mercredi 10 juin 2015

Gila River Arena: Glendale pourrait annuler le bail avec les Coyotes

http://www.journaldemontreal.com/

Anaheim Ducks v Arizona Coyotes
AFP

AGENCE QMI
MISE à JOUR 

GLENDALE, Arizona – Ça commence à chauffer sérieusement entre les Coyotes de l’Arizona et la Ville de Glendale, où le spectre d’un conflit judiciaire apparaît.
 
La municipalité tiendra une réunion spéciale, mercredi, pour discuter de la possibilité d’annuler le bail d’entretien du Gila River Arena, domicile des Coyotes.
 
La ville américaine évaluera la nécessité de résilier l’entente de gestion de 15 ans d’une valeur de 225 millions $, ainsi que toutes les mesures légales envisageables, incluant une poursuite.
 
Selon la chaîne ABC, plusieurs membres du conseil municipal croiraient qu’Ice Arizona, propriétaires des Coyotes, ont violé des éléments du pacte d’entretien de l’amphithéâtre, dont les coûts sont endossés par Glendale.
 
«Attitude ridicule»
 
Dans un communiqué publié mardi, la direction des Coyotes qualifie de «ridicule» l’attitude de la ville, «surtout en considérant que nous l’avons visitée (lundi) et qu’il n’a jamais été question de ces problèmes», d’ajouter le copropriétaire Anthony LeBlanc.
 
«C’est de la mauvaise foi de la part de la Ville de Glendale, qui ne comprend pas les principes d’une liaison d’affaires. Si le conseil municipal tente de faire annuler l’entente, les Coyotes enclencheront immédiatement toutes les mesures légales possibles», a poursuivi M. LeBlanc.
 
Les Coyotes ont même lancé une flèche à l’endroit de Glendale par le biais de Twitter. Les administrateurs du compte de l’équipe de la LNH ont modifié la ligne descriptrice de leur emplacement et écrit : «Toujours à Glendale».
 
Hausse des pertes
 
Les pertes de la Ville de Glendale reliées à la gestion du Gila River Arena ont connu une hausse marquée en avril dernier en comparaison avec l’exercice précédent, a rapporté l’«Arizona Republic», en mai.
 
La municipalité du désert américain a essuyé un déficit mensuel de 6,3 millions $ à la fin de la saison 2014-2015, soit 14% de plus qu’il y a un an. Ce résultat comprend les matchs des Coyotes et les concerts présentés dans l’amphithéâtre.
 
Tom Duensing, représentant de Glendale, a déclaré que la ville s’attend à perdre un total de 8,7 millions $ pour l’année fiscale en cours, qui se termine à la fin du mois de juin.
 
Les événements non reliés au hockey ont pourtant généré plus de revenus, mais l’assistance moyenne de 13 345 spectateurs aux matchs des Coyotes a posé problème.
 
Le bail du Gila River Arena peut être résilié au terme de la saison 2017-2018 si leurs pertes totales dépassent la barre des 50 millions $. Après la première année du contrat, approuvé en 2013, les pertes se chiffraient à 34,8 millions $.
 
Avant-derniers au classement général en 2014-2015, les Coyotes (20-50-8, 56 points) ont raté les séries pour une troisième année d’affilée.

