mercredi 9 mars 2016

Steffi Graf prête à voir son record bientôt égalé par Serena Williams

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Andre Agassi et Steffi Graf
Andre Agassi et Steffi Graf (Source d'image:Getty)
L'ex-gloire du tennis Steffi Graf n'a aucun doute : Serena Williams égalera sous peu son record de 22 titres du Grand Chelem, et l'Allemande aborde cette perspective sereinement, sans nostalgie aucune.
La no 1 mondiale qui, à 34 ans, a remporté 21 titres du Grand Chelem, a échoué tout près du but à Melbourne en janvier, battue en finale des Internationaux d'Australie par Angelique Kerber, une compatriote de Graf. Mais selon cette dernière, ce n'est que partie remise.
« Je suis convaincue qu'elle va (battre mon record) », a déclaré l'ancienne joueuse dans une entrevue accordée à l'AFP à Tokyo. « Honnêtement, nous pensons tous qu'elle en est capable et qu'elle y parviendra bientôt. »
Steffi Graf et Serena Williams en 1999
Steffi Graf et Serena Williams en 1999 (Source: PC)
« Ai-je accepté l'idée? », s'amuse l'Allemande âgée de 46 ans, qui a dominé le tennis féminin mondial de la fin des années 1980 à la fin des années 1990.
« J'ai tout donné au tennis et je suis très heureuse de ce que j'ai accompli », souligne-t-elle. « Je suis un peu (de ce que Serena Williams fait) et je suis heureuse pour elle. Cela ne m'enlève rien, je suis complètement à l'aise » avec sa performance.
Graf, qui vit aujourd'hui à Las Vegas avec son mari Andre Agassi et leurs deux enfants, a notamment réussi en 1988 la prouesse suprême : le Grand Chelem sur l'année calendaire, qu'elle est la seule à avoir réalisé avec l'Américaine Maureen Connolly (1953) et l'Australienne Margaret Smith Court (1970).
Depuis la capitale japonaise, elle a salué Serena Williams pour avoir révolutionné son sport.
« Son service est tout simplement le plus puissant dans l'histoire du tennis féminin », s'enthousiasme Graf, qui a disputé seulement deux rencontres contre Williams en 1999, l'une perdue, l'autre gagnée. « Il n'y a rien de comparable à une telle puissance. Et personne n'a jamais démontré de telles capacités d'athlète. »
Pour autant, elle juge que la finesse a toujours sa place dans le jeu, citant l'exemple de la Roumaine Simona Halep, no 5 mondiale, « qui n'a pas cette force physique mais offre un tennis épatant », ou encore de Kerber à qui elle prédit un bel avenir.
« Je l'ai regardée jouer et je me suis un peu entraînée avec elle. J'étais consciente de son talent et de ses aptitudes, mais j'ai toujours pensé qu'elle était freinée par un manque de confiance », a-t-elle dit au sujet de cette dernière. « Sa victoire aux Internationaux d'Australie va lui permettre de croire plus en elle, et les résultats vont suivre. »
Graf, présente cette semaine à Tokyo pour promouvoir un tournoi junior organisé sous la houlette de Roland-Garros, a par ailleurs refusé de s'exprimer sur l'affaire de contrôle positif qui touche la Russe Maria Sharapova.

Alex Galchenyuk : on y prend goût

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Stars 3 - Canadiens 4 (Prol.)


