mardi 7 février 2017

Rapport des forces chez le Canadien – Semaines du 23 janvier au 6 février

http://25stanley.com/

  CANADIENS
Chaque semaine, 25 Stanley fera l’état des forces chez le Canadien de Montréal. Je vous dirai ce qui a été et ce qui n’a pas été durant les 7 derniers jours chez le Tricolore. De plus, on évoquera ce qu’il va falloir améliorer ainsi que les joueurs qui sont en forme et ceux qui doivent en faire plus. Un système de points est également mis en place. Si le joueur s’est démarqué pour ses très bonnes performances, il ajoutera 2 points à sa fiche. Par contre, s’il a connu de mauvaises performances, ce sera 0 point. Si le joueur a été bon sans plus, il obtiendra 1 point (il faut noter que celui-ci ne sera pas forcément nommé dans le texte).
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Adversaires des deux semaines : Flames de Calgary, Islanders de New-York, Sabres de Buffalo, Flyers de Philadelphie, Capitals de Washington et Oilers d’Edmonton.
Fiche de l’équipe : 2-3-1 (5 points sur 12 possibles)
Classement et fiche de l’équipe : 30-16-8 (68 points), 1er dans l’Atlantique, 4e dans l’Est, 7e au classement général.
On ne va pas se le cacher, le Canadien connaît des moments plus difficiles. Lors des 14 derniers matchs, le CH a une fiche de 5-8-1 et n’a marqué que 2.43 buts par partie. De plus, ils ont une moyenne de buts encaissés de 2.93 durant cette période. Depuis le 13 novembre, la troupe de Michel Therrien est 17-15-7. C’est là que tu vois l’importance de faire de bons résultats en début de saison, puisqu’ils permettent au Tricolore d’être encore dans le quatuor de tête dans l’Est. Sinon, les 6 matchs ont été encore une fois en dent de scie : les joutes contre les Sabres et les Flames ont été excellentes alors que ça a été extrêmement difficile contre les Islanders et les Flyers.
Les joueurs en forme : 
  • Max Pacioretty : Il a été excellent ces derniers temps. Il a inscrit son deuxième tour du chapeau de la saison face aux Sabres en plus d’être déjà à 25 buts. Il a 5 points à ses 5 dernières parties et en compte 44 depuis le début de la campagne. Alors, encore sceptique face aux performances de Pac ?
  • Alexander Radulov : Radulov a repris de sa hargne depuis la pause du match des étoiles. On retiendra surtout les matchs contre les Sabres et les Capitals où il a été le meilleur joueur sur la glace. Ce gars là est le catalyseur du Canadien. Imaginez le Tricolore sans Radu ?
  • Phillip Danault : Il ne fait quasiment jamais d’erreur sur la patinoire. C’est l’une des raisons pour lesquelles Galchenyuk n’a pas retrouvé sa place sur le 1er trio. Avec 3 points à ses 5 derniers matchs, il mérite ce qui lui arrive. C’est 28 points depuis le début de la saison !
  • Andrei Markov : Il nous avait manqué, lui ! À l’image de Danault, Markov fait tout bien. Il a largement stabilisé la défensive et forme une bonne paire avec Nikita Nesterov. Il joue sur la 3e paire et sur les unités spéciales, ce qui est bien pour sa forme physique en vue des séries.
Ils doivent en faire plus : 
  • Andrew Shaw : Il n’est plus le même depuis le retour de sa blessure. Il prend des pénalités coûteuses à de mauvais moments. Il ne produit pas et est invisible. Va falloir en faire plus mon Andrew…
  • Alex Galchenyuk : Va falloir savoir à un moment donné si tu veux le faire jouer en tant que centre ou aillier. Il ne joue pas bien en ce moment et c’est pour ça que Therrien l’a mis à l’aile. Néanmoins, sa situation est de plus en plus nébuleuse. Bref, s’il veut retrouver sa place, il saît quoi faire.
  • Jacob De La Rose : Je le mets là parce que je ne sais même pas ce qu’il fait encore à Montréal. Il est bon sans la rondelle, pis ? Pour un joueur réputé pour ses bonnes aptitudes en défensive, je ne crois pas que ce soit si bon mais apparemment, le coach l’adore. Ça fait presque 1 an qu’il n’a pas recolté de point dans la LNH (1 passe face aux Coyotes le 15 février 2016)
Bilan des gardiens : 
  • Carey Price : Il retrouve peu à peu son niveau donc ça va clairement mieux dans son cas. Il aurait pu ajouter deux jeux blancs à sa fiche face aux Flames et aux Sabres, mais le Canadien ne l’a pas aidé…
  • Al Montoya : Il a été excellent lorsqu’on lui a demandé de jouer. Il a récolté un jeu blanc face aux Oilers, même s’il a perdu le match. Bref, le #35 n’a rien à se reprocher.
Mentions honorables : 
  • Artturi Lehkonen : Même si il cumule pas 1 point par match, Lekhonen fait beaucoup de bonnes choses et montre qu’il a un hockey IQ très élevé. Il va devenir une pièce importante chez le Canadien.
  • Sven Andrighetto : Il a été bon même s’il ne produit pas forcément. Il amène beaucoup de vitesse et j’ai bien aimé ce que j’ai vu de lui ces deux dernières semaines.
Prochains matchs du Canadien : mardi au Colorado, jeudi en Arizona et samedi face aux Blues de Saint-Louis.
Le classement des pointeurs chez le Tricolore : 
  1. Max Pacioretty : 10 points
  2. Al Montoya, Alexander Radulov : 9 points
  3.  Artturi Lehkonen, Phillip Danault : 8 points
  4. Paul Byron, Carey Price : 7 points
  5. Nathan Beaulieu : 6 points
  6.  Shea Weber, Alexei Emelin, Jeff Petry : 5 points
  7. Tomas Plekanec, Brian Flynn, Sven Andrighetto : 4 points
  8. Torrey Mitchell, Michael McCarron : 3 points
  9. Daniel Carr, Nikita Scherbak : 2 points
  10. Brendan Gallagher, Mark Barberio, Bobby Farnham, Ryan Johnston, Chris Terry, Zach Redmond : 1 point

