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samedi 14 mai 2016

Stamkos est prêt, son sang pas encore...

http://www.rds.ca/hockey/lnh/

Qui remportera la finale de l'Est?

FRANÇOIS GAGNON
VENDREDI, 13 MAI 2016. 13:34

PITTSBURGH – S’il n’en tenait qu’à lui, Steven Stamkos disputerait la première mise en jeu du match de ce soir contre Sidney Crosby pour donner le coup d’envoi à la finale de l’Est opposant le Lightning de Tampa Bay aux Penguins de Pittsburgh.
Mais voilà! Si Stamkos est prêt à reprendre son poste, son sang ne l’est pas encore. « Je suis en aussi bonne forme que je peux l’être. Mon corps est prêt, ma tête aussi. Mais je n’ai pas de contrôle sur ce qui se passe à l’intérieur de mon corps. Je suis encore sous l’effet d’anticoagulants qui compliquent la situation. Tant que les risques associés à ces médicaments seront présents, il me sera impossible de jouer », a indiqué le capitaine du Lightning dans le vestiaire des visiteurs au Consol Energy Center vendredi matin.
Opéré le 4 avril dernier après que les médecins eurent diagnostiqué la présence d’un caillot de sang sous sa clavicule droite, Stamkos assure croire en ses chances d’endosser l’équipement à un moment ou un autre. Que ce soit en finale de l’Est ou en finale de la coupe Stanley si le Lightning devait éliminer les Penguins.

« C’est évident que je garde espoir. C’est la raison pour laquelle je m’entraîne avec autant de conviction au gymnase et que je passe beaucoup de temps sur la patinoire. Si ce n’était des anticoagulants, je jouerais ce soir. Les médecins suivent ma guérison de près et dès qu’il sera possible de cesser l’utilisation de ces médicaments ou de contourner les effets dangereux associés aux anticoagulants, j’obtiendrai le feu vert. Je fais donc du temps supplémentaire tous les jours afin d’être en mesure de jouer dès l’instant où je recevrai le feu vert », a expliqué Stamkos qui a passé plus d’une quarantaine de minutes sur la patinoire une fois ses coéquipiers sortis après l’entraînement optionnel de vendredi matin.
« Si je fais tout ça, c’est parce que j’y crois vraiment. Si je n’avais pas espoir de revenir au jeu rapidement, j’agiterais des pompons au lieu de m’entraîner et je me transformerais en meneur de claque pour motiver mes coéquipiers. Mais non. Mes coéquipiers sont sensationnels. Je ne peux vous dire à quel point je suis fier de ce qu’ils ont accompli depuis le début de séries. À quel point je leur suis reconnaissant de maintenir la cadence afin de garder bien vivant mon espoir de rejouer ce printemps. Et ce qui est vrai pour moi, l’est aussi pour Anton et J.T. qui s’entraînent avec moi et qui visent également un retour le plus rapidement possible », a ajouté Stamkos en parlant du défenseur Anton Stralman (fracture du péroné) et de l’attaquant J.T. Brown (victime d’une blessure à une main après avoir bloqué un tir en première ronde contre Detroit).
