mardi 20 octobre 2015

De la stabilité dès le départ pour le Canadien

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Max Pacioretty
Max Pacioretty (Source d'image: PC )

Images of Denis Gauthier
Avec les résultats du Canadien lors de son calendrier préparatoire, on se demandait quel début de saison allait connaître l’équipe.
Il y avait beaucoup d’espoirs avec les ententes offertes à Jeff Petry, Tomas Fleischmann et Alexander Semin. Carey Price revenait en pleine confiance après sa superbe saison 2014-15.
Mais les résultats en matchs préparatoires sont venus nous surprendre. Quand on rejoue le fil de l’histoire de la pré-saison, le seul qui n’avait pas l’air inquiet de ça, c’était Michel Therrien. Il nous a répété souvent que les résultats n’étaient pas importants et que c’était seulement la façon dont ses hommes jouaient qui comptait. Ils disaient à maintes reprises que ses joueurs respectaient la structure et que ce n’était pas grave.
Les observateurs se posaient des questions à savoir si l’équipe allait perdre confiance avant même que la saison ne commence. En fin de compte, Michel Therrien avait encore raison comme en témoignent les six victoires en autant de parties pour commencer la saison. Il ne faut pas sous-estimer sa façon de faire. Il a un plan, une vision et il sait où il s’en va. Les joueurs ont bien embarqué et on les sent en confiance.
La stabilité explique les succès du Canadien depuis le début de la saison. Les entraîneurs ont essayé des combinaisons en attaque et, par chance, elles ont fonctionné dès le départ. On n’a pas perdu de temps à trouver la chimie. Est-ce que ça va durer toute l’année? Probablement pas. Mais au moins, le CH a réussi à commencer le calendrier avec une certaine stabilité et Michel Therrien n’a pas eu besoin de changer la formation.
Les joueurs devant Carey Price ont également la chance de commencer chaque rencontre en sachant qu’ils ont le meilleur gardien au monde devant le filet. Ils savent très bien qu’à tout moment cette saison il pourra voler des victoires.
J’aime beaucoup ce que je vois de la défense du Canadien cette année. Carey Price a son mot à dire, mais ce n’est pas que lui. Jeff Petry est venu tout stabiliser. Il est venu changer la défensive au complet. Tout le monde est dans sa chaise.
Les attaquants sont rapides et ils peuvent utiliser leur vitesse puisque cinq de ses six défenseurs sont capables de faire des relances efficaces et précises. Ça fait toute la différence d’avoir cinq défenseurs axés sur la relance, la vitesse et qui sont mobiles sans rien sacrifier défensivement.
Alexei Emelin, outre une courte période, a été très efficace. Il fait des jeux simples et il est très physique.
Une contribution globale
Tous les joueurs peuvent contribuer alors que le temps de glace est distribué de manière très équitable par Michel Therrien. Les équipes qui ont du succès, ce sont celles qui ont le plus de joueurs au sein de leur formation qui jouent à leur plein potentiel.
Tout le monde semble se sentir important en ce moment et c’est une bonne chose pour une équipe, surtout pour les joueurs de profondeur. Les joueurs de talent vont toujours avoir du temps de glace. Néanmoins, ce sont souvent tes joueurs de profondeur qui vont faire la différence entre une victoire et une défaite.
Le quatrième trio de Montréal joue du bon hockey actuellement. Il est parmi les meilleurs quatrièmes trios de la LNH présentement. Cela aide beaucoup Michel Therrien dans l’attribution des tâches au sein de l’équipe.
Je suis content de voir que Devante Smith-Pelly a retrouvé sa vitesse. Il ne l’avait pas en fin de saison ni au camp d’entraînement. Ça fait une belle différence et Therrien semble l’avoir reconnu en lui donnant des missions sur le quatrième trio dans des moments importants.
Les joueurs qui sont arrivés de l’extérieur donnent au Canadien ce à quoi je m’attendais d’eux jusqu’à présent.
J’aimerais par contre en voir plus d’Alexander Semin. Il a montré quelques bons flashes. C’était un bon risque à prendre puisque c’est un joueur qui a le potentiel de marquer des buts. Mais, de plus en plus, je me demande s’il a la vitesse pour suivre ses coéquipiers.
Il est capable d’évoluer au sein du système de Michel Therrien et dans l’identité du Canadien. Toutefois, je me questionne à savoir s’il peut suivre le pas toute la saison.
Je vais lui laisser du temps encore. Je ne suis pas tellement étonné par son manque de constance, car ça n’a jamais été son point fort. Je ne voudrais surtout pas que la pression de faire produire Semin retombe sur les épaules d’Alex Galchenyuk.
Semin est un vétéran qui a connu de bonnes saisons par le passé. Alors c’est son rôle d’aider son jeune coéquipier à s’acclimater au centre. Galchenyuk va très bien en ce moment, mais il pourrait produire encore plus s’il était appuyé par Semin.
Le Tricolore a commencé la saison avec un capitaine. Par contre, je ne crois pas que ce soit un facteur qui explique pourquoi tout le monde joue bien.
En nommant Max Pacioretty capitaine avant le début de la saison, cela a évité que ce sujet devienne une distraction. La décision était juste. C’était le bon choix. Il fait un excellent travail. Peut-être que c’est une bonne chose pour ses performances à lui, mais ce n’est pas ce qui fait la différence entre gagner et perdre présentement.
Quand les choses vont moins bien aller, c’est plus à ce moment qu’une équipe a besoin de son capitaine. En étant un leader dans le vestiaire, il fait le lien entre l’entraîneur et les joueurs.
*Propos recueillis par Christian L-Dufresne