Brendan Gallagher avec les siens à l’entraînement

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  CANADIENS
Brendan Gallagher était présent à la séance d’entraînement des Canadiens mardi à Denver.
Toutefois, le joueur du CH avait un chandail d’une couleur différente de ses coéquipiers. Il ne pouvait pas recevoir de contacts.
Alex Galchenyuk était au centre du 2e trio avec Artturi Lekhonen et Paul Byron. De son côté, David Desharnais s’est retrouvé en compagnie de Torrey Mitchell et Brian Flynn.
Les Canadiens rendront visite à l’Avalanche, ce soir, à compter de 21 h.
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Un aperçu de la formation
Pacioretty-Danault-Radulov
Lehkonen-Galchenyuk-Byron
Andrighetto-Plekanec-Shaw
Mitchell-Desharnais-Flynn
*Jacob de la Rose en trop
Emelin-Weber
Beaulieu-Petry
Markov-Nesterov
*Greg Pateryn en trop

Le congédiement de Claude Julien : la fin d'un calvaire

http://www.rds.ca/hockey/lnh/


Il y a des congédiements injustes, mais nécessaires qui entraînent des résultats positifs : l’exemple de Doug Weight qui a su relancer les Islanders (6-1-2) depuis qu’il est venu en relève à Jack Capuano en est un.
Il y a des congédiements injustes, mais aussi injustifiés qui ne donnent rien, ou pas grand-chose : pensons à Tom Rowe qui a remplacé Gerard Gallant à la barre des Panthers de la Floride, à Randy Cunneyworth qui a remplacé Jacques Martin à la barre du Canadien il y a quelques années.
Comment qualifier le congédiement de Claude Julien, qui s’est fait mettre à la porte par les Bruins de Boston mardi matin? Un mot me vient en tête : soulagement!