Alex Galchenyuk est en train de sauver la fin de saison du Canadien et la sienne du même coup.
Non! Le jeune attaquant, aussi flamboyant soit-il en ce moment, ne sera pas en mesure de propulser le Tricolore en séries. Mais à le voir aller depuis que l’état-major a accru ses responsabilités offensives, il est facile de croire qu’il contribuera à le faire l’an prochain. Si, bien sûr, l’état-major mise de la même façon sur ses aptitudes et habilités en lui offrant le temps d’utilisation de qualité dont il profite maintenant. Et si, bien sûr, il joue avec la même détermination qui l’habite présentement et qu’il conserve sa touche qui lui permet de transformer ses occasions de marquer en buts.
Ça fait beaucoup de si. Je sais. Mais avec ce que Galchenyuk nous offre en fait de performances – et je ne parle pas seulement ici des résultats – il y a de quoi être optimiste.
Alex Galchenyuk a marqué deux buts lundi soir dont celui qui a propulsé le Canadien vers une victoire ô combien surprenante de 4-3 en prolongation aux dépens des Stars de Dallas. Des Stars qui devront être pas mal plus incisifs en séries s’ils veulent se donner une mince chance de simplement franchir la première ronde.
C’était sa deuxième partie de suite de deux buts. Sa troisième lors des quatre derniers matchs. Sa quatrième lors des sept dernières parties. Sa cinquième lors des 12 dernières rencontres et sa sixième cette saison.
Je ne sais pas pour vous, mais personnellement je commence à y prendre goût.
Quand Galchenyuk s’est présenté sur la patinoire à titre de première étoile, il a reçu un accueil triomphal. Je sais : les partisans accordent toujours ce genre d’accueil à leur héros du moment. Mais j’ai vraiment l’impression que l’éveil de Galchenyuk sert de baume sur toutes les plaies vives qui minent le Canadien et ses fans depuis le début de la grande débâcle en décembre dernier.
Non seulement a-t-il marqué deux buts, mais Galchenyuk a contribué à l’autre but enfilé par son trio. Un but de Max Pacioretty qui a fait dévier un tir de la pointe d’Andrei Markov. Cette passe était sa première depuis le début de sa poussée impressionnante de 11 buts enfilés lors des 12 derniers matchs.
Comme si ces deux buts et trois points n’étaient déjà pas suffisants, Galchenyuk a orchestré quelques belles poussées qui se sont soldées par de bonnes occasions de marquer pour lui ou ses deux ailiers.
Temps d’utilisation abondant et de qualité
Une telle production attise la campagne menée par plusieurs amateurs qui voient enfin, en Galchenyuk, le gros centre du premier trio qu’ils anticipaient lorsque le Canadien l’a repêché au troisième rang de la cuvée de 2012.
J’ai encore tendance à croire que Galchenyuk sera plus à l’aise à l’aile qu’au centre. La manière dont il marque depuis deux semaines en dépit de sa mutation au centre milite d’ailleurs en faveur de cette prétention.
Mais peu importe l’endroit où il se place et se placera lors des mises en jeu, c’est ce qui se passera une fois la rondelle sur la glace qui m’importe et m’importera le plus dans l’évaluation du rendement de Galchenyuk.
Que ce soit à titre de centre ou d’ailier, il me semble évident maintenant que le jeune qui est en train de devenir grand doit être parmi les attaquants les plus utilisés du Tricolore.
De fait, ça ne devrait plus faire de doute.
Therrien ne regrette rien
Quand je regarde Galchenyuk aller, je me demande si le Canadien ne regrette pas un brin ou deux d’avoir trop attendu pour lui donner la glace dont il semble avoir besoin pour déployer tout son talent. De l’avoir gardé dans l’ombre de coéquipiers moins talentueux et/ou productifs alors que Galchenyuk s’est souvent (trop) retrouvé tout juste devant les membres du quatrième trio en fait de temps d’utilisation. Que ce soit en minutes ou en qualité.
« Je ne regrette rien », a répondu Michel Therrien lorsque je lui ai posé la question après la rencontre.
« Alex n’est pas le même joueur qu’il était en début de saison. Il joue avec beaucoup plus de confiance depuis un mois. C’est la raison pour laquelle nous avons décidé de retenter l’expérience au centre, car il avait retrouvé son aplomb à l’aile. Il est maintenant important pour lui de garder le même rythme. De ne pas jouer sur les talons. De maintenir son rendement. D’être dominant offensivement. Alex (Galchenyuk) a connu des succès par séquences dans le passé. Il doit apprendre à maintenir cette séquence », a poursuivi l’entraîneur-chef du Canadien qui a aussi parlé de l’importance de ne pas « dépersonnalisé » son ou ses joueurs.
L’état-major du Canadien – la directive venait du directeur général Marc Bergevin – a adopté une politique rigide en matière de temps d’utilisation pour assurer le meilleur développement possible de Galchenyuk.
C’était sans l’ombre d’un doute louable. Même que c’était certainement la bonne façon de faire. Mais après quatre ans, il est temps maintenant de « libérer » Galchenyuk. Ça se sent. Ça se voit. Ça ne veut pas dire que le laisser aller à l’épouvante et de mettre de côté les responsabilités qu’il doit assumer tout en tentant de mousser sa production offensive.
Comme on le fait lorsqu’on se demande si c’est l’œuf qui est venu avant la poule ou le contraire, il est permis de se demander si Galchenyuk offre des performances si flamboyantes parce qu’on lui donne l’occasion de le faire ou si on lui offre maintenant plus de temps d’utilisation et du temps de qualité parce qu’il joue mieux, bien, voire très bien?
« C’est une excellente question, a d’abord reconnu Michel Therrien avant d’ajouter : les performances dictent l’utilisation. »
J’ai tendance à être d’accord avec l’entraîneur-chef du Canadien sur ce point. Du temps d’utilisation de qualité ça ne doit pas tomber du ciel. Tu l’obtiens à la sueur de ton front. En fonction de l’effort déployé et des résultats obtenus.
Lors des deux matchs au cours desquels ils ont été réunis – je crois que c’était Dale Weise qui jouait avec eux alors que Brendan Gallagher se remettait des fractures à sa main droite – Max Pacioretty et Alex Galchenyuk n’avaient rien cassé. Michel Therrien a même souligné après la rencontre de mardi qu’ils n’avaient pas même obtenu une seule occasion de marquer. Disons que les choses ont changé. Et pour le mieux.
Si les performances de Galchenyuk dictent son utilisation future, ça veut donc dire qu’il devrait encore jouer beaucoup jeudi contre Buffalo. Il s’agit là d’une très bonne nouvelle pour Galchenyuk, pour le Canadien et pour ses partisans.
Même pour ceux qui tiennent à voir le club perdre pour maximiser ses chances d’obtenir la sélection la plus élevée au prochain repêchage? Pour tous les partisans.
Car si le Canadien profite de cette fin de saison misérable pour enfin déterminer la niche qu’occupera Alex Galchenyuk pour les trois, cinq, sept prochaines années, ce sera une très grande victoire. Une victoire qui aidera à dicter les mesures à prendre pour vraiment faire du Canadien un club capable d’aspirer aux grands honneurs et non simplement un club qui peut aspirer aux séries. Avec ou sans Carey Price devant le filet.