Dupuis : blessure plus sérieuse
Bien que le diagnostic initial était inquiétant et que l’intervention qu’il a subie trois jours après ce diagnostic était délicate, Steven Stamkos n’a jamais perdu confiance. Il n’a pas non plus senti le besoin de contacter Pascal Dupuis qui a justement annoncé sa retraite plus tôt cette saison en raison d’épisodes répétés de thromboses veineuses profondes qui se sont transformées en embolies pulmonaires.
« Quand on entend des mots comme caillots, thrombose ou embolie, il est normal d’être inquiet. Et c’était effectivement très inquiétant dans le cas de Pascal qui était bien plus sérieusement touché que moi. Dans les faits, mes ennuis sont au fond une blessure sportive. Mon caillot est attribuable à des mouvements répétés de mon épaule droite qui ont causé ce caillot. C’est fréquent chez les lanceurs au baseball et pour tous les athlètes qui font des mouvements répétés. Dans le cas de Pascal, c’est son sang qui était en cause et ça, c’est bien plus dangereux. J’ai parlé avec Andrei – Andrei Vasilevski, le gardien auxiliaire du Lightning – qui a subi une intervention similaire à celle que j’ai subie et il était de retour sur la glace après sept semaines. J’ai beaucoup échangé avec lui pour comprendre et aussi pour m’aider à garder confiance.»
À Tampa ou ailleurs...
S’il n’est pas en mesure de revenir au jeu, il est permis de se demander si Steven Stamkos jouera à nouveau un joueur avec le Lightning.
Car maintenant que ses coéquipiers démontrent leur capacité de gagner, même en séries, malgré son absence, la direction du Lightning pourrait bien décider de dépenser autrement les quelque 10 millions $ par saison que Stamkos revendique en marge du contrat à long terme qu’il recherche.
Éligible à l’autonomie complète le premier juillet prochain, Steven Stamkos recevra des offres faramineuses si le Lightning décide de lui offrir la chance de profiter de cette autonomie. Car bien qu’il ait été victime de blessures sérieuses – le caillot de sang sous sa clavicule et la fracture du tibia de sa jambe droite en novembre 2014 – il ne fait pas de doute que plusieurs équipes – les Maple Leafs, le Canadien et bien d’autres – jongleront avec leur masse salariale pour tenter de lui faire une place sous le plafond. Si, bien sûr, Steve Yzerman décide de ne pas lui offrir de contrat. Si, également, le propriétaire des Bolts accepte de voir son joueur de concession quitter Tampa sans ne rien obtenir en retour que la possibilité de dépenser ses millions sur d’autres joueurs.
Mais pour l’instant dans la tête de Steven Stamkos et dans celles de ses coéquipiers, un retour au jeu le plus rapide possible et les moyens à prendre pour battre Sidney Crosby et les Penguins de Pittsburgh sont des considérations bien plus importantes que le prochain contrat du capitaine du Lightning.