La fin d'une époque à Boston


Pas question de prétendre que Claude Julien est heureux d’avoir perdu son travail et d’encaisser le reste de son salaire (2,5 millions $) en jouant avec ses enfants qu’il pourra enfin voir grandir. D’avoir surtout perdu le défi de faire gagner son équipe et de la guider vers des séries éliminatoires qu’elle a ratées au cours des deux dernières saisons.
Comme tous les coachs de la LNH, comme tous les coachs tout court, Claude Julien carbure aux défis, aux victoires, à la compétition. Ça lui manquera c’est sûr. Remarquez que ça ne lui manquera pas longtemps, car des offres d’emploi lui seront acheminées rapidement. Et elles seront nombreuses.
Mais depuis le temps que ses jours étaient comptés à Boston, depuis le temps que des rumeurs – souvent associées à des fuites venant de membres de l’état-major – le chassaient de son petit bureau situé tout juste à droite en entrant dans le vestiaire des Bruins j’ai l’impression que Julien pourra éponger sa déception avec le soulagement d’être enfin libéré de ce calvaire.
Contesté depuis 2011
À sa 10e saison derrière le banc des Bruins, Claude Julien surfait sur la plus longue séquence active des coachs de la LNH.
Malgré sa coupe Stanley soulevée en 2011, malgré ses deux présences en grande finale, malgré le championnat de la saison régulière en 2014, malgré son trophée Jack Adams (2009) malgré sa fiche impressionnante de 419 victoires, 246 revers et 94 défaites en prolongation ou tirs de barrage, Claude Julien était continuellement remis en question.
Et pas seulement au cours des trois dernières saisons alors que les Bruins ont raté les séries il y a deux ans en perdant le dernier match de la saison régulière, pas juste l’an dernier lorsqu’ils ont terminé à deux points de la deuxième équipe repêchée dans l’Est, pas juste cette année non plus alors que les Bruins (26-23-6) et leur nouvel entraîneur-chef Bruce Cassidy ont un point de retard – mais plusieurs matchs de plus de joués que les équipes qui les devancent et celles qui les suivent – sur les Flyers de Philadelphie et la huitième place donnant accès aux séries.
Claude Julien était dans le trouble, dans le gros trouble, il y a longtemps déjà. Au printemps 2011, après avoir perdu les deux premiers matchs de la série opposant les Bruins au Canadien, Julien était sur la potence. Une élimination dès la première ronde et Cam Neely le lynchait publiquement devant le Garden.
Julien et les Bruins ont effacé le déficit de 0-2 pour ensuite battre le Canadien et se rendre à la coupe Stanley. Un ralliement et une conquête qui ont forcé Cam Neely à demeurer dans son bureau et sur la galerie de presse au lieu de venir déambuler dans le vestiaire de «son» équipe alors qu’il accordait autant d’entrevues que « ses » joueurs.
Non seulement Neely s’est fait plus discret après cette conquête, mais il s’était rangé derrière son coach qui a pu connaître une ou deux saisons assez calmes derrière le banc et dans les médias.
Mais parce que Boston est une ville gâtée pourrie en fait de succès sur la scène sportive et aussi, et surtout, parce que Cam Neely ne cachait pas que Julien n’était pas son homme – lire entre les lignes qu’il ne pouvait lui dicter sa marche à suivre – il fallait s’attendre que le naturel revienne un jour au galop. C’est ce qui est arrivé. Et ça ne date pas d’hier. De cette saison, de celle de l’an dernier ou de l’autre d’avant.
En raison de son expérience, de sa compétence, de sa réputation, de sa feuille de route, du respect que lui vouaient – et vouent sans doute encore – ses joueurs, en raison surtout de sa feuille de route, Claude Julien a toujours pu échapper aux rumeurs de congédiement dont il était l’objet.
Le 20 janvier dernier, des rumeurs persistantes indiquaient que Julien avait été informé de son congédiement avant même le duel opposant les Bruins aux Blackhawks qui faisaient escale à Boston. Le fait que les Hawks aient blanchi les Bruins 1-0 avait fait passer ces rumeurs de tempête.
« Si je suis congédié, tu me l’apprends », m’avait répondu Claude Julien par le biais d’un échange de courriels après la rencontre.
Mais Julien savait que c’était possible. Que son congédiement était même probable; que ce soit à la fin de la présente saison, ou même avant la fin du calendrier.
La réponse est tombée mardi.
L’après Lucic et Hamilton
Les Bruins ont-ils raison de congédier Claude Julien?
Après avoir laissé entendre aussi souvent et aussi longtemps qu’ils voulaient effectuer un changement derrière le banc que ce soit pour obtenir une nouvelle voix ou pour mettre en place une marionnette, la réponse est oui.
