dimanche 31 janvier 2016

P.K. «Jagr» vole le spectacle

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Publié par 98,5 fm pour 98,5fm Sports le samedi 30 janvier 2016 à 20h48. Modifié le dimanche 31 janvier 2016
P.K. «Jagr» vole le spectacle
P.K. Subban en « Jaromir Jagr »./AP
(98,5 Sports) - P.K. Jagr ou Jaromir Subban? Difficile à dire, mais le défenseur du Canadien de Montréal P.K. Subban a fait tout un tabac, samedi, au concours d'habiletés de la partie d'étoiles de la LNH présenté à Nashville et remporté par les représentants de l'Association de l'Est 29-12.
Participant aux défi des d'échappées - ou le style avait bien plus d'importance que d'inscrire un but -, Subban s'est présenté sur la patinoire avec le chandail numéro 68 de Jaromir Jagr des Panthers de la Floride.

Affublé d’une perruque qui rappelait la longue crinière du joueur tchèque dans sa jeunesse, Subban a poussé le souci du détail au point de patiner et de manier le bâton comme le joueur vedette âgé de 43 ans. Après avoir réussi un but, Subban a effectué le salut militaire traditionnel que fait Jagr depuis des années.

Comme les joueurs des deux associations et les spectateurs présents à l’aréna des Predators de Nashville, Jagr s’est tordu de rire en voyant Subban l’imiter.

Jagr a écrit sur Twitter qu'il n'était pas au courant que Subban, « son petit frère », allait se déguiser de cette manière.

« Il a des beaux cheveux, il paraît bien », a lancé Subban en riant alors que Jagr acquiesçait.

Le joueur du Canadien a remporté le concours dont le gagnant était déterminé par vote populaire des partisans. Il a notamment eu le dessus sur Brent Burns, qui a reçu l'aide de son fils et qui a enfilé un masque du personnage de Star Wars Chewbacca, ainsi que sur James Neal, qui a fait l'appel au chanteur country Dierks Bentley.

Grâce à cette victoire, les capitaines Jagr et John Tavares ont pu choisir le moment auquel leurs équipes s'affronteront en demi-finale, dimanche. Ils ont évidemment choisi de jouer en premier afin de pouvoir se reposer avant d'affronter l'équipe gagnante de l'Association de l'Ouest. Tous les matchs auront lieu selon un format trois-contre-trois.

Tavares, le capitaine de la section métropolitaine, a déclaré qu'il devait donner la chance à Jagr de prendre du repos.

« Si nous gagnons, nous aurons plus de repos, a dit Jagr. Si nous perdons, je peux directement retourner à la maison. Je suis désolé Nashville. Je suis honnête. »

Larkin, le plus rapide

La recrue des Red Wings de Detroit Dylan Larkin a connu des débuts éclatants à son premier week-end des étoiles, remportant non seulement le titre de patineur le plus rapide, mais en établissant un record à ce chapitre.

Larkin, 19 ans, a facilement battu le défenseur des Predators Roman Josi au premier tour de l'épreuve en complétant le parcours en 12,894 secondes. Il a ensuite effectué un tour complet de la patinoire en seulement 13,172 secondes malgré une légère erreur dans le troisième virage.

Le record précédent appartenait à Mike Gartner, qui avait signé un chrono de 13,386 secondes en 1996. Interrogé au sujet de la marque de Gartner, Larkin a demandé s'il était né lorsque Gartner a établi cette marque. En fait, Larkin a vu le jour en juillet 1996, quelques mois après l'exploit de Gartner, alors âgé de 36 ans.

« Oui, j'ai vu ça un peu plus tard, a-t-il déclaré. C'est fou »

Le bagarreur John Scott, qui participe au match des étoiles grâce au vote des partisans, a reçu une ovation debout avant de prendre part au concours du tir le plus puissant. Le joueur appartenant au Canadien a enregistré un tir frappé à 96 milles à l'heure (154,49 km/h).

Sans surprise, le défenseur Shea Weber des Predators a remporté le concours du tir frappé le plus puissant à 108,1 milles à l'heure, soit un peu moins que sa marque de 108,5 de 2015. Le record appartient à Zedno Chara (108,8 mah).

Steven Stamkos du Lightning de Tampa Bay (103,9) et Subban (102,3) ont été les autres joueurs qui ont franchi la barre des 100 milles à l'heure.

Tavares, des Islanders de New York, a remporté l'épreuve de précision en touchant 4 des 5 cibles en 12,2 secondes tandis que l'Association Ouest a eu le dessus lors de la course à relais. Les représentants de l'Est ont is le point final à la soirée en gagnant l'épreuve des tirs de barrage.

