vendredi 2 octobre 2015

Un objectif de 100 points pour accéder aux séries

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Publié par 98,5 Sports pour 98,5fm Sports le vendredi 02 octobre 2015 à 00h10. Modifié à 00h25.
Un objectif de 100 points pour accéder aux séries
Marc Bergevin/PC/Ryan Remiorz
(98,5 Sports) - Le Canadien n'a pas connu son meilleur match préparatoire, jeudi soir, mais tout le monde sait que la vraie saison n'est pas encore commencée.

Dans quelques jours, chaque équipe du circuit Bettamn va amorcer la saison 2015-2016 avec un but précis en en tête : participer aux séries. Et le directeur-général Marc Bergevin a une bonne idée du minimum syndical que ça va prendre pour y arriver.
On en parle en ondes :
Écouter
Mis en ligne le jeudi 01 octobre 2015 dans Bonsoir les sportifs avec Ron Fournier
Au micro de Bonsoir les sportifs avec Ron Fournier, Bergevin estime que la terre promise sera plus que jamais difficile à atteindre,

« Quand tu pars le 7 octobre, dans ta tête, c’est 100 points pour t’assurer d’une place en séries, a noté Bergevin. Ce n’est pas évident et ce ne sera pas facile pour toutes les équipes. »

Certains aspects du jeu pourraient prendre toute leur importance, comme les prolongations à trois joueurs contre trois. Chaque point comptera durant la saison. Sans dire qu’il apprécie – ou pas – cette forme de prolongation, Bergevin a noté qu’elle demande des ajustements.

« Pour les partisans, c’est excitant, a admis le directeur-général. Tu n’as pratiquement pas d’arrêts de jeu. Les chances de marquer surviennent pratiquement à tous les changements de trios. Il ne faut pas perdre la rondelle… Si tu prends un lancer, tu ne dois pas rater le but.. »

Bergevin a bien aimé ce qu’il a vu de Noah Juulsen, un jeune qui fait de « bonnes premières passes » et qui « a du chien ». Mais il estime que le jeune homme a encore deux années juniors devant lui.

Le directeur général n'a pas voulu dévoiler son jeu quant au problème posé par le trio de défenseurs formé de Jarred Tinordi, Greg Pateryn et Mark Barberio, mais il a dit qu'il savait où il s'en allait d'ici mardi prochain, date à laquelle il devra soumettre sa formation définitive de 23 joueurs.

Bettman vise le grand chelem

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Gary Bettman ne s’aventurera pas dans le projet d’expansion sans avoir la certitude que les équipes de son circuit sont en bonne santé financière.

