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jeudi 21 septembre 2017

RDS : les expériences se poursuivent


Le Canadien disputera un troisième match préparatoire et un deuxième en autant de jours ce soir, alors qu’il accueillera les Devils du New Jersey dès 19 h sur les ondes de RDS.
Ce sera alors une autre occasion pour le trio composé de Phillip Danault, d'Alex Galchenyuk et de Brendan Gallagher de développer une certaine chimie.
En défense, le Tchèque Jakub Jerabek disputera notamment un deuxième match de suite, alors qu’Éric Gélinas, qui est à l’essai, en sera lui aussi à une deuxième rencontre préparatoire après avoir dû passer son tour mercredi face aux Capitals de Washington.
Carey Price et Zachary Fucale se partageront quant à eux le travail devant le filet.
Du côté des Devils, le tout premier choix du dernier repêchage de la LNH, l’attaquant Nico Hischier, sera en uniforme, tout comme le jeune vétéran Taylor Hall.
L’attaquant québécois Brandon Gignac participera lui aussi à la rencontre.
Keith Kinkaid et Ken Appleby seront les gardiens du New Jersey.
La formation du Canadien à l’entraînement :
Galchenyuk-Danault-Gallager
Byron-Audette-Scherbak
Carr-Mitchell-Waked
Martinsen-De La Rose-McCarron
Jerabek-Petry
Morrow-Lernout
Gélinas-Redmond
Price
Fucale

jeudi 3 mars 2016

Galchenyuk marque, McCarron s'impose

« Le groupe s’est tenu debout »


