mercredi 22 juillet 2015

Trève de négociations

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Publié par La Presse Canadienne le mercredi 22 juillet 2015 à 16h24. Modifié par Jean-François Cyr à 16h33.
Trève de négociations
le joueur du Canadien, Alex Galchenyuk, à l'entraînement, en avril./Photo: archives PC, Ryan Remiorz
MONTRÉAL - Les négociations contractuelles entre le Canadien et Alex Galchenyuk sont dans une trève, confirme le nouveau conseiller du jeune attaquant.

Dans un échange de courriels avec La Presse Canadienne mercredi, Pat Brisson a laissé savoir que les pourparlers avec le directeur général du Tricolore Marc Bergevin reprendront plus tard.
«J'ai eu des discussions avec Marc. On va continuer. Je ne commente pas les dossiers de négos (de contrat)», a-t-il brièvement réagi, quand on lui a demandé comment se déroulaient les pourparlers.
Brisson agit comme le conseiller de Galchenyuk depuis à peine un mois. Le jeune joueur américano-russe a mis fin à son association de longue date avec l'ancien joueur vedette Igor Larionov, qui est le partenaire d'affaires du conseiller Ian Pulver au sein de la compagnie de gérance d'athlètes The Wills Sports Group.
Au moment de la rupture, Larionov avait indiqué que Galchenyuk et sa famille n'acceptaient pas les conseils qu'il leur prodiguait.
Un quotidien de Montréal a par la suite rapporté que son père exerçait une trop grande influence sur son fils, roisième joueur sélectionné au cours du repêchage de 2012.

Libre comme l'air pour une 2e fois, Maxim Lapierre n'est pas inquiet de son sort

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Maxim Lapierre 

Présent à titre de capitaine honoraire lors de la première édition de l'Expérience Hockey Suprématie, Maxim Lapierre est toujours en attente d'un contrat pour la saison prochaine. Toutefois, le joueur de 30 ans ne s'en fait pas trop avec la situation.
Pour une deuxième fois lors de sa carrière, Lapierre est libre comme l'air. Celui qui roule sa bosse depuis un bon moment dans la LNH doit encore prendre son mal en patience avant de d'être assuré de représenter  une équipe la saison prochaine. Le principal intéressé conserve le moral, car il sait que l'intérêt est présent.
« Tu le sais quand tu as 20 ans que quand tu seras rendu vers 30 ans, tu vas attendre un peu plus et ce sera plus énervant. J'ai confiance en moi et je sais que peu importe où je vais aboutir, je serai satisfait », affirme l'énergique attaquant.
« En bout de ligne, je vais avoir une décision à prendre. Je ne te dis pas non plus que tous les clubs courent après moi et que je les fais attendre, ce sont des petits détals à régler. Il faut attendre que les joueurs autonomes avec restriction soient signés. Après ça, ils vont voir ce qu'ils ont à offrir aux joueurs comme moi dans leur banque », poursuit-il.
Moins facile avec une jeune famille
La dernière saison a été fertile en émotions pour le Québécois. Après avoir disputé 45 matchs avec les Blues de St. Louis, l'attaquant a dû faire ses valises afin de se rendre à Pittsburgh. Une transaction qui n'a pas été de tout repos.
« Ç'a été dur cette fois-ci. La première fois, c'était différent. Je partais de Montréal pour aller ailleurs. C'est sûr que c'était un sentiment étrange. J'étais seul dans ce temps-là, mais là j'ai une famille avec un petit bébé et ma femme. Ils devaient tout déménager à St. Louis. C'était un peu moins comique. On s'est habitué vite à Pittsburgh et on a bien aimé ça.»
Par ailleurs, Lapierre a admis qu'il aurait été ouvert à un retour avec le Canadien, son objectif principal étant de trouver un bon endroit à sa famille.

