jeudi 8 octobre 2015

Price étincelant et gâche la rentrée de Babcock

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Canadiens 3 - Maple Leafs 1


Images of Francois Gagnon
Si les chances de réussite du Canadien reposent encore cette année sur les jambières de Carey Price, le Tricolore aura une autre bonne saison et ses partisans pourront rêver aux grands honneurs.
Affichant la forme qui lui a permis d’amasser 44 victoires et mettre la main sur les trophées Hart, Vézina, Ted Lindsay en plus de partager le trophée Jennings avec Corey Crawford des Blackhawks de Chicago, Price a sauvé son club à plusieurs reprises en stoppant 36 des 37 tirs des Maple Leafs pour contribuer largement au gain de 3-1 du Tricolore.
Price s’est particulièrement signalé en fin de rencontre.Avec Jonathan Bernier rappelé au banc à la faveur d’un sixième attaquant, les Leafs qui n’avaient besoin que d’un but pour niveler les chances ont plusieurs fois frappé à la porte. Une porte que Price a gardée bien fermée.
Du haut de la galerie de presse du Air Canada Centre mercredi soir, la performance de Carey Price nous renvoyait tout droit dans nos souvenirs de l’an dernier alors que le gardien du Canadien a faussé les données en faveur de son club volant des victoires et des points précieux au classement avec ses performances étincelantes. «J’étais content d’enfin disputer un match significatif. Ils ont eu des chances, c’est vrai, mais j’ai aussi été bien appuyé, car les gars ont bien récupéré les rebonds», a lancé Price en bon prince à l’égard de ses coéquipiers.
Cela dit, parce que les Leafs manquent cruellement de punch à l’attaque, il serait un brin exagéré de dire que Price a volé à lui seul la première victoire de l’année.
Max Pacioretty avec ses deux buts – le premier de la saison sur un tir qui a fait très mal paraître le gardien Jonathan Bernier et le but d’assurance dans un filet désert – et P.K. Subban avec des passes sur les trois buts des siens – sa passe en direction de Pacioretty pour mener au premier but du match n’était rien de moins que sensationnelle – ont aussi joué des rôles importants. Galchenyuk a marqué l’autre but, ce qui a permis d’atténuer la sortie un peu timide d’Alexander Semin et de Lars Eller. À la ligne bleue, Tom Gilbert a eu une soirée difficile au sein du troisième duo avec Nathan Beaulieu alors que Jeff Petry a dû surveiller davantage son partenaire de jeu Alexei Emelin – il me semble que Beaulieu serait un bien meilleur choix pour compléter le deuxième duo – que les joueurs des Leafs. Ça vous donne une idée.
Mention honorable à Devante Smith-Pelly qui, en dépit d’un manque de fini évident en attaque affichait une belle vitesse sur la patinoire mercredi. Une nette amélioration sur l’an dernier.
En passant, selon nos amis et sources intarissables de statistiques intéressantes du Elias Sports Bureau de New York, Subban est le premier défenseur du Canadien depuis Gaston Gingras en 1986 à récolter trois passes dans le cadre d’un match d’ouverture.
Pacioretty honnête
Autre fait saillant pour amateurs de statistiques historiques : après avoir marqué son premier but en carrière sur son tout premier tir décoché dans la LNH, Max Pacioretty a marqué son premier but à titre de capitaine du Tricolore sur son tout premier tir décoché avec le C sur son chandail. Ça ne change pas le monde, je sais, mais ça se glisse bien dans une question piège…
Pacioretty se sentait bien après le match. Autant physiquement alors que son genou gauche, même s’il était entouré d’un gros sac de glace, a tenu le coup dans le cadre d’un vrai match qu’à titre de capitaine. «Je n’ai rien changé dans mon approche de la partie ou dans ma routine dans le vestiaire avant le match. Mais quand je suis sorti sur la glace en début de partie à titre de capitaine, je dois admettre que j’y ai songé un peu. Une fois le match amorcé, je me suis permis de parler davantage aux officiels. J’ai posé des questions sur certaines décisions. Je veux me faire connaître. Je veux les connaître. Je ne veux pas simplement passer mon temps à me plaindre ou à contester», expliquait le nouveau capitaine après le match.