Images of Francois Gagnon
ANAHEIM - Oubliez le score final. Il ne compte pas vraiment. Il ne compte plus en fait, même si le Canadien assure vouloir gagner tous les soirs.
Ce qui compte toutefois, c’est que face à un autre adversaire redoutable dans sa virée en Californie, le Canadien s’est très bien repris au surlendemain de sa défaite gênante (6-2) de lundi à San Jose. Meilleure équipe de la LNH depuis Noël (23-4-2), les Ducks ont dû revenir de l’arrière par deux fois pour forcer la tenue d’une prolongation. Ils ont même dû se rendre en fusillade pour finalement venir à bout d’une équipe qui s’est plus que bien défendue. Une équipe qui s’est même permis de mettre de la pression et de se dresser devant un adversaire plus gros, plus fort et surtout sur une extraordinaire lancée.
Avec leur gain de 3-2, les Ducks surfent maintenant sur une séquence de neuf victoires consécutives. Ils pourront égaler le record d’équipe dès jeudi alors qu’ils rendront visite aux Coyotes en Arizona pendant que le Canadien croisera les Kings à Los Angeles. Après avoir connu le meilleur mois de leur histoire en février (12-1-1), les Ducks n’ont perdu qu’une seule fois en temps réglementaire (16-1-1) à leurs 18 derniers matchs.
Malgré tout, c’est dans le vestiaire du Canadien et non dans celui des Ducks que les commentaires étaient les plus positifs. Avec raison.
« J’ai beaucoup aimé la façon dont nous avons joué ce soir. Je suis satisfait de l’effort », a commenté Michel Therrien.
La seule chose que Michel Therrien n’a pas aimée, c’est la clémence des arbitres à l’endroit d’Andrew Cogliano après qu’il eut mis le défenseur Greg Pateryn en échec par-derrière. « Je considère que c’était un très mauvais jugement de l’arbitre. Notre joueur a dû subir 12 points de suture pour refermer la blessure. Je ne pouvais rester indifférent derrière le banc », a commenté l’entraîneur-chef du Canadien, qui a d’ailleurs écopé une pénalité mineure d’inconduite.
Comme son entraîneur-chef, Max Pacariotty a lui aussi réagi. Il s’est lui aussi retrouvé au cachot après qu’il eut vengé Pateryn en rudoyant son assaillant. Une réaction que son coach a appréciée. « Max a pris la bonne décision pour pallier le manque de jugement de l’arbitre », a plaidé Therrien en guise de défense à l’endroit de son capitaine.
Après avoir assuré en matinée qu’ils se devaient de craindre la vitesse du Canadien, les Ducks n’ont pas pris les moyens pour endiguer cette vitesse en cours de partie.
« On a trouvé une façon de gagner, mais il n’y a pas de quoi être fiers de notre performance. Cela dit, il faut leur donner du crédit. Ils ont joué du hockey très solide. Ils ont offert beaucoup d’opposition et nous n’avons pas bien réagi », a commenté Corey Perry qui a marqué le but qui a envoyé les deux clubs en prolongation à mi-chemin en troisième. Un but en avantage numérique qui a complété un jeu magnifique de David Perron.
Parlant de Perron, après s’être contenté de quatre buts et 16 points en 43 parties avec les Penguins en début de saison, le Québécois a récolté mercredi son 17e point (dont sept buts) en 19 matchs à Anaheim. Plus gros contraste encore, son différentiel qui était de moins 13 avec les Penguins et de plus 14 depuis qu’il endosse le chandail des Ducks.
McCarron relève le défi
Signe que l’heure est vraiment aux expériences chez le Canadien, signe aussi que le jeune joueur de 20 ans attise l’état-major par le potentiel qu’il déploie depuis son rappel du club-école, Michael McCarron était au centre d’Alex Galchenyuk et Lars Eller mercredi soir. Une belle promotion pour le jeune centre qui a très bien répondu.
Sur le plan hockey, McCarron a contribué aux succès de son trio qui a généré plusieurs bonnes occasions de marquer. Ce qu’Alex Galchenyuk a d’ailleurs fait à deux reprises (avec ses 18e et 19e buts) pour une quatrième fois cette saison.
Galchenyuk s’est servi de son tir et de sa rapidité pour marquer ses deux buts aux dépens de John Gibson, qui pourrait bien être son coéquipier au sein de l’équipe des jeunes âgés de moins de 24 ans lors de la prochaine Coupe du monde.