La LNH n'a reçu que deux dossiers

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NEW YORK - La Ligue nationale de hockey confirme n'avoir reçu que les candidatures des villes de Las Vegas et de Québec dans le cadre du processus de projet d'expansion qu'elle a mise de l'avant dernièrement.
Dans un communiqué publié mardi matin, la LNH précise avoir reçu et répondu à 16 demandes de groupes ou d'individus intéressés depuis l'ouverture officielle du processus, le 6 juillet.
Rappelant l'aspect exploratoire du processus, la ligue a indiqué qu'elle constate que seules Las Vegas et Québec sont sérieuses dans leurs démarches.
Soulignant qu'il reste deux autres étapes de soumission de documentation, elle a ajouté qu'elle n'émettra aucun autre commentaire avant qu'il y ait une annonce à faire, possiblement à l'automne.
Voici, dans son intégralité, le communiqué publié :
« La date limite pour soumettre une candidature pour le processus d'expansion était hier soir. Nous pouvons confirmer que nous avons reçu deux candidatures : une de Bill Foley pour une concession à Las Vegas, au Nevada, et une de Québecor pour une concession à Québec, au Québec.
« Notre objectif, en amorçant le processus d'expansion comme nous l'avons fait, n'était pas uniquement d'explorer la possibilité d'ajouter de nouveaux membres à la LNH, mais également, dès le début, de définir des repères nous permettant de départager entre les candidatures d'expressions d'intérêt (par exemple, ceux qui possèdent au minimum les ressources financières substantielles et un amphithéâtre ou la possibilité réaliste d'en avoir un) et les candidatures qui n'étaient, au mieux, basés sur l'espoir ou les aspirations. Apparemment, seuls M. Foley et Québecor ont confiance dans leur capacité d'avoir un amphithéâtre ainsi qu'un groupe d'investisseurs convenable afin d'aller de l'avant dans le processus.
« Nous avons maintenant l'intention de nous concentrer exclusivement sur les deux demandes d'expansion qui ont été soumises, conformément à la procédure précédemment annoncée. Le processus que nous avons décrit pour les candidats qualifiés comprend au moins deux autres étapes de soumission de documentation. Nous ne ferons pas d'autres mises à jour jusqu'à ce qu'il y ait quelque chose de substantiel à annoncer. »
La LNH a annoncé le mois dernier qu'elle lançait un processus en vue d'un élargissement de ses cadres prévu pour la saison 2017-2018.
À ce moment, le commissaire de la LNH, Gary Bettman, avait pris soin de souligner que cette démarche ne voulait pas dire que la ligue allait procéder à une expansion.
Québecor avait aussitôt confirmé qu'il déposerait sa candidature.
Les coûts pour l'obtention d'une nouvelle concession seraient de 500 millions $ US.
Selon certaines sources, la ligue imposerait un paiement de 10 millions $ US, dont 2 millions $ non remboursables, pour déposer sa candidature.
La LNH compte 30 équipes depuis la plus récente expansion, en 2000, lorsque se sont ajoutés les Blue Jackets de Columbus et le Wild du Minnesota. Ces organisations avaient versé 80 millions $, tout comme les Thrashers d'Atlanta et les Predators de Nashville. Les Sénateurs d'Ottawa, les Sharks de San Jose, les Ducks d'Anaheim et les Panthers de la Floride avaient par ailleurs dû débourser 50 millions $.
Toronto a manqué de temps
Le groupe GTA Sports and Entertainment de Markham en banlieue de Toronto n'a pas présenté de candidature même si l'entreprise menée par Graeme Roustan souhaitait attirer une deuxième équipe dans la région torontoise.
Dans un échange de courriels avec le Toronto Sun, Roustan a déclaré qu'il n'avait pas finalisé le travail nécessaire avant la date limite fixée par la LNH. Il a précisé qu'il continuait à travailler sur le développement du GTA Centre, un amphithéâtre de 18 000 sièges. Le groupe oeuvre à ce projet depuis 2012.

Le CH manque-t-il d’opportunisme?

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Publié le 21 juillet 2015 à 21:15 par