LES COYOTES NE PEUVENT PAS ÉCHAPPER AUX RUMEURS DE DÉMÉNAGEMENT

http://25stanley.com/

Une vue générale de l'extérieur de Glendale Arena avant les Coyotes de Phoenix en prenant sur les Predators de Nashville le 27 Décembre 2003, à Glendale, en Arizona.  Les Predators ont vaincu les Coyotes de 3 - 1.
Coyotes à Glendale
Malgré ce que leur location dit sur Twitter, le futur des Coyotes à Glendale semble être en péril présentement. Un peu moins d’une semaine après la déclaration de Gary Bettman à propos de la situation non-précaire des Coyotes, les dirigeants de la ville ont annoncé qu’ils allaient tenir une réunion spéciale pour décider s’ils mettent fin au bail qui les lie à l’organisation.
Cette annonce est venue quelques heures après une conférence de presse du président de l’équipe, Anthony Leblanc, pendant laquelle il avait assuré que tout allait bien. D’ailleurs, la direction des Coyotes aurait été surprise par la tenue de cette réunion.
Selon Elliotte Friedman, l’organisation va se battre pour maintenir l’entente en place. Les Coyotes ont d’ailleurs publié un communiqué dans lequel ils plantent la ville de Glendale pour cette décision. Le communiqué mentionne notamment que l’organisation n’hésitera pas à utiliser des recours judiciaires pour faire respecter l’entente. L’équipe d’Anthony Leblanc a également répété qu’ils avaient l’intention de rester à Glendale.
Les détails juridiques de cette situation sont un peu compliqués à comprendre puisque ce n’est pas certain que la ville de Glendale ait le droit de mettre fin à ce bail. Le tout dépendra probablement du statut de Craig Tindall, l’avocat des Coyotes qui a aussi travaillé pour la ville auparavant.
Il aurait eu un rôle de consultant dans la négociation du bail et comme il a changé de camp depuis, ça pourrait être suffisant pour détruire l’entente. Bien évidemment, comme il s’agit d’un problème juridique assez précis, c’est difficile de savoir qui est dans le tord et qui gagnera lorsque ça ira en cour.
Après les propos du propriétaire des Hawks la semaine dernière, c’est une autre mauvaise nouvelle pour Gary Bettman, qui tente de projeter une bonne image financière pour attirer des investisseurs voulant obtenir une expansion.
Ceci étant dit, s’il s’entête à rentrer Las Vegas par expansion (pour obtenir les 500 millions en frais d’entrée), ce niaisage de Glendale pourrait être une bonne nouvelle pour Québec, qui est assurément le marché le plus prêt à accueillir une équipe dans un futur rapproché. On est encore loin de la Coupe aux lèvres, mais c’est un développement intéressant.

Utopie: et si le CH avait repêché parfaitement depuis 2003? | La fin des Coyotes?

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Publié le 10 juin 2015 à 09:22 par

Nicolas Cloutier

Vivons dans l’utopie.
Imaginons de quoi aurait l’air le Canadien si, année après, il avait repêché le meilleur joueur disponible à son rang de sélection de 2003 à 2008.
On se limite aux rondes 1 et 2.
Les repêchages de 2009 à 2014 ne sont pas considérés puisque le développement des espoirs issus de ces cuvées n’est pas encore terminé. 
2001– Le Canadien sélectionne DAN HAMHUIS au 7e rang.
Il avait plutôt choisi Mike Komisarek
– Le CH choisit JASON POMINVILLE au 25e échelon.
Il avait plutôt jeté son dévolu sur Alexander Perezhogin
– Le CH opte pour MIKE CAMMALLERI au 37e rang.
Il avait plutôt sélectionné Duncan Milroy 
2002– Le Canadien repêche ALEXANDER STEEN au 14e rang.
