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lundi 12 décembre 2016

Canadiens-Bruins: gros lundi, petite semaine

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Publié par 98,5 FM pour 98,5fm Sports le lundi 12 décembre 2016 à 07h31.
98,5 Sports

(98,5 Sports) - Si les joueurs parviennent à se rendre au Centre Bell (!), ce soir, les Canadiens de Montréal accueilleront les Bruins de Boston dans l'une des deux rencontres au programme dans le circuit Bettman.

Le Tricolore a débloqué en attaque au cours des deux derniers matchs avec 15 buts. Max Pacioretty devrait affronter les Bruins en pleine confiance après une soirée de quatre buts, samedi soir, contre l'Avalanche du Colorado.
Par la suite cette semaine, le Tricolore jouera exceptionnellement un vendredi soir au Centre Bell lors de la visite des Sharks de San Jose. Le lendemain, les hommes de Michel Therrien se rendront à Washington pour un duel face aux Capitals.
De leur côté, les Bruins (15-12-2) voudront se relever d'une défaite de 4-1 à domicile, subie samedi soir, aux mains des Maple Leafs de Toronto.
Brad Marchand a inscrit l’unique filet; ce dernier domine d’ailleurs l’équipe avec 25 points, dont huit buts. La recrue David Pastrnak est le meilleur franc-tireur avec 18 buts.
Le gardien Tuukka Rask connait une bonne campagne comme en font foi sa fiche de 14-5, sa moyenne de 1,85 et un taux d'efficacité de ,930.

vendredi 27 novembre 2015

«Ce que je cherche avec un 2e contrat dans la LNH, c'est d'avoir du succès» - Guy Boucher

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Publié par Danielle Arsenault pour 98,5fm Sports le jeudi 26 novembre 2015 à 19h40. Modifié à 20h54.
«Ce que je cherche avec un 2e contrat dans la LNH, c'est d'avoir du succès» - Guy Boucher
Guy Boucher / La Presse Canadienne
(98,5 Sports) - Bien qu'il ait été congédié de son poste d'entraîneur-chef du SC Berne en Suisse il y a environ une semaine, Guy Boucher prendra son temps afin de dénicher un prochain boulot qui lui permettra de s'épanouir complètement comme homme de hockey.
Entrevue avec Guy Boucher
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Son objectif est clair, il veut revenir en Amérique du Nord afin de pouvoir retrouver un poste dans la LNH.

Même si sa première expérience dans le circuit Bettman avec le Lightning de Tampa Bay a été de courte durée, Guy Boucher estime qu’il a encore sa place dans la Ligue nationale.

Il s’inspire des succès actuels d’entraîneurs-chefs comme Alain Vigneault, Michel Therrien et Bob Hartley qui ont tous dû abandonner momentanément leur rêve de diriger dans la LNH avant de pouvoir y revenir.

«Je pense que la plupart des entraîneurs de qualité et d’expérience finissent habituellement par se retrouver quelque chose. Mais le but, ce n’est pas de se retrouver quelque chose vite, mais plutôt d’avoir une bonne opportunité au bon moment avec les bonnes personnes parce que ce que tu veux, c’est une chance d’avoir du succès. Coacher dans la LNH avec un club qui a aucune chance de gagner, ça devient très rapidement l’enfer. Donc, l’idéal, c’est de revenir dans la LNH avec une bonne situation. Moi avec mon deuxième contrat de la LNH, ce que je cherche, c’est d’avoir du succès», a-t-il confié au micro de Mario Langlois, jeudi, dans le cadre de l'émission Les Amateurs de Sports.

Ouvert à toutes les propositions

Sans surprise, Guy Boucher rêve de revenir dans la LNH en tant qu’entraîneur-chef, mais il n’est pas fermé à l’idée d’être un adjoint.

«Évidemment, (instructeur) en chef, c’est la priorité. Mais des fois, on peut se retrouver dans des situations où tu n’es pas en chef, mais tu te retrouves avec des individus où tu peux apprendre ou avec des équipes gagnantes.»

Et Boucher ne croit pas que ses années loin de la LNH seront un désavantage pour lui. Il admet d’ailleurs avoir dû refuser quelques offres l’an dernier parce qu’il voulait respecter son contrat sans clause de sortie avec le SC Berne.