Tout un contraste avec la lenteur et la multiplication de feintes que Galchenyuk sort d’on ne sait trop où lorsqu’il se présente en tirs de barrage. Après l’occasion bousillée encore hier soir, Galchenyuk n’affiche qu’un but cette saison en huit tentatives. Un signe qu’il devrait peut-être utiliser ses armes de prédilection même en fusillade.
Avec sa soirée de deux buts, Galchenyuk a réagi de la bonne façon pour souligner aux dirigeants de l’équipe des moins de 24 ans qu’ils ont peut-être commis une erreur en refusant d’inscrire son nom sur la liste des 16 premiers joueurs sélectionnés. Une décision qu’ils pourront corriger d’ici le premier juin prochain. Surtout si Galchenyuk maintient son rythme actuel, lui qui affiche cinq buts à ses quatre derniers matchs et qui compte neuf buts et 12 points à ses 15 dernières parties.
Michael McCarron n’a pas récolté de passe sur le premier but. Il n’était pas sur la glace pour le deuxième. Mais il s’est plusieurs fois fait remarquer pour les bonnes raisons au cours de ses 18 présences totalisant 13:26 de temps d’utilisation.
Il l’a fait aussi en jetant les gants devant le défenseur Kevin Bieksa, qui venait d’envoyer Lars Eller cul par-dessus tête avec une mise en échec assénée alors que l’attaquant du Canadien avait les yeux rivés sur la patinoire pour retrouver une rondelle perdue du regard et qu’il était surtout immobile.
« Je vous l’avais dit ce matin. Mon but premier ce soir était de contribuer aux succès de mon trio en donnant de l’espace de manœuvre à mes ailiers. Je suis satisfait de ce que nous avons généré. Je suis surtout satisfait, car nous avons disputé 60 minutes de bon hockey. Quant à ma réaction de venir en aide à un coéquipier, elle était tout à fait normale, car je considérais que la mise en échec était illégale. Si je suis sur la glace lors d’un jeu semblable, je dois réagir », a expliqué celui qu’on pourrait surnommer Big Mac... au sens propre.
« On s’est donné plus de grosseur au centre avec le rappel de McCarron, avec l’arrivée de Danault (Phillip) et avec le retour de De La Rose (Jacob) », a commenté Michel Therrien.
Entrées réussies
Outre McCarron qui s’est signalé chez les jeunes, Stefan Matteau a connu un bon premier match dans l’uniforme du Canadien et le défenseur Morgan Ellis a bien paru dans le cadre de son tout premier match en carrière dans la LNH.
Matteau a livré quelques bonnes batailles le long des bandes, il a bousculé ses adversaires à quelques reprises même si les officiels mineurs ne lui ont pas accordé la moindre mise en échec et il a réussi quelques bons jeux en échec-avant. Sans être spectaculaire, Ellis s’est bien débrouillé. Tellement que Michel Therrien a convenu après la rencontre que le jeune défenseur l’avait forcé à lui donner un autre match.
Bien qu’il ait perdu mercredi à Anaheim, le Canadien a récolté un point qui aidera à récompenser les efforts déployés dans le cadre d’un duel qui s’annonçait beaucoup plus inégal. Et ça, c’est important pour le moral des troupes.
« C’est plaisant de voir que l’ensemble de l’équipe donne du hockey solide malgré la situation. Nous n’avons pas été bons lundi à San Jose, mais avant cette partie, je trouve que nous jouions bien collectivement. Il faut garder le rythme », a indiqué le capitaine.
Le Canadien s’est rendu à Los Angeles tout de suite après la rencontre face aux Ducks. Il affrontera les Kings jeudi. Ben Scrivens viendra en relève à Mike Condon qui a disputé un match solide contre les Ducks. Un match qui lui a permis, comme ses coéquipiers, de faire oublier, au moins en partie, la dégelée de lundi. « On avait un plan au début du voyage et nous l’avons respecté malgré le résultat de lundi, car nous voulions permettre à Ben (Scrivens) d’affronter son ancienne équipe à Los Angeles », a expliqué Michel Therrien.
Le Canadien complètera donc sa virée californienne jeudi soir au Staples Center. Il mettra ensuite le cap sur Winnipeg où il complètera son dernier long voyage de la saison face aux Jets.