(Avec Associated Press et La Presse canadienne)

Les Kings de Los Angeles accueilleront le Match des étoiles de la LNH en 2017

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L'expansion, John Scott et Los Angeles


NASHVILLE - Pour la troisième fois et la première depuis 2002, la ville de Los Angeles accueillera le match des étoiles de la Ligue nationale de hockey, l'an prochain.
Le commissaire Gary Bettman en a fait l'annonce, samedi, lors d'une conférence de presse à l'aube du match de dimanche. Les Kings célébreront leurs 50 ans d'existence au cours de la saison 2016-2017 tandis qu'il s'agira du 100e anniversaire de la Ligue.
Les Kings présenteront le concours d'habiletés le 28 janvier et le match des étoiles, le lendemain. La ville a accueilli les étoiles de la Ligue pour la première fois en 1981.

Sergey Kovalev a défait Jean Pascal pour demeurer champion WBA, IBF et WBO des mi-lourds

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Kovalev, une fois de plus dominant

Francis Paquin
MONTRÉAL - La colère de Sergey Kovalev était trop grande pour empêcher Jean Pascal d’échapper à son destin.
Le champion unifié des poids mi-lourds a repris là où il avait laissé dix mois plus tôt en forçant le coin du boxeur québécois à abandonner après le septième round, samedi soir au Centre Bell.
Kovalev (29-0-1, 26 K.-O.) a ainsi conservé ses ceintures WBA, IBF et WBO en dominant complètement un duel pendant lequel il n’a absolument laissé aucune chance à Pascal (30-4-1). Le Russe avait remporté tous les rounds sur les cartes des juges au moment de l’interruption.
Le champion n’a également laissé aucun doute sur son brio au chapitre des statistiques en atteignant l’aspirant 165 fois en 412 tentatives et n’étant touché que 30 fois en 108 occasions.
« Kovalev a été le meilleur boxeur ce soir et il est un grand champion. C’est pour ça qu’il a trois ceintures, a déclaré Pascal quelques instants après avoir fondu en larmes au commencement de son point de presse. Je me sens triste, mais je pense que j’ai encore un bel avenir devant moi.
« Nous n’avons évidemment pas connu la soirée espérée. C’est dommage, car tout s’était déroulé à merveille dans le vestiaire, a déploré son entraîneur Freddie Roach. Kovalev est un boxeur qui est extrêmement fort physiquement, mais nous n’avons pas d’excuses à donner. »
« Nous sommes fiers du courage démontré par Jean, a ajouté le vice-président d’InterBox Pierre Duc. Ce n’est pas le résultat souhaité, mais nous serons là pour épauler Jean dans le futur. »
Même si Kovalev avait clamé plus tôt cette semaine qu’il mettrait fin à la carrière de Pascal, le champion n’a pas cherché à arracher la tête de son adversaire, étant plutôt méthodique comme il l’avait été pendant le premier affrontement entre les deux boxeurs présenté en mars dernier.
« J’étais tellement bien préparé que le deuxième combat a été beaucoup plus facile que le premier, a avoué Kovalev. Pascal avait été beaucoup plus dangereux pendant le premier combat. Il n’a rien présenté de nouveau et je peux dire que tout était sous contrôle.
« Ce n’était pas du tout mon objectif de mettre fin au combat rapidement. Je n’étais là que pour faire mon travail et pour lui faire payer ses déclarations effectuées plus tôt cette semaine. »
Le Russe a ainsi établi rapidement son jab, attaquant continuellement le corps du Québécois pour le limiter dans ses déplacements. Ce dernier est néanmoins parvenu à démontrer de bons flashes par moments, mais ils ont été beaucoup trop peu nombreux pour s’avérer significatifs.
À l’image de la première confrontation, Kovalev a véritablement ouvert la machine à compter du troisième round et n’a laissé aucun doute sur sa victoire au début du cinquième atteignant Pascal à la mâchoire avec une puissante main droite. La suite n’a été qu’un one man show.
L’entraîneur de Pascal, Freddie Roach, a finalement décidé que le carnage avait assez duré après un septième round pendant lequel l’aspirant a passé la majorité du temps dans les câbles.
« Je suis un guerrier et je voulais continuer, mais Freddie a pris la meilleure décision pour la suite de ma carrière. Il faut croire que j’ai trouvé chaussure à mon pied », a conclu Pascal.
Roach a dit vouloir continuer à travailler avec son nouveau protégé, mais sera-t-il toujours à ses côtés si Pascal est confiné à disputer des combats qui ne sont pas d’envergure internationale?
En entrevue au centre du ring après son triomphe, Kovalev a quant à lui été interrompu par le détenteur du titre du WBC Adonis Stevenson, alors que les négociations en vue d’un combat d’unification entre les deux boxeurs ont achoppé plus tôt cette semaine. Le clan du Russe a véhément déploré le geste du Québécois, jugeant qu’il était très indigne d’un champion.