lundi 18 avril 2016

Et si P.K. Subban attirait Steven Stamkos?

http://www.lapresse.ca/sports/hockey/

Publié le 18 avril 2016 à 08h20 | Mis à jour à 08h20
«P.K. est un ami d'enfance et un très... (Photo André Pichette, archives La Presse)
PHOTO ANDRÉ PICHETTE, ARCHIVES LA PRESSE
«P.K. est un ami d'enfance et un très bon ami de Stamkos. C'est à ne pas négliger», explique l'ancien directeur général du Lightning Brian Lawton.

Richard Labbé
RICHARD LABBÉ
La Presse
Si jamais Steven Stamkos décide de se lancer sur le marché des joueurs autonomes, Toronto et Montréal seraient des destinations de choix pour lui.
C'est du moins l'opinion de l'ancien directeur général du Lightning Brian Lawton.
Lawton était le DG du club de Tampa Bay au moment où l'équipe a repêché Stamkos avec son premier choix au total en 2008. Selon lui, Stamkos, qui pourrait devenir joueur autonome le 1er juillet, pourrait s'intéresser aux Maple Leafs... et au Canadien.
«Oui, absolument, il pourrait considérer une offre du Canadien», soutient Lawton, qui est aujourd'hui analyste sur les ondes du NHL Network. 
«Même si le Canadien vient de connaître une saison très difficile, Montréal demeure un marché qui est bien vu par une majorité de joueurs.»
Lawton, qui a été le DG du Lightning pendant deux saisons, estime qu'il est facile de faire des liens entre Stamkos et Toronto, avant tout pour des raisons géographiques («parce qu'il vient de la région, parce qu'il s'entraîne là-bas tout l'été et parce que ses agents sont établis là-bas aussi», précise-t-il), mais selon lui, il ne faudrait pas oublier le Canadien dans ce dossier, précisément en raison d'un joueur: le défenseur P.K. Subban.
«P.K. est un ami d'enfance et un très bon ami de Stamkos, explique Lawton. C'est à ne pas négliger, parce qu'on voit ça parfois dans le monde du hockey; deux vieux amis qui veulent jouer ensemble et qui décident de se retrouver avec la même équipe, ça arrive. C'est exactement ce qui s'est passé [en 2012] quand Zack Parisé et Ryan Suter ont tous deux choisi de se joindre au Wild du Minnesota. Il y a des liens comme ça, des amitiés, qui peuvent influencer une décision.»
«Le hockey, c'est aussi les affaires»
On peut présumer que Marc Bergevin, directeur général du Canadien, aurait Stamkos à l'oeil dans le cas où celui-ci déciderait de tenter sa chance sur le marché de l'autonomie. Mais Bergevin aurait du ménage à faire financièrement. Selon le site General Fanager, le Canadien n'a plus que 588 320 $ de marge de manoeuvre sous son plafond salarial.
En attendant, les possibilités concernant l'avenir de Stamkos demeurent très nombreuses.
«S'il n'avait pas été blessé, et s'il avait pu connaître un printemps de rêve en séries éliminatoires avec le Lightning, je pense que Steven aurait probablement fini par choisir de rester à Tampa Bay, indique Lawton. Mais il se garde bien de dire quoi que ce soit pour le moment. 
«À mon avis, le fait qu'il n'ait pas déjà signé de nouveau contrat avec le Lightning laisse croire qu'il se prépare à partir. C'est assez rare que les équipes attendent à la dernière minute pour offrir un contrat à un joueur de concession comme lui. Plus on s'approche du 1er juillet et plus les équipes perdent le contrôle sur ce type de joueur. Le hockey, c'est aussi les affaires, et à son âge, Stamkos n'obtiendra jamais une autre occasion comme celle-là sur le marché de l'autonomie.»