Il avait plutôt repêché Chris Higgins
– Le CH obtient DUNCAN KEITH grâce à son 45e choix.
Il avait plutôt sélectionné Tomas Linhart 
2003– Le Canadien met le grappin sur RYAN GETZLAF au 10e échelon.
Il avait plutôt repêché Andrei Kostitsyn
– Le Tricolore sélectionne PATRICE BERGERON au 40e rang.
Le CH avait repêché Cory Urquhart
2004– Le Canadien repêche MIKE GREEN au 18e rang.
Le CH avait repêché Kyle Chipchura 
2005
– Le Canadien sélectionne CAREY PRICE au 5e rang.
– Le Canadien repêche KRISTOPHER LETANG au 45e rang.
Il avait plutôt repêché Guillaume Latendresse
2006– Le Canadien repêche CLAUDE GIROUX au 20e rang.
Le CH avait repêché David Fischer.
– Le Canadien fait de MILAN LUCIC son 49e choix.
Il avait plutôt repêché Ben Maxwell
2007
– Le Canadien met la main sur KEVIN SHATTENKIRK avec le 14e choix.
Le CH avait repêché Ryan McDonagh.
Si ça peut changer le destin et faire en sorte qu’il ne soit pas largué à New York… #Hehe
– Le Canadien sélectionne MAX PACIORETTY au 22e échelon.
– Le CH choisit P.K. SUBBAN au 43e rang.
2008 
– Le Canadien repêche GUSTAV NYQUIST au 56e rang.
Le CH avait repêché Danny Kristo.
Voici les lignes et les paires complètement absurdes qu’on peut assembler avec tout ça…
PHOTO: AFP
PHOTO: AFP
PACIORETTY  – GETZLAF – GALLAGHER
GALCHENYUK – GIROUX – NYQUIST
STEEN – BERGERON – POMINVILLE
LUCIC – ELLER – CAMMALLERI
SHATTENKIRK – SUBBAN
KEITH – LETANG
MARKOV – PETRY
Hamhuis – Green
Comment ne pas fracasser le plafond salarial? #Impossible
Le but de cet exercice n’est évidemment pas de critiquer Trevor Timmins. Le repêchage est une science inexacte et il serait absurde de lui reprocher de ne pas avoir frisé la perfection. Même que certains de ses choix ont cadré dans l’utopie: ceux de Price, Pacioretty et Subban et on aurait pu ajouter, à la limite, la sélection de McDonagh (bien que je lui préfère Shattenkirk). Il n’y avait pas lieu de les corriger puisque le manitou des espoirs a frappé en plein dans le mille.
Cela ne fait que rappeler à quel point le repêchage est un processus important puisqu’à chaque sélection dans les 1er et 2e tours, un joueur d’impact est à portée de main.
Raison de plus pour être agressif en début de repêchage et tenter constamment de frapper le coup d’éclat. Si une fois aux trois ou quatre ans, l’équipe peut obtenir une vedette, elle a réussi son devoir.
En rafale– Ayoye! Ça brasse à Glendale! La ville annonce une rencontre spéciale ce matin pour potentiellement annuler le contrat avec l’organisation des Coyotes!
Et les Coyotes sont baveux! #StillInGlendale
Capture d’écran 2015-06-10 à 09.06.27
– Si les Coyotes perdent 15 millions additionnels, ils pourront mettre fin au bail de leur aréna. LIEN
– Par ailleurs, très cool de voir Jean-Patrick Balleux (Radio-Canada Sports) citer le blogue 25Stanley.
– Stéphan Lebeau croit que Tinordi jouera bientôt dans la LNH. Mais est-ce que ce sera avec le Canadien? LIEN
– Le responsable de l’attaque massive des Ducks a été congédié. LIEN
– L’avenir d’Eric Staal en Caroline se décidera dans les prochaines semaines. LIEN
Le grand et gros centre numéro un tant attendu?
– Les Penguins pourraient-ils utiliser Brandon Sutter pour appâter un attaquant top -6? LIEN
– Seabrook et Beleskey dans la mire des Bruins? LIEN
– L’Impact a (enfin) retrouvé le sourire! LIEN
– La FIFA suspend le processus de candidature de 2026. LIEN
– LeBron James a été impérial dans la victoire des Cavaliers, hier soir. LIEN
– Wickenheiser rêve aux J.O. de 2018! LIEN