Pour l’heure, Kovalev espère remonter dans le ring cet été avant de se mesurer à l’ancien champion unifié des super-moyens Andre Ward à l’automne, son plus grand défi en carrière.
Description du combat :
ROUND 7 :
Après le sixième round, Freddie Roach donne un ultimatum à Pascal. Roach veut arrêter le combat, mais Pascal lui demande un autre round. La première minute est un copier-coller du reste du combat. Kovalev place son jab à profusion. Le Russe fonce avec sa droite avec 30 secondes à faire, mais il semble vouloir prolonger les souffrances du Québécois. Après le septième round, le coin de Jean Pascal jette l'éponge.
Carte du RDS.ca : 70-63 Kovalev
ROUND 6 :
Le round commence plus tranquillement que le dernier. Mais Kovalev reprend avec son jab qui est encore une fois efficace. Le Russe commence avec sa droite dans la deuxième minute du round. Kovalev occupe encore le centre du ring comme dans la grande majorité du combat. Kovalev est moins actif, mais la plupart de ses coups touchent la cible. Kovalev l'amène dans le coin, mais le laisse en ressortir après lui avoir lancé trois coups.
Carte du RDS.ca : 60-54 Kovalev
ROUND 5 :
Kovalev ébranle Pascal avec sa droite dans la première minute du round, mais Pascal reste debout tout de même. Le Québécois a encore le dos dans les câbles, mais Kovalev n'en profite pas. Mais le Russe se reprend et Pascal n'a pas le choix de s'accrocher. Kovalev reprend son travail de démolition et les droites sont puissantes. Pascal ne lance pratiquement pas de coups et perd un autre round.
Carte du RDS.ca : 50-45 Kovalev
ROUND 4 :
Kovalev est encore actif avec son jab. Pascal bouge un peu plus et place un coup en contre-attaque. Kovalev pousse Pascal dans les câbles. Kovalev place de bonnes droites qui font mal à Pascal. Le Québécois se sort de cette position. Pascal n'a pas vraiment placé de coups au cours de ce round et on sent que les frappes du Russe ont fait des dommages.
Carte du RDS.ca : 40-36 Kovalev
ROUND 3 :
Kovalev commence le round avec son jab au corps. Kovalev glisse après une combinaison. Les deux boxeurs tombent ensemble en s'accrochant. Pascal lance une bonne droite en fonçant sur le Russe. Kovalev réplique avec une bonne droite et malmène Pascal avant que ce dernier s'accroche à lui. Pascal attaque dans la dernière minute du round avec une bonne combinaison au corps. Les deux s'envoient de bons coups en fin de round.
Carte du RDS.ca : 30-27 Kovalev
ROUND 2 :
Kovalev touche beaucoup plus souvent la cible que Pascal. Le Québécois a de la difficulté à trouver la bonne distance pour s'approcher. Kovalev place une combinaison en commençant avec son jab. Pascal touche ensuite la cible avec son jab. Kovalev repousse Pascal dans les coins et est celui qui lance le plus de coups.
Carte du RDS.ca : 20-18 Kovalev
ROUND 1 :
Kovalev occupe le centre du ring au début du round. Il lance les premiers coups, mais Pascal les défend. Les deux boxeurs s'accrochent pendant un instant. Pascal garde ses distances face à Kovalev qui attaque un peu plus que le Québécois. Le jab de Kovalev envoie Pascal au tapis dans la dernière minute du round, mais il s'agit d'une glissade. Pascal se relève sans avoir de compte.
Carte du RDS.ca : 10-9 Kovalev
Carte complète de la soirée
Sergey Kovalev (29-0-1, 26 K.-O.) défait Jean Pascal (30-4-1, 17 K.-O.) par abandon du coin après le 7e round - Combat de championnat WBA, IBF et WBO des mi-lourds
Dmitry Mikhaylenko (21-0, 9 K.-O.) défait Karim Mayfield (19-3-1, 11 K.-O.) par décision unanime - Combat de championnat USBA des mi-moyens
Francis Lafrenière (11-5-2, 6 K.-O.) défait Renan St-Juste (26-5-1, 18 K.-O.) par décision unanime (99-90, 97-92, 97-92) - Combat de championnat international IBF des moyens
Sébastien Bouchard (12-1, 4 K.-O.) défait Damian Mielewczyk (9-2, 7 K.-O.) par décision unanime (59-55,58-56 x 2) - Super-mi-moyens
Vislan Dalkhaev (5-0, 1 K.-O.) défait Alan Salazar (5-2, 2 K.-O.) par décision unanime (40-36 x 3) - Super-coqs
Joel Diaz fils (21-0, 17 K.-O.) défait Abraham Gomez (22-12-1, 11 K.-O.) par K.-O technique à 1:45 du 2e round - Super-plumes
David Théroux (9-1, 6 K.-O.) défait Juan Armando Garcia (13-3-2, 6 K.-O.) par K.-O. technique à 2:46 du 3e round - Super-légers
Cassius Chaney (6-0, 4 K.-O.) défait Zoltan Csala (9-5, 7 K.-O.) par K.-O. technique au 3e round - Lourds
Steven Butler (14-0-1, 11 K.-O.) défait Antonio Hoffman (13-1, 9 K.-O.) par décision unanime (79-71, 78-72 x 2) - Super-mi-moyens
Virgilijus Stapulionis (26-3-1, 19 K.-O.) défait Laszlo Fazekas (28-24-1, 18 K.-O.) par K.-O. technique à 3:00 du 2e round - Moyens

