mercredi 16 septembre 2015

Weise et Gallagher ont testé NHL16 | Subban sera à l’Hôpital pour enfants de Montréal ce matin

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Publié le 16 septembre 2015 à 07:02 par

Simon Dessureault

Bon matin!
J’espère que vous ne serez pas trop jaloux, mais j’ai eu la chance de rencontrer Dale Weise et Brendan Gallagher hier soir!
Les deux ailiers des Canadiens ont en effet pris un petit bain de foule au Bain Mathieu à Montréal, sans vouloir faire de jeu de mots…
Le tout était organisé par Microplay…
Les hockeyeurs qui disent avoir passé un très bel été étaient présents dans le cadre du lancement du jeu NHL16.
Les attaquants ont d’ailleurs eu la chance de jouer l’un contre l’autre durant quelques minutes, alors que Gallagher a compté un but.
Mais ils n’ont vraiment pas pu jouer longtemps! La raison : nous étions quand même une bonne dizaine de journalistes à attendre après eux pour avoir une entrevue. Les amateurs présents voulaient aussi pouvoir se faire prendre en photo avec les deux vedettes.
Mise à part le fait qu’ils sont fiers de voir leur personnage dans un jeu vidéo, Weise et Gallagher ont toutefois joué lacassette habituelle dans leurs commentaires. C’était un peu prévisible, mais bon!
Weise dit être dans la meilleure forme de sa carrière et Gallagher ne veut pas se fixer d’objectifs individuels. C’est très louable de dire qu’il veut penser à l’équipe d’abord et avant tout, mais j’aurais aimé qu’il me dise qu’il espère atteindre le plateau des 30 buts cette année.
Gallagher ne sait pas non plus s’il va avoir la chance de jouer aux côtés d’Alex Galchenyuk.
«Le coach ne nous a rien dit à ce sujet. Je dois tout simplement faire de mon mieux et les choses se placeront comme elles devront», a-t-il dit.
Le petit ailier a aussi hâte que l’équipe ait un capitaine, mais il ne s’agit pas d’une distraction chez les joueurs.
«On ne s’en fait pas avec ça! On a joué comme ça l’an passé et différents joueurs ont agi à titre de leader», a mentionné le numéro 11.
Gallagher ne dirait évidemment pas non à avoir le C sur son chandail un jour!
«C’est quelque chose que je ne pourrais pas refuser bien humblement, mais être capitaine d’une telle équipe représente de grandes responsabilités. Mon seul but est d’aider l’équipe à gagner et à atteindre les séries. Il faut continuer de construire sur ce que l’on a bâti l’an passé», a ajouté l’ailier.
Personnellement, je trouve que ça veut pas mal dire que ça ne saura pas Gallagher le capitaine. Mais bon, l’important est qu’il performe sur la glace d’abord et avant tout en effet!
Lors du scrum avec les journalistes, Gallagher a aussi mentionné qu’il s’ennuyait de la bouffe des restaurants de Montréal et qu’il avait été voir les Blue Jays à Seattle cet été.
De son côté, Weise a affirmé vouloir améliorer tous les aspects de son jeu.
«Je ne dois pas arrêter de m’améliorer comme joueur de hockey. J’aime aussi les changements que la direction a fait cet été. On a également encore le meilleur gardien de la ligue et on est toujours une équipe dangereuse», a dit celui qui a été comblé par la naissance de sa petite fille cet été.
Dale Weise et Brendan Gallagher ont joué à NHL16 ensemble. (Photo Simon Dessureault)
Dale Weise et Brendan Gallagher ont joué à NHL16 ensemble. (Photo Simon Dessureault)
Plusieurs jeunes ont participé au tournoi du nouveau jeu NHL16 hier soir. (Photo Simon Dessureault)
Plusieurs jeunes ont participé au tournoi du nouveau jeu NHL16 hier soir. (Photo Simon Dessureault)
En rafale
– P.K. Subban participera à une bonne cause ce matin.
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Jean-Sébastien Dea a à coeur d'aider les autres jeunes au camp des Penguins

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Jean-Sébastien Dea
Jean-Sébastien Dea (Source d'image: penguins.nhl.com )