samedi 5 mars 2016

Un seul raccourci pour le Canadien : Stamkos

http://ici.radio-canada.ca/sports/hockey/

Mise à jour le vendredi 4 mars 2016 à 14 h 15 HNE

Steven Stamkos
Steven Stamkos  Photo :  GI/Bruce Bennett

BILLET - Si le Canadien espère une Coupe Stanley à court terme, le repêchage n'est plus une option valable. Embaucher Steven Stamkos m'apparaît comme la meilleure option.
Un texte de Guy D'AoustTwitterCourriel
À la conclusion de la journée, à la date limite des échanges, le directeur général du Canadien Marc Bergevin a répété que c'est par le repêchage qu'il compte bâtir son équipe.
Ce ne sont pas les transactions conclues cette journée-là qui pourraient lui donner tort. Dans un marché timoré, alourdi par un plafond salarial encombrant, les directeurs généraux ne parviennent même plus à échanger des joueurs en fin de contrat contre des choix de troisième tour. C'est devenu pathétique.
Le repêchage
Voici la panacée. Mon collègue Martin Leclerc illustre bien comment les Maple Leafs s'y prennent, actuellement, pour se donner toutes les chances.
Mais même s'ils y parviennent (ce qui est loin d'être certain), les Maple Leafs donnent un exemple qui ne peut être suivi par la collectivité. Qu'une organisation accepte de perdre à long terme, qu'elle consente à proposer pendant des années à ses partisans une équipe digne de la Ligue américaine, c'est déjà inquiétant.
Mais reconnaissons que six, sept, huit équipes ne peuvent pas se livrer à l'exercice en même temps. C'est la première limite de cette douteuse recette.
Le droit à l'erreur
Quand on joue à ce jeu, on n'a pas le droit de se tromper au repêchage. Et l'histoire nous enseigne que les maladroits sont plus nombreux que les champions quand on parle de repêchage. Marc Bergevin cite en exemple l'organisation des Blackhawks de Chicago dans laquelle il a fait ses classes. Regardons-y de plus près.
Les Blackhawks ont en effet végété dans les bas-fonds de la Ligue nationale il y a 15 ans. Ça leur a permis de repêcher des joueurs de qualité. C'est vrai. Cela dit, dimanche dernier, les Hawks affrontaient les Capitals de Washington dans ce que plusieurs considéraient comme un avant-goût de la finale de la Coupe Stanley.
Pour ce match-test, savez-vous combien il y avait de joueurs des Blackhawks repêchés et développés par l'organisation? Huit. Huit joueurs sur 20! La veille, contre les Leafs, le Canadien en avait 10. Et ça aurait été 12 sans les blessures à Price et à Beaulieu.
La qualité
Tout est là, bien sûr. Ce n'est pas tant le nombre que la qualité des joueurs concernés qui fait la différence. Et il faut de la chance aussi. Les Blackhawks misent actuellement sur le meilleur pointeur de la ligue, Patrick Kane.
Patrick Kane a procuré la victoire aux HawksPatrick Kane a procuré la victoire aux Hawks  Photo :  GI/Tom Brenner
C'est en gagnant la loterie pour le premier choix que Chicago a pu mettre la main sur lui en 2007. Autrement, ils se seraient peut-être retrouvés avec Kyle Turris. Méchante différence!
Les Blackhawks ont connu des années de misère pour arriver à ce résultat. Ils ont eu des compagnons d'infortune. À la même époque, de 1999 à 2006, les Rangers, les Islanders et les Flames croupissaient aussi dans la cave du classement.
Mais plutôt que des Keith, des Seabrook, des Toews et des Kane, ils ont repêché des O'Marra, des DiPietro, des Brendl, des Montoya, des Saprykin et des Krahn. La recette n'est pas universelle et encore moins infaillible.
Avec des « SI »
En conclusion, si le Canadien adopte la recette des Blackhawks, s'il s'éteint pour cinq ou six ans, s'il est l'équipe qui repêche bien et pas l'une de celles (plus nombreuses) qui passent dans le beurre, s'il remporte la loterie pour le premier choix et si son noyau actuel tient le coup, il pourrait gagner la Coupe en... 2022, disons.
Ou il peut prendre un raccourci, faire une offre à Steven Stamkos, se donner (enfin) une attaque qui a du panache et miser sur le repêchage pour compléter sa formation plutôt que pour la construire. S'il choisit cette avenue, ce dont je doute, Marc Bergevin devra se montrer convaincant et libérer de l'espace sous le %¤& plafond salarial.
Comme partisans, vous préférez quoi?