«J’ai été obligé de refuser trois jobs, deux pour s’occuper de l’avantage numérique et une autre comme coach associé. C’était de superbes opportunités avec des individus de qualité. Et cet été j’avais une petite fenêtre où j’avais le droit d’accepter une job et il y a eu trois équipes qui étaient intéressées à moi en tant qu’entraîneur-chef, mais ça ne s’est pas soldé par un boulot», a-t-il expliqué.

La Coupe Spengler


Contrairement à sa première expérience derrière le banc d’équipe Canada, l’entraîneur-chef estime qu’il aura plus de facilité à obtenir les joueurs désirés

«L’an dernier, c’était plus difficile d’avoir les joueurs qu’on voulait, il y a avait beaucoup de blessés, beaucoup de joueurs qui n’étaient pas capables de participer. Cette année, quand on va dévoiler les noms, surtout à l’attaque, on a des noms connus. Ça va donc me laisser beaucoup plus d’outils pour travailler.»

Au terme de ce tournoi, Guy Boucher n’est pas encore certain s’il rentrera immédiatement au pays avec toute sa famille. Comme il n’a pas encore de maison au Québec et qu’il veut éviter que ses enfants ne changent d’école plus d’une fois, il se pourrait qu’il demeure en Suisse jusqu’à ce qu’il ait trouvé du boulot derrière un banc de hockey en Amérique du Nord.

Aux yeux de Boucher, cette expérience en Suisse a fait de lui un meilleur entraîneur-chef.

«Le simple fait d’être ailleurs, loin de ta famille, c’est beaucoup de choses à gérer. On ne dirige pas du hockey, on dirige des individus. C’est dur d’entendre les critiques dire, lorsqu’un joueur ne joue pas bien, qu’il devrait être échangé alors que toi, tu sais qu’il a de la misère à s’adapter, que ça ne va pas bien à la maison ou qu’il y a quelqu’un de malade. Mais ça tu ne peux pas l’annoncer. On sait très bien que n’importe qui dans cette situation aurait de la difficulté à performer, mais on ne peut pas en parler. Parfois, c’est dur à gérer», a-t-il indiqué.

mardi 6 octobre 2015

P.K. Subban est un homme averti, selon Stéphane Quintal

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Publié par 98,5 fm pour 98,5fm Sports le lundi 05 octobre 2015 à 23h55. Modifié par Charles Payette le mardi 06 octobre 2015
P.K. Subban est un homme averti, selon Stéphane Quintal
Le défenseur du Canadien P.K. Subban donne une mise en échec à Alex Ovechkin./Photo: PC, Paul Chiasson
(98,5 Sports) - Dans la foulée de la suspension de 41 matchs de l'attaquant des Sharks de Raffi Torres, le vice-président de la sécurité des joueurs de la Ligue nationale de hockey (LNH), Stéphane Quintal, n'a pas chômé. En entrevue au 98,5 Sports, il a affirmé qu'il a contacté près d'une centaine de joueurs l'an dernier, dont P.K. Subban, afin de discuter de certains de leurs comportements répréhensibles sur la patinoire.
Au dire de Stéphane Quintal, «le message commence vraiment à passer» au sein des joueurs concernant les gestes dangereux. D'après lui, il existe quelques comportements qu'il faut éliminer autant que possible dans le circuit Bettman.

«En premier, c’est le coup à la tête. Ensuite, c’est la mise en échec par-derrière. L’an passé, il y a eu une autre tendance, soit les coups de genou. À 95 pour cent, ce geste dangereux est commis par les défenseurs. C’est une réaction naturelle pour tenter d’arrêter un joueur qui essaye de battre le défenseur à droite ou à gauche. J’ai fait beaucoup d’appels pour m’assurer que ça n’arriverait plus.»

Le croque-en-jambe de P.K.

Au sujet du fameux croque-en-jambe utilisé à maintes reprises lors des matchs par P.K. Subban, Quintal a confirmé qu’il avait discuté de ce geste dangereux avec le défenseur étoile du Canadien.

«C’est une habitude qu’il a de faire ça, donc ça devient presque naturel quand il va dans le coin de mettre son patin en arrière [du patin de l’adversaire], a expliqué Quintal. Je lui ai dit de faire attention parce que la prochaine fois, il se ferait suspendre. On a suspendu Marchand à Boston pour la même chose.»