Et c’est Claude Julien qui risque d’en sortir gagnant.
Car maintenant qu’ils ont en place un coach qui les écoutera au lieu d’imposer ses plans et sa vision comme le faisait un gars de l’expérience et du talent de Claude Julien, le président Cam Neely et son directeur général Don Sweeney devront assumer les conséquences des décisions discutables prises au cours des dernières saisons.
Les Bruins ont largué Milan Lucic et Doug Hamilton en 2015 pour faire le plein de choix au repêchage et du défenseur Colin Miller qui est l’un des deux joueurs sur les sept acquis par les Bruins à avoir endossé l’uniforme depuis ces transactions qui ont marqué le repêchage il y a près de trois ans.
Miller a disputé 81 matchs avec les Bruins. Il est bon, mais on est loin de Hamilton. Sean Kuraly – acquis des Sharks de San Jose à qui les Bruins ont refilé le gardien Martin Jones après l’avoir acquis des Kings en retour de Milan Lucic – a disputé cinq matchs en novembre dernier.
Les autres choix acquis par les Bruins, Jakub Zboril (Sea Dogs LHJMQ), Trent Frederic (Wisconsin), Zachary Senyschyn (Sault Ste-Marie, OHL), Jakob Forsbacka-Karlsson (Boston U) et Jérémy Lauzon (Rouyn-Noranda LHJMQ) connaissent du succès dans leur ligue respective.
Mais ils n’ont pas aidé Claude Julien à remplacer Lucic et Hamilton.
Pas plus que ne l’a fait le premier choix des Bruins (leur choix) en 2015 Jake DeBrusk qui évolue à Providence avec le club-école.
Ajoutez à tout ça le fait que Patrice Bergeron connaît une saison difficile alors qu’il semble miné par une ou des blessures, que Zdeno Chara a vieilli, que Tuukka Rask, comme Carey Price, ne peut pas multiplier les miracles et sauver son équipe tous les soirs sans oublier qu’il n’a pas d’adjoint fiable vers qui se tourner, et vous avez une liste très longue de prises qui étaient loin de faciliter le travail de Claude Julien.
Il ne faudrait pas minimiser non plus le fait que plusieurs adjoints de Claude Julien ont levé les feutres au cours des dernières années pour être remplacés par des hommes de la haute-direction, à commencer par Bruce Cassidy qui lui succède ce matin et vous avez un cocktail toxique.
Vegas, Floride, Winnipeg?
Maintenant qu’il est libre, la question n’est pas est-ce que Claude Julien trouvera un nouvel emploi, mais bien quand? Et où travaillera-t-il?
Il aura le choix.
Gerard Gallant, congédié en début de saison en Floride est lui aussi un candidat de premier plan. Il a maintenant de la compétition.
Les Golden Knights de Las Vegas sont sans doute très heureux de pouvoir ajouter le nom de Julien à la liste des entraîneurs susceptibles de les aider à réussir leur entrée dans la LNH.
Parce que les Panthers pourraient difficilement reprendre Gallant, Claude Julien devrait être dès cet instant leur candidat numéro un pour relancer cette belle équipe dès l’an prochain.
Les Islanders feront-ils confiance à Doug Weight au-delà l’intérim qui lui a été confié? Peut-être. Il faudrait d’abord savoir si le job à temps plus que plein intéresse vraiment Weight.
Sinon, Julien serait un très bon choix.
Et il y a les clubs qui n’ont pas encore congédié leur coach et qui pourraient être intéressés maintenant qu’un gars comme julien est disponible.
Les Jets de Winnipeg sont la première équipe qui me vient en tête. Des informations obtenues ce matin me laissent toutefois entendre que Paul Maurice, malgré la saison un brin ou deux décevante, est solidement en poste. Il est aimé par la haute direction. On verra.
On peut donc se tourner vers Dallas où Lindy Ruff est certainement moins solidement installé et aussi Detroit où Jeff Blashill peine à faire oublier Mike Babcock. Remarquez que c’est un défi pratiquement impossible à relever.
Mais si les Wings ratent les séries pour la première fois après une séquence de 25 présences consécutives, Blashill pourrait être remplacé et avoir ainsi servi de tampon entre l’ère Babcock et l’ère de celui qui reprendra la série de participations aux séries.
Et il y a Tampa Bay?
Jon Cooper pourra-t-il échapper aux conséquences de la saison actuelle? Je veux bien croire que le Lightning est privé de Steven Stamkos. Mais voilà : Cooper a justement bâti sa réputation solide en trouvant une façon de faire gagner les « Bolts » sans leur as marqueur et capitaine qui doit compter parmi les joueurs les plus malchanceux de la LNH sur le plan des blessures.
Je ne dis pas qu’il est sur la corde raide. Pas du tout.
Mais parce que Julien est aujourd’hui disponible, peut-être que son statut est un brin ou deux plus incertain qu’il ne l’était hier. Peut-être trois...
On verra.