Nicolas Cloutier

Plusieurs croient que le CH marque peu de buts en raison de son manque d’opportunisme, mais est-ce vraiment le cas?
Photo: Paul Chiasson, La Presse Canadienne
Photo: Paul Chiasson, La Presse Canadienne
Qu’est-ce que l’opportunisme? Par définition, il s’agit de l’habileté à profiter au maximum des occasions de marquer cédées par l’adversaire. Être opportuniste, bien que ça peut être une question de chance, demande un certain talent. Certains joueurs, à l’aide d’habiletés précises, nécessitent moins de chances que d’autres pour s’inscrire à la marque. Par exemple, Steven Stamkos fait mouche sur 17.2% de ses lancers en saison régulière grâce à la qualité de son tir.
Pour mesurer l’opportunisme, je me suis servi de quatre types de données: le pourcentage d’efficacité, le nombre de tirs tentés vers le filet, le pourcentage des tirs tentés étant des chances de marquer de grade A (plus communément appelées « High Danger Scoring Chances ») et le pourcentage des tirs tentés étant des chances de marquer.
Pourquoi? Parce que, théoriquement, une équipe dite opportuniste conservera un bon pourcentage d’efficacité sur ses tirs même si une faible portion d’entre eux s’avèrent des chances de marquer. Comme le veut la définition, elle défie la logique en saisissant l’opportunité dès qu’elle se présente.
Les deux tableaux présentent les mêmes données. Celui de gauche classe les équipes en ordre décroissant de pourcentage d’efficacité. Les clubs se situant au-dessus de la barre pointillée rouge sont plus efficaces que la moyenne du circuit.
Celui de droite classe les équipes en ordre décroissant de taux de chances de marquer de Grade A. Les clubs au-dessus de la barre pointillée verte se veulent « meilleurs » que la moyenne de la ligue à ce chapitre.
*données compilées à forces égales par War-On-Ice
Le Canadien a tenté 3546 tirs la saison dernière. Il a obtenu 662 chances de marquer de grade A et 1610 chances de marquer. On dira alors que 18.67% de ses lancers tentés ont été des chances de Grade A et 45.4% ont été des chances de marquer.
On ne se limite pas aux tirs cadrés parce qu’un tir hors cible peut avoir été au coeur d’une occasion de marquer. Ex.: rater une cage béante.
– Une équipe qui affiche un haut taux de chances de marquer de grade A, mais qui est moins efficace que la moyenne de la ligue est considérée comme non opportuniste et vice-versa.
– Les Sabres sont une anomalie, car, au volume, ils ont généré la plus basse quantité de chances de grade A et de tentatives de tirs de tout le circuit la saison dernière. La taille de l’échantillon vient fausser les données, spécialement quand on s’intéresse aux proportions. Puis, malgré ce haut taux d’occasions importantes, ils ne font mouche que sur 7.14% de leurs tirs ce qui démontre à quel point leurs attaquants manquent de touche offensive ainsi que de finition.
– En saison régulière, le Canadien n’en demandait pas tant pour marquer: il pointe au 12e rang de la ligue en ce qui a trait au pourcentage d’efficacité, même si seulement 18.67% de ses tirs se sont avérés des chances de grade A (22e rang de la ligue).
Toutes les équipes gagneraient à être encore plus opportunistes, cela va de soi. Mais le défi pour le Canadien l’an prochain sera davantage de générer plus d’offensive que de tirer avantage de flashs sporadiques.
En rafale– Un ancien joueur de la LNH débourse 3100$ pour un chandail de Carey Price:
– L’écart entre Holtby et les Capitals dans les négociations est énorme!
– Ville Leino trouve du boulot en Russie:
– La LNH est déçue, mais elle n’est pas surprise par l’absence d’une candidature de Seattle. LIEN
– La pire équipe de l’histoire de la LNH? Les Capitals de Washington de 1974-1975, avec une fiche de 8-67-5! LIEN
– Les Jets ont entamé les discussions avec Andrew Ladd et Dustin Byfuglien en vue de prolonger leurs contrats.LIEN
– Une anecdote croustillante de Denis Savard à propos de Patrick Kane et Taylor Swift: LIEN
– Michael Sam pourrait bientôt voir de l’action avec les Alouettes. LIEN
– Jacques Demers discute des Nordiques dans le dernier podcast de HEOTPLIEN
– Simon Gagné se réjouit de la possibilité d’un retour des Nordiques: LIEN
– Les joueurs de l’Impact rêvent de voir Didier Drogba débarquer à Montréal. LIEN

À travers la LNH

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Alex Chiasson
Alex Chiasson (Source d'image: Getty )