Toujours franc dans ses commentaires, Pacioretty a convenu que lui et ses coéquipiers quittaient Toronto avec deux points en banque malgré une partie en dents de scie. «Nous n’avons pas joué 60 minutes ce soir. On a fait de bonnes choses par moment, mais on manquait nettement de jambes. D’énergie. Nous n’avons pas vraiment été menaçants offensivement et Carey nous a encore sortis du trouble à plusieurs reprises. Il faudra corriger ça dès la prochaine rencontre. Il faudra être plus actifs sur la glace. Plus agressifs sur les rondelles et plus incisifs dans nos attaques vers le but adverse.»
L’effet Babcock
Mike Babcock a fait ce qu’il a pu pour permettre à ses Maple Leafs d’amorcer la saison du bon pied. Il a réclamé et obtenu un meilleur effort de ses joueurs. Dans le vestiaire du Canadien, Carey Price, Max Pacioretty et P.K. Subban assuraient d’ailleurs après le match que les Leafs, malgré un septième revers de suite aux mains du Canadien (0-4-3) avaient offert une meilleure opposition.
Pour dire vrai, je crois vraiment que Price, Pacioretty et P.K. ont surtout tenu à être polis…
Babcock a aussi instauré un système plus hermétique en défense tout en sommant son équipe à être plus agressive en attaque. Il a même réclamé, et gagné, le premier appel logé par un coach dans l’histoire de la LNH pour faire annuler un but qui serait allé à la fiche du défenseur Jeff Petry.
Mais voilà, obtenir un bon effort de son équipe et instaurer des systèmes efficaces c’est bien beau. Mais pour transformer tout ça en victoire, il faut que ton gardien effectue des arrêts et qu’à l’autre bout ton équipe marque plus de buts que l’adversaire. Et à ce jeu, les Leafs n’étaient pas de taille avec le Canadien, même si le Tricolore n’a pas disputé un match du tonnerre.
Ça vous donne une idée de la force de frappe des Leafs et du travail à accomplir pour faire de ce club un club respectable avant d’en faire un club gagnant...
«Show de boucane»
Dans le cadre d’une cérémonie qui n’avait de cérémonial que le nom, les joueurs des Leafs ont été présentés à leurs partisans dans une indifférence totale alors que le bruit de la «machine à boucane» qui s’activait au passage de chaque joueur était bien plus fort que les réactions de la foule. Remarquez que sans vouloir être méchant, les Leafs pourraient vraiment n’être qu’un «show de boucane» cette année encore.
Mike Babcock a reçu plus d’applaudissements que l’ensemble de ses joueurs. Et attention ! Les fans sont loin d’avoir offert une ovation au coach le mieux payé de l’histoire de la LNH… Les applaudissements les plus nourris ont été réservés aux vénérables Borje Salming et Doug Gilmour qui sont apparus à l’écran géant au cours du match.
Et la seule «explosion» d’enthousiasme qui a fait vibre le ACC est survenue en fin de première période lorsque Russell Martin et quelques-uns de ses coéquipiers des Blue Jays venus assister à la rencontre ont été présentés à la foule. On a alors entendu des salves de «Let’s Go Blue Jays» résonner aux quatre coins du ACC.
En passant, le receveur des Jays a refusé de revêtir le chandail des Leafs qu’on lui avait remis à son arrivée, car il est toujours un fan du Canadien. «Go Habs Go !», qu’il m’a d’ailleurs lancé lors d’une entrevue réalisée avec lui au premier entracte et qui a été diffusée à l’antichambre après le match.
Les Jays amorcent leur série de championnats contre les Rangers du Texas jeudi après-midi (15 h 30 sur les ondes de RDS) au Rogers Center de Toronto.
Pendant ce temps, les joueurs du Canadien profiteront d’un congé à Boston où ils croiseront les Bruins samedi seulement.

