piliers formé de Pietrangelo, Bouwmeester et Shattenkirk. Devant le filet, St. Louis se retrouve avec un point d’interrogation, alors que la majorité des observateurs doutent de la capacité de Brian Elliott à tenir le rôle de gardien numéro un, tandis que Jake Allen n’a toujours pas prouvé sa réelle valeur. Petit plus : Paul Stastny a connu une premier saison difficile à St. Louis et il devrait faire mieux cette saison.
4- Predators de Nashville
L’an dernier, les Predators ont surpris plusieurs observateurs et ont connu une excellente saison. Les raisons qui expliquent les résultats de 2014-15 à Nashville? Un retour en forme du gardien étoile Pekka Rinne jumelé à une brigade défensive parmi les plus solides de la LNH. Quand un entraîneur peut compter sur la présence d’arrières de la qualité de Weber, Josi, Jones et Ellis, quatre défenseurs en mesure d’appuyer l’attaque, tout en défendant leur territoire de manière efficace, son travail est beaucoup plus simple. L’attaque des Predators n’est pas la plus électrisante du circuit, mais aidés par des défenseurs au flair offensif éprouvé, les Neal, Fisher, Ribeiro, Wilson, Forsberg et compagnie parviennent à tirer leur épingle du jeu. Petit plus : Le jeune Calle Jarnkrok pourrait surprendre cette année.
À suivre…
*Le classement des équipes 5 à 8 sera publié ultérieurement.
 Chez les Canadiens
– Ça commence ce soir pour les matchs préparatoires des Canadiens. #Enfin
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Soir de première

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Publié par Charles Payette pour 98,5fm Sports le mardi 22 septembre 2015 à 10h27. Modifié par 98,5 fm à 16h33.
Soir de première
Patrick Lamarche
(98,5 Sports) - À 15 jours du début de la saison 2015-2016, le Canadien de Montréal dispute ce soir son premier match préparatoire.

Les Maple Leafs de Toronto et le gardien Antoine Bibeau seront les adversaires pour l'occasion.
Le duel sera présenté sur les ondes du 98,5fm, dès 19 heures avec l'émission d'avant-match.

Plusieurs jeunes de l'organisation tenteront de profiter de cette vitrine, pour montrer leur savoir-faire à Michel Therrien, Marc Bergevin et autres décideurs.

C'est le cas du Franco-américain Tim Bozon, qui se dit prêt à épater la galerie.

«Je dois donner mon maximum et tout donner, a expliqué l'attaquant de 21 ans. J'ai commencé le camp lentement, mais je crois m'être amélioré chaque jour. Je trouve que ça va bien. En tant que joueur offensif, la manière de me faire valoir, c'est de trouver le fond du filet.»

Soir de première

Défenseur du Lightning de Tampa Bay pendant deux saisons, le Montréalais Mark Barberio a joué quelques matchs au Centre Bell en carrière. Mais pour la première fois, il ne sera pas du côté «ennemi».

«Ce sera spécial, c'est certain, a expliqué celui qui a accepté un contrat à deux volets le 1er juillet. Je porte les bonnes couleurs maintenant. Bleu-blanc-rouge, ce sont mes couleurs. Jouer au Centre Bell, avec le chandail des Canadiens, c'est quelque chose de spécial. C'est l'équipe de mon enfance.»

Therrien aussi devra s'habituer

La rencontre de mardi se terminera assurément par une prolongation - peu importe le résultat après 60 minutes - dans le but de tester le nouveau format de prolongation à trois contre trois.

La LNH suit ainsi les traces de la Ligue américaine qui a donné son aval à ce changement la saison dernière.

L'entraîneur des Canadiens Michel Therrien pourra également faire appel à la reprise vidéo cette saison, une autre nouveauté dans le livre des règlements du circuit Bettman.

«Il faut être alerte avec la reprise vidéo, a expliqué Therrien. On va porter attention à ça c'est certain. On est prêt. J'ai hâte de voir comment le tout va se dérouler. J'espère ne pas avoir à l'utiliser, mais il faut quand même considérer cette option.»