YVON PEDNEAULT
MISE à JOUR 
Gary Bettman ne s’aventurera pas dans le projet d’expansion sans avoir la certitude que les équipes de son circuit sont en bonne santé financière. Établissons tout de suite qu’il est faux de prétendre que Gary ­Bettman n’aime pas Québec.
Au contraire.
Il connaît très bien Québecor. Il entretient une solide relation avec le groupe et pas étonnant que mardi, les décideurs de la société aient fait un pas important dans l’espoir de faire revivre le hockey de la Ligue nationale au nouveau Centre Vidéotron.
Par contre, il faut bien comprendre que le commissaire joue sur plusieurs fronts. D’une part, il doit s’assurer de la rentabilité du hockey professionnel chez les 30 formations du circuit. D’autre part, il doit concocter différents scénarios si jamais le plan A ne fonctionne pas parce que certains propriétaires ne semblent pas très emballés par l’expansion.
Voilà pourquoi le Bettman fait preuve d’une grande prudence. Hier, dans le cadre d’une entrevue réalisée par une station de télévision de Boston, Jeremy Jacobs, un des personnages les plus influents de la ligue, a souligné: «Je me demande s’il y a vraiment une volonté chez les propriétaires pour l’élargissement des cadres de la ligue.»
Voilà des propos pour le moins inquiétants.
Gagner du temps
Mais comme Bettman, il s’est bien gardé de révéler la stratégie qu’entend utiliser le comité exécutif, par conséquent. Il laisse planer un doute tout en faisant miroiter que les deux groupes rencontrés cette semaine on fait des présentations étoffées.
Le commissaire connaît bien les propriétaires. Il y a des cliques, bien entendu, la vieille garde, celle de Jacobs et d’Ed Snyder, et il y a les plus jeunes. Il doit composer avec les égos de tout un chacun.
Il est clair que Gary Bettman aimerait bien frapper un grand chelem dans le sens qu’il ne veut pas avoir de concessions tirant de la patte et aussi, il aimerait bien ajouter deux autres formations pour gonfler les coffres des propriétaires et aussi pour élaborer un plan pour la restructuration des divisions.
Parmi les intervenants de la Ligue nationale interrogés au cours des derniers jours, certains soutiennent qu’ils ne seraient pas surpris si, en décembre, les gouverneurs retardaient l’annonce de l’élargissement des cadres au 1er janvier 2016 ou encore à la pause du match des étoiles.
Pourquoi?
Le commissaire veut gagner du temps. Il veut savoir quelle décision prendront ­Peter Karmanos et les Hurricanes de la Caroline. Il veut connaître quels sont les plans du groupe, propriétaire des ­Panthers de la Floride.
Se pourrait-il également qu’il préfère le transfert des Coyotes de l’Arizona à Las Vegas plutôt que l’expansion au Nevada?
Bouée de sauvetage
Bettman ne s’aventurera pas dans le projet d’expansion sans avoir la certitude que les équipes de son circuit sont en bonne santé financière. Il veut aussi tendre l’oreille à l’Association des joueurs, qui déplore la situation en Floride, en Arizona et en Caroline, trois concessions qui ne ­rencontrent pas les objectifs financiers.
Le commissaire veut tout d’abord s’assurer qu’il possède tous les éléments pour affronter l’adversité. Comme je l’ai souligné en quelques occasions, la ville de Québec constitue une bouée de sauvetage pour Bettman.
Mardi, les représentants de Québecor ont sans aucun doute convaincu plusieurs membres du comité exécutif que Bettman avait raison de faire confiance à la société québécoise.
Le groupe de Las Vegas a également créé une impression favorable. Les propriétaires de la LNH ne veulent plus vivre des expériences comme celle des années passées, alors qu’ils avaient approuvé un transfert de concession à des gens qui ont connu des ennuis avec la justice ­américaine par la suite.
Le rêve de Bettman, c’est de résoudre dans un avenir très rapproché les problèmes qui minent quelques concessions et aussi d’ajouter deux autres formations pour un total de 32. Deux nouvelles ­concessions qui évolueraient dans l’Ouest. Ainsi, l’équilibre serait acquis entre les associations de l’Est et de l’Ouest.
Il y aura du hockey à Québec, c’est certain.
Quand? Gary Bettman décidera. Les ­Nordiques reviendront-ils à Québec dans la peau d’une concession déjà existante ou encore dans la peau d’une équipe de ­l’expansion?
Dans le meilleur des scénarios, la concession des Panthers de la Floride est la plus attrayante. Mais celle des Hurricanes est la plus probable.

LA BOXE ET JC...

Radio9 sports, la seule radio consacrant toute sa programmation au monde du sport, sera la référence audio du monde de la boxe.
Le Groupe GYM et les décideurs de ­Radio9 sports ont ­signé une entente pour la diffusion des galas de boxe du groupe d’Yvon ­Michel.
Une nouvelle qui a sûrement réjoui mon camarade Jean-Charles Lajoie, qui, régulièrement à son émission de fin d’après-midi, parle de boxe en compagnie de Réjean Tremblay.
La boxe est un sport très populaire au Québec.
Un sport qui prend beaucoup d’espace et pour les bonnes raisons. Il s’agit d’une nouvelle encourageante pour cette nouvelle station.
La radio sportive a besoin de propriété et un premier pas a été franchi.
Entendra-t-on le duo Jean-Charles ­Lajoie-Mike Bilodeau?
C’est fort possible.
Fleischmann et un contrat
Tomas ­Fleischmann n’a pas endossé l’uniforme du Canadien hier soir.
Ses deux compagnons de jeu non plus. David ­Desharnais et Dale Weise ont obtenu congé. Doit-on conclure que les trois joueurs ­formeront un trio, ­mercredi prochain à Toronto?
Fort possible.
Marc Bergevin doit sûrement discuter avec l’agent de ­Fleischmann la possibilité d’un contrat.