Dorothy Yeats rafle l’argent à Rio en lutte

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Dorothy Yeats
Dorothy Yeats (Source d'image:PC)
Bien qu’elle n’ait pas encore son billet olympique en poche, la lutteuse Dorothy Yeats a pu avoir un avant-goût des installations des Jeux de Rio, samedi, en participant à l’Épreuve préparatoire olympique. En décrochant la médaille d’argent chez les moins de 69 kg, la Montréalaise a déjà laissé ses marques sur les tapis.

C’est la Chinoise Zhou Feng qui a privé l’athlète de 22 ans de la médaille d’or, remportant la finale par la marque de 11-1.

Le duel entre les deux lutteuses avait pourtant bien commencé pour Yeats qui avait remporté la première ronde 1-0 au bris d’égalité. « Je me défendais bien face à toutes ses attaques et il était difficile pour elle de marquer des points », a raconté Yeats.

En deuxième ronde, la Québécoise a cependant commis une petite erreur qui lui a été fatale. « J’ai décidé d’essayer un mouvement, mais je me suis un peu trop dépêchée. La Chinoise en a profité pour contre-attaquer et je me suis retrouvée dans une mauvaise position au sol. Elle a été capable de me retourner à quelques occasions et c’est de cette façon qu’elle a marqué ses points », a-t-elle expliqué.

« C’est plate quand un match se termine rapidement sur une erreur. J’aurais aimé pouvoir essayer d’autres prises pour voir ce qui fonctionne contre elle, mais c’est ça le sport! J’apprendrai de ce combat, c’est sûr! »

Si son impatience lui a coûté la médaille d’or, la patience de Yeats a été récompensée au premier tour alors qu’elle était opposée à la Russe Natalia Vorobieva. La championne des Jeux panaméricains de Toronto s’était déjà avouée vaincue trois fois face à la numéro un au classement mondial, mais celle-ci a été la bonne et elle l’a emporté 7-5. «. J’avais analysé son style pour voir de quelle façon je pouvais marquer. J’ai été patiente cette fois et j’ai réussi à la mettre au sol trois fois tandis qu’elle m’a eue deux fois », s’est-elle réjouie.

En demi-finale, Yeats ne s’était pas éternisée sur le tapis contre la Brésilienne Gilda Maria de Oliveira. « Elle était très forte, mais je suis parvenue à l’immobiliser dans les 30 premières secondes. »

Malgré sa défaite en finale, Yeats rentrera au pays avec le sentiment du devoir accompli. « Ç’a quand même été une bonne journée en général. J’ai encore beaucoup à apprendre, mais j’ai réalisé que je m’étais beaucoup améliorée dans mon propre jeu. Je me sens très bien! »

La lutteuse poursuivra l’entraînement en vue des qualifications olympiques continentales qui se dérouleront en mars, passage obligé pour revenir à Rio l’été prochain!

samedi 30 janvier 2016

SportLogIQ : Alex Galchenyuk n'est pas la même arme offensive à l'aile qu'au centre

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Alex Galchenyuk
Alex Galchenyuk (Source d'image:Getty)