La bonne vieille recette sourit encore au Canadien

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Canadien - Toronto

TORONTO - Le Canadien de Montréal a repris la recette qui lui a permis de connaître du succès l'an dernier pour signer sa première victoire de la saison.
Le capitaine Max Pacioretty a inscrit deux buts et Carey Price a multiplié les arrêts spectaculaires pour permettre au Canadien de battre les Maple Leafs de Toronto 3-1, mercredi.
Galchenyuk a touché la cible d'un puissant tir des poignets lorsqu'il s'est emparé du retour de lancer d'Andrei Markov à 12:02 de la troisième période pour marquer le but qui a fait la différence.Pacioretty avait ouvert la marque en tout début de rencontre et il a scellé l'issue du match en poussant le disque dans un filet désert. Le défenseur P.K. Subban a quant à lui récolté trois aides.
« On a beaucoup de choses à travailler, on est tous conscient de ça, a reconnu l'entraîneur du Canadien, Michel Therrien. C'était le premier match de la saison. Les Maple Leafs ont joué avec beaucoup d'énergie alors il faut leur rendre crédit. »
Jonathan Bernier a accordé un mauvais but sur le premier lancer auquel il a fait face, mais s'est bien repris par la suite, terminant la soirée avec 27 arrêts. La foule de Toronto, reconnue pour son impatience, s'est même moquée de lui lorsqu'il a réussi son premier arrêt de la rencontre.
« Bernier a été très bon, a analysé Therrien. Ça prenait pratiquement un tir parfait pour battre les gardiens de but à partir de la deuxième période. On a trouvé le moyen de gagner, c'est ça qui est le plus important. »
Les partisans ont pu célébrer lorsque James van Riemsdyk a créé l'égalité en début de deuxième engagement, mais ce fut le seul moment de réjouissance, si on exclut la présentation des joueurs des Blue Jays, qui assistaient à la partie, à l'écran géant.
Price a sauvé les meubles en fin de match en se dressant à deux reprises devant Peter Holland dans les dernières minutes de jeu. Il a stoppé un total de 36 tirs.
« Carey c'est Carey, a déclaré Therrien. On le sentait dans sa bulle et c'est très bon signe de le voir effectuer une première sortie de la sorte. »
Le Canadien jouera son prochain match samedi face aux Bruins, à Boston. Il sera ensuite de passage à Ottawa, dimanche, pour y affronter les Sénateurs.
L'histoire se répète
À l'instar du match d'ouverture entre les deux équipes en 2014, Pacioretty a ouvert la marque en battant Bernier en début de rencontre. Avec un peu plus de trois minutes d'écoulées, le nouveau capitaine a battu le Québécois d'un tir des poignets qui a ricoché sur son épaule avant de glisser tranquillement derrière la ligne rouge.
Van Riemsdyk a profité d'un bond chanceux pour créer l'égalité au retour du premier entracte. Le tir de Nazem Kadri a ricoché sur son patin alors qu'il bataillait pour se poster devant le filet de Price.
Le Canadien semblait avoir repris les devants lorsque Jeff Petry a complété une belle manoeuvre de Pacioretty à 6:35 de la deuxième période.
L'entraîneur des Leafs, Mike Babcock, a cependant utilisé sa contestation pour que les officiels révisent la séquence puisque le bâton de Tomas Plekanec avait atteint Bernier en plein masque, l'empêchant d'effectuer son déplacement. La reprise a démontré l'évidence et le but a été refusé.
David Desharnais s'est fait voler un but certain par Jake Gardiner en milieu de troisième période quand ce dernier a bloqué son tir avec la lame de son patin lors d'une mêlée devant le filet. Qu'à cela ne tienne, le Canadien a finalement trouvé le moyen de reprendre l'avance par l'entremise de Galchenyuk.
Babcock a décidé de retirer Bernier au profit d'un attaquant supplémentaire avec un peu plus de deux minutes à faire, mais c'est Pacioretty qui en a profité pour enfiler son deuxième du match.