Le propriétaire des Bruins aborde la question de l'expansion

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Publié le 01 octobre 2015 à 19h03 | Mis à jour le 01 octobre 2015 à 19h03

Le propriétaire des Bruins de Boston, Jeremy Jacobs... (Photo archives AP)
PHOTO ARCHIVES AP

Le propriétaire des Bruins de Boston, Jeremy Jacobs

Associated Press
BOSTON
Le propriétaire des Bruins de Boston, Jeremy Jacobs, a dit que les deux groupes souhaitant obtenir un club d'expansion de la LNH ont fait des présentations impressionnantes lors des récentes réunions de la ligue.
Jacobs a dit que la candidature de Québec a plus d'histoire et des partisans plus passionnés. Il a toutefois ajouté qu'il serait peut-être plus sensé d'aller vers Las Vegas, car l'Ouest compte déjà deux équipes de moins que l'Est.
Jacobs a dit ne pas savoir si la volonté est là chez les propriétaires, pour une expansion. La LNH a reçu les deux dossiers de candidature pendant l'été.
Les Nordiques de Québec ont déménagé à Denver en 1995, devenant alors l'Avalanche du Colorado. Quant à Las Vegas, un résultat fructueux donnerait à la ville un premier club professionnel dans un circuit majeur.
D'un côté comme de l'autre, on a construit un aréna dans l'espoir d'avoir une équipe de la Ligue nationale. Le commissaire Gary Bettman a dit qu'il n'y a pas d'échéancier pour déterminer s'il y aura une expansion ou pas.

Attention aux tendances négatives

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Sénateurs - Canadiens 


Images of Francois Gagnon
Les points accumulés en matchs préparatoires ne catapulteront aucune équipe de la LNH vers la coupe Stanley pas plus que les points perdus ne priveront un club d’une place en séries.
Bien plus que les résultats qui ne veulent rien dire, ou si peu, ce sont les tendances positives comme les négatives qui sont importantes à relever lors de ces parties. Car ce sont ces tendances qui dicteront les résultats en début de saison alors que les matchs voudront dire quelque chose. Alors que les points arrachés ici et les autres gaspillés là auront une incidence directe sur le classement final en avril prochain. Et comme on sait qu’un petit point pourrait faire la différence entre une place en séries ou des vacances hâtives le printemps prochain, les 30 équipes ont tout intérêt à maximiser les tendances positives, réduire au minimum celles qui le sont moins, ou pas du tout.
Même si le Canadien s’est fait planter 5-2 par les Sénateurs, je suis, du moins en partie, d’accord avec Michel Therrien quand il dit que le score n’indique pas l’allure réelle de la rencontre. Car oui son club a fait de belles et bonnes choses jeudi. Il a amorcé le match en force. Il a non seulement marqué le premier but de la rencontre, mais le deuxième aussi. Il a obtenu 41 tirs, des tirs qui ont dû faire grimper l’aiguille du compteur des occasions de marquer à 16, voire 18, peut-être même 20.
Pourquoi alors le Canadien a perdu?
Parce que si ses bons débuts de match et une hausse notable des occasions de marquer, surtout en avantage numérique - en passant le but de Nathan Beaulieu qui a imité Andrei Markov en se faufilant derrière la défensive pour venir marquer avant que Craig Anderson n’ait eu le temps de comprendre ce qui arrivait était vraiment de toute beauté - représentent deux des tendances positives relevées depuis le début du calendrier préparatoire, le fait qu’il ne soit pas en mesure de maintenir le rythme est une tendance plus négative.
À mi-chemin en première période jeudi, tout le monde, même les joueurs des Sénateurs croyaient que le Canadien était en route vers une victoire facile. P.K. Subban et Andrei Markov - au fait, quelqu’un peut m’expliquer pourquoi il a reçu la troisième étoile - au lieu de donner le ton, ont joué du hockey mollasson en défensive et les Sénateurs en ont profité de revenir dans le match.
Au lieu de racheter les erreurs de ses coéquipiers ou de faire contrepoids au manque d’intensité et à l’indiscipline qui s’est installée, Carey Price s’est alors retrouvé à court de miracles accordant cinq buts sur 21 tirs. À moins qu’il ait décidé de conserver ses miracles pour la vraie saison. Ce qui serait, il faut l’admettre, une sage décision.
Vrai que le Canadien a moins mal joué que le score ne le laisse croire. Vrai aussi que les occasions étaient là. Mais encore faut-il savoir en profiter et marquer. Ce que Lars Eller n’a pas fait encore hier se contentant d’imiter Rene Bourque qui, de triste mémoire, était le maître absolu dans l’art de passer proche de marquer... sans y arriver. Ou trop rarement. Ces occasions ratées hier, ces occasions gaspillées depuis le début du calendrier préparatoire, ravivent les souvenirs de la saison dernière alors que la timidité de l’attaque du Canadien aurait facilement pu lui coûter une exclusion des séries, n’eût été des performances surnaturelles de Carey Price.
Invitant les journalistes à ne pas s’inquiéter du résultat de la rencontre de jeudi, car il ne l’était pas du tout, Michel Therrien a reconnu que son équipe avait joué du hockey imprudent en tentant des jeux dangereux et coûteux au lieu de se contenter de jeux simples. Le coach du Canadien a aussi, et surtout, rappeler que ce genre de tendances était facile à relever chez les 29 autres équipes en matchs préparatoires en raison de l’absence d’enjeu. Que ces tendances étaient « très corrigibles » et qu’il était convaincu qu’elles n’arriveront pas la semaine prochaine alors que son équipe amorcera la saison régulière mercredi à Toronto.
Ce ne serait pas une mauvaise idée de les écarter dès samedi alors que le Canadien croisera à nouveau les Sens. Des Sénateurs qui sont loin de représenter une force dans l’Est. Mais des Sénateurs qui comme toutes les équipes de la LNH pourront faire payer cher au Canadien la mauvaise idée de disputer des matchs mollassons en défensive et la plus mauvaise idée encore de gaspiller trop d’occasions de marquer.