Le dossier parfait du CH sera menacé face aux Blues

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Price récompensé


Éric Leblanc
MONTRÉAL – Certes, le Canadien n’a pas écrit son impressionnant début de saison contre des pieds de céleri, mais le parti d’opposition s’annonce colossal, mardi soir, alors que les Blues de St. Louis viendront débattre au Centre Bell.
En effet, cette confrontation mettra en scène les deux équipes dominant le classement de la LNH jusqu’à maintenant en 2015-16. Le Tricolore s’est installé au sommet de ce palmarès avec 12 points tandis que les Blues (5-1) sont situés au second échelon à 10 points.
Les hommes de Michel Therrien ont donc commencé à se préparer pour ce duel lundi matin à la suite de leur traditionnelle pose pour la photo d’équipe. Il s’agissait de la première représentation avec Max Pacioretty comme capitaine et sa bande aura beaucoup de pain sur la planche face aux Blues.
Les Blues sont arrivés à Montréal dimanche soir pour y compléter leur tournée canadienne. Les protégés de Ken Hitchcock ont gagné quatre parties consécutives en sol canadien à Calgary, Edmonton, Vancouver et Winnipeg. On s’excuse pour l’allusion politique en cette journée électorale, mais le Canadien pourrait sauver l’honneur du pays.
« On sait qu’on affrontera une très bonne équipe et ce sera un autre défi imposant. C’est une équipe qui appartient à l’élite de la LNH. Ils sont excellents en défense et ils misent sur le meilleur joueur offensif de la ligue présentement », a exprimé Therrien en faisant référence à Vladimir Tarasenko.
« On comprend qu’une grosse équipe nous attend, ils voudront nous ravir ces deux points comme tous nos autres adversaires », a témoigné Brendan Gallagher qui ne va certainement pas reculer devant cet autre défi.
« Le prochain match représente toujours notre plus gros test, c’est une bonne équipe avec une seule défaite et ça se poursuit après les Rangers et les Red Wings », a exposé David Desharnais qui ne voulait pas s’aventurer sur les forces des Blues.
En six matchs, les représentants du Missouri ont seulement baissé pavillon face au Wild du Minnesota alors que le gardien Jake Allen était devant le filet. C’est donc dire que Brian Elliott détient une fiche parfaite tout comme Carey Price.
À première vue, les deux rivaux ont connu des premiers résultats très similaires, mais le Canadien s’est démarqué à un endroit. Le camp montréalais n’a concédé que sept buts depuis le début de la campagne comparativement à 14 pour les Blues.
Bien sûr, Price a été l’acteur principal de ce rendement et il n’a même pas eu de pitié pour son entraîneur qui a tenté de le déjouer durant la séance matinale. La feinte du revers de Therrien s’est butée à la jambière gauche de son homme masqué.
« On retire beaucoup de fierté de notre jeu défensif, c’est l’une de nos forces depuis les dernières années », a rappelé Price.
« On a en plus ajouté de beaux compléments à ce qu’on avait bâti ici depuis quelques années. On a une belle chimie et on apprécie venir à l’aréna et je suis certain que vous pouvez le remarquez quand vous regardez les entraînements », a poursuivi Price en utilisant des propos qui ont fait penser à la scène avec son entraîneur.