vendredi 19 février 2016

Steven Stamkos met fin au débat au cinquième tour de la fusillade et el Lightning défait les Jets

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Jets 5 - Lightning 6 (Tirs de barrage)


TAMPA, Fla. - Steven Stamkos a réglé le débat au cinquième tour de la fusillade et le Lightning de Tampa Bay a soutiré un gain de 6-5 face aux Jets de Winnipeg, jeudi.
Stamkos, Victor Hedman, Jonathan Marchessault, Alex Killorn et Nikita Kucherov ont fait entendre la sirène en temps régulier, pour les vainqueurs.
Andrei Vasilevskiy a fait 36 arrêts pour Tampa Bay, qui a gaspillé une avance de 4-1. Le club s'est toutefois resaisi à temps pour mettre fin à une série de deux revers.
L'entraîneur-chef des Jets, Paul Maurice, a été expulsé avant le début de la troisième période. Il a fait savoir son mécontentement aux arbitres aprèsune violente mise en échec sur un de ses joueurs, Bryan Little, en deuxième période. La mise en échec était douteuse et Maurice était dans tous ses états.
Cette expulsion a semblé fouetter les Jets qui ont comblé un retard de deux buts en troisième pour même prendre les devants 5-4.
Tyler Myers, Marks Scheifele, Andrew Ladd (deux fois) et Mathieu Perreault ont répliqué pour le club manitobain.
Ondrej Pavelec a bloqué 21 tirs pour les Jets, qui s'inclinaient pour la troisième fois en quatre matchs.
Les Caps ont le numéro des Islanders
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Justin Williams a touché la cible après 4:16 de jeu en prolongation et les Capitals de Washington ont défait les Islanders de New York 3-2.
Alex Ovechkin a marqué deux buts dans un intervalle de 1:27 en deuxième période et Braden Holtby a stoppé 20 rondelles pour les Capitals, en route vers sa 42e victoire de la saison, un sommet dans la LNH. Les Capitals ont gagné leurs trois premiers duels face aux Islanders cette saison et ils ont gagné neuf des 12 derniers matchs (9-1-2) entre les deux équipes.
Les Capitals, qui dominent la LNH avec 88 points, ont gagné cinq de leurs six dernières rencontres et ils ont amélioré leur fiche à 15-3-2 contre leurs rivaux de la division Métropolitaine.
John Tavares et Frans Nielsen ont répliqué et Thomas Greiss a effectué 32 arrêts devant le filet des Islanders, qui avaient remporté quatre de leurs cinq parties précédentes. Les Islanders avaient aussi gagné leurs quatre derniers matchs à domicile et ils disputeront maintenant 12 de leurs 14 prochaines rencontres à l'étranger.
Les Preds maintiennent leurs acquis
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Pekka Rinne a bloqué 29 tirs en route vers un troisième jeu blanc cette saison alors que les Predators de Nashville ont infligé un revers de 2-0 aux Bruins de Boston.
Les Predators ont préservé une avance acquise en première période.
Craig Smith a marqué à 2:51 et Filip Forsberg a ajouté son 20e filet de la saison, à 14:37.
Les Preds restent en possession de la première des deux places additionnelles en séries, dans l'Ouest.
Les Bruins ont laissé filer quatre avantages numériques dans ce match, l'avant-dernier de leur séjour de six rencontres à l'étranger.
Ayant gagné trois fois sur cinq à ce point-ci, ils vont terminer le périple à Dallas, samedi soir
Pavelski tranche en fusillade
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Joe Pavelski a inscrit le but gagnant en fusillade et les Sharks de San Jose ont signé une troisième victoire de suite, un gain de 2-1 face aux Panthers de la Floride.
Joonas Donskoi a aussi fait bouger les cordages en fusillade pour les Sharks. Nick Bjugstad a marqué pour les Panthers lors de la séance de tirs de barrage, mais le gardien Martin Jones a mis fin à la partie en arrêtant la tentative de Jussi Jokinen lors de la troisième ronde.
Logan Couture a marqué en troisième période pour les Sharks et Jones a stoppé 19 tirs lors des 65 minutes de jeu.
L'attaquant des Panthers Jaromir Jagr s'est approché à un but de Brett Hull et du troisième rang de l'histoire de la LNH en marquant son 740e but en carrière. Al Montoya a effectué 16 arrêts avant la fusillade, lui qui avait obtenu un deuxième départ de suite pour une première fois cette saison.
Les Panthers ont survécu à une infériorité numérique pendant les dernières 1:38 de jeu en prolongation pour forcer la présentation de la fusillade.
Encore le duo Domi-Duclair
