dimanche 7 juin 2015

Après sa série d'insuccès, Eugenie Bouchard est exclue du top-10 du classement mondial

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Eugenie Bouchard
Eugenie Bouchard (Source d'image: Getty )

Les insuccès d’Eugenie Bouchard ont fini par lui coûter des places au classement de la WTA.
Éliminée au premier tour des Internationaux de France, la Québécoise a été exclue du top-10 pour se retrouver au 11e rang de la plus récente mise à jour publiée dimanche soir.
Bouchard a perdu 770 points après la quinzaine française et en totalise maintenant 3118. Rappelons qu’elle avait atteint les demi-finales à la Porte d’Auteuil l’année dernière.
La joueuse de Westmount aura également énormément de points (1300) à défendre à Wimbledon dans trois semaines, puisqu’il s’était inclinée en finale devant Petra Kvitova en 2014.
Bouchard lancera sa saison sur gazon en participant au tournoi de Bois-le-Duc cette semaine.

Le CH doit-il déposer une offre à Soderberg?

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Publié le 7 juin 2015 à 14:31 par

Nicolas Cloutier

Selon Sportsnet, les Bruins ne soumettront aucune offre à Carl Soderberg. Le Suédois attaquera le marché des agents libres et se veut une option intéressante pour une équipe recherchant de la profondeur au centre à un prix raisonnable.
Greg M. Cooper, USA TODAY Sports
Greg M. Cooper, USA TODAY Sports
Si le CH vient à larguer David Desharnais, Soderberg devient une cible intéressante pour Marc Bergevin. Cette saison, on a vu Lars Eller absorber une charge imposante de minutes défensives pour alléger le travail de Desharnais, à qui on prévoit une utilisation strictement offensive comparable à celle de Brad Richards des Blackhawks. On peut penser que l’arrivée d’un fabricant de jeu polyvalent comme Soderberg uniformiserait la répartition des tâches des trois premiers pivots.
Une donnée sous-estimée quand vient le temps d’évaluer l’apport d’un joueur de centre est le nombre de mentions d’aides dites primaires, c’est-à-dire le nombre de passes décisives sur le but d’un coéquipier. Sans surprise, Ryan Getzlaf et Sidney Crosby figurent saison après saison parmi les meneurs à ce chapitre puisqu’ils mettent la table pour leurs ailiers de brillante façon et sont directement impliqués dans la plupart des actions offensives. La récolte de 19 passes primaires de Soderberg en 2014-2015 le placerait au 4e rang chez les joueurs du Canadien et au 2e échelon chez les centres, derrière Tomas Plekanec (20 passes primaires).
Mais ce que les chiffres ne nous disent pas noir sur blanc, c’est que Soderberg, à 6’2 et 216 livres, a le physique de l’emploi et possède la vitesse pour atteindre les zones chaudes et générer des chances de marquer. Sa créativité offensive comble évidemment un besoin au sein du groupe d’avants sans saveur du Canadien de Montréal.
N’eût été une mauvaise fin de saison durant laquelle il a été employé comme 4e centre derrière Ryan Spooner, Soderberg aurait affiché une production similaire à celle de 2013-2014, alors qu’il avait enfilé 48 points. Il est un centre créatif, responsable dans les deux sens qui a élevé le niveau de jeu de ses ailiers, en plus de n’avoir raté que neuf matchs lors des deux dernières années.
En rafale– Elliotte Friedman se demande si le CH ne devrait pas tenter d’acquérir Mikko Koivu. LIEN
La LNH et la KHL seraient également près d’une entente concernant les droits de leurs joueurs respectifs.
– Les défenseurs de 2015 pourraient voler la vedette! LIEN #NHLDraft
– Kane et Toews pourraient être séparés.
– Que serait la LNH sans les joueurs russes? LIEN
– Le dernier duel de Habs TV oppose Gallagher à Eller. LIEN
– Étonnant!
– L’espoir de 2015 Kyle Connor écrit un blogue sur l’expérience du CombineLIEN
– Tiger Woods cherche à améliorer son nouvel élan. LIEN
Rappelons qu’il a joué sa pire ronde de golf, hier. #85
– Teravainen fait rire les médias!
– Le quatuor défensif des Blackhawks est spécial. LIEN
– La triple couronne a gonflé l’auditoire de la LNH! LIEN
– Wawrinka remporte le tournoi de Roland Garros et empêche Djokovic de compléter le Grand Chelem. LIEN
– Austin Madaisky s’est entendu avec les Blue Jackets. LIEN
– Qui est Andrei Vasilevskiy? LIEN

Lewis Hamilton remporte le Grand Prix du Canada

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Publié par 98,5 Sports pour 98,5fm Sports le dimanche 07 juin 2015 à 13h37. Modifié à 16h20.
Lewis Hamilton remporte le Grand Prix du Canada
Lewis Hamilton/PC/Ryan Remiorz
(98,5 Sports) - Le Grand Prix du Canada a permis Lewis Hamilton et à Nico Rosberg de poursuivre leur domination au classement du championnat 2015 de Formule Un.