Qui plus est, le Tricolore a augmenté sa moyenne de buts par match et personne ne s’en plaindra.
« Oui, absolument, ça rend mon travail plus facile. On peut compter sur un bon groupe d’attaquants et les défenseurs sont également en mesure de contribuer. On est aussi plus patient avec la rondelle, on la redonne moins souvent à l’adversaire », a vanté Price.
Subban taquine Price
Cette production offensive accrue et le travail défensif de qualité ont fini par démontrer que le Canadien n’a pas toujours besoin des miracles de sa pièce maîtresse pour prévaloir.
Ce contexte fait contraste à celui de la saison précédente alors que Price se devait de transporter l’équipe sur son dos plus souvent qu’autrement.
« Va lui dire que nous n’avons pas besoin de lui », s’est empressé de blaguer P.K. Subban en ne laissant pas passer la chance de le taquiner.
« On a traversé une transition l’an dernier et on devait plus se fier sur lui. La saison demeure jeune, mais on a montré qu’on peut jouer un style qui limite les chances de l’adversaire. Quand on peut diminuer les tirs alloués et mieux contrôler la rondelle, ça lui enlève un peu de pression », a évoqué Subban sur un ton plus sérieux.
Évidemment, Therrien a constaté cette réalité et il est le premier à s’en réjouir. Malgré tout, il s’est assuré de souligner que le statut de Price n’a pas changé à ses yeux.
« Carey demeure une partie très importante de notre équipe, il est le meilleur joueur de la LNH et il a repris là où il avait laissé », a noté l’entraîneur.
Tout de même, la mission ne sera pas de tout repos considérant que les Blues ont eu le meilleur lors de quatre de leurs cinq dernières visites à Montréal. Du même coup, le CH sera opposé à une formation de l'Association ouest pour la première fois de la saison.
Cet affrontement devrait aussi permettre au vétéran Scott Gomez, qui a plus de vies qu’un chat, de croiser le fer avec l’une des anciennes organisations. Dimanche, le patineur de 35 ans a amassé son premier point, à son deuxième match, dans l’uniforme des Blues.
Pour ceux qui se posaient la question, aucun changement ne sera effectué prévu à la formation et Paul Byron serait bien mal placé pour réclamer un premier match dans la situation actuelle.
Formation du Canadien à l'entraînement :
Pacioretty-Plekanec-Gallagher
Eller-Galchenyuk-Semin
Fleischmann-Desharnais-Weise
Flynn-Mitchell-Smith-Pelly
(Byron alterne aux trois positions sur le 4e trio)
Markov-Subban
Emelin-Petry
Beaulieu-Gilbert
Tinordi-Pateryn
Price
Condon

Zhao réussit son entrée au Challenger Banque Nationale de Saguenay

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Carol Zhao
Carol Zhao (Source d'image: Getty )

Saguenay – Alors que huit joueuses bataillaient pour obtenir l’une des quatre places réservées aux gagnantes des qualifications, l’Ontarienne Carol Zhao (Richmond Hill, ON) disputait l’un des deux matchs de premier tour du tableau principal présentés aujourd’hui.
 
