mardi 3 novembre 2015

Drogba prêté à Bologne ? Ciman à Liège ?

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Publié par Léandre Drolet pour 98,5fm Sports le lundi 02 novembre 2015 à 22h29. Modifié par Charles Payette le mardi 03 novembre 2015
(98,5 Sports) - L'attaquant Didier Drogba serait prêté au FC Bologne au terme des séries de la MLS. Il irait rejoindre le club de la Serie A italienne appartenant à Joey Saputo, également propriétaire de l'Impact.

Quant au défenseur Laurent Ciman, il pourrait accepter une pige de quelques mois en Belgique.
Le site italien Gazzetta World rapporte que Drogba pourrait joindre les rangs du FC Bologne, dont le gérant est l'ancien attaquant de l'Impact, Marco Di Vaio.

Âgé de 37 ans, Drogba, ex-joueur du Chelsea en Ligue anglaise, a signé un contrat de 18 mois à titre de joueur désigné avec l’Impact. L'entente signée le 31 juillet dernier est valide pour le reste de la saison en cours et pour celle de 2016.

Depuis son arrivée à Montréal, il a été dominant, inscrivant 12 buts en autant de matchs. Il a dissipé les doutes selon lesquels son âge pouvait être un obstacle à sa capacité à marquer des buts.

L’Ivoirien et le onze montréalais joueront le match-retour de demi-finale de l'Est, dimanche à Columbus.

Ciman à Liège ?

Au même moment, des rumeurs du retour de Laurent Ciman faisaient écho en Belgique. L'International pourrait joindre le Standard de Liège pour quelques mois durant la pause en MLS. Il s'agirait d'un séjour de trois mois seulement.

Liège montre la deuxième plus mauvaise défensive pour un club européen avec 29 buts alloués en 14 rencontres.

«Je verrai en janvier s'il y a des offres. Il faut voir le côté financier aussi. Je ne vais pas partir pour rien, confiait Ciman sur les ondes de la RTBF. Si je pars, ma famille restera de toute façon au Canada. Si je me sépare d'elle, ça doit en valoir le coup.»

Avec Gazzetta World et 7sur7.be

L'attaque au rendez-vous

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Publié par Charles Payette pour 98,5fm Sports le mardi 03 novembre 2015 à 06h22. Modifié à 08h27.
L'attaque au rendez-vous
David Desharans devant Craig Anderson/PC
(98,5 Sports) - Toujours invaincu cette saison à domicile, le Canadien passe la semaine à Montréal, accueillant coup sur coup les Sénateurs d'Ottawa, ce soir, les Islanders de New York, jeudi, et les Bruins de Boston, samedi. Une belle occasion de poursuivre l'excellent début de saison malgré l'absence de Carey Price.
Cogeco Diffusion présente le duel de ce soir, en direct du Centre Bell. Avant-match dès 19h.

Contrairement à l'an dernier, l'offensive répond aux attentes comme en fait foi les 50 buts inscrits, le plus haut total de la LNH, en 13 rencontres.

Le Canadien (11-2-0) avait terminé au 20e rang en attaque la saison dernière et la difficulté à marquer avait été déterminante en séries.

«On sait ce que l'on est capable de faire, a souligné le centre David Desharnais. Chaque équipe a de bon joueurs, nous avons Carey, les Penguins ont Crosby, les Blackhawks, Toews. Il n'y a pas de doute que Carey est notre joueur-clé, mais on peut gagner sans lui. Il est important pour le club, mais il ne demeure qu'une partie de nos succès.»

Condon: pas plus de pression

«C'est à nous de prouver qu'on peut gagner et on l'a fait depuis le début de la saison, ajoute Desharnais, qui a fait sa part jusqu'à maintenant avec 12 points en 13 matchs. On marque plus de buts que jamais et je crois qu'on mérite plus de crédit. Ça n'enlève rien à Price; c'est notre meilleur joueur et on a besoin de lui.»

Le petit joueur de Laurier-Station pivote le trio de l'heure à Montréal avec Thomas Fleischman (4 buts, six passes) et Dale Weise (6 buts, 3 passes).

De son côté, Mike Condon (4-0-0, 1,51, ,944) a dit qu'il garderait la même attitude en l'absence de Price. Confiant après quatre victoires en autant de départs cette année, le grand rouquin dit se sentir de plus en plus confortable.