Les pilotes de l'écurie Mercedes qui occupaient les deux premières places sur la grille de départ du circuit Gilles Villeneuve ont terminé dans le même ordre à la fin des 70 tours.
Le reportage de Jeremy Filosa.
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Il s'agit de la quatrième victoire d'Hamilton à Montréal. Le Britannique, qui a mené de bout en bout, et l'Allemand comptent désormais 151 et 134 points, respectivement, au sommet du classement des pilotes après sept épreuves.

Le Finlandais Valtteri Bottas (Williams) monte sur la troisième marche du podium.

« J'adore Montréal. J'adore la piste et j'adore la ville » a déclaré Hamilton sur le podium, quand on lui a demandé si cette victoire effaçait la déconvenue survenue à Monaco il y a deux semaines.

Hamilton a offert une performance irréprochable. Lors d'une course marquée d'aucun incident spectaculaire, le Britannique a négocié les 70 tours de piste en 1 h 31 minutes 53,145 secondes. Il a devancé Rosberg par un peu plus de deux secondes.

Le pilote Mercedes n'a jamais été inquiété par Rosberg. Ce dernier a été ralenti à compter de la mi-course par un problème de surchauffe de ses freins, et en conséquence il a dû concéder la victoire au Britannique. Hamilton avait déjà triomphé au Canada en 2007, 2010 et 2012.

C'est un peu le même refrain que l'an dernier pour Rosberg. En 2014, les ennuis de freins de Mercedes avaient causé une défaillance du système de récupération de l'énergie cinétique (SREC), entraînant l'abandon d'Hamilton et coûtant la victoire à Rosberg. L'Allemand a donc terminé deuxième pour une deuxième année de suite.

Pour sa part, Bottas a profité d'un arrêt aux puits brouillon du pilote Ferrari Kimi Raikkönen au 27e tour pour ressortir devant lui en troisième place. À son retour en piste, Raikkönen a commis un tête-à-queue à la sortie de l'épingle qui a pratiquement confirmé son expulsion du podium.

Sebastian Vettel (Ferrari) a réalisé toute une remontée pour terminer cinquième, tout juste devant l'autre grand gagnant de la journée, Felipe Massa (Williams). Pastor Maldonado (Lotus), Nico Hülkenberg (Force India), Daniil Kvyat (Red Bull) et Romain Grojean (Lotus) ont complété dans l'ordre les 10 premières positions.

Le départ s'est fait sans accrochage, Hamilton parvenant à repousser Rosberg et Raikkönen à l'entrée des 'S' de Senna. Derrière, Massa et Vettel, qui s'élançaient respectivement des 15e et 18e places sur la grille de départ, se sont occupés du spectacle en entamant leur remontée au classement.

À l'arrière, le double champion du monde de F1 Fernando Alonso a été contraint à l'abandon au 48e tour, après que son moteur Honda eut rendu l'âme. Pour la troisième fois consécutive, l'Espagnol, qui pilote pour McLaren, n'a pu rallier l'arrivée. Ce fut le même dénouement pour son coéquipier Jenson Button, dont la journée de travail s'est terminée au 58e tour.

La course en direct :

Excellent départ propre et sans accrochage. Lewis Hamilton, Nico Rosberg, Kimi Raikkönen et Valtteri Bottas conservent les mêmes places après le premier tour.

Placé pratiquement en queue de peloton au départ, Sebastian Vettel gagne rapidement des places. Au quatrième tour, il se hisse en 14e position. Il est en 13e place au huitième tour quand il fait un arrêt aux puits pour changer ses pneus.

Après 10 tours, aucun changement pour les meneurs qui caracolent en tête. Hamilton a plus de deux secondes d'avance sur Rosberg.

Ça ne bouge guère derrière. Nico Hulkenberg (Force India) est passé de la septième à la sixième place après avoir dépassé Pastor Maldonado (Lotus) et Sergio Perez (Force India) s'est intercalé entre les Red Bull de Daniil Kvyat et Daniel Ricciardo, en neuvième position.

Hamilton signe un chrono de 1:18.51 au 17e tour et il a désormais 3,5 secondes d'avance sur Rosberg.

Contact entre Fernando Alonso ((McLaren) et Vettel au 20e tour. Pas de casse et Vettel, qui a été rétrogradé en 15e place, repart à l'assaut d'Alonso.

Pour sa part, Felipe Massa (Williams) ne cesse de remonter au classement. Parti en 15e position sur la grille, il se hisse en septième place au 22e tour.

Ce sont Massa et Vettel qui font le spectacle jusqu'ici. Aux avant-postes, Hamilton continue d'aligner les tours rapides. Après 24 tours, il a près de cinq secondes d'avance sur Rosberg et plus de six sur Raikkönen qui est toujours au troisième rang.

Raikkönen s'en va aux puits pour changer de pneus au 27e tour. À peine de retour en piste, il s'offre un spectaculaire tête-à-queue à la sortie de l'épingle et il s'en faut de peu pour qu'il se fasse percuter.

Bottas sort pour changer ses pneus au 29e tour. Hamilton fait de même au 30e. Des arrêts aux puits rapides et impeccables.