Alors que la spirale infernale du Canadien se poursuit, il semble que chaque décision prise par l’organisation résulte en un mauvais calcul. De toutes ces décisions, celle qui a connu le plus de ratés fut de muter Galchenyuk à l’aile gauche.
Malgré ce que le Tricolore peut dire publiquement des lacunes défensives de Galchenyuk, il n’y a pas de preuve irréfutable que ces supposées lacunes existent réellement et qu’elles soient plus coûteuses que son apport offensif.
Toute personne soulevant le sujet du différentiel de Galchenyuk ferait bien de noter que, lorsque celui-ci est sur la patinoire, les gardiens du Canadien arrêtent 90,3% des tirs qu’ils reçoivent. C’est l’un des pires résultats chez les joueurs du CH. Cependant, ce n’est pas quelque chose qu’un joueur peut fortement influencer à lui seul. Si vous pensez le contraire, vous êtes alors sûrement convaincu que Tom Gilbert est le meilleur défenseur du Canadien et que Tomas Plekanec est moins fiable défensivement que David Desharnais.
Lorsque Galchenyuk est sur la patinoire, le Canadien accorde pratiquement le même nombre de tirs que lorsqu’il est sur le banc. Son jeu défensif n’apporte pas une grande contribution au CH, mais il ne nuit pas pour autant à l’équipe.
Tableau GalchenyukLe problème du Canadien est qu’au début de la présente série de défaites, Galchenyuk était la principale menace en offensive et qu’en le plaçant à l’aile de David Desharnais, cela l’a neutralisé en tant qu’arme offensive. Plus précisément, analysons les performances de Galchenyuk depuis le 1er décembre.
Pour vous donner une idée à quel point Galchenyuk produisait bien offensivement à la position de centre, seuls Vladimir Tarasenko et Evgeni Malkin ont généré plus de chances de marquer avec régularité que Galchenyuk, ce dernier en générant 7,94 pour chaque tranche de 20 minutes jouées à égalité numérique. À l’aile, Galchenyuk génère plus de deux chances de marquer pour ses coéquipiers en moins pour chaque 20 minutes de jeu et il obtient également lui-même une chance de marquer en moins pour cette même période.
Son habileté à transporter la rondelle n’a pas été affectée, mais le fait d’avoir muté Galchenyuk à l’aile a essentiellement enlevé au Canadien deux chances de marquer à égalité numérique par rencontre.
Le pire est qu’une fois Galchenyuk placé à l’aile de Desharnais, le jeu de ce dernier ne s’est pas amélioré. Desharnais produit présentement moins de chances de marquer qu’à tout autre moment cette saison avec 3,7 pour chaque tranche de 20 minutes jouées, ce qui est le même nombre que Devante Smith-Pelly.
Tableau GalchenyukCe changement a aussi grandement affecté les données pour le temps passé en possession de la rondelle de ces deux joueurs. Depuis, Galchenyuk affiche un Corsi de 47,8 % et Desharnais fait encore pire à 45,7%. Il faut comparer cela à leur Corsi depuis le début de la saison, 54,3 % pour Galchenyuk et 52 % pour Desharnais. Il est clair que ce jumelage n’est bénéfique à aucun de ces deux joueurs.
L’entraîneur a tenté de revenir à ce qui a fonctionné l’an dernier alors que Galchenyuk évoluait à l’aile de Plekanec, mais il demeure que Galchenyuk est beaucoup plus efficace à la position de centre et que le Tricolore n’a pas de joueur de centre vedette permettant de justifier une telle décision.
Regardons cela sous un autre angle en analysant la provenance des tentatives de tir de Galchenyuk depuis le 1er décembre.
L’arc bleu correspond à la distance moyenne d’où il décoche un lancer, le chiffre en bleu correspond au pourcentage de tentatives de tir frappant la cible depuis l’intérieur de l’arc. Au centre, Galchenyuk décochait la plupart de ses tirs depuis l’enclave, 52,3 % de ses tentatives de tir étaient des chances de marquer. Il atteignait le filet sur 64,3 % de ses tentatives de tir depuis l’intérieur de l’arc, ce qui est excellent.
Tableau GalchenyukMaintenant, regardons comment les choses vont pour Galchenyuk depuis qu’il joue à l’aile.
Le pourcentage de tentatives de tirs de Galchenyuk ayant pour provenance l’enclave a chuté de 52,3% à 30,3% une fois qu’il fut muté à l’aile, alors que la distance moyenne d’où il décoche ses lancers s’est fortement éloignée du filet adverse. Galchenyuk semble trop se fier à des tirs décochés en périphérie depuis des angles restreints. Il en résulte que seulement 42,4 % de ses tentatives de tir depuis l’intérieur de l’arc bleu ont touché la cible.
La façon dont le Canadien a utilisé Alex Galchenyuk cette saison est extrêmement douteuse, mais il est facile d’y remédier. Le Tricolore avait dit qu’il serait patient dans le développement de Galchenyuk à la position de centre, il doit maintenant le prouver.

Angelique Kerber cause la surprise et bat Serena Williams en finale des Internationaux d'Australie

Angelique Kerber (Source d'image:Getty)

Angelique Kerber
Angelique Kerber (Source d'image:Getty)

