jeudi 28 mai 2015

Simon Gagné veut encore jouer dans la LNH | La LNH et le règlement ridicule des compensations

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Publié le 28 mai 2015 à 14:13 par

Nicolas Cloutier

Il semble que Simon Gagné n’a pas tiré un trait sur sa carrière. L’attaquant de 35 ans continuera de s’entrainer cet été et vise un poste dans une équipe de la LNH en automne prochain. LIEN
Gagné a participé au camp d’entrainement des Bruins au début de la saison avant de gagner sa place et signer un contrat d’un an et de 600 000$. En décembre, il a quitté l’organisation pour rester au chevet de son père, qui a finalement succombé à un cancer du foie. Gagné et les Bruins se sont alors entendus pour résilier le contrat puisqu’il ne reviendrait pas au jeu du restant de la saison.
Le Québécois s’est contenté de 3 buts et 4 points en 23 matchs cette saison, mais il a été jumelé la plupart du temps aux joueurs de soutien Daniel Paille et Gregory Campbell, amorçant 58% de ses présences en territoire défensif. Il avait bien paru lors d’un court essai aux côtés de David Krecji et Milan Lucic sur le top-6.
Maintenant que Peter Chiarelli – le même DG qui a donné sa chance à Gagné à Boston – est à Edmonton, il faut surveiller les Oilers dans ce dossier. Le club albertain peut compter sur des attaquants talentueux sur les deux premiers trios, mais leurs unités de soutien sont assez faibles. Difficile de croire que Luke Gazdic, Matt Fraser, Tyler Pitlick ou Curtis Hamilton peuvent apporter une meilleure contribution que le vétéran.
La LNH et ses compensations ridicules 
Une règle complètement saugrenue est en train de compliquer l’embauche de Dan Bylsma à Buffalo.
Mike Brehm, USA TODAY Sports
Mike Brehm, USA TODAY Sports
Le règlement de la LNH prévoit qu’une équipe peut demander une compensation si une autre formation embauche un de ses entraineurs  sous contrat, qu’il soit limogé ou non. Idem pour les directeurs généraux et les exécutifs.
Mais pourquoi une équipe qui a coupé les liens avec l’entraineur en question devrait être compensée s’il est engagé ailleurs? L’équipe a elle-même jugé qu’elle n’en avait plus besoin et on devrait la dédommager? Tout cela n’a ni queue ni tête…
Une équipe veut se débarrasser d’un joueur et elle le soumet au ballotage. Ce dernier est réclamé par une autre équipe. Faudrait-il dédommager l’organisation alors qu’elle a elle-même engagé un processus susceptible de couper les ponts avec son joueur?
Le pire, c’est que certains directeurs généraux n’étaient même pas informés que la règle s’appliquait également aux entraineurs – et directeurs généraux et membres de l’exécutif – congédiés.
Pour cette raison, les Penguins n’ont pas demandé une compensation quand les Devils ont nommé Ray Shero au poste de directeur général.  Ils ont ensuite réalisé que les Oilers en ont demandé une pour Peter Chiarelli.
Les Penguins peuvent donc légitimement demander une compensation des Sabres de Buffalo s’ils mettent Dan Bylsma à l’emploi. Les règles sont les règles et la direction de Pittsburgh se fera écorcher si elle rate cette opportunité à nouveau.
Quelle est la fameuse compensation? Rien de moins qu’un choix de 3e ronde! Mine de rien, il s’agit d’une sélection qui a une bonne valeur.
En rafale– Ne vous attendez pas à voir Martin Reway au camp d’entrainement. Il est décidé à jouer une autre saison complète en Europe.
– Ha!
– FIFA 16 inclura une dizaine d’équipes féminines! LIEN
– Bryan Murray tirera sa révérence au terme de la prochaine saison. LIEN
– Le calendrier de la finale de la coupe Stanley a été dévoilé. LIEN
– Cet homme pêche un poisson de….550 livres! LIEN
– Nicklas Backstrom a été opéré à la hanche, mais devrait être rétabli avant le début de la saison. LIEN
– Vladislav Tretiak a révélé la composition des groupes de la coupe du monde de 2016. LIEN
Le Canada est dans le même groupe que la République tchèque les États-Unis et l’Équipe étoile d’Europe.  (Groupe A)
– Les Sabres peuvent se réjouir: Dan Bylsma est un excellent entraineur. LIEN
– Patrick Roy reluquerait Benoit Groulx et Dave Farrish pour combler les postes d’adjoint. LIEN
– François Legault croit que Pierre-Karl Péladeau nuit au retour des Nordiques parce qu’il est indépendantiste. LIEN
– Un profil du meilleur patineur de la cuvée de 2015: Olivier Kylington.
– Christian Ehrhoff pourrait tester le marché des joueurs autonomes. LIEN
Un as du désavantage numérique qui pourrait aider le Canadien… 
– Matt Duchene n’a pas aimé voir les Russes quitter durant l’hymne national. Il félicite Ovechkin d’être resté sur la glace. LIEN
– Le gouvernement libéral « appuie » Denis Coderre dans ses démarches pour ramener les Expos. LIEN
– Qui est Anton Slepyshev, l’attaquant russe des Oilers?
– Eugénie Bouchard est éliminée en double mixte à Paris. Terminé pour elle à Roland-Garros cette année. LIEN
– Les entrées de zone à la sauce Timashov!

