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vendredi 9 mars 2018

Le Canadien : un dernier droit pour sauver les meubles


Publié il y a 46 minutes
Artturi Lehkonen (gauche), Brendan Gallagher (centre), P.K. Subban (droite)
Photo : La Presse canadienne/Graham Hughes

Jamais en 109 ans d'histoire le Canadien n'avait été blanchi à dix reprises au cours d'une saison. Ce triste record maintenant battu après la défaite aux mains des Panthers, il ne reste au CH que l'honneur et l'espoir d'éviter d'autres affronts.
RADIO-CANADA AVEC LA PRESSE CANADIENNE
Le premier qui vient en tête, individuel celui-là, est celui du moins prolifique « meilleur » pointeur de l’équipe.
Brendan Gallagher mène la charge à ce chapitre avec 41 points, dont 24 buts, en 67 matchs depuis le début de la campagne.
Il faut remonter au tournant des années 2000 et à l’ère moribonde des Chad Kilger, Craig Darby, Patrick Poulin et autres Juha Lind pour retrouver une si faible production offensive.
En 2000-2001, Oleg Petrov et Saku Koivu avaient tous deux obtenu 47 points - 17 buts, 30 passes – pour terminer la saison au sommet des marqueurs du Tricolore.
Cette récolte, famélique, nous en conviendrons, constitue la pire de l’histoire de l’organisation pour des saisons de 82 matchs et plus.
En 1949, Billy Reay revendiquait seulement 45 points, mais le pauvre homme n’avait eu que 60 matchs pour se faire valoir.
Montréal présente également la pire fiche de la LNH sur la route (9-21-3), partageant avec Ottawa (9-19-5) et l’Arizona (9-16-7) l’odieux de ne pas avoir signé 10 gains sur les patinoires adverses.
Et le Lightning de Tampa Bay, meilleure équipe du circuit Bettman, l’attend dans le détour, samedi.
Un peu de renfort possible
En moins d’une semaine, sept joueurs sont tombés au combat, mais le Canadien pourrait potentiellement compter sur un peu d’aide à court terme pour compléter ce voyage qui avait bien commencé, mais tourne au cauchemar.
L'état de santé des attaquants Phillip Danault et Charles Hudon s'améliore, mais il n'est pas assuré qu'ils puissent affronter le Lightning samedi après-midi (13h, HNE).
Une décision sera prise avant le match, a expliqué l’entraîneur-chef, Claude Julien.
Jeff Petry (no 26) et Phillip Danault (no 24)
Jeff Petry (no 26) inscrit son neuvième but de la saison et surpasse sa marque personnelle établie l'année dernière. Photo : La Presse canadienne/Tom Mihalek
Hudon n'a participé à aucun des quatre matchs de son équipe depuis le début de son périple de six rencontres à l'étranger. Il a été blessé à une main lors de la rencontre du 28 février contre les Islanders de New York au Centre Bell.
Quant à Danault, il a ressenti des douleurs au cou à son réveil jeudi matin. Compte tenu de la commotion cérébrale dont il a été victime au mois de janvier, le Canadien a préféré ne pas prendre de chance face aux Panthers.
Julien a confirmé que le plus récent éclopé, le défenseur Rinat Valiev blessé au bas du corps en deuxième période jeudi soir, s’absentera également du second duel floridien.
Tout indique que Brett Lernout, rappelé d’urgence après le match, prendra sa place dans la formation.
Le gardien Antti Niemi, affaibli par un virus, pourrait retrouver le filet; Julien n’a pas dévoilé ses cartes à ce sujet.
Rien pour aider la cause tricolore, l’ancien choix de premier tour de l’équipe Ryan McDonagh, acquis à la date limite des transactions par le Lightning, pourrait disputer sa première rencontre avec sa nouvelle équipe.
Blessé au haut du corps depuis le 7 février, le défenseur étoile s’est entraîné avec contact avec ses coéquipiers vendredi.

mercredi 6 janvier 2016

Le CH, une histoire de coeur

http://www.rds.ca/hockey/canadiens/

P.K. Subban
P.K. Subban est celui qui en fait davantage
 pour réconforter de jeunes admirateurs hospitalisés.
 (Source d'image:RDS)