Nicolas Landry
LONDON, Ontario – L’incertitude, la nervosité et les fluctuations d’émotions qui accompagnent l’urgence de faire ses preuves dans un camp professionnel, Jean-Sébastien Dea connaît ça.
Il y a deux ans, après une saison de 85 points avec les Huskies de Rouyn-Noranda, Dea avait été ignoré au repêchage de la Ligue nationale, mais avait reçu un prix de consolation appréciable : une invitation au camp de développement du Canadien de Montréal.
« On m’avait dit qu’on allait me rappeler… », racontait le jeune homme originaire de La Prairie, sur la Rive-Sud de la métropole, lorsqu’une poignée de journalistes québécois sont allés à sa rencontre sous les gradins du Budweiser Garden de London le week-end dernier.
Mais le Canadien n’avait jamais donné de nouvelles et deux semaines plus tard, Dea avait accepté une invitation similaire des Penguins de Pittsburgh. L’expérience avait été concluante et s’était prolongée jusqu’au camp des recrues de l’équipe à la fin de l’été.
« J’ai été le seul, parmi les neuf joueurs invités, à signer un contrat », se remémore l’attaquant aujourd’hui âgé de 21 ans qui, après avoir conclu son stage junior avec une saison de 49 buts, a bouclé l’année dernière sa première campagne dans le réseau de filiale des Penguins.
Une déception peut receler d’insoupçonnables avantages dans le monde cruel du sport professionnel, Dea ne l’a pas oublié. C’est pourquoi aujourd’hui, alors qu’il continue de pourchasser lui-même d’ambitieux objectifs, il s’assure de donner au suivant en prenant sous son aile les jeunes – ils étaient cinq issus de la LHJMQ en fin de semaine au tournoi des recrues auquel prenait par son équipe – qui suivent ses traces.
« Avec (Mickaël) Beauregard, j’ai pris l’initiative de le demander comme cochambreur. Je me suis dit qu’il serait plus à l’aise avec moi à l’hôtel, offrait-il en guise d’exemple. Je pense que ça rapporte un peu sur la glace, il a marqué un but aujourd’hui! »
« Il fait vraiment du bon travail pour moi », approuvait Beauregard, un grand défenseur pour qui le temps est venu de faire le saut chez les pros après quatre saisons dans l’uniforme des Olympiques de Gatineau. « On est les deux seuls Québécois, alors il m’aide beaucoup. Si j’ai des questions, peu importe lesquelles, c’est toujours à lui que je les pose. Je profite vraiment de son expérience. »
Les efforts de Dea pour faciliter la vie de ses coéquipiers ne sont pas passés inaperçus aux yeux de Mike Sullivan, le nouvel entraîneur des Penguins de Wilkes-Barre, qui ne connaissait rien de son nouveau joueur avant de l’accueillir au camp de développement cet été.
« Il est la définition d’un bon coéquipier et c’est exactement le genre de joueur que nous voulons dans notre organisation, a vanté l’ancien entraîneur-chef des Bruins de Boston. Ce genre de personnalité, ce sens du dévouement dans l’ombre, permet à tout le monde autour de lui de s’améliorer. »
L’assurance d’un vétéran
Il n’y a pas qu’à l’extérieur de la glace que Dea s’est comporté comme un vétéran aguerri pendant les trois jours d’une compétition qui regroupait également les joueurs les plus prometteurs du Canadien, des Sénateurs et des Maple Leafs. Utilisé comme pivot d’un premier trio en compagnie, notamment, du choix de deuxième ronde Daniel Sprong, il a laissé l’impression de posséder une bonne longueur d’avance sur le reste du groupe.
C’est donc sans surprise que son nom apparaissait sur la liste officielle des 53 joueurs invités au camp principal des Penguins mardi.
« L’an passé, j’ai eu une bonne saison en général. Je me suis dit, en arrivant ici, qu’il y avait de la place à Pittsburgh. Je me sers surtout de ce tournoi pour arriver en confiance au gros camp et je pense que je suis en train de montrer que je peux peut-être causer des surprises. Je suis vraiment content de mes performances jusqu’à maintenant », exposait Dea après son deuxième match du week-end.
« Il a été très solide, corroborait Sullivan. C’est un bon fabricant de jeu, il voit très bien la glace et possède un instinct offensif certain. Il y a des facettes de son jeu où on croit pouvoir l’aider. On aimerait qu’il soit plus fort sur les mises en jeu et lorsqu’il joue profondément dans son territoire. Il y a du travail à faire de ce côté, mais ses atouts sont très excitants. »
La profondeur des Penguins au centre aurait de quoi intimider n’importe qui ambitionnant de faire sa place à cette position – surtout un jeunot qui a dû être rétrogradé dans la Ligue de la Côte Est pour retrouver sa confiance la saison précédente. En plus des indélogeables Sidney Crosby et Evgeni Malkin, les Pens ont fait l’acquisition au cours de l’été de Nick Bonino, Eric Fehr et Matt Cullen.
« Ce n’est pas évident, mais il y a quelques places. Ça peut aussi être à l’aile, je vais être prêt à jouer à n’importe quelle position », ajuste Dea, qui rit de bon cœur quand on lui fait remarquer que les Penguins auront peut-être besoin de main-d’œuvre bon marché pour pouvoir supporter le poids de lourds contrats.
« Je ne leur coûte pas cher, ils vont pouvoir m’appeler! »
Des liens forts avec Rouyn
Dea sait que la tâche à laquelle il s’attaque est gigantesque, mais il a déjà croisé sur son parcours des comparses inspirants qui lui permettent de croire en ses chances.
Lorsqu’il a connu son explosion offensive à sa deuxième saison avec les Huskies, Dea faisait la pluie et le beau temps avec un certain Sven Andrighetto, que le Canadien a repêché en troisième ronde quelques mois après qu’il eut célébré son 20e anniversaire de naissance. Les deux amis ont aussi évolué avec Nikita Kucherov, qui est passé brièvement mais avec distinction en Abitibi avant de défoncer les portes du hockey professionnel.
Andrighetto a disputé ses douze premiers matchs dans la Ligue nationale la saison dernière tandis que Kucherov, membre de l’un des trios les plus explosifs de la LNH, est passé à deux victoires de soulever la coupe Stanley avec le Lightning de Tampa Bay.
« C’est sûr que j’ai suivi ça pas mal! Je suis super content pour lui. Même Sven, je l’ai suivi beaucoup avec le Canadien et je suis encore en contact avec lui. Je l’ai vu quelques fois à Montréal cet été. C’est le fun de dire que j’ai joué avec ces deux joueurs. Je pense que les deux vont avoir du succès dans la LNH », prédit Dea, qui souhaite être le prochain de la lignée à goûter aux ligues majeures.
Dans les coulisses du Budweiser Garden, Dea entretenait aussi l’espoir de croiser André Tourigny, son ancien entraîneur junior qui est aujourd’hui à l’emploi des Sénateurs. « Je vais essayer d’aller lui jaser un peu, juste pour savoir ce qu’il a pensé de mes matchs », affirmait-il avec un sourire espiègle.
Si Dea a été en mesure d’impressionner Mike Sullivan en fin de semaine, il est persuadé que c’est d’abord parce qu’il a retenu les leçons qu’a tenu à lui inculquer Tourigny à l’adolescence.
« On avait eu une bonne discussion à ma première année et je pense que c’est grâce à lui si je suis ici aujourd’hui. Il m’a aidé à me transformer en tant que joueur. Avant, je bougeais moins mes pieds, j’étais moins intense. Là, j’essaie d’améliorer ça et je pense que ça m’aide dans mes matchs. Je suis plus présent, je gagne plus de batailles. Je pense que je lui en dois un gros morceau. »