Les joueurs du Canadien en action, ce soir:

Andrighetto-Plekanec-Gallagher

De La Rose-Mitchell-Kassian

Carr-McCarron-Smith-Pelley

Bozon-Dumont-Thomas

Défenseurs

Emelin-Petry

Tinordi-Pateryn

Barberio-Dietz

Gardiens

Carey Price et Zachary Fucale

Un Québécois devant le filet des Torontois

On pourra voir le gardien québécois Antoine Bibeau dans l'uniforme des Leafs. Les partisans des Foreurs de Val-d'Or se souviennent bien de celui qui avait mené l'équipe jusqu'au tournoi de la Coupe Memorial en 2014.

Un ancien des Remparts de Québec, Dmytro Timashov, et Frédéric Gauthier, ex-porte-couleurs de l'Océanic de Rimouski, seront aussi de la partie tout comme le premier choix du club torontois, Mitchell Marner.

Brad Boyes, William Nylander et Jake Gardiner affronteront également le Tricolore.

La formation torontoise, ce soir: Attaquants: Arcobello, Bailey, Boyes, Frattin, Froese, Gauthier, Glencross, Holland, Hyman, Kapanen, Komarov, Leivo, Lepisic, Marner, Nylander, Soshnikov, Timashov. Défenseurs: Campbell, Dermott, Fraser, Gardiner, Harrington, Loov, Nielsen, Valiev. Gardiens: Bibeau, Sparks.

La différence: Geoff Molson

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Si Max Pacioretty semble avoir compris l’importance de s’adresser aux partisans du Canadien en français, c’est grâce à Geoff Molson.

RÉJEAN TREMBLAY
MISE à JOUR 
Si Max Pacioretty semble avoir compris l’importance de s’adresser aux partisans du Canadien en français, c’est grâce à Geoff Molson. J’écoutais la radio la semaine ­dernière. L’animateur et les ­amateurs qui appelaient pour faire part de leur idée semblaient tous d’accord. Que le capitaine du ­Canadien parle français, ce serait bien, mais dans le Québec d’aujourd’hui... Qu’est-ce que vous voulez faire...
À part baisser la tête et le dos et accepter...
Puis, le ton a commencé à changer. On venait d’apprendre que P.K Subban allait donner 10 millions $ à l’Hôpital de ­Montréal pour enfants.
Puis, on a entendu P.K. en ondes s’exprimant en français et clamant son respect pour sa ville d’adoption et ses habitants.
L’animateur avait le motton dans la gorge, les gens appelaient pour dire combien ils étaient émus. Subban leur avait parlé dans leur langue. Ils étaient fiers. Ils l’aimaient, ils le remerciaient.
Les mêmes qui disaient une demi-heure plus tôt que le Canadien pourrait aligner 20 Chinois que ça ne ferait pas de différence «pourvu qu’on gaaaagne».
Ils avaient les larmes aux yeux.
CAPITAINE PAK
Le lendemain, c’était le coup de grâce. Max Pacioretty, fraîchement élu – et non pas nommé – capitaine du Canadien, s’adressait d’abord en français aux médias et ce ­faisant, au bon peuple.
Ça s’appelle le respect. P.K Subban et Max Pacioretty vous ont montré du respect. Et se faire respecter procure une bonne sensation en dedans de soi. C’est pour ça que vous vous sentiez tout drôle. Vous étiez respectés.
Et c’est pour ça qu’il faut toujours exiger le respect. Vous avez été trop bonasses avec Saku Koivu et Brian Gionta. Vous aviez parfaitement le droit au respect. Vous avez préféré courber la tête.
Et si cette fois, P.K. Subban et Max ­Pacioretty semblent avoir compris cette importance, ce n’est pas grâce à vous. Vous étiez déjà prêt à applaudir vos 20 Chinois. La différence, c’est Geoff Molson.
GEORGE GILLETT ET SES SBIRES
Geoff Molson a fait un choix de vie quand il était tout jeune. C’est un anglophone qui a compris qu’il vivrait et travaillerait au ­Québec. Avec raison, il s’attend à obtenir tous les services essentiels et culturels – qui sont essentiels, par ailleurs – dans sa langue.
Mais il a voulu plus. S’il était pour bâtir de belles affaires avec ses concitoyens francophones dans une province dont la langue officielle est le français, il allait les respecter et leur parler leur langue.
C’est tellement vrai qu’aujourd’hui il est souvent difficile de trouver une trace d’accent dans le français impeccable de M. Molson.
Ce respect et, dans le cas de Geoff ­Molson, cette affection pour la langue et ses gens ont descendu la pyramide. Pour atteindre Marc Bergevin et le vestiaire de l’équipe.
Les joueurs du Canadien de l’ère George Gillett n’étaient pas plus bornés ou méprisants que ceux de l’ère Molson. Ils étaient paresseux. Non seulement on ne leur demandait rien, mais en plus, leur patron, Pierre Gauthier, venait dire publiquement «qu’une langue, ça s’apprend»... mais en parlant des fans!
D’ailleurs, Pierre Gauthier a été congédié peu après ce cri de l’âme.
Et vous savez ce que pensait Bob Gainey. Éradiquer le français dans toute l’organisation était une façon commode d’éviter les problèmes. Les médias seraient moins proches des joueurs, on pourrait contrôler plus facilement les réseaux de télé et de radio complices et partenaires, et on pourrait être nuls à chier en toute quiétude sans que les indigènes se plaignent trop.
Le Canadien aura besoin d’encore plusieurs années pour redonner un visage québécois à l’équipe; mais le Québec, c’est également des Américains, des Européens et des Canadiens qui viennent travailler et vivre chez nous en apprenant à communiquer dans la langue de la population. Et, en ce sens, le Canadien de Geoff Molson est sur la bonne voie.
Oui, je suis heureux des efforts du ­capitaine et de la star. L’exemple va ­continuer à faire des petits.
On n’a qu’à se tenir droit...