Ignoré par l'équipe américaine, Galchenyuk joue son meilleur hockey

Publié par Charles Payette pour 98,5fm Sports le jeudi 03 mars 2016 à 06h12. Modifié à 06h35.
Ignoré par l'équipe américaine, Galchenyuk joue son meilleur hockey
Alex Galchenyuk mis en échec par Ryan Garbutt/AP Photo/Jae C. Hong
(98,5 Sports) - Quelques heures après que son nom fut ignoré par l'équipe nord-américaine (moins de 23 ans) qui prendra part à la Coupe du monde, Alex Galchenyuk a marqué deux «buts-signature» dans un revers de 3-2 du Canadien en tirs de barrage à Anaheim.
Galchenyuk inscrivait son doublé face au club de l’heure dans la LNH, les Ducks (34-19-8), portant son total à 19 buts, un de moins que son plus haut total en carrière en une saison inscrit la saison dernière. Le no 27 du CH (30-28-6) a touché la cible cinq fois à ses trois dernières rencontres.

«Dommage d’être encore du côté des perdants car c’était un match serré contre une grande équipe, a commenté Galchenyuk après le match. Nous étions impliqués et c’était facile de demeurer concentré.»

L'entraîneur Michel Therrien a dit après le match qu'il ne croyait pas que Galchenyuk ait brillé parce qu’il a été ignoré lors de la sélection préliminaire d’Équipe Amérique du Nord.

«Non. Alex joue très bien dernièrement. Je suis un peu déçu pour les gars qui n’ont pas été nommés, mais je suis content pour ceux qui ont été nommés.»

Autre gros match de Galchenyuk :


Autre gros duel à L.A

«Les Ducks ont soutiré le meilleur effort de notre part. On a aimé de la manière dont nous nous sommes battus, mais ils nous ont fait payer avec leur jeu de puissance», a dit le capitaine Max Pacioretty qui se préparait déjà à un autre grand défi à Los Angeles, ce soir, contre les Kings (22h à Cogeco Media).

L'entraîneur des Ducks, Bruce Boudreau abondait dans le même sens et avait des commentaires élogieux envers ses adversaires.

«Je ne crois pas que nous avons bien joué mais on s'en sort ces jours-ci. On doit donner crédit au Canadien qui a vraiment tout donné.»