MELBOURNE - Serena Williams devait rejoindre Steffi Graf dans l'histoire en remportant son 22e titre majeur aux Internationaux d'Australie, mais c'est Angelique Kerber qui l'a fait en devenant la première Allemande sacrée en Grand Chelem depuis 17 ans grâce à sa victoire sur la no 1 mondiale, samedi à Melbourne.
Kerber, 6e mondiale, a créé une énorme surprise en s'imposant en trois sets, 6-4, 3-6, 6-4 au bout d'un superbe match de 2 h 08 min. Pour sa première à 28 ans, on ne lui donnait pourtant guère de chance face à l'incontestable patronne du circuit.
Angelique Kerber« Mon rêve est devenu réalité. Je suis championne de Grand Chelem. C'est incroyable! », a dit l'Allemande au public de la Rod Laver Arena, en retenant avec difficulté ses larmes.
Kerber est loin d'être une débutante. En 12 ans de carrière, elle avait remporté sept tournois (dont quatre tout de même la saison dernière), mais en Grand Chelem elle n'était jamais allée plus loin que les demi-finales, à l'US Open en 2011 et à Wimbledon en 2012. Elle atteindra dès lundi la deuxième place mondiale.
Williams, âgée de 34 ans, cale de nouveau devant l'histoire. En septembre, l'Américaine avait échoué en demi-finales à l'US Open contre Roberta Vinci. La sensation avait été encore plus forte car l'Italienne n'était que 43e mondiale et la déception plus grande car Williams était passée à côté du Grand Chelem.
Bien décidée à ne pas se laisser impressionner par l'événement, Kerber a été héroïque en défense. Ramenant un nombre incroyable de balles, elle a poussé la cadette des Williams à commettre une quantité considérable d'erreurs dans les deux sets qu'elle a gagnés : 23 dans le premier, 18 dans le troisième. Dans le même l'Allemande faisait presque un sans-faute, au sens propre du terme. Six erreurs en tout dans ces deux manches, une performance digne de Steffi Graf, la dernière Allemande sacrée en Grand Chelem, à Roland-Garros, en 1999, l'année où Serena Williams avait ouvert son palmarès à l'US Open.
Les 46 fautes de Williams
Williams, six fois titrée à Melbourne, a été surprise par le début de match de sa rivale. Intelligemment, l'Allemande avait choisi de recevoir en premier, afin d'évacuer la pression qui paralyse souvent les joueurs ou les joueuses dans leur première finale majeure. Puis installée dans le match, Kerber a rapidement posé des problèmes à l'Américaine avec sa couverture de terrain et aussi avec les angles étonnants qu'elle trouvait avec sa patte gauche. Elle a réussi quelques coups de grande classe, en particulier des amorties qui ont laissé la no 1 mondiale sur place.
Tout a paru rentrer dans l'ordre dans la deuxième manche. Faisant moins d'erreurs, l'Américaine a égalisé à un set partout. L'expérience de ses 25 finales de Grand Chelem précédentes semblait devoir faire la différence. Mais c'est le contraire qui s'est produit.
S'accrochant plus que jamais sur sa ligne, Kerber a fait le bris d'entrée dans le dernier set alors que Williams recommençait à rater. On n'était pas au bout du suspense car le bras de l'outsider a tremblé au moment de servir pour le titre à 5-3. Mais contre toute attente, Williams a craqué au jeu suivant, offrant le match sur une 46e faute directe, une volée trop longue.
Pour Williams, l'espoir d'un Grand Chelem disparaît pour au moins une saison supplémentaire. Mais la course au record de Steffi Graf reprendra dès le mois de mai à Roland-Garros. Et l'Américaine a promis de revenir à Melbourne en 2017.

«Nous avons fait de lui un meilleur boxeur» - Freddie Roach

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Publié par La Presse Canadienne le vendredi 29 janvier 2016 à 19h45. Modifié par Danielle Arsenault à 19h55.
«Nous avons fait de lui un meilleur boxeur» - Freddie Roach
Jean Pascal et Freddie Roach/InterBox
LOS ANGELES - Jean Pascal avait besoin d'une remise à neuf. Ainsi, Pascal a suivi le chemin très fréquenté vers le Wild Card Gym à Hollywood et l'entraîneur Freddie Roach, qui s'est forgé une renommée en relançant vers de nouveaux sommets des pugilistes ayant déjà connu du succès.
En mars, l'ancien champion du monde des mi-lourds s'était incliné avant la limite aux mains de Sergei Kovalev pour la première fois de sa carrière, avant de remporter une décision contestée quatre mois plus tard, face à Yunieski Gonzalez, un adversaire beaucoup moins prestigieux.

Pascal est parvenu à obtenir un combat revanche contre l'imposant Kovalev, mais il savait qu'il devait se réinventer s'il espérait venir à bout du détenteur de trois ceintures. Il a donc fait appel au réputé entraîneur américain, Freddie Roach.

On verra, samedi soir au Centre Bell, où aura mené ce partenariat, mais les deux hommes croient que le monde de la boxe sera le théâtre d'une surprise.

«Personne ne donne des ordres à Jean Pascal, a affirmé le Montréalais. Je suis mon propre patron. J'ai besoin d'un partenaire, et Freddie est le partenaire adéquat en ce moment. Je suis déjà passé par là. Je suis un vétéran. J'ai participé aux Jeux olympiques et pris part à des combats majeurs. Je suis devenu un champion du monde, et je suis sur le point de devenir un double champion du monde. J'avais plus besoin d'un partenaire pour m'aider à évoluer que d'un patron.»

Si le fait d'armes de Roach demeure la transformation de Manny Pacquiao d'espoir maigrichon en champion charismatique, Pascal est le dernier d'une longue liste de boxeurs ayant franchi les portes du Wild Card Gym. Cette liste englobe Oscar De La Hoya, Bernard Hopkins, James Toney et, à l'heure actuelle, Miguel Cotto, qui rend hommage à Roach pour la relance de sa carrière.