«Je ne peux pas surveiller tout le monde»

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Publié par Associated Press le jeudi 28 mai 2015 à 12h52. Modifié par 98,5 fm à 13h24.
«Je ne peux pas surveiller tout le monde»
Walter Bieri / The Associated Press
ZURICH - Le président de la FIFA, Sepp Blatter, a l'intention de restaurer la confiance en son organisme après que deux enquêtes pour corruption eurent «semé la honte et humilié» le football.

Blatter s'est exprimé publiquement pour la première fois depuis que ce plus récent scandale de corruption eut éclaté mercredi et placé la FIFA dans la tourmente à quelques jours de l'élection présidentielle de vendredi, au cours de laquelle le Suisse de 79 ans tentera d'obtenir un cinquième mandat.
Jetant le blâme sur des «initiatives individuelles», Blatter a indiqué que la corruption devait «être stoppée dès maintenant» afin de que la réputation de la FIFA ne soit pas «traînée dans la boue».
Il s'est défendu en disant qu'il ne pouvait pas «surveiller tous les membres de notre famille dans le monde.»
Blatter a rejeté la demande de démission que lui a faite l'UEFA. Il est le favori pour remporter l'élection face à Ali ben al-Hussein de Jordanie.

PKP nuit au retour des Nordiques, selon Legault

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Publié par La Presse Canadienne le jeudi 28 mai 2015 à 11h13. Modifié par 98,5 fm à 13h12.
PKP nuit au retour des Nordiques, selon Legault
QUÉBEC - Le chef de la Coalition avenir Québec François Legault croit que les positions indépendantistes de son adversaire péquiste Pierre Karl Péladeau nuisent aux efforts pour ramener une équipe de hockey professionnel à Québec.
Écoutez le reportage :
 
 
 
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Le conglomérat dont M. Péladeau est actionnaire de contrôle, Québecor, s'est engagé depuis 2011 à ramener à Québec une filiale de la Ligue nationale de hockey dans un amphithéâtre qui sera inauguré en septembre.

Avant de se rendre à une réunion de ses députés, jeudi, M. Legault a affirmé que des propriétaires d'équipe de la LNH, notamment à Montréal et Toronto, verraient d'un mauvais oeil qu'un indépendantiste comme M. Péladeau obtienne une concession.

Selon M. Legault, qui ne voit pas d'équipe à Québec à court terme, le chef péquiste est dans une position difficile pour obtenir pareil résultat pour l'amphithéâtre de Québec, construit avec des fonds publics, dont la gestion a été confiée à Québecor.