«C’est de l’éducation et de la prévention qu’on doit faire», a souligné le vice-président à la sécurité des joueurs [...] J’espère que le message est lancé aussi aux directions des équipes, a-t-il poursuivi. Je pense qu'on a envoyé le message qu'on veut s'occuper des récidivistes.»

Rappelons que Raffi Torres, un récidiviste, avait déjà été suspendu à quatre reprises au cours de sa carrière dans la LNH avant le geste posé à l'endroit deJakob Silfverberg. Il a notamment purgé 25 matchs de suspension pour une mise en échec illégale aux dépens de l'attaquant des Blackhawks de Chicago Marian Hossa, en 2012, à l'époque où il jouait pour les Coyotes de l'Arizona.

vendredi 31 juillet 2015

Franchise de la LNH: Québecor cherche des partenaires

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Mis à jour le 30 juillet 2015 à 16h58
Le président et chef de la direction de... (Photo Paul Chiasson, archives PC)
PHOTO PAUL CHIASSON, ARCHIVES PC

Le président et chef de la direction de Québecor, Pierre Dion, et le commissaire de la LNH, Gary Bettman

JULIEN ARSENAULT
La Presse Canadienne
Après avoir déposé la semaine dernière sa candidature auprès de la Ligue nationale de hockey (LNH) dans le cadre du processus d'expansion, Québecor est maintenant à la recherche de partenaires intéressés à ramener les Nordiques à Québec.
Le conglomérat veut s'assurer d'une participation majoritaire dans la franchise, mais lancera un processus afin trouver des partenaires pour l'aider à payer la facture de 500 millions US exigée par le circuit Bettman.
«Nous croyons que cela va générer un niveau d'intérêt assez élevé», a expliqué jeudi le président et chef de la direction de Québecor, Pierre Dion, lors d'une conférence téléphonique pour discuter des résultats du deuxième trimestre de l'entreprise.
La direction de la société établie à Montréal a dit vouloir une participation majoritaire dans une équipe puisque les Nordiques, s'ils devaient ressusciter, stimuleraient ses autres secteurs d'activité, comme celui de la câblodistribution.
Québecor a déjà des liens avec la LNH puisque sa chaîne sportive détient, jusqu'en 2026, les droits de télédiffusion en français de ses matchs au Canada.
Même s'il a été évoqué par les analystes financiers, un scénario dans lequel le conglomérat se retrouverait seul pour allonger les 500 millions US requis n'a pas même pas semblé figurer dans les plans de la direction.
«Je ne peux pas commenter puisque les discussions initiales avec certains partenaires ont démontré qu'il semblait y avoir de l'intérêt, a répondu le directeur financier du conglomérat, Jean-François Pruneau. Il n'y a eu rien de formel.»
La Caisse de dépôt et placement du Québec, coactionnaire de Québecor dans Québecor Media, n'a pas voulu dire si elle serait intéressée à injecter de l'argent dans le dossier. En 2001, l'institution avait notamment consenti un prêt de 140 millions à l'homme d'affaires George Gillett lorsqu'il avait mis la main sur le Canadien de Montréal et le Centre Molson - maintenant le Centre Bell.
De son côté, le Fonds de solidarité FTQ - dont la participation dans le Tricolore s'élève à 20,8 millions - a fait savoir qu'il n'avait pas reçu de «demande formelle» du conglomérat pour le moment.
«Si une telle demande nous était soumise, elle serait analysée, comme toutes les propositions d'investissement, en fonction de nos critères», a indiqué par courriel sa conseillère principale aux relations publiques, Johanne Bissonnette.
Par ailleurs, le directeur financier de Québecor a dit ignorer si le montant exigé par la LNH pour l'obtention d'une équipe d'expansion devra être payé en un seul versement ou s'il sera possible d'échelonner les paiements sur une certaine période.
Dans l'attente d'une décision du circuit Bettman, M. Dion a expliqué que plusieurs commanditaires qui veulent se faire voir au Centre Vidéotron - géré par le conglomérat - avaient signé des ententes à «deux vitesses».
«Nous leur avons demandé "qu'est-ce que vous seriez prêts à payer s'il y a seulement les Remparts" et ce qu'ils seraient prêts à allonger s'il y a les Remparts et les Nordiques, a dit M. Dion. La réponse est excellente actuellement.»
Outre Québec, seule la ville de Las Vegas a soumis sa candidature pour obtenir une équipe. Son amphithéâtre est actuellement en construction et doit ouvrir ses portes au printemps 2016.