Rosberg s'en va aux puits au tour suivant. Après les arrêts, Hamilton est de retour en tête devant Rosberg, mais Bottas est désormais en troisième place à la suite du dérapage de Raikkönen. L'écart entre Hamilton (1er) et Bottas (3e) est néanmoins de plus de 16 secondes.

Massa est désormais en cinquième place, mais il est le seul pilote qui n'a pas encore effectué d'arrêt aux puits.

Vettel est remonté en septième position, mais il l'a fait au dépens de ses pneus. Il doit encore une fois changer de train au 36e tour. C'est à ce moment qu'une marmotte fait son apparition sur la piste... mais sans conséquence.

Massa rentre enfin aux puits au 38e tour.

Vettel signe un tour de 1:17.481 à son retour en piste. Ça va vite avec des pneus neufs.

Après 40 tours, Hamilton a une seconde et demie d'avance sur Rosberg.

C'est ensuite Raikkonen, après son deuxième arrêt au 41e tour, qui inscrit un chrono ultra rapide de 1:16.987. La stratégie pourrait-elle fonctionner pour l'écurie itlaienne?

Accrochage (?) au 44e tour entre Vettel et Hulkenberg dans la chicane? Il semble que non. Hulkenberg qui a été surpris par le dépassement à l'extérieur de Vettel, a semblé toucher le vibreur avant de perdre temporairement le contrôle de son bolide.

Abandon de Fernando Alonso.

Avec 20 tours à faire, Romain Grosjean fait une bourde en se rabattant trop vite sur la Marussia de Will Stevens. Il se dirige immédiatement aux puits avant d'en ressortir quelques secondes plus tard. Mais le mal est fait.

Cinq secondes de pénalité à Grosjean pour avoir provoqué l'accrochage avec sa mauvaise manoeuvre.

Au 53e tour, il y a une seconde d'écart entre Hamilton et Rosberg qui ont plus de 25 secondes d'avance sur Bottas. Sauf accident ou problème mécanique, la victoire devrait revenir à l'écurie Mercédès.

Vettel dépasse Maldonado au 56e tour pour s'emparer de la cinquième place avec une pointe de vitesse de 341 kilomètres à l'heure!

Abandon de Jenson Button. Les deux McLaren sont hors course. Week-end de misère.

Après 66 tours, Hamilton a désormais 2,2 secondes de priorité sur Rosberg. Avance qui passe à plus de trois secondes après 69 tours.

On amorce le dernier tour.

Lewis Hamilton remporte le Grand Prix du Canada, devant Rosberg et Bottas.

(Avec La presse canadienne)

Serena Williams défait Lucie Safarova et remporte son 20e titre du Grand Chelem

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l'Américaine Serena Williams

PARIS - La Tchèque Lucie Safarova n'a laissé filer que deux manches pendant toute la quinzaine des Internationaux de France. Mais elle les a perdues au pire des moments.
À la recherche d'un premier titre en carrière à un tournoi du Grand Chelem, à sa première finale, Safarova n'a pu résister à l'expérience et la puissance de l'Américaine Serena Williams, qui l'a emporté en des manches de 6-3, 6-7(2), 6-2, samedi après-midi sur le court central de Roland-Garros.
Pour Williams, il s'agit d'un 20e titre en simple à un tournoi du Grand Chelem - à sa 24e finale - ce qui lui confère le troisième rang de tous les temps derrière les 24 de l'Australienne Margaret Court et les 22 de l'Allemande Steffi Graf. L'Américaine de 33 ans a aussi récolté un troisième titre sur la terre battue de Paris, après ses triomphes en 2002 et en 2013.
« Lorsque j'étais une petite fille, en Californie, mon père et ma mère voulaient que je joue au tennis. Aujourd'hui, je suis ici avec 20 titres du Grand Chelem. C'est très spécial. Je n'ai pas toujours bien joué ici, mais je suis très heureuse que le 20e soit venu ici », a déclaré Williams, dans la langue de Molière.
Après ses victoires aux Internationaux des États-Unis, en septembre dernier, et aux Internationaux d'Australie, en début d'année, Williams a remporté ses 21 dernières sorties en simples lors de tournois majeurs, et détient donc de façon simultanée trois des quatre titres du Grand Chelem. Il ne lui reste donc qu'à gagner les Internationaux de Wimbledon en juillet, un tournoi qu'elle a remporté en cinq occasions - la dernière fois en 2012 - pour monopoliser les quatre principaux trophées du tennis féminin.
Pourtant, Williams se dirigeait vers une victoire beaucoup plus facile. Forte d'une avance de 4-1 en deuxième manche, Williams a vu sa rivale se transformer en rouleau-compresseur et gagner cinq jeux consécutifs pour soudainement pimenter le duel. Williams a égalé le score à son service et brisé celui de Safarova pour se donner une avance de 6-5.
Mais la gauchère de 28 ans n'avait pas dit son dernier mot. Elle a réalisé un autre bris de service pour forcer un bris d'égalité qu'elle a totalement dominé.
Après avoir permis à Safarova de prendre les devants 2-0 au début de la troisième manche, Williams a cependant repris du tonus et gagné les six jeux suivants.
Après qu'elle eut été affaiblie par un virus, jeudi, et pris congé d'entraînement, vendredi, Williams ne s'est pas toujours montré sous son meilleur jour lors de la finale. Elle a commis 11 doubles fautes et un grand total de 42 erreurs directes, 25 de plus que son adversaire. Lors du troisième set, elle a eu droit à un avertissement de l'arbitre en chef pour avoir prononcé des mots pas trop gentils, et s'est même permis de retourner une balle de la gauche.
Elle s'est cependant ressaisie à temps pour signer une 32e victoire en 33 matchs en 2015, incluant un dossier parfait de 12-0 lors de duels nécessitant une troisième manche. Et Williams est aussi devenue la première joueuse depuis Jennifer Capriati, en 2001, à gagner les deux premières étapes du Grand Chelem lors de la même saison.
« Lorsque elle jouait bien, ses services étaient remarquables et me mettait de la pression rapidement lors de ses retours de service. C'est difficile de faire quoi que ce soit contre ça. »
Quant à Safarova, qui avait éliminé Maria Sharapova, au quatrième tour, et Ana Ivanovic, en demi-finale, elle peut encore espérer quitter Paris avec un trophée. Dimanche, elle participera à la finale du double féminin, en compagnie de l'Américaine Bethanie Mattek-Sands.
« J'espère récolter au moins un titre ici », a-t-elle déclaré.