LES ALOUETTES SUR LA BONNE VOIE

J’ai passé un dimanche après-midi de toute beauté! Avec 23 000 autres personnes, j’ai assisté au match des Alouettes au stade Molson.
C’était ma première visite dans le stade agrandi et fort bien rafistolé. Pour un gars qui avait ses billets de saison sur la ligne de 50 pendant presque 10 ans, c’est impardonnable.
Mais il faut dire que les Alouettes ont perdu eux-mêmes certains de leurs plus fidèles clients. Ils comptaient sur de grands coachs comme Don Matthews ou Marc Trestman, sur des quarts comme Tracy Ham et Anthony Calvillo, et sur des demis et receveurs aussi explosifs et spectaculai­res que Mike Pringle, Ben Cahoon et Jeremaine Copeland, sans parler d’Éric Lapointe, de Bruno Heppell et d’André Bolduc.
ANNÉES DE RÊVE
Pendant toutes ces années de rêve, les Alouettes accumulaient les salles pleines. Ce n’est plus le cas. Et sans un coach de carrière, sans un vrai quart-arrière et, surtout, avec la compétition de l’Impact et de Didier Drogba pour la position principale dans les médias de l’été, la tâche est énorme.
Mais le produit, avec Robert Charlebois, Plume Latraverse, Corbeau et Jacques Moreau, est fort agréable. C’est jouable...

Otto Somppi se fait un nom à Halifax | Tortorella de retour derrière un banc… vraiment? | Colin Miller laisse une bonne première impression

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Publié le 21 septembre 2015 à 21:20 par