Bergeron et Marchand unissent leurs efforts contre le Lightning

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Publié par Associated Press le mardi 08 mars 2016 à 22h36. Modifié par Charles Payette le mercredi 09 mars 2016
Bergeron et Marchand unissent leurs efforts contre le Lightning
TAMPA, Floride - Brad Marchand a marqué avec seulement 10 secondes d'écoulées à la prolongation, mardi soir, procurant du même coup une courte victoire de 1-0 aux Bruins de Boston contre le Lightning de Tampa Bay dans un duel entre les comeneurs de la section atlantique.
Patrice Bergeron s'est présenté sur le flanc droit et a expédié une passe transversale dans l'enclave, qui a été habilement redirigée par Marchand derrière le gardien Ben Bishop.

Faits saillants:


Jonas Gustavsson, qui a remplacé le partant Tuukka Rask devant le filet des Bruins, a repoussé un total de 42 tirs. Le gardien suédois a porté sa fiche à 11-5-1 cette saison après avoir enregistré son septième jeu blanc en carrière.

Bishop a effectué 32 arrêts à l'autre bout de la patinoire.

Les Bruins et le Lightning ont 83 points de classement, mais la troupe de l'entraîneur-chef Claude Julien a disputé un match de plus que le club floridien.

Un Canadien décimé surprend les Stars

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Publié par 98,5 fm pour 98,5fm Sports le mardi 08 mars 2016 à 18h14. Modifié par Charles Payette le mercredi 09 mars 2016
Un Canadien décimé surprend les Stars
L'explosion de joie après le but gagnant./PC/Graham Hughes
(98,5 Sports) - En dépit de l'absence de Brendan Gallagher et de Lars Eller, qui se sont ajoutés à la longue liste des blessés de la formation, l'équipe B du Canadien de Montréal a eu le dessus sur les coriaces Stars de Dallas, mardi, à son retour au Centre Bell.