Brad Watson a-t-il été réprimandé?

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Brad Watson
Brad Watson (Source d'image: Getty )

Images of Bertrand Raymond
Il y a un absent durant la série finale entre le Lightning et les Blackhawks. Pas le genre de personne qui nous préoccupe en pareilles circonstances, cependant.
Il s'agit d'un arbitre. Entre vous et moi, qui se préoccupe de l'identité des officiels quand deux des formations les plus excitantes de la ligue se disputent la coupe Stanley?
L'absent est Brad Watson qui, on s'en souvient, a été impliqué dans un incident avec Brandon Prust dans le deuxième match de l'affrontement Canadien-Linghtning. Incident qui a valu au joueur du Canadien une amende méritée de 10 000 $.
La conclusion la plus facile qu'on pourrait tirer en ce moment, c'est que la Ligue nationale, comme il lui arrive parfois de le faire, aurait puni discrètement son officiel.
Qu'il suffise de rappeler la réaction qu'avaient eue les autorités de la ligue envers le juge de lignes Michel Cormier, à qui elle avait reproché d'avoir mal identifié le coupable à l'occasion d'un incident raciste qui avait placé dans l'embarras le capitaine des Coyotes de Phoenix, Shane Doan. Il avait été pointé du doigt alors que c'était plutôt un coéquipier de l'époque, le Slovaque Ladislav Nagy, un ancien des Mooseheads de Halifax, qui s'était permis une remarque désobligeante sur les quatre officiels francophones en devoir au Centre Bell, ce soir-là. Cormier a été privé de travailler durant les séries pendant huit ans. Rien de moins.
Depuis « l'affaire Prust », Watson a été peu utilisé avant que son nom soit finalement rayé de la liste pour la grande finale. Après l'incident de la deuxième ronde, il n'a officié que trois matchs au troisième tour.
Bien sûr, on n'a pas de preuves de cela, mais on peut penser que Watson a été réprimandé pour son geste provocateur pendant que Prust était assis au banc des pénalités. On l'a vu pointer un doigt menaçant en direction du fougueux ailier. Disait-il à Prust de se la fermer tout en le menaçant d'une pénalité additionnelle ou cherchait-il à provoquer un athlète qui était déjà dans tous ses états? On ne l'a jamais su.
Tout ce qu'on sait maintenant, c'est que l'engueulade a coûté 10 000 $ à Prust et que Watson est absent de la finale. Pour les officiels, travailler en finale est un élément de fierté et une source additionnelle de revenus. Toutefois, on m'assure qu'il ne faut pas faire un lien entre son absence en finale et l'incident dont il est question, mais curieusement, Watson comptait huit présences en finale jusqu'à ce jour.
Pure coïncidence, m'affirme un informateur bien branché. Il y a 33 arbitres en devoir dans la Ligue nationale. La compétence est répartie si également parmi les 10 ou 12 derniers hommes à travailler en séries que n'importe quel d'entre eux pourrait être choisi pour la finale. La différence est si peu marquée qu'un officiel qui cède sa place en finale, c'est un peu comme l'attaquant qui sauterait son tour durant une supériorité numérique, me raconte-t-on. Watson est âgé de 53 ans. Il est bien possible aussi qu'on ait voulu accorder une chance à un plus jeune.
En toute honnêteté, il me semble que si la ligue avait vraiment eu des reproches à lui adresser, elle aurait agi plus tôt. Or, Watson était le réserviste lors du septième match de la série entre Anaheim et Chicago. Si un arbitre avait été blessé ce soir-là, il aurait participé à la finale de l'Association Ouest. Peut-être même qu'il l'aurait remplacé en finale.
En plein brouillard
Il y a quand même quelque chose de pas très clair dans cette affaire. On a laissé tout le monde en plein brouillard, sauf peut-être Prust qui a été puni sur-le-champ. C'est sûr que Prust a ses torts. Pas mal de torts même. En visionnant toute la séquence, on le voit vociférer contre l'arbitre en patinant vers le banc.
Par contre, on aurait aimé que la ligue fasse également état de la conduite de Watson qui a semblé avoir provoqué le joueur impliqué. Si on exige des joueurs qu'ils ne fassent pas mal paraître les officiels devant la foule et l'auditoire de la télévision, on ne voit pas comment les arbitres pourraient se soustraire à la même règle.
Le seul élément qui puisse permettre de disculper Watson, c'est qu'il y a des micros partout durant les matchs. Il y en a dans la partie supérieure du banc des pénalités. L'arbitre  en porte un sur lui. Et il y a plusieurs employés de la ligue au banc.
C'est possible que Watson ait provoqué Prust en lui demandant de répéter ce qu'il venait de lui dire. Il est également possible qu'il l'ait prévenu qu'il écoperait d'une pénalité additionnelle s'il ne se la fermait pas. Pénalité qui, ajoutée aux deux mineures qu'il venait de recevoir, pouvait sortir son équipe de la partie. Le Canadien a perdu ce match 6-2, mais il menait 1-0 en première période quand la scène s'est produite.
La direction du Canadien, qui n'a pas apprécié le comportement de son joueur, a réglé la chose à l'interne. De même, il est possible que la ligue n'ait pas apprécié le doigt brandi par son officiel. L'arbitre est l'homme en autorité sur la glace. Même s'il est humain, il n'a pas le droit de laisser les émotion le dominer.
Il arrive que des officiels remettent des joueurs à leur place dans le feu de l'action. C'est même assez fréquent. Un arbitre qui en a plein le dos de se faire insulter peut répliquer sur le même ton. On a déjà entendu un arbitre conseiller à un gueulard de se concentrer sur son jeu parce que sa performance de la soirée était pourrie. C'est de bonne guerre.
Toutefois, l'arbitre n'a pas le droit de poser un geste qui dénote qu'il n'est pas en parfait contrôle de la situation. Les arbitres ont déjà des règlements à leur portée pour asseoir solidement leur autorité. Ça s'appelle une pénalité mineure, une inconduite et une inconduite de partie. Personne n'a le goût de répliquer après cela.
Dans un autre ordre d'idée, je ne sais pas s'il y a lieu de s'alarmer au sujet d'une réplique possible des officiels à l'endroit de Prust la saison prochaine. Il ne s'est rien passé avant l'élimination du Canadien, sans doute parce que leur comportement aurait été trop évident. Par contre, la direction du Canadien, les médias et le public auront les arbitres à l'oeil la saison prochaine. Il sera intéressant de constater s'ils feront un usage excessif de leur autorité en se permettant des vengeances à peine subtiles à l'endroit de Prust qui, lui, a certainement eu sa leçon.
Il serait étonnant de voir Prust marmonner contre l'arbitre en se rendant au banc des pénalités. Par ailleurs, il serait tout aussi étonnant de voir Brad Watson lever un doigt provocateur une autre fois en direction d'un joueur d'ici la fin de sa carrière.