Top-5: Longévité d'entraîneurs actifs

Tyler Myers absent de 6 à 8 semaines

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Le défenseur des Jets de Winnipeg Tyler Myers a subi une opération, lundi, et il sera à l'écart du jeu pour une période de 6 à 8 semaines.
L'organisation a affirmé que l'opération était pour une blessure au bas du corps. Il ne s'agirait pas du genou ou de la hanche où il a été blessé l'an dernier.

Myers n'a disputé que 11 rencontres cette saison. Il a amassé deux buts et trois passes.
Les Red Wings sans Nielsen pour au moins 2 matchs
Les Red Wings de Detroit seront privés de deux joueurs importants pour au moins les deux prochains matchs.
Tyler Myers
Tyler Myers (Source d'image:PC)
L’entraîneur-chef des Wings, Jeff Blashill, a annoncé que l’attaquant Frans Nielsen (épaule) et le défenseur Niklas Kronwall (bas du corps) rateront les deux prochaines rencontres en raison de leur blessure.
Nielsen, dont le nom a été placé sur la liste des blessés lundi, ne devrait pas s’absenter trop longtemps selon Blashill.
« On peut dire qu’il est évalué quotidiennement », a affirmé le pilote des Wings.
Kronwall n’en est pas à sa première blessure cette saison. Il n’a disputé que 30 matchs en 2016-2017 récoltant cinq passes.
Konecny mal en point
L’attaquant Travis Konecny des Flyers de Philadelphie n’a pas terminé la rencontre de lundi face aux Blues de St Louis.
Ce dernier a quitté la rencontre en deuxième période après avoir été durement mis en échec contre la bande.
Au départ, on croyait qu’il s’était blessé à l’épaule gauche. Mais selon Tim Panaccio de CSNPhilly.com, la recrue aurait subi une blessure au genou gauche et une entorse à une cheville.
Les Flyers devraient fournir une mise à jour de l’état de santé de Konecny mardi.
L’attaquant de 19 ans a récolté 7 buts et 15 passes depuis le début de la saison.
Czarnik blessé, Cehlarik rappelé
Les Bruins de Boston ont placé le nom du centre Austin Czarnik sur la liste des blessés.
Ce dernier souffre d’une blessure au bas du corps.
Les Bruins ont donc rappelé l’attaquant Peter Cehlarik de leur club-école de Providence dans la Ligue américaine.
McElhinney devant le filet
L’entraîneur-chef des Maple Leafs de Toronto, Mike Babcock, a confirmé que Curtis McElhinney sera le gardien partant de son équipe, mardi soir, face aux Stars de Dallas.
Le gardien no 1 des Leafs, Frederik Andersen, a accordé six buts dans une défaite en prolongation face aux Islanders de New York, lundi.
McElhinney montre une fiche de 1-2 avec une moyenne de buts alloués de 2,52 en trois départs depuis qu’il s’est joint aux Leafs le mois dernier.
Staal en mesure de jouer
Le défenseur Marc Staal sera en mesure de jouer pour les Rangers de New York, mardi soir.
Ce dernier souffre de la grippe, mais il est assez en forme pour affronter les Ducks d’Anaheim.
L’attaquant Kevin Hayes demeure un cas incertain en raison d’une blessure au bas du corps.
Le départ à Murray
Le gardien Matt Murray sera devant le filet des Penguins de Pittsburgh qui affronteront les Flames de Calgary, mardi soir.