«Ce que j'entends à Montréal, c'est que tant que M. Péladeau sera là, ce sera difficile de lui donner une équipe, a-t-il dit. (...) Le fait que M. Péladeau soit un indépendantiste, on sait très bien que ce soit les propriétaires de Toronto ou les propriétaires du Canadien, c'est pas des indépendantistes et ils n'aiment pas ça l'indépendance du Québec.»

Commentant le projet de retour des Expos à Montréal, M. Legault a affirmé qu'il serait approprié de tirer des leçons de la situation à Québec, où le gouvernement québécois et la Ville de Québec ont construit une infrastructure avant d'avoir la confirmation qu'une équipe reviendra.

«Je pense qu'on devrait tirer une leçon de Québec et on devrait attendre d'avoir la confirmation d'une équipe avant d'investir des montants publics importants dans un nouveau stade», a-t-il dit.

L'attaché de presse du chef caquiste, Guillaume Simard-Leduc, a contacté par la suite La Presse Canadienne pour assurer que par ses propos, M. Legault ne remet pas en question le financement de la construction de l'amphithéâtre de Québec avant qu'une équipe soit de retour.

L'ancien chef de l'Action démocratique du Québec, Gérard Deltell, dont la formation a ensuite fusionné avec la CAQ, était d'avis que le secteur privé aurait dû investir davantage dans le le projet.

La semaine dernière, M. Legault avait affirmé que la perspective que M. Péladeau devienne premier ministre nuit déjà aux investissements privés au Québec.

Questionné à son tour sur l'impact des débats politiques sur le retour d'une équipe à Québec, jeudi, le ministre responsable de la région, Sam Hamad, a affirmé que la stabilité économique est un facteur important.

«Il ne faut pas être naïf, les conditions politiques c'est la stabilité et la stabilité c'est un facteur important pour l'économie, on l'a dit souvent, a-t-il dit. Il y a deux facteurs importants pour les investissements, la stabilité et la prévisibilité. Quand quelqu'un veut investir au Québec, tant qu'il n'y a pas de stabilité, c'est sûr que les gens peuvent poser des questions.»

La semaine dernière, le premier ministre Philippe Couillard avait accusé M. Péladeau d'être une source d'instabilité avec le projet indépendantiste du PQ.

Au moment de l'annonce de la candidature de M. Péladeau dans la circonscription de Saint-Jérôme, au cours de la dernière campagne électorale, en mars 2014, M. Couillard avait lui aussi exprimé des craintes.

«Je suis inquiet de l'impact que ça aura sur la venue d'une équipe de hockey à Québec, je ne suis pas certain que ce sera bien reçu dans les bureaux de la Ligue nationale», avait-il dit.

Deux ans plus tôt, le chef libéral Jean Charest, en campagne lui aussi, avait tenu les mêmes propos que M. Couillard, dans lesquels M. Legault avait vu un signe de son désespoir.

«Je pense que M. Charest est un petit peu désespéré, avait-il dit en août 2012. C'est exagéré.»

La générosité de Jeremy Grégoire

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Le joueur du Drakkar de Baie-Comeau remet sa bourse d’études à un autre finaliste

Jeremy Grégoire (deuxième sur la photo) a fait preuve de générosité en remettant sa bourse de 6000 $ à Dominic Talbot-Tassi (troisième). Les deux hockeyeurs sont ­accompagnés de Jocelyn Proteau, du comité de sélection, et de Guy Lafleur.
PHOTO AGENCE QMI, PHILIPPE-OLIVIER CONTANT

Jeremy Grégoire (deuxième sur la photo) a fait preuve de générosité en remettant sa bourse de 6000 $ à Dominic Talbot-Tassi (troisième). Les deux hockeyeurs sont ­accompagnés de Jocelyn Proteau, du comité de sélection, et de Guy Lafleur.