Autre cruelle déception pour Bouchard

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Eugenie Bouchard
Eugenie Bouchard (Source d'image: Getty )

Images of Helene Pelletier
Yaroslova Shvedova du Kasakhstan ça vous dit quelque chose à part du fait qu'elle vient de réaliser une belle remontée pour vaincre Eugenie Bouchard au premier tour du tournoi de S'Hertogenbosch aux Pays-Bas? C'est la même fille qui lui avait secoué le pommier à Indian Wells en mars.
Jusque-là les choses allaient bien pour Genie qui avait sauvé une tonne de points en se rendant en quarts de finale en Australie, à un tour d'égaler sa performance de l'année d'avant. La Québécoise avait aussi bien enchainé au paradis de Larry Ellison dans le désert de la Californie en battant facilement Hardecka et Vandeweghe. Et puis ce match ronde des 16 devant Shvedova. Elle mène à nouveau alors que l'autre se met à changer le rythme à n'en plus finir. Bouchard réussit quand même à garder son avance pour remporter le premier set au bris d'égalité, mais l'adversaire réussit à planter le doute.
Le duel devient par moments une "commedia del arte" tellement Genie rate des coups qu'elle ne manque jamais. Soudainement la Québécoise est méconnaissable. Elle se bat au meilleur de ses capacités, mais elle devient très tendue, lourde et colérique. Elle se blesse aux abdominaux en milieu de deuxième set, rien pour arranger les choses.
La spirale vers le bas commence là et pour se secouer elle tente de s'entrainer encore plus fort, mais se blesse au bras. À son retour à Charleston, même chose, elle se tord les chevilles en voulant mettre les bouchées doubles à l'entrainement. Perte de confiance et elle ne s'en sort toujours pas.
Aujourd'hui face à Shvedova, elle n'arrive pas à bien commencer au service. Mais d'où vient cette mauvaise habitude qui est devenue la norme pour elle? Brisée d'entrée et malgré de beaux efforts pour rester compétitive et faire son retard, Eugenie bloque lorsque vient le temps de convertir ses balles de bris. Elle se positionne pour briser, mais n'a plus la confiance pour réaliser le coup qu'il faut.
Après la perte du premier set 6-4, la Québécoise redouble d'ardeur et compétitionne comme une championne en gagnant le deuxième set 6-1 et en menant 4-0 avec points de 5-1. Ne restait qu'à plier le match! Au lieu de 5-1, c'est plutôt 4-2 et ooooppppssss, la glissade est entamée.
Bouchard perd donc six parties de suite au troisième set pour finalement mourir à petit feu... C'est difficile à comprendre. Tous ses coups sont affectés. Les balles d'échange deviennent courtes, ses deuxièmes balles au service attaquables et son attitude de conquérante disparait. Allez Genie, rebelle-toi!  Secoue-toi de grâce! Il faut jouer beaucoup pour réapprendre à gagner. Accepter de jouer à nouveau les plus petits tournois, comme si elle recommençait sur le circuit. Parce que contre des costaudes du top 100, elle n'y arrive tout simplement pas. Voyez-vous d'autres solutions vous?

Il y a 22 ans, le CH remportait la coupe Stanley pour la 24e fois

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Publié par Léandre Drolet pour 98,5fm Sports le mardi 09 juin 2015 à 21h46. Modifié par Charles Payette le mercredi 10 juin 2015
Il y a 22 ans, le CH remportait la coupe Stanley pour la 24e fois
Éric Desjardins a joué un rôle important la dernière conquête de
 la coupe Stanley du Canadien./Paul Chiasson-PC-Archives
(98,5 Sports) - Il y a 22 ans, le 9 juin 1993, le Canadien remportait la coupe Stanley pour la 24e fois de son histoire.

Cet exploit aurait pu ne jamais survenir si le défenseur Éric Desjardins n'avait pas marqué les trois buts du Tricolore, dont celui en prolongation, dans le gain de 3-2 dans le deuxième match de la finale contre les Kings de Los Angeles disputé au Forum.
Cette victoire permettait au Canadien de créer l’égalité 1-1.