Zhao, qui occupe le 450e rang mondial, a pris la mesure de l’Américaine Caitlin Whoriskey en deux manches de 6-0 et 7-6(2). L’athlète de 20 ans, qui étudie à l’Université de Staford, est l’une des grandes vedettes du circuit universitaire américain. En effet, en mai dernier, elle est passée à une manche de remporter les Championnats du simple de la NCAA, s’inclinant en finale contre Jamie Loeb. Chez les professionnelles, il s’agissait de sa première victoire depuis son parcours jusqu’au carré d’as à Gatineau. Au prochain tour, elle croisera le fer avec la Néerlandaise Michaella Krajicek, demi-sœur de l’ex-joueur Richard Krajicek.
Plusieurs Canadiennes feront leur entrée en scène demain. D’abord, vers midi, Sharon Fichman (Toronto) se mesurera à Isabelle Boulais, qui a bénéficié d’un laissez-passer pour obtenir sa place au grand tableau. Puis, dès 18 h 30, Aleksandra Wozniak (Blainville, QC) foulera le Court central pour y affronter la Néerlandaise Quirine Lemoine, 326e raquette mondiale. Wozniak en sera à une deuxième participation au Challenger Banque Nationale de Saguenay. Elle avait baissé pavillon face à l’Allemande Angelique Kerber en demi-finale de la deuxième édition du tournoi, en 2007. Pour conclure le programme de la soirée, la favorite locale Marie-Alexandre Leduc (Jonquière, QC) et la jeune Charlotte Robillard-Millette (Blainville, QC) tenteront de surprendre la Serbe Jovana Jaksic et sa partenaire américaine Melanie Oudin.  
 
Sanctionné par la Fédération internationale de tennis (ITF), le Challenger Banque Nationale de Saguenay, qui offre une bourse totale de 50 000 $ US, se déroulera jusqu’au 25 octobre 2015.

Explosif, Tomas Plekanec n’a jamais marqué contre les Blues de Saint Louis

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Tomas Plekanec
Tomas Plekanec (Source d'image: Vincent Éthier )