Enfin un gain à l'étranger en MLS pour l'Impact !

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Publié par La Presse Canadienne le samedi 06 juin 2015 à 21h45. Modifié par 98,5 Sports à 23h12.
Enfin un gain à l'étranger en MLS pour l'Impact !
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COLUMBUS, Ohio - L'Impact de Montréal a finalement gagné un match à l'étranger en MLS.
Maxim Tissot et Andrés Romero ont marqué en deuxième demie et l'Impact a défait le Crew de Columbus 2-1, samedi, signant une première victoire en territoire adverse en MLS depuis le 8 septembre 2013.

Le but de Tissot était le premier but de l'Impact (4-4-2) à l'étranger en MLS cette saison. L'Impact avait un dossier de 0-19-7 à ses 26 derniers matchs sur les pelouses adverses en MLS.

« On parlait depuis longtemps de cette première victoire sur la route donc c’est satisfaisant, a mentionné Tissot. Tout le monde a fait son travail ce soir et nous sommes tous heureux du dénouement. Nous sommes demeurés concentrés et nous avons respecté le plan de match. »

L'équipe de Frank Klopas a maintenant gagné quatre de ses cinq dernières parties.

« Nous avons battu une excellente équipe ce soir et tout le groupe a bien fait, a mentionné l’entraîneur-chef. Nous devions effectuer une rotation de l’effectif et nous devons gérer certaines blessures. Je suis fier de la performance de l’équipe ce soir. »

« Nous avons mieux contrôlé le match en deuxième demie, a renchéri Marco Donadel. C’est une équipe que nous respectons avec plusieurs très bons joueurs. Nous avons donc décidé de jouer un peu plus défensivement en début de match, puis nous avons ensuite obtenu nos occasions. »

Federico Higuain a répliqué en fin de rencontre pour le Crew (4-6-4). Auteur de 10 buts en 13 matchs cette saison, avant samedi, Kei Kamara a été incapable de trouver le fond du filet contre l'Impact.

Le gardien de l'Impact Evan Bush a été fort occupé et a stoppé trois tirs dans la victoire.

L'Impact sera de retour en action samedi prochain, quand il affrontera le New York City FC au Yankee Stadium.

Les locaux ont été les agresseurs en début de match et ils sont passés bien près d'ouvrir la marque dès la sixième minute, mais Kamara a été imprécis de la tête sur un corner.

Kamara a continué de tourner autour du filet de Bush. Il a manqué d'espace à la 14e minute pour concrétiser et sa manoeuvre acrobatique à la 18e minute a abouti dans les gradins.

Romero s'est retrouvé au coeur des deux plus belles occasions de l'Impact en première demie. Il s'est d'abord présenté dans la surface de réparation du Crew à la 31e minute, mais le défenseur Michael Parkhurst est intervenu à temps pour l'empêcher de décocher sa frappe.

Romero a ensuite rejoint brillamment Ignacio Piatti sur un long centre à la 38e minute. Piatti s'est présenté dans la surface sur le flanc gauche, mais le gardien Steve Clark a bien joué ses angles et a bloqué la frappe du joueur désigné de l'Impact.

Bush a réussi son plus bel arrêt de la première période à la 45e minute. Héctor Jiménez a rejoint Waylon Francis au deuxième poteau, mais Bush a bien lu le jeu et a réussi une belle parade pour stopper la déviation de la tête de Francis.

L'Impact a amorcé la deuxième demie en force et Tissot a ouvert la marque à la 56e minute. Romero a tenté de le rejoindre sur le flanc gauche, mais la passe a été coupée par un défenseur du Crew. Le ballon est toutefois resté dans la surface et Clark a dû stopper la frappe de Jack McInerney. Tissot a profité du retour pour faire bouger les cordages.