Images of Bertrand Raymond
Je ne sais pas si une mode est en train de se créer, mais à quelques occasions durant la période des Fêtes, j'ai entendu des gens se transmettre des souhaits qui, c'est le moins qu'on puisse dire, témoignent du profond attachement des Québécois pour le hockey en général et pour le Canadien en particulier.
« Bonne année, disaient-ils. Santé, bonheur, argent, amour et une coupe Stanley au printemps. »
Vrai comme vous êtes là.
La coupe fait maintenant partie des meilleurs souhaits de la saison. On se souhaite la coupe, comme on se souhaite de gagner à la loto. Comme on se souhaite de ne pas se retrouver dans les urgences, sans doute. C'est aussi important que ça.
Les sentiments que témoignent les amateurs envers leur équipe semblent plus profonds que jamais. Quand le Canadien gagne, toute la ville, on le sent, est d'humeur agréable. Quand il perd à répétition, comme il l'a fait en décembre, c'est le désarroi, la déprime. On se fâche contre des athlètes pourtant aimés. On réclame un autre entraîneur. On adresse plein de reproches à un directeur général qui, en peu de temps, a redonné à l'organisation une crédibilité perdue.
Ah le Canadien, que ferait-on sans lui? Il meuble nos longues soirées d'hiver. Chaque année, il génère de l'espoir. Et chaque printemps, quand le résultat n'est pas celui qu'on se souhaite, on fait semblant de lancer la serviette. On exige des changements. On en discute tout l'été au détriment d'un temps précieux qu'on pourrait accorder à l'Impact et aux Alouettes et on tape du pied tellement on a hâte au premier jour du camp d'entraînement.
Quelle formation professionnelle de sport n'aimerait pas profiter d'un attachement aussi tangible? D'un amour aussi inconditionnel et d'un pardon aussi rapide après les périodes les plus difficiles?
Dans les hôpitaux, le Canadien se substitue parfois aux bienfaits de la médecine. Il suffit d'une marque d'attention de ses joueurs pour que les enfants oublient la douleur qui les assaille. Je pense à ce garçon qui a peut-être passé un dernier Noël avec sa famille à Saint-Justine. Il aurait bien aimé rentrer à la maison, ne serait-ce que pour quelques heures, mais c'était impossible. Il trouvait le moyen de sourire dans une petite chambre où s'entrecroisent quotidiennement des appareils sophistiqués et des souvenirs de ses héros. Les murs sont tapissés d'objets à l'effigie du Canadien : un chandail, le logo de l'équipe bien en vue, un dossard 76 de P.K.Subban, des photos individuelles de quelques joueurs et un couvre-lit bleu, blanc, rouge lettré C-A-N-A-D-I-E-N-S.
Chaque soir, ce petit bonhomme, qui a 12 ans mais qui a l'air d'en avoir 6, s'endort emmailloté dans sa doudou aux couleurs du Canadien. Les joueurs ne le réalisent pas toujours, mais longtemps après leur départ de Sainte-Justine, les enfants continuent de rêver. Une pensée les anime, celle d'être encore là quand ils reviendront l'an prochain. Quelques-uns d'entre eux seront malheureusement incapables de les attendre.
Ce genre d'évènement ne se limite pas aux enfants. Je me souviens de cet homme âgé, de l'Outaouais, atteint de la maladie de Lou Gehrig et qui avait exprimé le désir de voir Guy Lafleur avant de mourir. Lafleur l'avait visité chez lui. L'homme avait ressenti un tel bonheur qu'il s'était probablement dit qu'il pouvait maintenant partir en paix car plus rien d'aussi grand n'allait pouvoir enjoliver le reste de ses jours.
Je pense à Jean Béliveau qui a semé tant de bonheur dans la vie de gens qui lui étaient inconnus en leur écrivant des notes personnelles de sa main.
Ce n'est pas d'hier qu'il existe des liens aussi étroits entre le public et ses plus grands Glorieux. Le point de départ a probablement été Maurice Richard qui donnait l'impression de nous transporter sur ses puissantes épaules. On l'a bafoué, on a essayé de le faire taire, on l'a suspendu, on lui a ordonné de mettre fin à sa chronique hebdomadaire dans un journal montréalais, mais il n'a jamais cessé d'avancer. C'est un peu à cause de lui si les Canadiens français (c'est comme cela qu'on les appelait à l'époque) ont appris à se tenir debout.
C'est le Rocket, Butch, le Gros Bill, Boum Boum, Henri, Dickie, Flower, le Roadrunner et quelques autres qui ont contribué à créer parmi les Québécois un sentiment d'appartenance avant même qu'on sache ce que cela voulait dire. On était fidèle à des joueurs qui l'étaient tout autant. Jamais il ne leur serait venu à l'esprit de porter un autre chandail. C'était des modèles forts comme on en rencontre très peu aujourd'hui.
Des points de repère
Le Canadien a même constitué certains points de repère dans la vie des gens. Faites l'exercice et vous constaterez par vous-mêmes que cela vous est peut-être déjà arrivé. Il est possible en effet d'associer des chapitres de nos vies à des périodes fructueuses de l'équipe.
Par exemple, certains diront qu'ils avaient cinq ans quand ils ont écouté les premières retransmissions des parties sur les genoux de leur père.
D'autres avaient 10 ans quand on leur a enfin permis de visionner un match au grand complet avant d'aller dormir.
On se souvient qu'on était au secondaire quand on a vu l'équipe remporter la coupe Stanley pour la première fois.
On en connaît qui ont fait l'école buissonnière seulement deux fois dans leur vie, chaque fois pour assister au défilé de la coupe.
Vous voyez ce que je veux dire? Des moments marquants qui sont associés au Canadien, il y en a plein.
Aujourd'hui, on constate que l'attachement d'un public de tous les âges au Canadien est un peu fou, mais il y a eu un point de départ à cette admiration quasi maladive. Une admiration qui s'est transmise de génération en génération. Le hockey a beaucoup changé. Tout coûte excessivement cher, mais on est prêt à en payer le prix pour s'afficher comme le plus irréductible des fans.
Il n'y a pas de prix pour s'approprier le Canadien. C'est le Boxing Day à l'année.
Ronald Corey a été le premier à claironner que l'équipe appartenait au public. Pierre Boivin et Geoff Molson l'ont répété à leur tour. C'est peut-être vrai sur le plan affectif, mais quand sonne la caisse enregistreuse, on sait fort bien qui sont les véritables propriétaires.
Eux aussi aiment bien leur équipe, sinon ils n'auraient pas investi 600 millions pour se l'approprier.