Roger Leblond
L’attaquant Tomas Plekanec, du Canadien de Montréal, qui connaît un superbe début, tentera de réaliser une première : marquer un but contre les Blues de Saint Louis.
En effet, le numéro 14 du CH, qui a une fiche de 5-0-5 lors de ses six premiers matchs, n’a jamais marqué un but face aux Blues de Saint Louis, affichant un rendement de 0-3-3 avec un différentiel de moins-2 et un total de 32 tirs au but en 10 rencontres régulières.
Face à cette équipe, il est 0-2-2 avec un différentiel de plus-1 en cinq matchs au Scottrade Center et 0-1-1 avec un différentiel de moins-3 dans ses cinq rencontres disputées au Centre Bell.
En carrière, Plekanec a une fiche de 207-294-504 avec un différentiel de plus 47 en 767 matchs et un fait à souligner, il a un meilleur rendement à l’étranger (110-148-258 en 381 matchs), qu’au Centre Bell, où il affiche un dossier de 97-149-246 en 386 parties.
Soulignons qu’avec cinq buts à ses six premiers matchs, Plekanec connaît son meilleur début de saison, lui qui en 2012-2013 et l’an dernier, avait réussi quatre buts lors de ses six premières parties. 
Les Blues ont un début à l’image de celui du Canadien
Le Canadien de Montréal est la seule équipe invaincue de la Ligue nationale, mais les Blues de Saint Louis ont également un superbe début en cette saison 2015-2016.
En effet, la formation dirigée par Ken Hitchcock, qui sera en visite ce soir, au Centre Bell, affiche un dossier de 5-1-0 pour 10 points en six rencontres, au deuxième rang du classement général, tour juste derrière le Tricolore.
Cette fiche est impressionnante, car les attaquants Jaden Schwartz (0-4-4) et David Backes (0-2-2) n’ont pas encore trouvé le fond du filet.
Les Blues ont surclassé leurs adversaires 21-14 (plus sept) au chapitre des buts marqués et après avoir gagné leur match d’ouverture, 3-1, au Scottrade Center, face aux Oilers d’Edmonton, jeudi, le 9 octobre, ils ont fait leurs valises, ayant à disputer six matchs de suite à l’étranger.
Après avoir subi une défaite de 3-2, contre le Wild du Minnesota, au Xcel Energy Center, le 10 octobre, ils viennent de remporter quatre gains de suite, en temps réguliers, contre quatre formations canadiennes.
Ils ont signé des gains de 4-3, face aux Flames de Calgary, au Saddledome de la Banque Scotia, le 14 octobre, de 4-2, contre les Oilers d’Edmonton, à la Place Rexall, le 15 octobre, de 4-3, contre les Canucks de Vancouver, au Rogers Arena, vendredi dernier et finalement 4-2, face aux Jets de Winnipeg, au MTS Center, dimanche après-midi.
Ils vont terminer ce voyage de six rencontres en visitant le Canadien et par la suite, ils auront un beau séjour de cinq rencontres de suite à domicile, du 28 octobre au 4 novembre, alors qu’ils recevront respectivement, les Islanders de New York, le Lightning de Tampa Bay, les Ducks d’Anaheim, le Wild du Minnesota et les Kings de Los Angeles.
En concédant plus de trois buts, les Stars n’ont jamais gagné à Philadelphie!
Les Stars de Dallas doivent exceller en défense lorsqu’ils affrontent les Flyers de Philadelphie sur la patinoire de ces derniers, car autrement c’est une défaite assurée!
En effet, la formation dirigée par Lindy Ruff, qui présente un piètre rendement de 11-46-16 (0) lors de ses 73 matchs réguliers disputés sur la patinoire des Flyers, n’a jamais remporté une victoire lorsqu’elle a concédé plus de trois buts dans une rencontre régulière à cet endroit.
Lors des 11 victoires, les Stars ont triomphé trois fois par la voie d’un blanchissage, quatre fois en concédant un but, deux fois en concédant  deux filets et deux fois en concédant trois buts.
Par contre, lors des séries éliminatoires, ils ont réussi à soutirer une victoire en concédant plus de trois buts, l’emportant 6-5, le 29 avril 1980, lors du premier match de la série demi-finale, mais cette victoire avait la seule de cette série, eux qui avaient perdu les quatre matchs suivants pour s’incliner en cinq rencontres.
Soulignons que cette formation a débuté en même temps que les Flyers de Philadelphie, ayant fait son entrée lors de la saison 1967-1968 sous le nom des North Stars du Minnesota et l’équipe a été transférée à Dallas, au terme de la saison 1992-1993.
LES 11 VICTOIRES RÉGULIÈRES DE L’ÉQUIPE À PHILADELPHIE
2 novembre 1967-North Stars du Minnesota 3 à Philadelphie 1
25 janvier 1968-North Stars du Minnesota 3 à Philadelphie 0