McInerney a été frustré par Clark trois minutes plus tard et Romero a ensuite atteint le poteau à la 65e minute.

Le Crew a raté une occasion en or de niveler la marque à la 76e minute. Le coup franc de Higuain à partir de quelques centimètres de la surface a évité le mur, mais a atteint McInerney, qui couvrait un joueur du Crew.

Romero a doublé l'avance des visiteurs à la 79e minute, quand il a complété une montée à deux contre un avec Piatti.

Higuain a rendu les choses intéressantes en atteignant l'objectif au début des arrêts de jeu, mais le Crew a finalement manqué de temps.

On aura finalement une grande finale

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Tyler Johnson
Tyler Johnson (Source d'image: PC )

Images of Francois Gagnon
TAMPA - Après avoir annoncé, voire promis, une finale de la coupe Stanley d’anthologie, j’étais un brin inquiet en me présentant au Amalie Arena en fin d’après-midi samedi. Je me disais que si les Hawks devaient prendre les devants 2-0, la finale relevée tant attendue tomberait à plat.
Je me suis même surpris à croire qu’une fois devant leurs partisans survoltés par une telle avance, les Hawks pourraient balayer la finale.
Quand Andrew Shaw a nivelé les chances 1-1 en début de deuxième période et que Teuvo Teravainen a semé l’émoi dans les gradins – ce n’est pas tout à fait vrai, car les quelques milliers de fans des Hawks venus de Chicago ont célébré à souhait – deux minutes 16 secondes plus tard, je me suis dit que mon scénario pessimiste était sur le point de se réaliser. Que le Ligthning ne se relèverait pas d’un affront semblable à celui de mercredi. Qu’il encaisserait un deuxième revers de suite. Que le reste de la finale serait une formalité.
Que non!
Contrairement à mercredi alors que le Lightning s’est écrasé pour protéger sa mince avance d’un but et qu’il n’a pas su se relever après les deux buts rapides des Hawks, les Bolts ont fait honneur à leur nom : ils ont été foudroyés par une décharge de fierté.
« Nous apprenons sur le tas ce qu’est une finale de la coupe Stanley. Ce que nous devons faire pour la gagner. On a encaissé un dur coup mercredi. Soixante-douze heures plus tard, on s’est retrouvé dans la même situation. Nos gars viennent de prouver qu’ils ont appris de cette leçon. Quand on a perdu notre avance et que nous sommes tombés en l’arrière 2-1, nos gars n’ont pas sombré dans la panique. Ils ont été fouettés par de la colère », a analysé l’entraîneur-chef Jon Cooper.
Cette colère a motivé le Lightning qui a su créer l’égalité 90 secondes plus tard. Quatre-vingt-douze pour être précis alors que Nikita Kucherov a habilement fait dévier un tir – un tir tellement hors cible que je crois qu’il s’agissait en fait d’une passe – de Jason Garrison.
On avait à nouveau un match. Et tout un.
Un cadeau de Crawford
Capable du meilleur comme du pire, Corey Crawford a ensuite eu la bien mauvaise idée de se montrer généreux à l’endroit du Lightning. Il a mal couvert son poteau droit permettant à Tyler Johnson de marquer un but chanceux – chanceux si vous prenez pour Tampa, mais un très mauvais but si vous êtes un fan de Chicago – et de redonner les devants au Lightning. Johnson n’avait pas marqué à ses cinq derniers matchs. Comme ses compagnons du trio des triplés, Johnson commençait même à être pointé du doigt en dépit du fait qu’il semble être miné par les contrecoups d’une blessure.
Ce cadeau de Crawford ne pouvait donc pas mieux tomber pour Johnson, son trio et le Lightning.
Après avoir échangé cinq buts en quarante minutes, les Hawks et le Lightning n’allaient pas s’arrêter en si bon chemin.
Brent Seabrook a ravivé les espoirs des Hawks avec un but controversé. Le défenseur des Hawks a décoché un tir parfait. Pas de doute là-dessus. Mais bien posté devant la cage pour saisir un éventuel retour, Marian Hossa a gêné le travail de Ben Bishop qui n’a pu déployer sa jambière gauche bloquée qu’elle était par un patin du vétéran des Hawks.
Les arbitres ont accordé le but. À la suite des doléances de Bishop, ils se sont réunis devant le banc des pénalités pour finalement maintenir leur décision qui semblait être la bonne initialement. Elle l’était peut-être après tout. Mais si un tel jeu se produit l’an prochain, on aura une décision finale et plus précise, car l’équipe victime d’un tel but controversée pourra exiger une révision pour s’assurer de sa validité.
Comme quoi on n’arrête pas le progrès. Même au hockey. Bon! Il ne vient pas aussi vite qu’on le voudrait, mais il s’en vient…
Le but de Seabrook a permis aux Hawks de niveler les chances une deuxième fois dans le match. Mais là encore, le Lightning n’a pas paniqué.
Il a même su profiter de la deuxième pénalité mineure consécutive écopée par Patrick Sharp pour prendre les devants une troisième fois. Et cette fois, il n’a pas perdu cette avance pour finalement remporter ce match sensationnel, cette partie remplie de rebondissements, et niveler les chances dans la série. Une série qui sera maintenant, j’en suis convaincu, aussi enlevante et relevée que celle que j’anticipais il y a une semaine à peine.
Vasilevskiy à la place de Bishop
Le Lightning n’a pas perdu sa troisième avance, mais il a peut-être perdu les services de son gardien Ben Bishop. Il n’a pas perdu un match qu’il ne pouvait d’ailleurs pas perdre pour maintenir ses chances de soulever la coupe Stanley.
Mais il a perdu les services de son gardien Ben Bishop. Peut-être sur le but de Seabrook – après l’impact avec le patin de Maria Hossa – peut-être sur un autre déplacement je ne sais pas et le Lightning a maintenu le mystère, Bishop s’est blessé. À un genou, à une cheville, je ne sais pas. Mais il peinait à marcher en retraitant au vestiaire la première fois… et la deuxième aussi.