«C'est un entraîneur qui aime écouter, note Pascal. Il n'essaie pas d'imposer son point de vue. Il va me poser des questions. Il va tenter de connaître mon point de vue, et il va expliquer son point de vue. Il a une bonne écoute, et à mes yeux, il est un entraîneur de qualité.»

Roach ne manque pas de boulot, et à l'origine, il avait refusé la requête de Pascal parce qu'il croyait que le vétéran pugiliste n'était pas intéressé à apporter des changements. Pascal s'est montré persistent et Roach a éventuellement accepté de tenir un camp d'une durée de huit semaines à Hollywood.

«Dans un travail comme celui-ci, tout le monde est différent, mais rendre celui-ci meilleur était plutôt facile car il a commis tant d'erreurs, a confié Roach. Ça été très facile. J'ai fait la même chose qu'avec bien d'autres boxeurs, et il avait seulement besoin d'apprendre la bonne manière de le faire. Il s'agissait d'apporter des ajustements très mineurs. Maintenant, il se sert de la puissance de sa main gauche, et son équilibre s'est beaucoup amélioré. Je suis très surpris de la rapidité avec laquelle il apprend. En temps normal, ça me prendrait entre trois et six mois pour amener un boxeur au niveau où je pense qu'il se trouve en ce moment.»

Lors de son combat contre Kovalev, Pascal a trop souvent gardé ses mains basses, et s'est trop fréquemment tenu dans les câbles, ce qui le plaçait dans une position misérable, selon Roach.

«Je lui ai dit 'Je sais que tu aimes Roy Jones, mais tu n'est pas Roy Jones'», a relaté Roach.

«'Tu es un bon boxeur. J'aimerais mieux que tu sois toi-même que lui.' Je pense que ça l'a secoué un peu, parce que je n'ai pas été très gentil. Je lui ai dit 'Tu es un adulte. Pourquoi voudrais-tu imiter quelqu'un d'autre? Les jeunes agissent de la sorte.'

«J'ai un chandail de Bobby Orr là-bas. J'ai aimé Bobby Orr quand j'étais jeune. Je suis passé à autre chose.»

Roach affirme avoir eu du plaisir à travailler avec Pascal.

«Il a parcouru beaucoup de chemin, et je suis vraiment fier des améliorations qu'il a déjà apportées. Je sais que nous avons fait de lui un meilleur boxeur.»

vendredi 29 janvier 2016

Suspension indéfinie pour Dennis Wideman

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Wideman suspendu indéfiniment


Dennis Wideman sera suspendu pour une durée indéfinie d'ici son audience prévue à la fin de la pause du Match des étoiles.
Wideman a servi un double-échec dans le dos d’un juge de ligne, Don Henderson, alors qu’il entrait au banc des siens dans le match contre les Predators de Nashville mercredi.
Selon TSN, Wideman devrait s'expliquer mardi auprès de la LNH.
Il venait lui-même d’encaisser un coup de Miikka Salomaki.
Le défenseur n’a pas été puni sur la séquence.
Il a justifié son geste en disant qu'il n'avait pas eu le temps d'éviter l'arbitre.
« Je me suis fait frapper solidement dans le coin, j'avais mal et j'essayais simplement de quitter la glace. J'ai vu Don à la dernière seconde. Je n'ai pas pu l'éviter. Je suis ensuite allé m'excuser. Je lui ai dit que je ne l'avais pas vu. »
Henderson est allé à l'hôpital par précaution mais est désormais de retour chez lui.

John Scott, la star

http://www.rds.ca/hockey/canadiens/

« Je veux passer du bon temps »


John Scott a été accueilli en véritable rock star à son arrivée à l'aéroport de Nashville, jeudi. La fin de semaine du Match des étoiles n'est même pas encore officiellement commencée que déjà, il est dépassé par les événements .
« C’est super bizarre! Je ne suis pas habitué à ce genre de publicité. C’est rare que tout le monde me demande un autographe. Ce sera amusant », a-t-il confié au micro de RDS.
En tant que capitaine de la division Pacifique, le dur à cuire de 6 pieds et 8 pouces aura le difficile mandat de sélectionner les joueurs de son équipe pour les épreuves du concours d'habiletés.

« Je reçois des messages depuis quelques jours de la part de gars m’indiquant qu’ils ne veulent pas faire ceci et qui veulent faire cela. J’ai une réflexion à faire », s’est amusé l’attaquant acquis par le Canadien dans la transaction qui a envoyé Jarred Tinordi aux Coyotes de l’Arizona.

Pour sa part, pas question qu'il participe à l'épreuve du patineur le plus rapide ou qu'on le voit lors des échappées!