Un but d'Alex Galchenyuk, son deuxième du match, après 1:59 de jeu en prolongation, a permis au Tricolore (31-30-6) de renouer avec la victoire en l'emportant 4-3.
On en parle en ondes :

Écouter
Mis en ligne le mardi 08 mars 2016 dans Bonsoir les sportifs et Après-match du Canadien avec Martin McGuire et Dany Dubé
Galchenyuk, avec ses 22e et 23e buts de la saison, ainsi que Max Pacioretty (25e) et Phillp Danault (2e), avec sa première réussite dans l'uniforme du Canadien, ont inscrit les buts de l'équipe de Michel Therrien. Galchenyuk a ainsi inscrit 9 buts à ses sept plus récents matchs.

La réplique fut celle de Cody Eakin (1e), Jason Spezza (25e) et Ales Hemsky (10e).

Faits saillants:


Le Canadien a annoncé un peu avant la rencontre que Eller n'y prendrait pas part. Quelques minutes après le début du match, l'organisation montréalaise confirmait par l'entremise de son compte Twitter que Gallagher serait absent pour une période allant de deux à trois semaines.

Ces deux noms viennent s'ajouter à ceux du gardien Carey Price, des attaquants David Desharnais, Brian Flynn et Daniel Carr, ainsi qu'aux défenseurs Jeff Petry, Nathan Beaulieu et Tom Gilbert, qui sont tous sur le carreau.

En raison de la défaite de 5-3 des Red Wings de Detroit face aux Blue Jackets de Columbus, le Canadien se rapproche à 7 points du huitième rang de l'Association de l'Est qui donne accès aux séries éliminatoires avec 15 matchs à jouer.

Le film de la rencontre

Première période:

À sa première présence au Centre Bell dans l'uniforme du Canadien, Stefan Matteau obtient la première chance de marquer. Une remise du revers de Paul Byron permet à l'attaquant de mettre à l'épreuve le gardien Kari Lehtonen qui résiste.

Les Stars sont plus opportunistes. Dès leur première occasion de marquer, Jason Demers tire parti d'une belle passe et déjoue Ben Scrivens. On a plutôt eu l'impression que c'est Cody Eakin qui avait marqué. Stars 1 Canadien 0.

Le Canadien annonce durant la première période via son compte Twitter que Brendan Gallagher sera absent de deux à trois semaines en raison d'une blessure au bas du corps.

Une belle relance de Max Pacioretty permet à Sven Andrighetto de s'échapper sur le flanc droit, mais son tir rate complètement la cible.

Torrey Mitchell s'offre une poussée qu'il ne mènera pas à terme, mais Alexei Emelin, qui suivait le jeu, rate de peu un but en s'emparant de la rondelle libre. Kari Lehtonen semblait être battu.

Le marqueur officiel fait un changement et annonce que Eakin est bel et bien l'auteur du but des Stars. Son 12e de la saison.

Contre-attaque des Stars. Jolie feinte et puis tir voilé de Jamie Benn. Scrivens sort la jambière droite. Bel arrêt.

Mise en jeu dans la zone des Stars. Galchenyuk s'empare de la rondelle. Il sert une passe transversale à Andrei Markov qui décoche un tir frappé dévié devant le filet par Pacioretty. Le 24e but de la saison du capitaine. Stars 1 Canadien 1.

Pénalité au Canadien, à Sven Andrighetto, pour avoir retenu Jason Demers. Les Stars poursuivent le jeu à six joueurs pendant une bonne minute avant que Scrivens ne touche à la rondelle.

Le Canadien excelle en désavantage d'un joueur. L'attaque des Stars est neutralisée.

Et une autre pénalité pour le Tricolore à la toute fin de la période, à Pacioretty, pour avoir retenu le bâton de Demers.

Tirs au but:

Stars: 15 - 0 - 0 : 15

Canadien: 9 - 0 - 0 : 9

Deuxième période:

Les Stars commencent le deuxième tiers en avantage numérique. Et ça ne traîne pas... Tir foudroyant de Jason Spezza qui cloue Scrivens sur place après 17 secondes de jeu. Sa 25e réussite de la saison. Une 41e mention d'aide pour Jamie Benn. Stars 2 Canadien 1.

La réplique est tout aussi rapide. Andrighetto arrache la rondelle derrière le filet de Lehtonen et il fait une passe d'une main entre les jambes de Cody Eakin en dépit du fait qu'il est tombé sur la patinoire. Galchenyuk dégaine comme l'éclair! Stars 2 Canadien 2.