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Max Domi a inscrit deux buts et une aide, son compagnon de trio Anthony Duclair a amassé trois aides et les Coyotes de l'Arizona ont battu les Stars de Dallas 6-3.
Domi a marqué ses deux buts en deuxième période, autour d'un but de Michael Stone. Martin Hanzal, Tyler Gaudet, avec son premier dans la LNH, et Antoine Vermette, dans un filet désert, ont confirmé le résultat pour les Coyotes, qui ont signé une deuxième victoire de suite pour une première fois en près d'un mois.
Devant le filet des Coyotes, Louis Domingue a réussi 36 arrêts, dont plusieurs spectaculaires.
Tyler Seguin a marqué son 31e but de la saison et Jamie Benn a inscrit son 30e pour les Stars. Ales Hemsky a été l'autre buteur des visiteurs, alors qu'Antti Niemi a stoppé 36 des 41 tirs dirigés vers lui.
Même résultat avec Bernier
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Comme James Reimer a connu des ennuis dernièrement, les Maple Leafs de Toronto se sont tournés vers Jonathan Bernier pour leur match face aux Rangers.
Le pari n'a pas rapporté, les New-Yorkais s'imposant 4-2.
Derek Stepan a brisé l'égalité à 18:29 au troisième vingt, tandis que les autres buts des Rangers sont venus de Derick Brassard(deux fois) et Mats Zuccarello.
Pierre-Alexandre Parenteau et Colin Greening ont récolté les buts des Maple Leafs.
Reimer a alloué sept buts dans un revers de 7-2 contre les Blackhawks de Chicago et il a permis 16 buts à ses quatre derniers départs. Meneur de la LNH au chapitre du taux d'efficacité pas plus tard que le mois dernier, Reimer a chuté au 14e rang avec un taux toujours respectable de ,920.
Bernier tentait de signer une première victoire en un mois, lui qui participait à son 200e match dans la Ligue nationale.
Relégué au rôle de réserviste pour la majeure partie de la saison, Bernier a maintenant perdu six départs d'affilée. Il n'a pas gagné depuis le 6 janvier, alors qu'il avait blanchi les Ducks d'Anaheim avec une performance de 39 arrêts.
Les Rangers venaient de perdre en temps réglementaire pour la première fois depuis le 2 février, mercredi, s'inclinant 5-3 devant les Blackhawks.
Schwartz tout feu tout flamme depuis son retour
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Jaden Schwartz a mis fin à la rencontre en touchant la cible après 1:40 de jeu en prolongation et les Blues de Saint Louis ont défait les Kings de Los Angeles 2-1.
Schwartz s'est échappé et son tir a frappé le poteau avant d'atteindre le patin gauche du gardien Jonathan Quick et de franchir la ligne des buts. Schwartz totalise trois buts et une aide en quatre matchs depuis qu'il s'est remis d'une blessure à une cheville qui l'a forcé à rater 49 rencontres.
Quelques instants avant le but de Schwartz, le gardien des Blues Brian Elliott a réussi un arrêt spectaculaire de la mitaine aux dépens de Milan Lucic.
Robby Fabbri a marqué en première période pour les Blues, qui ont gagné leurs quatre derniers matchs. Elliott a terminé la rencontre avec 34 arrêts à sa fiche.
Tyler Toffoli a répliqué en avantage numérique tôt en troisième période pour les Kings, qui ont encaissé un troisième revers de suite. Quick a stoppé 30 lancers.
Un voyage payant pour les Ducks
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Ryan Getzlaf, Rickard Rakell et Sami Vatanen ont récolté un but et une aide chacun et les Ducks d'Anaheim ont défait les Canucks de Vancouver 5-2.
Josh Manson et Kevin Bieksa, dans un filet désert, ont aussi touché la cible pour les Ducks. John Gibson a repoussé 19 lancers et les Ducks ont conclu un long voyage de sept parties avec une fiche de 5-1-1. Ils ont un dossier de 11-1-1 à leurs 13 dernières rencontres.
Jannik Hansen et Sven Baertschi ont répliqué pour les Canucks, tandis que Ryan Miller a stoppé 28 tirs. Les Canucks ont encaissé un troisième revers de suite - tous à domicile - et ont chuté à 0-5-1 à leurs six dernières parties au Rogers Arena. Daniel Sedin a récolté deux aides.
Les Ducks ont un dossier de 18-4-2 depuis Noël et ils accusent seulement deux points de retard sur les Kings de Los Angeles et le premier rang de la section Pacifique. Les Ducks avaient pourtant amorcé la campagne avec une fiche de 1-7-2.
Les Canucks ont chuté à huit points du dernier rang donnant accès aux séries éliminatoires dans l'Association Ouest.