Il visera ce soir son cinquième triomphe d'affilée et pourrait se rapprocher de Wayne Thomas (1972-73) et Ken Dryden (1970-71) qui avaient respectivement remporté leurs sept et six premiers matchs dans l'uniforme du Canadien.

Il connait les Sénateurs

Le 11 octobre dernier, c’est contre ces mêmes Sénateurs (5-4-2) que le gardien de 25 ans inscrivait la première victoire de sa carrière dans la LNH.

Condon avait réussi 20 arrêts ne cédant que devant Jean-Gabriel Pageau dans un gain de 3-1.

Si les Sénateurs devront se passer de Mark Stone, suspendu, ils salueront les retours, ce soir, de Curtis Lazar et Mike Hoffman.

Desharnais-Pacioretty : une séparation salutaire

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« Comme Koivu, Desharnais n'est pas un premier centre »


Images of Francois Gagnon
Au hockey comme dans la vie, il y a des séparations qui sont parfois salutaires. Les succès de David Desharnais et du trio qu’il pilote le prouvent d’une manière éloquente.
Avec sa récolte de trois points dimanche soir, David Desharnais n’a pas seulement contribué à la victoire de 5-1 du Canadien aux dépens des Jets de Winnipeg, il a maintenu son début de saison impressionnant en enfilant son troisième but et en récoltant ses huitième et neuvième passes de l’année. Avec ses 12 points et un différentiel de +12, Desharnais a rejoint Tomas Plekanec, P.K. Subban et Andrei Markov au premier rang des marqueurs du Tricolore.
Son ailier gauche Tomas Fleischmann suit pas très loin derrière avec quatre buts et 10 points. Sans oublier le surprenant Dale Weise avec ses neuf points, dont six buts.
Maintenant séparé de Max Pacioretty qui insistait pour jouer à ses côtés depuis que les deux joueurs se sont retrouvés dans la LNH après qu’ils eurent connu beaucoup de succès en évoluant ensemble à Hamilton dans la Ligue américaine, David Desharnais renverse les tendances des dernières années avec un début de saison productif. Presque explosif.
L’an dernier, le petit joueur de centre a dû patienter jusqu’à son 31e match avant d’enfiler son troisième but de la saison. Il a atteint le plateau des 12 points à sa 24e partie. Ses pannes offensives lui ont d’ailleurs valu un petit séjour à l’aile droite lorsque le Canadien a décidé d’offrir quelques matchs à Alex Galchenyuk au centre. Une expérience dont Desharnais est sorti grandi puisqu’il a produit sur le flanc gauche du « troisième trio » avant de reprendre sa place au centre.
Il y a deux ans? Desharnais a marqué son 3e but après 29 rencontres et récolté son 12e point après 36 parties. Son lent début de saison l’avait même chassé de la formation à deux reprises.
Détracteurs muselés
Évoluant au sein de ce qui devait être le premier trio en compagnie de son complice de toujours Max Pacioretty, David Desharnais était l’objet de vives critiques. Des critiques parfois exagérées il est vrai, mais des critiques qu’il devait assumer en raison du rôle de premier centre qui lui était confié. Un rôle que le petit joueur de centre tentait tant bien que mal de remplir. Mais un rôle qui était démesuré, cela dit, sans vouloir diminuer le talent et les grandes qualités du Québécois.
Cette année, il faudrait vraiment être malhonnête pour critiquer Desharnais et le travail qu’il accomplit. Bon! Il s’est attiré les foudres de ses détracteurs jeudi dernier en se rendant coupable d’une perte de rondelle qui a conduit au but gagnant marqué par les Oilers en toute fin de match. Desharnais méritait le blâme sur ce but. Il l’a d’ailleurs reconnu et a assumé sa part de responsabilité.
Heureux de pouvoir enfin le recouvrir de critiques, ses détracteurs sont ensuite retombés dans leur mutisme complet et ils ont passé sous silence les performances de Desharnais et des membres de son trio à Calgary vendredi et au Centre Bell dimanche, où le petit joueur de centre a grandement racheté sa bévue de jeudi dernier.
Ces détracteurs referont surface dès que Desharnais connaitra une baisse de régime. Ce n’est pas toujours juste, même que c’est souvent injuste, mais c’est comme ça.
D’ici là, il est nécessaire de reconnaître le travail de qualité abattu par Desharnais et les membres de son trio. Du travail qui a grandement contribué au fait que le Canadien a atteint, dimanche, les 50 buts marqués dès son 13e match alors qu’il avait dû patienter jusqu’au 21e l’an dernier pour atteindre ce plateau.