Joanie Godin
Lauréat d’un prix d’excellence et du mérite Guy-Lafleur, remis aux hockeyeurs étudiants s’étant démarqués tant sur le plan sportif que scolaire, Jeremy Grégoire, du Drakkar de Baie-Comeau, a préféré offrir sa bourse à un autre finaliste, Dominic Talbot-Tassi, des Wildcats de Moncton.
Grégoire a affirmé qu’il essayait de calquer son comportement sur celui de Guy Lafleur, qu’il considère comme étant «près des gens, de la communauté». Il est passé de la parole aux actes en remettant sa bourse d’études de 6000 $ (répartie sur trois ans) à un ancien adversaire de la LHJMQ.
«J’ai été assez chanceux pour gagner ce prix deux fois de suite et Dominic a été finaliste chaque fois, ce qui n’est pas rien. Il travaille très fort et c’est un super bon gars. Cette bourse-là lui revenait», a-t-il dit humblement.
Grégoire, qui obtiendra son diplôme d’études collégiales en juin, a maintenu une moyenne générale de 87 %.
Pour Talbot-Tassi, qui entamera à l’automne des études en génie – sa spécialisation reste à être déterminée – à l’Université McGill, cette surprise ne pouvait mieux tomber.
«C’est tombé du ciel. Je suis super reconnaissant envers Jérémy pour ce geste. Je vais pouvoir en profiter durant mes années universitaires. Ce sera un bon coup de pouce pour payer les livres et mon appartement», a dit celui qui aura également une bourse complète de McGill pour payer ses cours.
Sa meilleure saison
Espoir du Canadien, Grégoire est passé par toute la gamme des émotions lors de la dernière saison.
Il a d’abord vu son camp d’entraînement avec le grand club prendre fin abruptement en raison d’une blessure au poignet gauche subie lors d’un match entre les Rouges et les Blancs au Centre Bell. Une déchirure d’un ligament l’aura finalement tenu à l’écart du jeu jusqu’en décembre, l’empêchant également de batailler pour un poste avec Équipe Canada Junior.
Tirer du positif
Revenu en force avec le Drakkar, le joueur de 19 ans a connu une saison de 41 points, dont 20 buts, en 32 matchs. Il a ajouté 10 buts et 11 aides en 12 rencontres éliminatoires.
«J’ai eu besoin d’une dizaine de matchs pour retrouver mon synchronisme, car c’était la première fois de ma carrière que j’arrêtais de jouer pendant deux mois. J’ai eu ma meilleure saison junior, alors je ne pouvais pas demander mieux», a-t-il dit.
Grégoire a choisi de tirer profit au maximum de sa malchance, s’entraînant encore plus sur la patinoire et à l’extérieur pendant son absence, ainsi qu’en ajoutant une corde à son arc: celle d’entraîneur adjoint.
Le Drakkar lui a offert la possibilité d’être derrière le banc de l’équipe pour quelques matchs et il a même dirigé les défenseurs.
«J’ai pu voir l’autre côté du jeu. C’était spécial. J’ai goûté à une après-carrière, mais ce n’est pas pour tout de suite!»
Cette possible deuxième carrière attendra en effet, car à court terme, son objectif est de bien faire au camp d’évaluation du Canadien cet été et au camp d’entraînement dans quelques mois.
«Je veux juste continuer de m’amuser et montrer ce que je peux faire», a noté l’attaquant.
Autres récipiendaires
Olivier Hinse, des Stingers de Concordia, a été choisi au sein du hockey universitaire québécois. Il étudie dans le programme Child Studies, où il a eu une moyenne de 3,09, tout en s’impliquant avec le programme Score with School.
Dans la Ligue de hockey collégial masculin, la bourse est allée à Xavier Labonté, des Dragons du Collège Laflèche, qui a affiché une excellente moyenne de 92,4 % en Sciences de la nature.