Oui il y a eux deux fois. Bishop était au vestiaire pendant les 92 secondes d’attaque massive qui ont mené au but de Garrison.
Il est ensuite revenu au jeu, pour finalement retraiter pour de bon au vestiaire.
De retour dans l’action, son jeune adjoint, le Russe Andrei Vasilevskiy a réalisé cinq arrêts pour confirmer sa victoire.
Jon Cooper n’a rien voulu dire quant à la blessure qui a mené au jeu de chaise musicale de ses gardiens. On sait toutefois qu’il s’agissait bien d’une blessure et non d’un besoin pressant du gardien géant d’aller faire un tour, ou deux, à la toilette.
« Il va être correct », m’a simplement souligné un membre du Lightning croisé autour du vestiaire après le match.
On le saura bien assez vite, car après avoir attendu deux longues journées entre les matchs un et deux de la finale, la troisième rencontre est prévue dès lundi au United Center de Chicago.
En passant, même s’il n’avait effectué qu’une présence de 92 secondes, présence au cours de laquelle il n’a pas même eu à effectuer un arrêt, Andrei Vasilevskiy aurait été crédité de la victoire puisque le Lightning a pris les devants dans le match alors qu’il était sur la patinoire et que Bishop était au vestiaire.
Dans le camp des Hawks, l’entraîneur-chef Joel Quenneville a répondu sèchement à une question reliée à la performance de son gardien. « Il a été juste correct », que Quenneville a dit en parlant de Crawford. Le ton utilisé par le coach des Hawks n’aidait en rien à trouver du positif dans ces quelques mots.
Il faut dire qu’avec son cadeau accordé à Johnson et le fait qu’il ait accordé quatre buts sur 24 tirs, Corey Crawford n’a pas aidé sa cause. Il est toutefois nécessaire de souligner que le gardien de Châteauguay a effectué quelques arrêts solides au cours du match, dont l’un aux dépens de J.T. Brown en fin de période médiane. Il a aussi profité de la complicité de son poteau droit en première période.
Duel Paquette-Toews
Après avoir surpris Jonathan Toews et le monde du hockey en neutralisant mercredi le capitaine des Hawks dans le cadre d’un duel qui semblait bien inégal, le Québécois Cédric Paquette a récidivé samedi.
En fait, il a fait mieux que récidiver. Car non seulement a-t-il été en mesure de neutraliser Toews qui n’a récolté qu’une passe en deux matchs, mais Paquette a marqué le premier but de la rencontre. Un beau but qui a récompensé non seulement la qualité de son jeu en défensive, mais aussi l’échec-avant solide déployé par le Gaspésien et ses compagnons de trio.
« Coop (Jon Cooper) m’a donné ce défi pour un deuxième match de suite et je suis bien content de l’avoir relevé. Je suis surtout content d’avoir marqué. Ce matin (samedi) le coach a fait venir les gars des 3e et 4e trios dans son bureau et son message était clair : il nous a challengés pour qu’on trouve une façon de contribuer à l’attaque. On travaillait fort, mais on n’arrivait pas à marquer. J’étais très soulagé et heureux de marquer », a convenu le joueur de centre du troisième trio.
Avant le match d’hier, les joueurs utilisés au sein des 3e et 4e trios par Jon Cooper n’avaient conjointement marqué que quatre buts et récolté neuf points en 114 matchs combinés. À titre de comparaison, les joueurs des Hawks utilisés au sein de 3e et 4e trios affichaient une récolte de 36 points (14 buts) en 108 rencontres.
Questionné après la victoire sur le fait que Paquette gagnait haut la main sur duel devant Jonathan Toews, l’entraîneur-chef Jon Cooper a brandi la carte de la prudence. « Il n’y a rien de gagné encore et le hockey est un sport d’équipe. Mais c’est fantastique de voir Cédric aller sur la patinoire. On l’a rappelé pour les séries l’an dernier et la raison était simple : ce gars-là offre le meilleur de lui-même quand les matchs sont difficiles. Il fait partie de la catégorie de joueurs qui se sacrifient pour le bien de l’équipe. Qui sont prêts à tout pour aider leur club à gagner. J’étais ravi quand il a marqué. On a besoin de l’apport offensif de nos trios de soutien et on l’a obtenu ce soir avec le but de Cédric », analysait Jon Cooper.
Un premier match pour Drouin
Cécric Paquette n’est pas le seul Québécois qui s’est signalé dans la victoire de samedi. Jonathan Drouin, qui n’avait pas endossé l’uniforme depuis les matchs deux et trois de la série contre le Canadien en deuxième ronde, a été appelé en renfort.
Confiné au sein du quatrième trio en compagnie de Brian Boyle et Brenden Morrow, Drouin a connu un bon début de match. Il a obtenu un tir sur Crawford et en a décoché un autre dès sa première présence. On l’a vu bien contrôler la rondelle, effectuer de bonnes passes et s’offrir en cible à ses compagnons de trio.
Mais on l’a aussi vu perdre la rondelle deux fois aux mains des Hawks en plus de se rendre coupable d’un dégagement refusé. Des erreurs qui lui ont valu une série de remarques adressées par son entraîneur-chef Jon Cooper qui a pris le temps de se pencher sur son épaule pendant une pause publicitaire.
« Jonathan a connu un bon match. Il était prêt. Il volait sur la patinoire en début de rencontre. Il a joué un bon match, mais l’utilisation des unités spéciales a eu raison de son temps d’utilisation plus tard dans la partie », a indiqué le coach du Lightning.
Tout juste âgé de 20 ans, a passé un peu moins de huit minutes sur la patinoire. Il a obtenu deux tirs et a terminé sa soirée de travail avec un différentiel de moins-1.
Il sera intéressant de voir si Jon Cooper lui offrira une autre chance à Chicago, lundi ou mercredi, ou encore samedi prochain à Tampa où sera disputé le cinquième match.
Car oui il y aura un cinquième match. Et si la série est à l’image de la rencontre de samedi, il risque d’y en avoir un sixième et un septième peut-être. Ce qui nous permettrait de vraiment savourer une finale à la hauteur des attentes de la finale qu’on attendait. Qu’on souhaitait.