Un rôle à sa mesure
David Desharnais n’est pas plus gros ou plus rapide qu’il ne l’était l’an dernier et les années d’avant. Il a toujours les mêmes mains sûres, capables de multiplier les passes savantes et précises et une vision exceptionnelle.
Mais maintenant qu’il évolue au sein d’un « troisième trio », Desharnais n’a plus à composer avec le meilleur centre défensif et le meilleur duo de défenseurs de l’équipe adverse. Pendant que cette attention est consacrée à Max Pacioretty, Tomas Plekanec et Brendan Gallagher, Desharnais et les membres de son trio dominent leurs couvreurs, multiplient les buts et mettent des points en banque. Tout ça en jouant moins souvent que les membres des deux premiers trios que ce soit à forces égales ou au sein des unités spéciales.
Ce n’est pas rien!
« On forme un bon trio. On se complète bien et c’est clair que nous avons trouvé un synchronisme et une chimie dès qu’on a commencé à jouer ensemble au camp d’entraînement. Mais c’est clair que le fait d’échapper aux meilleurs joueurs défensifs de l’autre bord nous aide également », a convenu David Desharnais à son retour au vestiaire après la victoire aux dépens de Jets et son tour de piste à titre de première étoile de la rencontre.
Si le fait de ne plus évoluer avec Max Pacioretty lui est salutaire, David Desharnais tire aussi profit du fait de passer moins de minutes sur la patinoire. « Peut-être que ça nous permet de jouer avec plus d’énergie chaque fois qu’on saute sur la glace. On n’a pas à économiser nos forces, je ne sais pas trop. Ce que je sais par exemple, c’est qu’une fois sur la glace on arrive vraiment à maximiser nos présences », a poursuivi Desharnais.
Le fait de jouer au sein d’un trio moins en vue et de passer moins de minutes sur la patinoire pourrait être interprété par certains comme une sanction.
Rien ne serait plus faux. Car lorsque Michel Therrien a jonglé avec ses trios dans le cadre de sa préparation en vue de la saison 2015-2016, il cherchait justement à équilibrer ses forces en attaque. À obtenir une contribution élargie de ses quatre trios.
Des trios que Therrien refuse d’ailleurs toujours d’identifier par des numéros servant de baromètres pour leur hiérarchie sur le tableau accroché près du bureau du coach et dans le vestiaire. Quand les journalistes lui posent des questions sur ses premier, deuxième, troisième et quatrième trios, Therrien répond en parlant des trios de Tomas Plekanec, Alex Galchenyuk, Desharnais et Torrey Mitchell.
De prime abord, cette façon de faire pourrait sembler simplement cosmétique. Mais dans les faits, les trios de Desharnais et Mitchell lui donnent grandement raison puisque leurs contributions sont égales, voire supérieures, à celles des deux premiers trios ou des trios de Plekanec et Galchenyuk si vous préférez.
De fait, le brio des trios de Desharnais et de Mitchell, le brio de l’attaque massive qui a marqué neuf buts lors des 26 occasions (34,6 %) obtenues lors des huit derniers matchs après s’être contentée de deux buts en 21 occasions (9,5 %) lors des cinq premiers matchs, le brio de Carey Price et de Mike Condon les quatre fois qu’il lui est venu en relève, le brio du duo Markov-Subban sans oublier celui de Jeff Petry qui offre du hockey sensationnel malgré sa discrétion et surtout les 11 victoires célébrées en 13 rencontres permettent de museler des questions qui autrement seraient sur toutes les lèvres.
Quelles sont ces questions?
Que se passe-t-il donc avec Max Pacioretty qui a été très discret, voire timide, lors de la virée du Canadien dans l’Ouest et encore dimanche soir lors de son retour devant ses partisans?
Combien de temps Alexander Semin passera-t-il sur la galerie de presse avant d’être réintégré au sein de la formation ou soumis au ballottage pour s’en débarrasser et trouver un remplaçant capable de vraiment aider Alex Galchenyuk et Lars Eller? À moins que l’état-major soit convaincu que Devante Smith-Pelley soit un candidat adéquat.
Combien de temps le Canadien gardera-t-il sur la touche Jarred Tinordi et Greg Pateryn avant de leur donner du travail à la ligne bleue ou de les échanger?
Des questions importantes, mais qui, pour l’instant, sont balayées par une fiche et une production offensive qui dépassent un brin ou deux les projections les plus optimistes établies en début de saison.