Deux finales des associations à la limite, une première depuis 1999-2000

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Derick Brassard
Derick Brassard (Source d'image: Getty )

Roger Leblond
Plus les séries avancent, plus nous constatons que la parité est plus évidente que jamais dans la LNH, car les deux finales des deux associations sont rendues à la limite de sept rencontres.
En effet, le Lightning de Tampa Bay et les Rangers de New York vont s’affronter dans un match décisif vendredi soir, au Madison Square Garden, alors que les Blackhawks de Chicago et les Ducks d’Anaheim vont se faire face dans les mêmes circonstances samedi soir, au Honda Center.
Ça fait très longtemps que nous n’avons pas assisté à une lutte aussi intense, car la dernière fois où les deux finales des deux associations ont atteint la limite de sept parties remonte à la saison 1999-2000, alors que les Devils du New Jersey avaient vaincu les Flyers de Philadelphie, dans l’Association de l’est et les Stars de Dallas avaient défait l’Avalanche du Colorado, dans celle de l’ouest.
Dans la grande finale, les Devils du New Jersey avaient réussi à vaincre les Stars de Dallas, en six matchs (4-2),  mettant la main sur la Coupe Stanley pour la deuxième fois de leur histoire.
SAISON 1999-2000 (FINALES DES ASSOCIATIONS)
(ASSOCIATION DE L’EST)
New Jersey 4 Philadelphie 3 (26 mai 2000-New Jersey 2 à Philadelphie 1)
(ASSOCIATION DE L’OUEST)
Dallas 4 Colorado 3 (27 mai 2000-Colorado 2 à Dallas 3)
Une seule autre fois, il y a eu la limite de sept matchs pour les demi-finales
Pour illustrer encore plus le fait qu’il est plus que rare de voir les demi-finales de la LNH prendre fin dans la limite de sept rencontres, soulignons que la seule autre fois où une telle chose est survenue fut lors de la saison 1963-1964 !
Lors de cette saison-là, les Maple Leafs de Toronto avaient défait le Canadien de Montréal, alors que les Red Wings de Detroit avaient triomphé des Blackhawks de Chicago, en sept rencontres et un fait à souligner, les deux séries avaient été gagnées sur les patinoires des adversaires.
Lors des matchs décisifs, le 9 avril 1964, les Maple Leafs avaient signé un gain de 3-1, dans l’ancien Forum de Montréal, alors que les Red Wings avaient gagné 4-2, au Chicago Stadium.
Soulignons que la finale de la Coupe Stanley avait également nécessité sept rencontres, les Maple Leafs de Toronto ayant vaincu les Red Wings de Detroit, signant un gain de 4-0, au Maple Leaf Gardens, le 25 avril 1964.
C’est la seule fois de l’histoire de la LNH où toutes les séries (trois) avaient nécessité la limite de sept rencontres.
SAISON 1963-1964 (DEMI-FINALES)
Toronto 4 Montréal 3 (9 avril 1964-Toronto 3 à Montréal 1)
Detroit 4 à Chicago 2 (9 avril 1964-Detroit 0 à Toronto 4)
Derick Brassard a marqué neuf buts, le meilleur des Rangers depuis Gretzky !
Plus les séries avancent, plus l’attaquant Derick Brassard, des Rangers de New York semble confiant, lui qui produit à un rythme d’enfer.
En effet, l’ex-joueur des Blue Jackets de Columbus affiche un dossier de 9-7-16 avec un différentiel de plus neuf en 18 matchs dans les éliminatoires et son total de buts (9) est le plus élevé de l'équipe depuis 1996-1997, alors que Wayne Gretzky avait marqué 10 fois, affichant un dossier de 10-10-20 en 15 matchs, dernière fois où il avait participé aux éliminatoires.
Encore plus, Brassard a marqué plus de buts dans les présentes séries que durant l’ensemble de sa carrière, lui qui avant l’actuelle saison, affichait un dossier global de 8-16-24 en 35 matchs éliminatoires.
Auteur d’un rendement superbe de 3-2-5 lors de l’important gain de 7-3 mardi soir, Brassard, avait présenté une fiche de 19-41-60 avec un différentiel de plus neuf en 80 matchs réguliers en 2014-2015.
Brassard, qui a été le premier choix des Blue Jackets, le 6e au total du repêchage de 2006 et qui aura 28 ans le 22 septembre prochain, tentera de poursuivre sur la même lancée, lui qui pourrait atteindre la finale de la Coupe Stanley pour une deuxième saison de suite.