30 équipes LNH en 30 jours : Panthers de la Floride

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Jaromir Jagr
Jaromir Jagr avait raison de sourire. (Source d'image: PC )

À l'approche de la nouvelle saison dans la LNH, voici un survol des différentes équipes. Aujourd'hui, les Panthers de la Floride.
Saison régulière 2014-2015
Fiche de 38-29-15, total de 91 points, 6es de la section Atlantique, 10es de l'Association de l'Est et 20es du classement général.
Attaque : 206 buts, 25e rang; défense : 223 buts, 18e rang.
Séries éliminatoires 2014-2015 : Les Panthers de la Floride n’ont pas participé aux éliminatoires.
Nouveaux joueurs : Sena Acolatse (D), Chase Balisy (C), David Booth (AG), Rob Flick (C), Cameron Gaunce (D), Shane Harper (AD), Martin Havlat (AD), Greg McKegg (C), Mike McKenna (G), Brent Regner (D), Marc Savard (C), Reilly Smith (AD-AG).
Joueurs qui sont partis : Jesse Blacker (D), Brad Boyes (AD), Bobby Butler (AD), Dan Ellis (G), Jimmy Hayes (AD), Zach Hyman (C-AD), Shane O’Brien (D), Blake Parlett (D), Scottie Upshall (AD).
Entraîneur-chef : Gerard Gallant
Après avoir connu une bonne saison, récoltant 91 points, les Panthers de la Floride ont raté les séries éliminatoires.
Leur attaque a été ordinaire, ne marquant que 206 buts, au 25e rang du circuit, et l'avantage numérique s'est classé au 24e rang avec 40 buts en 246 occasions.
La défense a quant à elle concédé 223 buts, au 18e rang de la LNH.
Ils n’ont effectué que peu de changements à leur formation, ayant obtenu Reilly Smith, des Bruins de Boston, en retour de Jimmy Hayes.
Le gardien Roberto Luongo, qui a connu une très bonne saison en 2014-2015, aura encore beaucoup de travail et il devra avoir un meilleur support de l’attaque pour mener la formation aux séries éliminatoires.
Les Panthers ont plusieurs bons jeunes joueurs. Jonathan Huberdeau, Nick Bjugstad, Aaron Ekblad et Aleksander Barkov font partie du noyau de l'équipe et ils ont tous moins de 24 ans. Depuis qu'il a été repêché au deuxième rang au total en 2013, Barkov a récolté 24 buts et 60 points en 125 rencontres dans la LNH. Le Québécois Huberdeau, ancien des Sea Dogs dans la LHJMQ, a quant à lui été le meilleur pointeur du club la saison passée grâce à ses 15 buts et 39 mentions d'assistance en 79 parties.
À l'inverse, il ne faut pas oublier que le vétéran Jaromir Jagr est âgé de 43 ans et qu’il a de la
difficulté à présenter des performances régulières sur le long calendrier de 82 matchs.

Venus Williams s'est qualifiée pour la finale du tournoi de Wuhan

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Venus Williams
Venus Williams (Source d'image: PC )

L'Américaine Venus Williams s'est qualifiée vendredi pour la finale du tournoi de Wuhan (Chine) aux dépens de l'Italienne Roberta Vinci, qui avait éliminé sa soeur Serena en demies aux Internationaux des États-Unis, 5-7, 6-2, 7-6 (4).
En finale, l'ainée des Williams, 24e joueuse mondiale, affrontera la gagnante du match entre l'Espagnole Garbine Muguruza (8e) et l'Allemande Angelique Kerber (13e).