« Je participerai peut-être uniquement à l’épreuve du lancer le plus rapide ou encore celle de précision. Je veux garder les choses simples et ne pas trop avoir à bouger mes pieds. »

Au terme de cet événement pour le moins inattendu dans sa carrière, la vie normale reprendra pour Scott. Participer au Match des étoiles est une expérience unique qu'il n'avait jamais imaginée possible, mais son quotidien n'est pas pour autant facile. Il n'a jamais vu venir la transaction qui l’a contraint de faire ses valises alors que son épouse attend des jumeaux pour le 5 février.
« Ce n’est définitivement pas facile. C’est probablement la chose la plus difficile que nous ayons dû vivre. Une fois ce match joué, on pourra revenir à une vie plus normale, avoir les enfants avec nous bientôt et gérer autre chose que ce Match des étoiles.

Lorsque rencontré à son arrivée, Scott ne savait pas quel uniforme il allait endosser, si bien qu’il avait pris soin d'apporter un maillot du Canadien, un autre des Coyotes et même un des IceCaps de St. Johns. La LNH a toutefois fait savoir qu'il enfilera un chandail neutre représentant le circuit Bettman.
Un uppercut à la LNH
Dans un article publié jeudi sur le site internet "The Players Tribune", Scott dit avoir reçu un appel de la LNH pour le convaincre de ne pas participer au match des étoiles.
Selon Scott, quelqu'un associé à la LNH lui aurait demandé : « Croyez-vous que c'est quelque chose dont vos enfants seraient fiers? »
Il ajoute que ce moment a solidifié sa décision de participer à la classique. Cette année, la LNH a adopté un format de jeu à trois contre trois.
« Parce que, bien que je ne mérite peut-être pas d'être une étoile de la LNH, je sais que je mérite d'être le juge de ce qui rendra, ou non, mes enfants fiers de moi », écrit le hockeyeur de 33 ans, qui est le père de deux filles.
Des messages ont été laissés aux bureaux de la LNH pour obtenir des réactions aux affirmations de Scott.
L'article de Scott représente le plus récent rebondissement d'une histoire bizarre qui a placé la ligue dans une position gênante. Comme d'autres circuits professionnels, la LNH se sert du match des étoiles pour mettre à l'avant-plan ses meilleurs joueurs et Scott, de son propre aveu, ne fait pas partie de ce groupe.
Peu utilisé tout au long de sa carrière, Scott n'a inscrit que cinq buts depuis son arrivée dans la LNH en 2009. Il portait les couleurs des Coyotes de l'Arizona lorsqu'il a été élu au match des étoiles, avant d'être pris par surprise, laisse-t-il sous-entendre dans l'article, par une transaction l'envoyant au Canadien de Montréal, le 15 janvier dernier.
Le Canadien a acquis les services de Scott en retour, entre autres, du défenseur Jarred Tinordi. Il l'a aussitôt cédé aux IceCaps de St. John.

P.K. Subban et le CH, les plus populaires sur Twitter

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Publié par Danielle Arsenault pour 98,5fm Sports le jeudi 28 janvier 2016 à 20h58. Modifié à 22h18.
P.K. Subban et le CH, les plus populaires sur Twitter
P.K. Subban/FlashQuébec
(98,5 Sports) - Il n'y a pas que les performances sur la glace qui intéressent les amateurs de hockey. Leur vie personnelle compte tout autant, selon une étude publiée par Twitter, jeudi.
Twitter a fait la compilation des 10 messages les plus populaires publiés par les joueurs de hockey des équipes canadiennes de la LNH depuis le début de la saison.

Selon le réseau social, les amateurs de hockey sont tout autant friands de victoires et de jeux spectaculaires sur la glace que d’histoires reliées à leur vie personnelle.

Subban, le plus populaire

Et P.K. Subban a bien compris cette nouvelle réalité. Le défenseur vedette du Canadien est le joueur de hockey au Canada qui suscite le plus d’intérêt sur Twitter.

Son micromessage avec une vidéo où il a créé une fête d’hiver, avec son commanditaire Air Canada, pour les petits patients de l’Hôpital général pour enfants a été partagé plus de 11 000 fois. C’est cinq fois plus qu’un message publié par Brandon Prust, des Canucks de Vancouver, qui arrive au second rang.

Les autres joueurs, dont les messages Twitter ont été grandement lus et republiés, sont Erik Karlsson des Sénateurs d’Ottawa qui a rendu hommage au caporal Nathan Cirillo, Nazem Kadri des Maple Leafs de Toronto qui a encouragé les Blue Jays de Toronto lors des séries et Johnny Gaudreau des Flames de Calgary qui a admis qu’il appréciait l’émission de télévision américaine The Bachelor.

Quant aux équipes canadiennes de la LNH, le Canadien est l’équipe la plus mentionnée sur Twitter. Les Maple Leafs et les Canucks arrivent aux deuxième et troisième rangs.

(Sources: TSN, La Presse Canadienne)