Le Lightning bat les Blackhawks 4-3 pour égaler la série finale de la Coupe Stanley 1-1

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 le Lightning - les Blackhawks

TAMPA, Fla. - Jason Garrison a touché la cible en avantage numérique en troisième période et le Lightning a défait les Blackhawks 4-3, samedi, nivelant ainsi la finale de la coupe Stanley à un gain partout.
Avec Patrick Sharp au cachot pour bâton élevé, la puissante frappe de Garrison a dévié sur le bâton d'Andrew Desjardins avant de finir sa route dans le but, à 8:49.
Cédric Paquette, Nikita Kucherov et Tyler Johnson ont aussi marqué pour Tampa Bay.
Ben Bishop a repoussé 21 rondelles. Appelé en renfort en dernière moitié de troisième tiers, Andrei Vasilevskiy n'a pas flanché en cinq tirs.
« Nerveux? Un peu », a admis Vasilevskiy, qui a été jeté dans la fosse au lion. On n'a pas su immédiatement la nature du problème concernant Bisop.
« Le gars est un excellent gardien. Il était prêt à jouer, a dit Paquette en parlant de Vasilevskiy. Nous étions calmes. Nous avions confiance en nos moyens. »
Les Hawks ont passé la dernière 1:55 à attaquer sans gardien, sans succès.
Andrew Shaw, Teuvo Teravainen et Brent Seabrook ont inscrit les buts de Chicago, tandis que Corey Crawford a stoppé 20 tirs.
La confrontation va se déplacer au United Center pour les deux prochains matches, lundi et mercredi.
« Nous serons de retour devant nos partisans. Je suis certain qu'ils seront bruyants et heureux de nous voir de retour, a dit l'entraîneur-chef des Blackhawks Joel Quenneville. Nous allons être corrects. »
Seabrook a porté le compte à 3-3 avec un tir frappé à la gauche de Bishop, à 3:38 en troisième période. Les officiels ont étudié la séquence pour une possible obstruction au travail du gardien, mais le but a été maintenu.
Johnson a mis fin à une disette de cinq matches en procurant les devants 3-2 aux siens, à mi-chemin au deuxième engagement. En s'amenant près de l'embouchure droite, il a tiré du revers et la rondelle s'est faufilée entre le poteau et la jambière de Crawford, à 13:58.
Les Blackhawks ont comblé un écart et pris les devants avec deux buts en 2:16 au deuxième vingt, mais Kucherov a nivelé le score 2-2 à 6:52.
Paquette a marqué le premier but du match. Après s'être habilement créé de l'espace, le Gaspésien de 21 ans a fait mouche avec un tir des poignets du cercle gauche à 12:56 en première période, battant Crawford à sa droite.
Shaw a fait 1-1 à 3:04 au deuxième tiers. Il a profité d'un rebond sur un tir de Desjardins, après avoir nui à la visibilité de Bishop.
Teravainen a ensuite marqué en avantage numérique avec un tir vif de l'enclave, à 5:20, mais Kucherov a répliqué moins de deux minutes plus tard, en faisant brillamment dévier un tir de la pointe de Garrison.
Le Lightning avait perdu ses trois derniers matches au Amalie Arena. En saison régulière, la troupe de Jon Cooper a dominé la LNH avec une fiche de 32-8-1 à la maison.
« Nos gars ne voulaient simplement pas perdre, a dit Cooper. Il faut leur donner beaucoup de crédit. »