Nicolas Cloutier

Le directeur général des Mooseheads d’Halifax, Cam Russell, a la touche de Midas dans le repérage du talent. En l’espace de deux ans, soit de 2011 à 2013, il a réussi à mettre la main sur trois supervedettes du circuit Courteau: Jonathan Drouin, Nikolaj Ehlers et Timo Meier.
Drouin a été repêché en 2011 grâce au 2e choix au total de la LHJMQ. Ehlers et Meier ont été choisis respectivement aux 6e et 12e rangs du repêchage européen de la LCH en 2013. Au repêchage de la LNH, leurs noms ont été appelés parmi les 10 premiers de leur cuvée respective.
Les mauvaises langues diront que les Mooseheads avaient la main heureuse étant donné leurs rangs de sélection, mais le fait demeure: quand Russell voit un talent, ce n’est pas de la frime.
Le gourou d’Halifax a peut-être une autre perle en Otto Somppi, un Finlandais choisi au 19e rang de l’encan européen de 2015. Somppi a fait des débuts remarqués dans la LHJMQ, récoltant six points à ses quatre premiers matchs. Mais ce ne sont pas tant ses statistiques qui étonnent, mais plutôt les habiletés dont il a fait montre sur la glace. Samedi dernier, face aux Sea Dogs de St-John, on pouvait voir un fabricant de jeu intelligent, muni de mains agiles, en plus d’avoir le physique de l’emploi.
Le Red Line Report, un service de recrutement indépendant le place au 73e rang de sa liste, mais Somppi pourrait rapidement gravir les échelons s’il poursuit dans cette veine. Gardez son nom en tête…
John Tortorella: une décision… bizarre!
Frank Seravalli de TSN rapporte que John Tortorella sera l’entraineur-chef des Américains lors de la prochaine coupe du monde de hockey. La décision en surprend plusieurs, car Tortorella est toujours sans emploi dans la LNH après une année désastreuse à la barre des Canucks de Vancouver qui lui a valu un congédiement prématuré.
Photo: Kevin Allen, USA TODAY Sports
Photo: Kevin Allen, USA TODAY Sports
Tortorella est reconnu pour son système « 2-1-2 Stack » très agressif en échec avant. Par le passé, il a également démontré des préférences envers les joueurs robustes n’hésitant pas à se jeter devant les tirs. Peut-il tirer le maximum d’un alignement sans plombiers qui est, avant tout, très talentueux? Le hockey n’est plus ce qu’il était lorsqu’il a soulevé la Coupe Stanley en 2004.
À noter que les entraîneurs de la LNH peuvent participer à la Coupe du monde, puisque Mike Babcock est le favori pour coacher les Canadiens. Bylsma et Laviolette étaient donc des candidats…
Bonne première impression pour Colin Miller
Don Sweeney aurait-il procédé à la transaction envoyant Milan Lucic à Los Angeles si le jeune défenseur Colin Miller ne faisait pas partie des pièces obtenues en retour? On peut certainement émettre des doutes.
Miller est un arrière avec multiples qualités. Lors du dernier match des étoiles de la ligue américaine, il a remporté la compétition du patineur le plus rapide et celle du tir le plus puissant. Difficile de le contenir lorsqu’il décide d’appuyer l’attaque. Dans sa meilleure forme, il combine bien ses deux principales qualités, en utilisant son coup de patin fluide pour se bricoler différents angles de tir.
Colin Miller a d’ailleurs fait une bonne première impression, hier, lors du premier match de présaison des Bruins, face aux Devils. Comme beaucoup de défenseurs offensifs, il devra bien sûr travailler son jeu sans le disque, mais ceux qui bougent bien la rondelle ont la cote dans la LNH d’aujourd’hui.
Espérons que le personnel d’entraineurs du Canadien fasse bien ses devoirs pour le contrer.
McKeen’s aime moins Nylander
Le magazine spécialisé McKeen’s a dévoilé à ses abonnés, entre autres, son classement des meilleures recrues de la LNH en prévision de la saison. Celui-ci ne fait pas l’unanimité. William Nylander pointe au 33e rang derrière des espoirs comme Seth Griffith, Brett Ritchie, Michael Matheson, Madison Bowey et… Jacob de la Rose (27e échelon)! Charles Hudon et Nikita Scherbak, quant à eux, arrivent respectivement aux 46e et 58e rangs.
En rafale– Revirement de situation dans l’affaire Jack Johnson. Le joueur aurait plutôt comploté avec ses parents.LIEN #Prison? #EncoreDuHorsGlace
– Ça commence déjà! #Stamkos #FauxEspoirs
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30 équipes LNH en 30 jours : Blue Jackets de Columbus