Les Jets de Winnipeg auront un début comme celui du Canadien

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Paul Maurice
Paul Maurice (Source d'image: PC )

Roger Leblond
En cette saison 2015-2016, les Jets de Winnipeg auront un départ identique à celui du Canadien de Montréal.
En effet, la troupe dirigée par Paul Maurice, qui a présenté un dossier de 43-26-13 pour 99 points (un record de l’histoire de la formation, effaçant celui de 97 des Thrashers d’Atlanta de 2006-2007) en 2014-2015, disputera ses quatre premiers matchs à l’étranger pour amorcer son calendrier de 82 rencontres.
Les deux équipes, Montréal et Winnipeg sont les seules à débuter leur calendrier avec une série de quatre matchs à l’étranger, les Oilers d’Edmonton amorçant leur saison avec une série de trois rencontres à l’extérieur.
Les Jets, qui ont participé aux séries éliminatoires pour la première fois depuis la saison 2006-2007 (Thrashers d’Atlanta), visiteront ce soir, les Bruins de Boston, les Devils du New Jersey vendredi, les Islanders de New York lundi et les Rangers de New York mardi.
Donc, les Jets auront deux matchs en autant de jours en deux occasions lors de ce voyage de quatre parties en seulement six jours, mais il est vrai qu’ils ne voyageront pas beaucoup car leurs trois derniers matchs auront lieu dans la région de New York.
Suite à ce voyage, les Jets vont disputer pas moins de six rencontres de suite au MTS Center, recevant la visite des Flames de Calgary vendredi prochain et le reste ne sera pas facile, car ils vont recevoir respectivement les Blues de St. Louis (18 octobre), le Lightning de Tampa Bay (23 octobre), le Wild du Minnesota (25 octobre), les Kings de Los Angeles (27 octobre) et rien de moins que les champions de la Coupe Stanley, les Blackhawks de Chicago, jeudi, le 29 octobre.
Soulignons que l’an dernier, les Jets avaient disputé leurs trois premiers matchs à l’étranger, affichant un dossier de 1-2-0 et ils avaient connu un début difficile, ne pouvant faire mieux qu’un rendement de 3-5-0 lors de leurs huit premiers matchs, mais avaient rebondi pour connaître une excellente fin de saison, affichant un dossier de 10-3-1 lors de leurs 14 derniers matchs réguliers, une poussée qui avait été décisive pour obtenir une place dans les séries éliminatoires.
Les Flyers de Philadelphie en arrachent au Amalie Arena 
Les Flyers de Philadelphie auraient souhaité amorcer leur saison à un autre endroit que le domicile du Lightning de Tampa Bay, où ils en arrachent beaucoup depuis quelques saisons.
En effet, la troupe dirigée par la recrue Dave Hakstol, visitera ce soir, celle de Jon Cooper, au Amalie Arena, un endroit où elle a affiche un dossier de 0-6-1 lors de ses sept derniers matchs, ayant été surclassé 28-12 (plus 16) au chapitre des buts marqués lors de cette séquence.
Les Flyers ont subi six défaites de suite en temps régulier à cet endroit et leur dernier point récolté remonte au 9 novembre 2011, alors qu’ils s’étaient inclinés 2-1, en prolongation.
Le dernier gain des Flyers dans le domicile du Lightning remonte au 15 février 2011, alors qu’ils avaient triomphé 4-3, en tirs de barrage et soulignons qu’avant la présente séquence de défaites, ils avaient eu un dossier de 6-3-0 lors des neuf matchs disputés du 28 décembre 2006 au 15 février 2011.