Lightning vs Rangers: une série bien imprévisible se rend à la limite

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Henrik Lundqvist
Henrik Lundqvist (Source d'image: Getty )
NEW YORK - Les Rangers et le Lightning auront besoin d'un septième match pour régler la finale de l'Est, qui a offert son lot de surprises avec un jeu blanc et deux matches à sens unique, notamment.
L'issue sera connue vendredi soir au Madison Square Garden, où les Rangers ont remporté leurs sept derniers matches ultimes, si on remonte à 1992.
Toute prédiction est bien risquée : jusqu'ici, l'équipe semblant avoir pris un élan s'est retrouvée vaincue, parfois sur sa propre glace.
« Je crois qu'il n'y a plus de secrets entre les deux équipes, a dit l'entraîneur du Lightning, Jon Cooper. Ça va être un de ces match où le gagnant sera celui qui a la plus grande soif de victoire. »
« Tout ce qui est arrivé à point-ci n'a plus d'importance, a ajouté le centre Derek Stepan, des Rangers. Tout va se jouer vendredi. »
Mardi, Derick Brassard a fourni cinq points dont trois buts et les New-Yorkais se sont imposés 7-3 à Tampa, aidés par 36 arrêts de Henrik Lundqvist. Deux soirs plus tôt, Ben Bishop et le Lightning avaient gagné 2-0 au Garden.
« Les deux équipes ont eu leurs bons moments en alternance, a dit Brassard, qui domine les siens avec neuf buts en séries. Ils sont très solides, et je pense que nos affrontements donnent du très bon hockey. Nous sommes près de notre objectif, mais nous devons rester concentrés. »
Ce sera un deuxième match ultime de chaque côté. Tampa Bay a dû se rendre à la limite pour écarter les Wings en première ronde, tandis que les Rangers ont comblé un retard de 3-1 pour battre Washington au deuxième tour.
Le centre Tyler Johnson du Lightning a fourni deux passes mardi pour porter sa récolte à 20 points, un sommet lors des présentes séries.

Hawks/Ducks à la limite

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Publié par Associated Press le mercredi 27 mai 2015 à 22h40. Modifié par Charles Payette le jeudi 28 mai 2015
Hawks/Ducks à la limite
Duncan Keith (Mark Walsh/Daily Herald via AP)
CHICAGO - Les Blackhawks de Chicago ont marqué trois fois à 3:45 d'intervalle au deuxième vingt et ont battu les Ducks d'Anaheim 5-2, mercredi, créant ainsi l'égalité 3-3 en finale de l'Ouest.

Brandon Saad, Marian Hossa, Patrick Kane et Andrew Shaw (deux fois) ont fait mouche pour les Hawks, qui ont vu leur gardien Corey Crawford bloquer 30 rondelles.
Duncan Keith a contribué aux trois premiers buts des vainqueurs.

Patrick Maroon et Clayton Stoner ont marqué pour les Ducks, sur une déviation et un tir frappé, respectivement. Frederik Andersen a effectué 18 arrêts.

Le septième match sera présenté samedi soir en Californie.

«Nous n'avons pas bien joué et je m'inclus certainement là-dedans, a confié Ryan Getzlaf, des Ducks. J'ai commis trop de revirements et d'autres erreurs. Nous devons nous regrouper et nous préparer pour le septième match.»

«Samedi est un autre jour, a philosophé Maroon. Nous allons reprendre notre concentration et faire beaucoup mieux.»
Saad a parti le bal à 8:23, avec un tir des poignets entre les jambière du Danois.

Hossa a doublé l'avance avec un tir précis du cercle gauche. Keith est venu près de tirer deux fois du cercle droit avant de repérer le Slovaque, qui n'a pas raté sa chance.

Kane a fait 3-0 après s'être habilement faufilé jusqu'au coeur de la zone adverse, pour ensuite y aller d'un tir fructueux des poignets.

