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TVA Sports
Publié | Mis à jour
Être capitaine dans un marché québécois soulève nécessairement la question de la langue et Subban a lancé des déclarations lourdes de sens à ce sujet.
«Apprendre le français a toujours été un effort constant pour moi, peu importe si tu es capitaine ou non. J’apprends avec un tuteur, deux fois par semaine», a commenté le défenseur.
«Si tu joues 10 ans à Montréal, tu veux connaître le français. J’aurais honte de ne pas parler français après autant de temps.»
La journée des Canadiens à Laval-sur-le-lac
- Il y aura un capitaine
- Galchenyuk jouera finalement au centre
- Un entretien confus avec Semin
- «Ce serait un honneur d’être capitaine» - Pacioretty
- Plekanec, «difficile à remplacer»
- Price a décroché
- Molson met la barre haute
La référence est certainement accidentelle, mais les partisans se souviendront du séjour de Saku Koivu à Montréal. Le retraité finlandais, anciennement capitaine du CH, n’a pas appris le français en 13 saisons chez le Tricolore, lors desquelles il a rendu de fiers services au club, faut-il le souligner.
Subban a été l’un des quatre adjoints nommés en 2014-2015 avec Max Pacioretty, Andrei Markov et Tomas Plekanec en l’absence d’un capitaine officiel. En tant que leader, le titulaire d’un contrat de huit ans d’une valeur totale de 72 millions $ se réjouira s’il devient capitaine, mais cela n’aura pas d’impact sur son travail.
«La direction ne prendra de mauvaise décision, surtout avec l’équipe qu’on a. Sur le plan personnel, ce fut une étape pour moi d’avoir une lettre sur mon chandail. Tu joues pour le patrimoine de cette équipe, c’est un privilège. Si je deviens capitaine, je continuerai de gagner en maturité et de m’améliorer.»