Plus que des employés de soutien

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Un doublé pour Fleischmann


Images of Gaston Therrien
Il y a plusieurs éléments positifs à retirer de la dernière semaine d’activités chez le Canadien. Même s’ils ont perdu les deux premiers matchs de leur périple dans l’Ouest canadien, les joueurs se sont retroussé les manches et répondu brillamment en jouant avec beaucoup d’aplomb à Calgary, puis à leur retour au Centre Bell face aux Jets de Winnipeg.
La formation de Paul Maurice a prouvé en début d’année qu’elle est bien rodée et qu’elle représente un défi intéressant. Dans cette optique, le gain de 5-1 obtenu dimanche est d’autant plus impressionnant.
Ce sont des points supplémentaires au classement qui pour l’instant sont déjà satisfaisants à obtenir, mais qu’on trouvera encore plus payants dans le dernier segment du calendrier.
Avec l’absence de Carey Price prévue pour une semaine, Michel Therrien s’en est remis à Mike Condon pour défendre la cage de l’équipe. Celui-ci continue d’être une révélation à sa saison recrue dans la Ligue nationale de hockey. Il faut dire qu’avant même que Price tombe au combat, il avait déjà acquis la confiance de ses coéquipiers en offrant de bons départs contre les Sénateurs d’Ottawa et les Sabres de Buffalo.
Condon semble stable et en pleine progression. Il affiche une belle maturité et il récompense les dirigeants d’avoir cru en lui après le camp d’entraînement. Maintenant, il ne faut pas croire qu’il pourrait conserver le même genre d’efficacité sur une période prolongée, mais ça ne sera pas nécessaire de toute manière. Pour quelques départs consécutifs, toutefois, il rendra de fiers services.
Contribution inattendue
On dit fréquemment que les coachs apprécient une contribution offensive de tous leurs patineurs, même si celle des troisième et quatrième trios ne peut être tenue pour acquise. Les employés de soutien du CH accomplissent un boulot colossal à cet égard. Les six joueurs formant les deux dernières unités à l’attaque ont largement compensé pour le passage à vide de certains gros canons ces derniers temps.
De Dale Weise à Tomas Fleischmann en passant par Paul Byron, Torrey Mitchell et Devante Smith-Pelly, ces gars-là en donnent énormément à leur entraîneur, et c’est ce genre de contribution qui à mon avis fait la force des meilleures formations. Il y a un bel équilibre et c’est valorisant pour l’organisation.
Fleischmann, en particulier, se révèle de plus en plus comme une signature de très grande qualité. Il en donne autant sur la feuille de pointage que par la fiabilité de son jeu sans la rondelle. Il a réellement stabilisé le duo de David Desharnais et Weise. Marc Bergevin savait en le mettant sous contrat qu’il refilait à son entraîneur un honnête travailleur facile à diriger. C’est exactement ce que Therrien a obtenu jusqu’à présent. Et en plus de tout ça, quand tu arrives dans un environnement motivant où la foule est derrière toi, tu es porté à en fournir encore un peu plus.
Semin devra être patient
L’un des malheureux dans cette histoire, c’est Alexander Semin, qui continue de regarder l’action à partir de la passerelle depuis la défaite à Vancouver. Difficile de dire s’il devra prendre son mal en patience encore longtemps, mais je suis persuadé que dans le contexte actuel, sa deuxième chance va attendre. Devante Smith-Pelly a apporté une dimension surprenante en évoluant sur le trio pivoté par Alex Galchenyuk, et Brian Flynn n’a pas mal fait non plus. Reste que les choses changent vite au cours d’une saison de 82 matchs et que le jugement final n’est pas pour tout de suite en ce qui a trait à l’énigmatique ailier russe.
Après certains reproches entendus durant la saison morte concernant le style « trop défensif » préconisé par Therrien et ses adjoints, le Tricolore se retrouve, ironiquement, avec le plus haut total de buts marqués après 13 rencontres, lui qui en totalise 50.
Ça ne fait prouver une chose à mon avis : peu importe l’entraîneur en poste ou ses exigences par rapport à la rigueur du jeu défensif de ses troupes, aucun instructeur ne va intentionnellement mettre des bâtons dans les roues de ses joueurs pour les empêcher de générer de l'attaque. Je ne crois pas qu’un coach va donner à ses joueurs des directives du genre « N’attaquez pas à deux » ou « Ne soyez jamais trois attaquants profondément en zone offensive ».