Tyler Johnson est un vrai porte-bonheur pour le Lightning

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Tyler Johnson
Tyler Johnson (Source d'image: Vincent Éthier )

Depuis le début des présentes séries éliminatoires, l’attaquant Tyler Johnson, du Lightning de Tampa Bay, s’avère un véritable porte-bonheur pour cette formation, car elle gagne lorsqu’il marque un but.
En effet, auteur d’un rendement de 13-9-22 avec un différentiel de plus sept en 22 matchs dans les présentes éliminatoires et  la formation dirigée par Jon Cooper a un dossier parfait de 8-0-0 dans les huit rencontres dans lesquelles Johnson a marqué un but ou plus.
C’est totalement différent des séries de 2013-2014, car Johnson n’avait marqué qu’un but dans les quatre matchs de la série contre le Canadien de Montréal, le 22 avril 2014, dans un revers de 4-3, au Centre Bell.
Il a connu trois rencontres du genre, dans la première série disputée contre les Red Wings de Detroit, deux matchs, dans la deuxième série, contre le Canadien de Montréal, deux matchs, dans la finale de l’Association de l’est, contre les Rangers de New York et il a aussi fait mouche samedi soir, dans le gain de 4-3, face aux Blackhawks de Chicago, dans la finale de la Coupe Stanley.
Soulignons que dans la série contre les Red Wings de Detroit, il a marqué pas un, mais deux buts dans les trois rencontres à ce chapitre et il a aussi réussi un match de trois buts, lors du gain de 6-2, face aux Rangers de New York, au Madison Square Garden, le 18 mai dernier.
Le Lightning est 12-0-0 dans ses 12 matchs où Johnson a marqué un but
Ce qu’il faut ajouter sur cette séquence parfaite est le fait que le Lightning a une fiche de 12-0-0 dans les 12 derniers matchs dans lesquels Tyler Johnson a marqué un but ou plus, car il avait terminé la saison avec un rendement parfait de 4-0-0 dans les quatre dernières rencontres où cela s’était produit.
Le dernier revers de l’équipe à ce chapitre fut celui du 1er mars 2015, 4-3, face aux Panthers de la Floride, BB&T Center.
Le Lightning verra-t-il cette séquence se rendre à treize ou si ce chiffre va s’avérer malchanceux pour l’équipe lors du prochain but de Johnson ?
Ce dernier, qui n’a jamais été repêché et qui aura 25 ans le 29 juillet prochain, est au sommet du circuit pour les buts (13) et les points (22) lors des présentes séries, ce qui est un exploit pour un joueur de sa stature, lui qui ne fait que 5’08’’ pour 183 livres.
LES 12 VICTOIRES DE SUITE DU LIGHTNING AVEC UN BUT DE TYLER JOHNSON
LA LISTE DE QUATRE GAINS AVEC UN BUT OU PLUS DE JOHNSON EN FIN DE SAISON RÉGULIÈRE
1 mars 2015-Tampa Bay 3 en Floride 4 (1 but, dernier revers de l’équipe)
10 mars 2015-Tampa Bay 1 à Montréal 0 (pro.) (1 but, victorieux en prolongation)
4 avril 2015-Tampa Bay 4 en Floride 0 (1 but)
9 avril 2015-New Jersey 3 à Tampa Bay 4 (pro.) (2 buts, dont victorieux en prolongation)
24 mars 2015-Floride 3 à Tampa Bay 4 (1 but)
LA LISTE DE HUIT GAINS  AVEC UN BUT OU PLUS DE JOHNSON EN ÉLIMINATOIRES
(PREMIÈRE SÉRIE, TAMPA BAY 4 DETROIT 3) (3-3-0, 6 BUTS)
18 avril 2015-Detroit 1 à Tampa Bay 5 (2 buts)
23 avril 2015-Tampa Bay 3 à Detroit 2 (2 buts, dont le victorieux)
27 avril 2015-Tampa Bay 5 à Detroit 2 (2 buts, dont le victorieux)
(DEUXIÈME SÉRIE, TAMPA BAY 4 MONTRÉAL 2) (2-2-0, 2 BUTS)
1 mai 2015-Tampa Bay 2 à Montréal 1 (2e pro.) (1 but)
6 mai 2015-Montréal 1 à Tampa Bay 2  (1 but, victorieux en prolongation)
(FINALE ASS. EST, TAMPA BAY 4 RANGERS DE NY 3) (2-2-0) (4 BUTS)
18 mai 2015-Tampa Bay 6 à Rangers de NY 2 (3 buts, dont le victorieux en prolongation)
20 mai 2015-Rangers de NY 5 à Tampa Bay 6 (pro.) (1 but)
(FINALE COUPE STANLEY, TAMPA BAY 1 CHICAGO 1) (1-1-0, 1 BUT)
6 juin 2015-Chicago 3 à Tampa Bay 4 (1 but)