Alex Chiasson doit passer devant un arbitre aujourd'hui, et lui et les Sénateurs sont loin d'une entente.
L'attaquant de 24 ans demanderait un salaire de 2, 745 millions de dollars par saison, tandis que les Sénateurs lui offrent un contrat d'un million.
Chiasson gagnait 900 000 dollars la saison dernière, quand il a disputé 76 des 82 rencontres des siens. Il a inscrit 11 buts et 15 passes tout en maintenant un différentiel de -5.
Pulkkinen signe pour un an
Les Red Wings de Detroit ont consenti un contrat d'un an à l'ailier droit Teemu Pulkkinen. Les détails de l'entente n'ont pas été dévoilés.
Pulkkinen a partagé sa deuxième saison complète en Amérique du Nord entre les Wings et leur club-école de Grand Rapids.
L'attaquant de 23 ans a récolté cinq buts et trois aides en 31 matchs dans la LNH, récoltant son premier but sur le circuit Bettman le 20 janvier contre le Wild du Minnesota. Il a aussi ajouté 34 filets et 27 mentions d'assistance avec les Griffins dans la Ligue américaine.
Les Sabres réengagent Larsson
Les Sabres de Buffalo ont réengagé l'attaquant Johan Larsson pour une saison.
Ils avaient retenu les droits sur Larsson en lui soumettant une offre qualificative, le mois dernier.
Le Suédois a réussi 6 buts et et il a ajouté 10 passes en 39 matchs chez les Sabres, la saison dernière.
Il avait été acquis du Wild du Minnesota en avril 2013, dans l'échange du capitaine Jason Pominville.
Larsson, qui fêtera son 23e anniversaire de naissance samedi, se verra offrir la possibilité d'être un rouage important des Sabres, la saison prochaine.

«Les doutes se sont dissipés» - Pascal

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Publié par 98,5 Sports pour 98,5fm Sports le mardi 21 juillet 2015 à 16h35. Modifié à 16h57.
«Les doutes se sont dissipés» - Pascal
Jean Pascal/PC/Ryan Remiorez
(98,5 Sports) - Jean Pascal fait un retour sur le ring, samedi, à Las Vegas, face au Cubain Yuneski Gonzalez, quatre mois après une défaite sans appel par arrêt de l'arbitre au huitième round contre le Russe Sergey Kovalev.
On en parle en ondes :
Écouter
Mis en ligne le mardi 21 juillet 2015 dans Les amateurs de sports avec Michel Langevin
Pour le boxeur québécois, le travail acharné des dernières semaines s’est avéré le meilleur remède pour dissiper les doutes avant ce retour entre les câbles.
« Je pense à vous. Je pense au Québec, car je sais que le Québec est derrière moi et veut que je me relève », a déclaré Pascal, en provenance de Las Vegas, à l’animateur Michel Langevin aux Amateurs de sports.
« J’ai vraiment travaillé très fort pendant six semaines. Les doutes se sont dissipés dans ma tête et je suis fin prêt pour mon combat de samedi soir. Je vais démontrer aux gens que je fais encore partie de l’élite mondiale. »
Faisant preuve d’une belle humilité, Pascal a admis que sa première séance d’entraînement avec un partenaire sur un ring après le revers contre Kovalev au Centre Bell n’a pas été une affaire de routine.
« Pour être franc avec vous, quand j’ai fait ma première séance de «sparing»… Lors des premiers coups, j’ai eu des petits flashs de mon combat contre Kovalev. Après la séance, je me suis posé beaucoup de questions. J’avais le moral dans les talons. Mais maintenant, tous les doutes sont dissipés. Je suis fin prêt physiquement et psychologiquement pour le combat du 25 juillet. »
Avec une excellente fiche de 34 victoires (17 K-.O.), trois défaites et une décision partagée, Pascal n’est certes pas un assidu dans le coin des perdants. Mais tous les observateurs admettent qu’en dépit d’un courage indiscutable, Pascal a été frappé par Kovalev comme personne ne l’avait jamais frappé.
Lucian Bute ne s’est jamais remis du K.-O. subi contre Carl Froch. On peut se demander quelle sera la réaction de Pascal quand il sera entre les câbles face à au Cubain Yunieski Gonzalez, juste avant le combat principal entre Kovalev et Nadjib Mohammedi.
« C’est sûr que ce n’est pas facile de perdre de la façon que Lucian a perdu, ou même de la façon que j’ai perdu, mais c’est une question vraiment mentale. Ça se passe entre les deux oreilles avec mon équipe. J’ai fait le travail nécessaire pour revenir en force.
« Le doute, c’est le pire ennemi du boxeur. Si tu doutes, tu peux perdre la fraction de seconde qu’il faut pour mettre notre adversaire K.-O. et, dès fois, c’est là qu’on va se faire passer le K.-O.. C’est important, quand on monte sur le ring que tous les doutes soient dissipés. »