Le 22e but de la saison de Galchenyuk, son huitième en sept rencontres. Trente-six secondes d'écart entre les deux buts.

Le Canadien maintient la pression. Un tir de la pointe de Greg Pateryn n'est pas maîtrisé du gant par Lehtonen et la rondelle ricoche sur la bande derrière le filet, ce qui se transforme en «passe» pour Phillp Danault dont le tir du revers fait mouche. Son premier but dans l'uniforme du Canadien. Stars 2 Canadien 3.

Le défenseur Alex Goligoski est atteint par un tir frappé puissant de Pateryn. Quelques instants plus tard, Lucas Lessio met légèrement en échec Jason Demers qui perd l'équilibre. Demers est secoué quand son épaule heurte la bande au terme de sa glissade.

Pénalité aux Stars: Spezza, pour avoir fait trébucher Paul Byron.

Le Canadien (Galchenyuk, Markov, Subban) fait circuler la rondelle avec aisance et Lehtonen doit se signaler face à un boulet de canon de P.K. Subban.

Même de retour à cinq contre cinq, le Canadien contrôle le jeu à volonté et un échange entre Subban et Danault oblige Lehtonen à se signaler.

Scrivens fait un arrêt face à un tir de Valeri Nichushkin et après l'arrêt du jeu, il retire son bouclier et il se dirige immédiatement vers le banc des siens, blessé à l'index de la main droite. Quoique, vraisemblablement pas sur ce jeu-là. On applique les premiers soins rapidement et le gardien du Canadien est de retour devant son filet.

Eakin fonce vers la zone du Canadien, deux joueurs l'entourent, mais Ales Hemsky s'empare de la rondelle libre et il contourne l'arrière du filet de Scrivens pour le surprendre de l'autre côté après un tourniquet. Un but marqué avec une minute de jeu à faire à la période. Stars 3 Canadien 3.

Tirs au but:

Stars: 15 - 10 - 0 : 25

Canadien: 9 - 7 - 0 : 16

Troisième période:

D'entrée de jeu, un tir de la pointe d'Alexei Emelin alors que Tomas Plekanec faisait écran donne du mal à Lehtonen.

On traverse la patinoire et cette fois, c'est un tir de Seguin qui est repoussé par Scrivens.

Blessé à l'épaule droite, Jason Demers n'est pas revenu au jeu en troisième et on ne le reverra pas ce soir.

Après un autre arrêt de Scrivens, Mitchell, en repli, sort complètement du jeu Patrick Eaves qui aurait pu s'emparer du retour.

Descente à deux contre un avec Byron et Matteau. Le premier glisse la rondelle vers le second qui n'arrive pas à déjouer Lehtonen. Mais les Stars écopent d'une pénalité sur la séquence, quand Johnny Oduya accroche Matteau.

L'avantage numérique ne dure que 30 secondes, en raison de la pénalité dont écope Galchenyuk. On joue à quatre contre quatre.

Personne ne s'impose avec deux joueurs de moins et dès que les Stars sont de retour avec cinq joueurs, Jamie Benn décoche un tir que Scrivens a cru avoir laissé filer durant une seconde.

Un tir du défenseur Kris Russell atteint Scrivens directement au masque. Pas de mal. On est de retour à forces égales.

Le Canadien n'a pas de complexes face à une équipe qui a une bien meilleure fiche que la sienne, même si la troisième période n'est pas aussi convaincante que la précédente.

Galchenyuk s'empare d'une rondelle libre à l'entrée de la zone des Stars, il fait deux belles feintes, mais son tir passe au-dessus du filet adverse.

Les deux équipes génèrent bien peu d'occasions de marquer dans les dernières minutes de la période et on va en prolongation.

Tirs au but:

Stars: 15 - 10 - 8 : 33

Canadien: 9 - 7 - 10 : 26

Prolongation:

Après 90 secondes à tenter de trouver une ouverture de part et d'autres, Galchenyuk repère Pacioretty à sa droite et le capitaine s'offre un bon tir au but.

Quelques secondes plus tard, Galchenyuk profite du bâton brisé de Russell pour s'installer à la droite du but de Lehtonen et son tir balayé touche la cible. Stars 3 Canadien 4.

Tirs au but:

Stars: 15 - 10 - 8 - 0 : 33

Canadien: 9 - 7 - 10 - 2: 28