mardi 13 octobre 2015

Steven Stamkos atteint le plateau des 500 points

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Lightning 6 - Bruins 3


BOSTON - Steven Stamkos a obtenu un 500e point quand son filet en avantage numérique a dénoué l'impasseet propulsé le Lightning de Tampa Bay vers un gain de 6-3 face aux Bruins de Boston, lundi.
« Oui, c'est quelque chose de spécial, a reconnu Stamkos, qui a atteint le plateau en 495 matchs. Vous ne savez jamais si ça vous sera possible de jouer durant longtemps dans la ligue. Je me sens privilégié, et je pense à beaucoup de gens qui m'ont aidé tout au long du chemin. Et de l'obtenir sur un but important qui mène à une victoire, c'est encore mieux. »
Le Lightning reste invaincu en trois matchs, tandis que les Bruins sont encore sans victoire après trois rencontres. Le club de Boston n'a pas connu un départ aussi difficile depuis 1999.
Brian Boyle (deux fois), Ondrej Palat, Jonathan Drouin et Valtteri Filppula ont aussi marqué pour le Lightning, qui a vu Ben Bishop repousser 27 tirs.
Chez les Bruins, David Krejci a fait mouche en début de match et Loui Eriksson a ajouté deux buts en avantage numérique. Tuukka Rask a fait 17 arrêts.
Le capitaine Zdeno Chara disputait son premier match de la saison, lui qui souffrait d'une blessure dans le haut du corps.
Première victoire de Bylsma à Buffalo
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La recrue Jack Eichel a marqué un but sans aide et les Sabres de Buffalo ont battu les Blue Jackets de Columbus 4-2 pour procurer une première victoire à l'entraîneur Dan Bylsma derrière le banc de l'équipe.
L'ancien de l'Université de Boston a battu Boone Jenner dans une bagarre pour la possession de rondelle et a déjoué le gardien Sergei Bobrovsky d'un tir rapide pour procurer aux Sabres une avance de 3-1 à 9:21 de la troisième période.
Rasmus Ristolainen, Ryan O'Reilly et Matt Moulson ont touché la cible en avantage numérique pour les Sabres. Moulson a récolté deux aides et Chad Johnson a repoussé 21 lancers pour aider les Sabres à rebondir après avoir encaissé deux revers en début de saison.
Scott Hartnell et Brandon Saad ont donné la réplique pour les Blue Jackets, qui montrent une fiche de 0-3, et Bobrovsky a terminé le match avec 29 arrêts.
Journée de trois points pour Tavares
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John Tavares a fourni un but en avantage numérique et deux mentions d'aide, alors que les Islanders de New York ont prévalu 4-2 aux dépens des Jets de Winnipeg.
Ryan Strome, Brock Nelson et Josh Bailey ont complété le pointage pour les Islanders, qui obtenaient leur premier gain dans leur nouveau domicile, le Barclays Center.
Thomas Greiss a bloqué 22 tirs, aidant les New-Yorkais à trouver le sentier de la victoire, après deux revers contre Chicago.
« Nous avons mieux joué dans tous les aspects du jeu, a dit Tavares. Nous avons bien fait en surnombre, et ça nous a donné un certain élan. Nous étions plus synchronisés, et aussi plus affamés pour aller chercher les rondelles libres. Ça fait du bien de signer une premier gain ici. »
Les Islanders ont converti deux de leurs six occasions avec l'avantage d'un homme.
« Nous avons obtenu beaucoup d'avantages numériques parce que nous avons travaillé fort et avons attiré des punitions, a dit Tavares. Avoir du succès dans ces éléments-là, ça fait une différence pour nous. »
La réplique des Jets est venue de Mark Scheifele et Dustin Byfuglien. Ondrej Pavelec a bloqué 40 tirs.
Les Jets amorcent la saison avec quatre matchs à l'étranger. Victorieux devant Boston et le New Jersey, avant ce revers à Brooklyn, ils vont conclure le séjour mardi au Madison Square Garden, contre les Rangers.

jeudi 24 septembre 2015

Steven Stamkos demeure concentré

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Steven Stamkos
Steven Stamkos (Source d'image: PC )

TAMPA, Fla. - Steven Stamkos insiste que les discussions concernant son contrat ne changent pas son objectif, qui est d'aider le Lightning de Tampa Bay à gagner la coupe Stanley.
Celui qui a obtenu deux fois le trophée Maurice-Richard, remis au meilleur marqueur de la LNH, s'est présenté au camp sans prolongation de pacte à long terme, la semaine dernière. Il a toutefois dit que cela n'affectait pas sa préparation pour la saison qui approche.
L'athlète de 25 ans entame la dernière campagne d'un contrat lui rapportant environ 5,5 M $ cette saison. Il est admissible à l'autonomie sans compensation en juillet 2016.
« Je suis encore le capitaine de l'équipe. Mon approche n'a pas changé du tout, a dit celui qui a fait partie de trois équipes d'étoiles. J'aime vraiment où je suis. Nous voulons remporter un championnat et je veux y contribuer.
« Les gars savent que le hockey est aussi une question d'affaires. Ils savent que je suis un leader. Il n'y a rien qui va affecter ma mentalité au camp. Ils savent à quoi ils peuvent s'attendre de moi. »
Le Lightning vient de connaître la meilleure saison régulière de son histoire (108 points), suivie d'un parcours jusqu'en finale de la coupe Stanley, où les Blackhawks de Chicago ont prévalu en six matches.
Premier choix du repêchage de 2008, Stamkos a déjà récolté 276 buts et 498 points, en 472 matches. Depuis six saisons, ses 253 filets ne sont surpassés que par les 256 d'Alexander Ovechkin, des Capitals de Washington.
Le Ligthning va amorcer sa saison régulière le 8 octobre à domicile, contre les Flyers de Philadelphie.