En fin de deuxième vingt, Maroon a réduit l'écart sept secondes après le début d'une sanction imposée à Brad Richards, pour avoir accroché Emerson Etem.

Stoner a corsé les choses avec son tir de la pointe, en début de troisième période, mais Chicago a résisté pendant le reste de l'engagement.

Shaw a porté le score à 4-2 avec 3:32 au cadran, marquant d'un revers après un effort tenace. Il a ensuite mis la touche finale dans un filet désert, à 19:11.

Les Ducks ont perdu leurs trois derniers matches ultimes: au deuxième tour en 2014, face aux Kings, en première ronde en 2013, face aux Wings, et au deuxième tour en 2009, contre Detroit.

Les Hawks veulent atteindre la finale de la coupe Stanley pour la troisième fois en six ans. Ils ont triomphé en 2010 et 2013.

Quand Agassi prodigue ses conseils à Eugenie

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Publié par 98,5 fm pour 98,5fm Sports le mercredi 27 mai 2015 à 18h49. Modifié à 23h19.
Quand Agassi prodigue ses conseils à Eugenie
Andre Agassi
(98,5 Sports) - De passage dans la métropole à titre de conférencier invité pour l'événement C2 Montréal, l'ancien tennisman Andre Agassi n'allait quand même pas quitter sans répondre à quelques questions concernant Eugenie Bouchard.
La joueuse de Westmount fait parler d'elle pour les mauvaises raisons depuis quelques mois. Elle n'a pas pas été l'ombre d'elle-même sur le terrain, étant éliminée d'entrée de jeu à Roland-Garros... un endroit où elle avait atteint les quarts de finale l'année précédente.
L'envoyé spécial du Journal de Montréal à Roland-Garros rapportait mardi qu'Eugenie a une réputation de petite baveuse au sein de la WTA. Qu'elle n'a aucune amie parmi ses consoeurs et qu'elle n'a peut-être pas la bonne attitude pour atteindre le sommet - elle qui était au septième rang mondial lors du dernier classement du circuit féminin.
«Je pense que le problème, c'est que les gens spéculent sur ce qu’elle est et ce qu'elle pense. Tout le monde a ses façons de gérer ses peurs, ses objectifs et de faire face à certaines situations. C’est difficile de juger, car personne n'a passé du temps dans ses souliers. Elle ne doit pas s'en faire avec la perception des gens. »
Bouchard a maintenant perdu huit de ses neuf derniers matchs, son seul triomphe s'est produit au tournoi de Rome, il y a une dizaine de jours.
L'importance de bien s'entourer
Andre Agassi est devenu professionnel à 16 ans. Dans «Open» son autobiographie à succès, publiée en 2009, il disait s'être fait voler son enfance par son père et avoir détesté le tennis pendant plusieurs années. Ce qui ne l'a pas empêché de remporter 60 titres - dont huit tournois du Grand Chelem en carrière.
Plusieurs observateurs pensent que certaines personnes dans l'entourage d'Eugenie - comme sa mère - ne sont peut-être pas toujours de bon conseil.
«C'est bien d'avoir des gens près de toi sur lesquels tu peux compter, a déclaré l'Américain, maintenant âgé de 45 ans. Je ne connais pas sa mère, mais j'ai vu des parents passer d'entraîneur, à agent, à nutritionniste et ensuite à nounou. Ce n'est pas productif, dans aucun milieu. Une seule personne ne peut faire tout ça. Il faut que tu aies besoin des gens qui sont autour de toi et non le contraire.»
Agassi, qui consacre désormais son temps à sa fondation pour l'éducation croit surtout que la jeune joueuse doit tracer sa propre voie.
«Je ne sais pas si elle (Eugenie) aime ce qu’elle fait ni si elle possède des objectifs et des buts pour sa carrière. Mais il faut qu'elle trouve elle-même sa propre définition de ce que sont la réussite et le succès. Il ne faut pas qu'elle laisse les autres lui imposer.»