Les joueurs de Jacques Demers sont allés gagner les deux rencontres suivantes en prolongation à Los Angeles, avant de remporter la coupe grâce à une victoire de 4-1 devant leurs partisans.

Pour revenir au deuxième match, le Tricolore tirait de l’arrière 2-1 en fin de troisième période quand l’entraîneur-chef, Jacques Demers, a demandé que l’on mesure le bâton de Marty McSorley.

La courbe du bâton du défenseur des Kings a été jugée illégale et il a écopé d’une pénalité mineure.

En avantage numérique, l’entraîneur-chef du Tricolore a retiré Patrick Roy pour un sixième attaquant.

À six contre quatre, Desjardins a créé l’égalité en marquant son deuxième but du match et a forcé la prolongation.

Et après seulement 51 secondes de jeu dans la période supplémentaire, le défenseur droitier a complété son tour du chapeau en déjouant Kelly Hrudey sur une passe de Benoît Brunet.

Desjardins avait une anecdote à raconter à Jérémie Rainville, à l’émission Bonsoir les sportifs, au sujet de ce match.

«Mon père avait un bar à Rouyn-Noranda et à chaque match il organisait un pool. Mon père m’a choisi pour marquer le premier but du Canadien et il a gagné le montant d’argent. Il m’a choisi une deuxième fois pour le prochain but et il a encore une fois remporté le pot. Quand mon père m’a choisi une troisième fois pour inscrire le but en prolongation, tout le monde disait : ‘Aurèle arrête!’. J’ai marqué et il a gagné une autre fois», a raconté Desjardins en riant.

L’excellent défenseur a rappelé l’importance des leaders de l’équipe, les Kirk Muller, les Mike Keane, les Vincent Damphousse, les Guy Carbonneau et autres, sans oublier Jacques Demers.

«Quand ces joueurs, qui étaient tous des attaquants - car les défenseurs étaient jeunes -, se levaient, on écoutait. Quand ça allait mal, ils nous sécurisaient. Quant à Jacques, il nous faisait croire que l’on pouvait réussir», a déclaré Desjardins.

Ce dernier a rappelé que Demers avait dit aux joueurs au début de la saison que c’était possible de gagner la coupe et que c’était son but.

«Plusieurs joueurs ont d’ailleurs connu leur meilleure saison, a dit Desjardins. Même quand on tirait de l’arrière 2-0 contre les Nordiques, Jacques a continué de nous faire croire que tout était possible.»

Desjardins a rappelé comment il avait vécu la conquête de la coupe à Montréal.

«C’est un feeling incroyable d’avoir fait partie d’une équipe championne, c’est un feeling d’accomplissement, on ressent une sorte de légèreté. Et d’entendre un gardien nous dire : ‘Je ferme la porte, allez en marquer un et nous serons en business…’, a-t-il ajouté. En prolongation, on avait une confiance incroyable, surtout que l’on avait Patrick qui prenait les choses en mains.»

Desjardins a indiqué que le défilé avait représenté l’apothéose de la conquête de la coupe Stanley.

«J’ai rencontré John Leclair il y a quelque temps à Philadelphie et il m’a dit que ce qu’il avait le plus apprécié avait été le défilé. C’est là que tu prends conscience de l’importance du championnat pour la ville. Recevoir tout cet amour, toute cette énergie, c’est vraiment énorme de réaliser cela. Le summum de la coupe Stanley, c’est le défilé.»

L’ex-défenseur du Canadien croyait aux chances de son ancienne équipe cette saison.

«J’aimerais tellement vivre une conquête en tant qu’amateur», a-t-il conclu.

La Fifa suspend le processus de candidature pour le Mondial 2026

http://www.985sports.ca/soccer/nouvelles/

Publié par Charles Payette pour 98,5fm Sports le mercredi 10 juin 2015 à 08h25.
La Fifa suspend le processus de candidature pour le Mondial 2026
Sepp Blatter/The Sport Review
(98,5 Sports) - Confrontée au scandale et aux soupçons de corruption, la FIFA suspend le processus de candidature pour le Mondial de 2026.
«Il a été décidé de suspendre le processus administratif de candidature pour la Coupe du monde 2026 en raison de la situation actuelle», a annoncé la FIFA dans un communiqué, précisant que des décisions concernant l'édition 2026 seraient discutées lors d'un prochain comité exécutif.

Détails à suivre