2 février 1969-North Stars du Minnesota 3 à Philadelphie 2
4 avril 1970-North Stars du Minnesota 1 à  Philadelphie 0
7 novembre 1971-North Stars du Minnesota 3 à Philadelphie 0
16 février 1978-North Stars du Minnesota 4 à Philadelphie 2
9 avril 1978-North Stars du Minnesota 3 à Philadelphie 1
24 janvier 1988-North Stars du Minnesota 5 à Philadelplhie 3
8 mars 1994-Stars de Dallas 4 à Philadellphie 3 (pro.)
1 décembre 2007-Stars de Dallas 4 à Philadelphie 1
10 mars 2015-Stars de Dallas 2 à Philadelphie 1
LA VICTOIRE EN SÉRIES ÉLIMINATOIRES
29 avril 1980-North Stars du Minnesota 6 à Philadelphie 5 (premier match de la série quatre-de-sept)
Le Lightning n’a pas gagné à Nashville depuis longtemps
Après avoir connu du succès à Nashville, le Lightning de Tampa Bay semble incapable de triompher sur la patinoire des Predators.
En effet, la formation dirigée par Jon Cooper, qui avait présenté une fiche de 5-1-0 lors de ses six premiers matchs à vie sur la patinoire de la troupe de Peter Laviolette, n’a pu faire mieux qu’un dossier de 0-3-1 lors de ses quatre dernières rencontres jouées au Bridgestone Arena.
Son dernier gain à cet endroit remonte au 7 février 2008, alors qu’elle avait triomphé 2-1, en prolongation, alors que Vaclav Prospal avait marqué à 0:58 de la quatrième période.
Sur le plan global, le Lightning a une fiche de 1-5-1 lors de ses sept derniers matchs réguliers disputés contre les Predators, son seul gain depuis 2009, ayant été celui du 19 décembre 2013, 4-2, à Tampa Bay. 
Les Panthers n’ont pas beaucoup de succès à Pittsburgh
S’il y a un endroit où les Panthers de la Floride éprouvent de la difficulté à gagner, c’est bien dans le domicile des Penguins de Pittsburgh.
En effet, la formation dirigée par Gerard Gallant, qui affiche un dossier de 3-2-0 lors de ses cinq premiers matchs, n’a remporté qu’une seule victoire lors de ses 11 dernières rencontres disputées (fiche de 1-5-5) au Consol Energy Center depuis le 10 mars 2009.
Son seul gain lors de cette séquence fut celui du 20 janvier 2014, alors qu’elle avait triomphé 5-1 et cette rencontre est la seule dans laquelle elle a marqué plus de deux buts lors de ses 10 dernières visites à cet endroit, ayant été limitée à un but en cinq occasions et à deux buts quatre fois, mais soulignons que le 10 mars 2009, elle avait perdu 4-3, en tirs de barrage.
LA SÉQUENCE DES PANTHERS SUR LA PATINOIRE DES PENGUINS
10 mars 2009-Floride 3 à Pittsburgh 4 (fus.)
23 octobre 2009-Floride 2 à Pittsburgh 3 (fus.)
12 décembre 2009-Floride 2 à Pittsburgh 3 (pro.)
22 décembre 2010-Floride 2 à Pittsburgh 5
27 mars 2011-Floride 1 à Pittsburgh 2 (fus.)
11 novembre 2011-Floride 2 à Pittsburgh 4
9 mars 2012-Floride 1 à Pittsburgh 2 (fus.)
22 février 2013-Floride 1 à Pittsburgh 3
20 janvier 2014-Floride 5 à Pittsburgh 1
20 décembre 2014-Floride 1 à Pittsburgh 3
22 février 2015-Floride 1 à Pittsburgh 5
20 octobre 2015-Floride à Pittsburgh (19h)
Les 19 octobre se suivent et se ressemblent pour les Sharks et les Rangers!
On a l’impression que le 19 octobre est une date qui donne les mêmes résultats pour les Sharks de San Jose et les Rangers de New York!
En effet, les deux équipes ont eu exactement le même résultat lors de leur rencontre disputée lors de cette journée-là pour une deuxième saison de suite.
Le 19 octobre 2014, les Sharks avaient subi une défaite de 4-0, face aux Rangers de New York, au Madison Square Garden, alors que le gardien Henrik Lundqvist réalisait 33 arrêts, tandis que lors du match de lundi soir du 19 octobre 2015, les Sharks ont encore été blanchis 4-0, contre les Rangers, sur la patinoire de ces derniers, mais c’est le gardien Antti Raanta, qui a réalisé le blanchissage, enregistrant 22 arrêts.
Comme similitude, il est difficile de demander mieux, car il fallait que les deux équipes jouent au même endroit, à la même date et que le résultat soit le même, ce qui est difficilement réalisable.
Nous pourrions ajouter que lors du 19 octobre 2013, les Rangers de New York avaient aussi été impliqués dans un match de 4-0, ayant été blanchis par ce score, par Cory Schneider, des Devils du New Jersey (22 arrêts), au Prudential Center.
LES MATCHS DU 19 OCTOBRE DE 2013, 2014 ET 2015
Oct. 19, 2013-Cory Schneide, New Jersey, Rangers, Ran 0 NJ 4 (22 tirs)
Oct. 19, 2014-Henrik Lundqvist, Rangers, San Jose, SJ 0 Ran 4 (33 tirs)
Oct. 19, 2015-Antti Raanta, Rangers, San Jose, SJ 0 Ran 4 (22 tirs)