lundi 25 mai 2015

Bishop répond, Stamkos se lève

http://www.journaldemontreal.com/

<b></b>
Lightning

Le Lightning l’emporte 2 à 0 et s’approche à un match de la finale


Jonathan Bernier
NEW YORK | Après Henrik Lundqvist, vendredi soir, ce fut au tour de Ben Bishop d’éliminer, hier au Madison Square Garden, toute interrogation à son sujet.
Déjoué 10 fois au cours des deux matchs précédents, le gardien du Lightning a repoussé les 26 tirs des Rangers auxquels il a fait face.
Ce deuxième jeu blanc des séries du gardien américain, jumelée à la soirée de deux points de Steven Stamkos, a permis au Lightning de l’emporter 2 à 0 et, d’ainsi, prendre les devants trois victoires à deux dans cette finale de l’Association de l’Est.
Le Lightning aura l’occasion d’éliminer les Rangers, devant ses partisans, demain. Ce faisant, l’équipe floridienne serait la première à se qualifier pour la finale de la coupe Stanley 2015. Une étape qu’elle atteindrait pour la deuxième fois de son histoire.
En 2004, lors de sa seule présence en ronde ultime, le Lightning, mené par Brad Richards, Martin St-Louis et Vincent Lecavalier, avait rafflé les grands honneurs en venant à bout des Flames de Calgary au terme d’une spectaculaire série de sept rencontres.
Le vent tourne
Les Rangers avaient pourtant dominé la première moitié du match. Spécialement le premier vingt où, malgré seulement six tirs au but, ils avaient exercé un contrôle constant de la rondelle. Débordé et passant de longues minutes dans son propre territoire, le Lightning n’a jamais été capable d’organiser quelque attaque que ce soit.
Deux événements ont fait tourner le vent en faveur des visiteurs: l’incapacité des Blueshirts de profiter de quatre supériorités numériques et le but de Valtteri Filppula, inscrit une minute et demie après cette quatrième punition.
Un jeu amorcé par Anton Stralman, dont la vision du jeu lui a permis de repérer Stamkos profondément en territoire neutre.
Le tir des poignets de Filppula, décoché depuis l’enclave, n’a laissé aucune chance à Henrik Lundqvist.
Stamkos rejoint St-Louis et Lecavalier
Dès lors, le Lightning, qui avait passé les 33 premières minutes de la rencontre à se défendre, est passé en mode attaque.
Stamkos a ajouté un deuxième point à sa soirée de travail en doublant l’avance des siens avec moins de deux minutes à écouler à la période médiane.
Oublié dans l’enclave, le capitaine du Lihtning a complété une belle manoeuvre de Nikita Kucherov et d’Ondrej Palat. Un but inscrit en supériorité numérique.
Ce faisant, Stamkos a égalé une marque d’équipe détenue conjointement par Martin St-Louis (2003) et Vincent Lecavalier (2007) avec un but dans un quatrième match de séries consécutif.
Une formule payante
Cette victoire aurait pu être coûteuse pour le Lightning. Utilisant la formule des sept défenseurs et 11 attaquants, Jon Cooper a vu Cédric Paquette tomber au combat dans la première portion du premier engagement.
Blessé au poignet droit en bloquant un tir de Derick Brassard, le Gaspésien n’a eu d’autre choix que de retraiter au vestiaire. Bien qu’il soit revenu dans le match dans les dernières minutes de cet engagement initial, Paquette n’a effectué que quelques sporadiques présences.
La formule de Cooper fut payante lorsqu’il a perdu les services de Braydon Coburn. Le défenseur n’a pas été vu sur le banc des siens de toute la deuxième période. Bien qu’il soit revenu dans la rencontre au début du tiers suivant, il n’a effectué aucune présence. Au moment de mettre sous presse, on ignorait la nature de sa blessure.