Le hockey est un sport de réaction et d’intuition, mais aussi de concentration. Il s’agit de prendre les bonnes décisions. On peut qu’en ce moment, chacun connaît sa place dans l’échiquier et avec 11 victoires en 13 matchs, c’est tout le monde qui en retire les bénéfices.
Propos recueillis par Maxime Desroches

Les Blackhawks mettent fin à la série de sept victoires des Kings

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Kings 2 - Blackhawks 4


CHICAGO - Patrick Kane, Jonathan Toews et Artem Anisimov ont chacun amassé un but et une passe et les Blackhawks de Chicago ont mis fin à la série de sept victoires des Kings de Los Angeles en l'emportant par la marque de 4-2, lundi, au United Center.
Teuro Teravainen a brisé l'impasse à 9:02 en troisième période et les Blackhawks de Chicago ont défait les Kings de Los Angeles 4-2, lundi.
Les Kings menaient 2-1 après 40 minutes, mais Kane, Teravainen et Anisimov ont trompé la vigilance des Jonathan Quick lors du dernier tiers. Les Hawks venaient de perdre à Winnipeg et au Minnesota.
Sur le but décisif, Teravainen a converti une belle passe à l'aveuglette de Kane, en provenance de l'arrière du filet.
Alec Martinez et Anze Kopitar ont réussi les buts des visiteurs au premier tiers. Jake Muzzin a été complice à chaque fois.
Corey Crawford a fait 33 arrêts, 11 de plus que Quick.
Les Kings avaient remporté leurs sept derniers matchs, dominant 22 à 9 pour les buts.
Les Blackhawks ont perdu une seule fois en sept matches à domicile et ce lors du match inaugural contre les Rangers, le 7 octobre.

Les Maple Leafs l'emportent 4-1 face aux Stars de Dallas

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Stars 1 - Maple Leafs 4


TORONTO - Joffrey Lupul a récolté deux buts et les Maple Leafs de Toronto ont vaincu les Stars de Dallas 4-1, lundi.
Lupul a aussi fourni une passe tandis que James Reimer a bloqué 43 tirs, dont 19 en deuxième période.
Brad Boyes et Morgan Rielly ont aussi marqué pour les Torontois, qui mettaient fin à une série de six revers.
Reimer n'a flanché que devant Jamie Benn, en milieu de premier vingt. Le Britanno-Colombien de 26 ans domine la LNH avec 10 buts.
Benn a fait 1-1 moins d'une minute après le but de Boyes, mais les Maple Leafs ont pris le contrôle au deuxième tiers, où Lupul a signé son doublé. Il est à un filet des 200 en carrière.
Les Maple Leafs savouraient une première victoire devant une foule partisane, à leur cinquième essai.
Les Stars avaient remporté leurs trois derniers matches, tous à Dallas. Ils amorçaient un séjour de quatre matchs sur la route.

Les Canucks l'emportent 4-1 contre les Flyers

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Flyers 1 - Canucks 4


VANCOUVER - Jake Virtanen a réussi son premier filet dans la LNH et Ryan Miller a bloqué 27 tirs alors que les Canucks de Vancouver ont eu le dessus 4-1 contre les Flyers de Philadelphie.
Bo Horvat, Jannik Hansen et Matt Bartkowski ont inscrit les autres buts des Canucks, ce dernier complétant le score dans un filet désert.
Le club de la C.-B. a remporté trois de ses quatre derniers matches.
Claude Giroux a été l'unique buteur des Flyers, qui ont perdu leurs quatre dernières rencontres. Steve Mason a repoussé 30 rondelles.