Françoise Abanda déclare forfait

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Françoise Abanda
Françoise Abanda (Source d'image: Vincent Éthier )

QUÉBEC - La Montréalaise Françoise Abanda a dû abandonner son match contre la deuxième tête de série Mirjana Lucic-Baroni alors qu'elle tirait de l'arrière 6-3, 3-1, mardi, à la Coupe Banque Nationale de Québec.

Abanda souffre de douleurs au cou et a jugé qu'il était mieux pour elle de ne pas terminer la rencontre. Lucie Hradecka (no 4) a battu la Croate Donna Vekic 6-2, 6-4 dans l'autre match en soirée.

Plus tôt, la Française Amandine Hesse a eu le dessus sur Maria Irigoyen 6-3, 6-2. Pendant ce temps, la Polonaise Paula Kania a dominé la huitième tête de série An-Sophie Mestach 6-4, 6-3.

L'Américaine Alexa Glatch a surpris la sixième favorite Tatjana Maria 1-6, 6-4 et 6-1.

La joueuse qualifiée Jessica Pegula a causé la surprise face à Nicole Gibbs en la défaisant 1-6, 7-6, 7-6. Evgeniya Rodina a signé un gain de 6-2, 6-2 contre Sachia Vickery. Une autre qualifiée, Samantha Crawford, a accédé au tour suivant en battant Mandy Minella 6-2, 6-1.

En double, le duo canadien formé de Sharon Fichman et de Carol Zhao s'est incliné contre celui de Tatjana Maria et d'Anna Tatishvili 6-2, 6-4. Maria Irigoyen et Paula Kania ont baissé pavillon 6-4, 6-4 face à Julia Boserup et Nicole Gibbs.