Soulignons  que depuis le 27 décembre 2011, les Flyers n’ont pu faire mieux qu’un rendement global de 2-9-0 lors de leurs 11 dernières rencontres disputées contre le Lightning, une équipe qu’ils affronteront trois fois cette saison, mais dont les deux dernières parties auront lieu aussi tardivement que les 7 et 11 mars 2016, au Wells Fargo Center et au Amalie Arena respectivement.
Les Stars de Dallas devront connaître un bon début de saison 
Nul doute, les Stars de Dallas se doivent de bien débuter la présente saison, car ils ont eu une bonne leçon l’an dernier, indiquant que rien ne sert de courir il faut partir à point.
En effet, la formation dirigée par Lindy Ruff, qui avait connu une superbe fin de saison, a néanmoins raté les séries éliminatoires, elle qui avait été plus qu’ordinaire au début de la campagne 2014-2015.
Affichant un décevant dossier de 4-6-4 après ses 14 premiers matchs et de 27-26-10 après ses 63 premières rencontres, elle avait eu une superbe fin, conservant une fiche de 14-5-0 lors de ses 19 derniers matchs disputés du 3 mars au 11 avril 2015, mais cela avait été insuffisant pour lui permettre de participer aux éliminatoires, ratant cet objectif par seulement cinq points.
Les Stars, qui ont marqué pas moins de 261 buts l’an dernier, un seul de moins que le Lightning de Tampa Bay (262), devront également améliorer leur rendement en défense, car ils ont concédé 260 buts à leurs adversaires, au 26e rang de la LNH.
Ils amorceront leur saison en recevant la visite des Penguins de Pittsburgh, une équipe qui a connu beaucoup de succès lors du calendrier régulier depuis plusieurs saisons, mais qui a été incapable de se rendre loin en séries éliminatoires, elle qui l’an dernier, a été éliminée dès la première ronde, en cinq matchs (1-4), face aux Rangers de New York. 
Matchs d’ouverture : un autre difficile début pour les équipes locales 
Lors de la première journée du calendrier régulier de la Ligue nationale de hockey, les équipes locales ont réalisé que rien ne sera facile en 2015-2016.
En effet, lors des quatre matchs disputés mercredi soir, les quatre matchs ont été remportés par les équipes visiteuses et pis, toutes en temps régulier, ne laissant aucun point aux partisans des équipes locales.
Le Canadien de Montréal a gagné 3-1, face aux Maple Leafs de Toronto, les Rangers de New York ont triomphé 3-2, contre les Blackhawks de Chicago, les Canucks de Vancouver ont gagné 5-1, face aux Flames de Calgary, alors que les Sharks de San Jose ont disposé des Kings de Los Angeles, 5-1, en toute fin de soirée.
Une soirée d’ouverture qui ressemble beaucoup à celle de l’an dernier
Soulignons que la journée d’ouverture de mercredi a été à l’image de celle de la saison dernière, car le mercredi, 8 octobre 2014, trois des quatre matchs avaient été remportés par les équipes visiteuses.
Encore plus, les trois victoires avaient été obtenues par les mêmes formations visiteuses contre les mêmes équipes locales, le Canadien avait gagné 4-3, contre les Maple Leafs de Toronto, les Canucks de Vancouver avaient triomphé 4-2, face aux Flames de Calgary, alors que les Sharks de San Jose avaient gagné 4-0, contre les Kings de Los Angeles.
Dans l’autre match, les Flyers de Philadelphie avaient subi une défaite de 3-1, face aux Bruins de Boston, au TD Garden, seul match remporté par une formation locale.
Il y aura sept rencontres en ce deuxième jour du calendrier régulier et l’an dernier, les équipes visiteuses avaient eu une fiche de 7-4-1 dans les 12 matchs qui avaient été disputés lors de la deuxième journée de la saison régulière.