Deux matchs en deux jours : les Blue Jackets désavantagés et les Oiler

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Carey Price
Carey Price (Source d'image: Getty )

Roger Leblond
Dans un très long calendrier de 82 matchs, les 30 équipes devront avoir à l’oeil toutes les séquences de deux matchs en autant de jours qui seront sur leur route, car cette facette pourrait être très importante pour se tailler une place dans les séries éliminatoires.
Nous pouvons dire que les Blue Jackets de Columbus, qui ont connu des difficultés l’an dernier, ne l’auront pas facile cette saison, car ils seront ceux qui seront le plus désavantagés à ce chapitre, ayant pas moins de 18 séquences de deux matchs en autant de jours, ce qui équivaut à 43,90% de leur calendrier régulier, 36 des 82 matchs, dans ces circonstances.
Au deuxième rang, nous retrouvons trois équipes, les Red Wings de Detroit, les Rangers de New York et les Penguins de Pittsburgh, qui seront confrontés à cette situation en 17 occasions.
Dans l’autre extrême, ce sont les Oilers d’Edmonton, qui ont été décevants depuis plusieurs saisons, qui seront le plus avantagés sur ce plan, car ils n’auront à disputer deux matchs en autant de jours qu’en neuf occasions, une de moins que l’Avalanche du Colorado.
Le Canadien aura 16 séquences de deux matchs en deux jours
Le Canadien de Montréal, qui a terminé au deuxième rang du classement général l’an dernier, devra faire face à cette situation en 16 occasions, le même total qu’en 2014-2015.
Cela est un peu plus que la moyenne qui sera de 13,63 fois pour les 30 équipes de la LNH pour la présente saison 2015-2016, alors que cette situation se produira 409 fois.
Il y aura 409 séries de deux matchs en autant de jours dans la LNH en 2015-2016, ce qui représente deux séries de moins qu’en 2014-2015 (411), alors qu’en 2013-2014, il y avait eu 437 séries du genre.
Au total, le Canadien a eu une fiche de 16-11-5 (moyenne de ,578) dans les 32 matchs dans les 16 séries de deux matchs en autant de jours, dont 8-7-1 (moyenne de ,531) dans la première rencontre et 8-4-4 (moyenne de ,625), lors des deuxièmes parties.
LES 409 SÉQUENCES DE DEUX MATCHS EN AUTANT DE JOURS
LES 30 ÉQUIPES DE LA LIGUE NATIONALE DE HOCKEY
Blue Jackets de Columbus (18)
Red Wings de Detroit (17)
Rangers de New York (17)
Penguins de Pittsburgh (17)
Hurricanes de la Caroline (16)
Canadien de Montréal (16)
Maple Leafs de Toronto (16)
Coyotes de l’Arizona (15)
Sabres de Buffalo (15)
Wild du Minnesota (15)
Islanders de New York (15)
Flyers de Philadelphie (15)
Panthers de la Floride (14)
Sharks de San Jose (14)
Blackhawks de Chicago (13)
Kings de Los Angeles (13)
Sénateurs d’Ottawa (13)
Canucks de Vancouver (13)
Capitals de Washington (13)
Stars de Dallas (12)
Predators de Nashville (12)
Devils du New Jersey (12)
Blues de St. Louis (12)
Lightning de Tampa Bay (12)
Jets de Winnipeg (12)
Ducks d’Anaheim (11)
Bruins de Boston (11)
Flames de Calgary (11)
Avalanche du Colorado (10)
Oilers d’Edmonton (9)

Allégations contre Aubut: le Comité olympique canadien savait depuis 2011

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Publié par Charles Payette pour (Québec) CogecoNouvelles le vendredi 02 octobre 2015 à 05h15. Modifié à 06h29.
Allégations contre Aubut: le Comité olympique canadien savait depuis 2011
Marcel Aubut/PC
QUÉBEC - Le comité olympique canadien savait depuis 2011 qu'il existait des allégations sérieuses concernant des gestes inappropriés posés par son président Marcel Aubut auprès d'employées.
La Presse fait état du contenu d'une lettre dans laquelle le comité lui demandait de cesser de «toucher les employées, de faire devant elles des allusions sexuelles ou de les embrasser».
Il s'était alors engagé à changer de comportement, ce qui avait convaincu l'organisme de ne pas déposer de plainte contre lui.
Mercredi, monsieur Aubut s'est retiré temporairement de ses fonctions, après le déclenchement d'une enquête interne au sein du comité, qui concernerait du harcèlement sexuel envers une employée de la Fondation olympique canadienne.
Marcel Aubut a refusé de réagir et aurait retenu les services de Dimitri Soudas, ancien porte-parole de Stephen Harper et du comité.