Les Ducks (34-19-8) ont inscrit au moins un point dans leurs onze derniers matchs et dans 19 des 21 dernières rencontres.

mercredi 13 janvier 2016

Kassian, Beaulieu, Galchenyuk : la liste s'allonge...

http://www.rds.ca/hockey/canadiens/

La vie privée et les performances sur la glace


Images of Francois Gagnon
L’épisode de violence conjugale impliquant Alex Galchenyuk relève de sa vie privée. On sera tous d’accord. Du moins, je l’espère.
Si Galchenyuk avait donné les baffes plutôt que les avoir encaissées, ce serait une autre histoire. Si c’est lui qui avait passé la nuit en prison et qui faisait l’objet d’une enquête afin de déterminer le bien-fondé, ou non, de déposer des accusations criminelles contre lui, ce serait bien sûr une tout autre histoire. L’incident aurait déjà pris des proportions bien plus grandes. Sur toutes les tribunes, on parlerait de l’affaire Galchenyuk et le logo du Canadien serait entaché.
Mais on n’en est pas là.
Le fait que Galchenyuk soit la « victime » dans cette affaire fera simplement du jeune attaquant une cible de choix pour ses adversaires qui trouveront bien une façon de lui rappeler l’incident survenu dans la nuit de samedi à dimanche afin de le déconcentrer sur la patinoire. Comme s’il avait besoin de ça pour rendre plus difficile encore une saison qui l’est déjà pas mal.
Pourquoi alors se pencher sur ce triste épisode de la vie privée de Galchenyuk?
Parce que cet incident hors glace – un appel d’urgence a quand même été logé au service 9-1-1 obligeant ainsi une intervention policière au domicile de Galchenyuk – est le troisième à chambouler la vie privée des joueurs du Canadien cette saison.
Un épisode, c’est un accident de parcours. Deux : c’est un avertissement. Trois : c’est un signal qu’il faudrait peut-être se pencher plus sérieusement sur ce qui se passe dans l’entourage du Canadien.
Zack Kassian avait un passé associé à des ennuis de surconsommation de drogues et/ou de stupéfiants. Et comme il a embouti un arbre avec la camionnette qu’il occupait et qu’il a subi une fracture à une cheville, il lui a été impossible d’échapper à l’attention médiatique. Suspendu illico par la Ligue, il s’est retrouvé en cure et le Canadien l’a échangé dès qu’il est revenu dans l’entourage de l’équipe.
Il y a ensuite eu Nathan Beaulieu et Christian Thomas qui ont entaché leur image personnelle et celle du Canadien en même temps en étant les « vedettes » d’une vidéo compromettante tournée dans un bar d’abord et ensuite dans un appartement. Parce qu’il n’y avait que peu de place, ou pas de place du tout, pour Thomas dans le futur du Canadien, il a vite été échangé.
Mais comme Beaulieu est plus qu’un simple pion dans l’avenir du Canadien à la ligne bleue, il était impossible de le larguer vite fait sans prendre les risques de ne rien obtenir en retour.
Et voilà que c’est au tour de Galchenyuk – qui était accompagné de Devante Smith-Pelly – de se retrouver dans une situation délicate.
Encore une fois très tard dans la nuit. Encore une fois dans des circonstances qui sont loin de favoriser les critères de bonnes formes physiques essentielles – du moins, il me semble – pour maximiser les chances de réussite sur des patinoires de la LNH.
Pour toutes ces raisons, la question qui suit mérite d’être posée : le Canadien est-il miné par des ennuis hors patinoire impliquant un ou des joueurs? Si oui, le problème est-il répandu? Si oui, quels sont les moyens qui doivent être pris, et pris rapidement, pour éviter que ce problème, s’il en est un, s’ajoute à la perte de Carey Price et à la panne offensive de l’équipe et contribue à plonger le Canadien plus creux au classement?
Ces réponses viendront du bureau de Marc Bergevin.
À titre de directeur général, c’est lui qui doit faire le tour de son vestiaire. Il doit obtenir les informations qui lui permettront de brosser le véritable portrait de la situation. Il devra ensuite prendre les moyens nécessaires pour corriger une situation qui semble exiger correction. Tout ça, bien sûr, avec la complicité de son propriétaire Geoff Molson qui, au-delà les mots réconfortants qu’il lance à l’endroit de ses joueurs et de son état-major, pourrait commencer à exiger un retour positif sur l’investissement qu’il verse en salaire. Un retour positif sur la patinoire bien sûr, mais aussi à l’extérieur.
Les joueurs du Canadien, comme ceux des 29 autres équipes de la LNH, deviennent des super-étoiles de plus en plus jeunes. Ces jeunes sont riches. Non... très riches. Ils sont adulés. Ils sont vénérés.
Mais ils sont aussi payés pour jouer au hockey. Pour bien jouer au hockey et contribuer aux succès de leur équipe.
Si le Canadien gagnait en ce moment comme il le faisait en octobre dernier et que Galchenyuk était en voie de connaître une saison du tonnerre, le genre de saison que tous attendent, mais qui ne semble pas vouloir se montrer le bout du nez, le dernier incident n’attirerait pas l’attention. Ou bien peu.
Mais voilà! Non seulement le Canadien perd, perd souvent, perd trop souvent, mais l’équipe ne joue pas à la hauteur des attentes. Et plusieurs joueurs, dont Galchenyuk, sont loin d’offrir le rendement exigé de leur part.
D’où l’importance accrue accordée à la nouvelle entourant la rixe qui a mis fin à une soirée à son domicile et qui a nécessité l’intervention des policiers.
Quand le Canadien, sous Jean Perron, était sans gouvernail autant sur la patinoire qu’à l’extérieur de la glace, le grand Serge Savard a donné le coup de barre qui s’imposait. Il s’est tourné vers Pat Burns pour remplacer Jean Perron. L’ancien policier qui était aussi tout un coach de hockey a mis ses connaissances et ses qualités au service de Savard et du Canadien pour rétablir l’ordre autant dans le vestiaire que sur la patinoire.
Marc Bergevin doit imiter Savard.
Non! Il n’a pas à congédier Michel Therrien sur-le-champ et à se chercher un nouveau Pat Burns. Mais il doit faire équipe avec son coach afin que l’état-major reprenne un contrôle qui semble faire défaut en ce moment. Autant sur la patinoire qu’à l’extérieur.
Avec l’équilibre qui règne autour de la LNH depuis quelques années, il est impensable qu’une équipe qui ne peut compter sur l’implication totale de tous ses joueurs – que ce soit en raison des blessures, de cas de mauvaises attitudes ou encore de mauvaises habitudes à l’extérieur de la patinoire – puisse croire en ses chances de gagner plus souvent qu’elle ne perd.
Bergevin a rencontré Galchenyuk et Smith-Pelly après l’entraînement mardi. Que fera-t-il ensuite pour aider la cause de son équipe? Accentuera-t-il ses efforts pour conclure une transaction significative? Se débarrassera-t-il plus simplement d’un joueur marginal comme l’est DSP simplement pour servir un autre avertissement à ses joueurs? Prendra-t-il des mesures disciplinaires plus sévères pour s’assurer d’être pris au sérieux dans le vestiaire?
Marc Bergevin a refusé de répondre aux questions des journalistes aujourd’hui. Son entraîneur-chef Michel Therrien ne parlera que mercredi à la veille du match contre les Blackhawks de Chicago. Il faudra donc attendre avant d’obtenir une réponse ou à tout le moins une idée des plans de l’état-major.
Cela dit, les actions du Canadien, autant sur la patinoire qu’à l’extérieur de la glace, devraient nous guider vers des formes de réponses au cours des prochains jours.
Et je ne parle pas ici du retour sur patins de Carey Price. Un retour qui est la première vraie bonne nouvelle dans ce dossier depuis un très long moment.
Combien de temps faudra-t-il à Price pour être prêt à revenir devant son but? Je ne le sais pas. Et comme je vous l’ai déjà soumis, cette réponse ne me préoccupe pas trop. Ce n’est pas la date du retour au jeu de Price qui me préoccupe, c’est de savoir si ce retour au jeu sera le bon. S’il pourra garder le filet pour amener le Canadien le plus loin possible en séries au lieu de redonner à Mike Condon et Ben Scrivens le mandat bien ingrat de le remplacer.
Dans ce cas-ci également, les prochains jours devraient nous amener des réponses.