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Ryan Johansen
Ryan Johansen

À l'approche de la nouvelle saison dans la LNH, voici un survol des différentes équipes. Aujourd'hui, les Blue Jackets de Columbus.
Saison régulière 2014-2015
Fiche de 42-35-5, total de 89 points, 5es de la section Métropolitaine, 11es de l'Association de l'Est et 23es du classement général.
Attaque : 236 buts, 10e rang; défense : 250 buts, 25e rang.
Séries éliminatoires 2014-2015 : Les Blue Jackets de Columbus n’ont pas participé aux éliminatoires.
Nouveaux joueurs : Andrew Bodnarchuk (D), Alex Broadhurst (C), Gregory Campbell (C-AG), Brett Gallant (AG), Markus Hannikainen (AG), Dean Kukan (D), Michael Paliotta (D), John Ramage (D), Brandon Saad (AD-AG), James Sheppard (C), Jaime Sifers (D), Kole Sherwood (AD), Brad Thiessen (G).
Joueurs qui sont partis : Artem Anisimov (C), Luke Adam (AG), Sean Collins (AG), Ryan Craig (C-AG), Marko Dano (C-A), Brian Gibbons (C-A), Mark Letestu (C-AD), Jeremy Morin (AD-AG), Corey Tropp (AD-AG).
Entraîneur-chef : Todd Richards
Les Blue Jackets ont connu une saison ordinaire, récoltant 89 points, terminant au 23e rang du classement général et ratant les séries éliminatoires.
Ils ont été malchanceux, car ils ont été frappés par un nombre élevé de blessures, dont le gardien vedette Sergei Bobrovsky.
Leur attaque a bien fait dans l’ensemble, terminant avec 236 buts (10e rang). Ryan Johansen est un bon ajout dans les deux sens de la patinoire, tout comme Brandon Saad et Nick Foligno qui risquent aussi d’avoir un impact positif. Avec Brandon Dubinsky et Scott Hartnell notamment, Columbus a vraiment pris du galon.
Le portrait est moins prometteur à la défense, qui a été plus qu’ordinaire l’an passé, concédant 250 buts, au 25e rang du circuit à ce chapitre. David Savard et Jack Johnson font bien, mais ça se corse par la suite. En espérant que Ryan Murray demeure en santé après avoir raté presque la totalité de la saison 2014-2015. Lors du dernier encan, les Jackets ont sélectionné les défenseurs Zach Werenski et Gabriel aux 8e et 29e rangs respectivement dans l’espoir d’améliorer leur sort dans l’avenir, mais ils ne sont pas encore prêts pour la LNH.
La saison 2015-2016 sera un beau défi pour les Blue Jackets, mais si leurs joueurs restent en santé, ils pourraient participer aux séries éliminatoires.

Lucian Bute affronterait James DeGale le 14 novembre au Centre Vidéotron de Québec

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Lucian Bute
Lucian Bute (Source d'image: RDS )

Il semble de plus en plus probable que Lucian Bute sera la tête d’affiche du premier gala de boxe présenté au Centre Vidéotron de Québec, ont confirmé deux sources au fait de la situation à RDS.
Le Québécois d’origine roumaine affronterait le champion des poids super-moyens de l’IBF James DeGale le 14 novembre. Aucune entente n’a cependant été encore formellement signée. La sous-carte mettrait également en vedette des boxeurs de réputation internationale.
Bute (32-2, 25 K.-O.) aurait ainsi la chance de remettre la main sur le titre qu’il a possédé d’octobre 2007 jusqu’à ce qu’il s’incline devant Carl Froch en mai 2012 à Nottingham. DeGale (21-1, 14 K.-O.) est devenu champion à la suite de sa victoire sur Andre Dirrell en mai dernier.
Absent de la compétition depuis sa défaite subie contre Jean Pascal en janvier 2014, Bute a effectué son retour en août dernier en l’emportant par arrêt de l’arbitre sur Andrea Di Luisa. Avant d’affronter Pascal, il avait aussi vaincu Denis Grachev aux points en novembre 2012.