lundi 4 janvier 2016

Dale Weise ratera entre deux et trois semaines d'activités

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Un nouveau départ pour le Canadien?


BROSSARD, Qc - Un de revenu, un autre de perdu.
Après avoir accueilli avec plaisir Brendan Gallagher lors de la Classique hivernale, vendredi, le Canadien devra maintenant se passer de Dale Weise pendant une période de deux à trois semaines pour soigner une blessure au haut du corps.
Weise s'est blessé en début de deuxième période du duel de vendredi, face aux Bruins de Boston. Sur une séquence, alors qu'il se trouvait devant le filet adverse, on a pu voir Weise se secouer la main droite après avoir été atteint d'un tir de P.K. Subban.
Si Weise devait manquer exactement deux semaines, cela signifie qu'il pourrait revenir au jeu vers le 16 janvier, quand le Canadien disputera le premier de deux matchs en autant de soirs, face aux Blues de St. Louis. Le lendemain, le Tricolore rendra visite aux Blackhawks de Chicago, qu'ils auront accueillis trois plus jours plus tôt.
Par contre, une absence de trois semaines complètes pourrait lui faire manquer au moins huit matchs.
Michel Therrien ne commentera pas la situation avant lundi, lors de sa prochaine rencontre avec les médias.
En 40 matchs cette saison, Weise compte 20 points, dont 11 buts. Il avait obtenu une mention d'aide sur le premier filet du match de vendredi, marqué par David Desharnais.
La blessure à Weise a permis à Sven Andrighetto de réintégrer la formation montréalaise, lui qui avait été cédé aux IceCaps de St. John's jeudi.
Lors de l'entraînement dimanche, Andrighetto a alterné avec Devante Smith-Pelly à la droite de Desharnais et de Tomas Fleischmann.
« C'est malheureux parce que ça va bien quand nous évoluons ensemble, et nous connaissions un bon match à la Classique hivernale. Il s'agit d'une perte importante, mais il faut regarder devant et nous concentrer sur le prochain match », a noté Fleischmann après l'entraînement de dimanche.
« Dale est un joueur imposant physiquement et il crée de l'espace dans les coins de patinoire et devant le filet pour David et moi. Je pense que c'est cet aspect de son jeu qui va surtout nous manquer », a-t-il renchéri.
Le Canadien s'entraînera de nouveau lundi avant de prendre la route de Philadelphie pour la dernière de huit rencontres consécutives à l'étranger, mardi. Le lendemain, il renouera avec ses partisans lors de la visite des Devils du New Jersey.

vendredi 23 octobre 2015

Prudence et humilité chez le Canadien avant d'affronter les Sabres

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Condon pour affronter les Sabres


Nicolas Landry
BROSSARD – On pourrait être tenté de parler d’un voyage de routine, d’un inoffensif aller-retour. Après tout, quand le seul club toujours invaincu dans la LNH prend la route pour aller se frotter à l’une des pires formations de l’Association Est, on est en droit de s’attendre à duel inégal.
Mais prudence et humilité étaient les mots d’ordre jeudi midi chez les joueurs du Tricolore, pressés de quitter le centre d’entraînement de Brossard pour aller prendre un avion en direction de Buffalo, où ils allaient affronter les Sabres le lendemain.
« C’est la Ligue nationale. Il n’y a rien de tel qu’un match facile. On a intérêt à être prêt ou on risque de trouver la soirée longue », se méfiait Brendan Gallagher.
Les Sabres ont connu une saison médiocre l’année dernière, terminant dans la cave du classement général du circuit Bettman avec une récolte de 54 points. Mais pour une raison difficile à saisir, ils ont causé toutes sortes d’ennuis à la troupe de Michel Therrien, remportant trois des quatre matchs entre les deux équipes.
Ce récent historique permet d’amplifier la notion que le Canadien, qui finira bien par en perdre une, se dirige tout droit vers l’un de ces fameux matchs « pièges » qui agrémentent souvent le cours d’une saison d'une équipe de pointe.
« Ce n’est jamais facile d’aller chercher deux points sur la route, peu importe l’identité de notre adversaire », souligne Gallagher, peu intéressé à fouiller dans ses souvenirs pour expliquer les déconvenues des siens contre cet adversaire précis la saison dernière.
« C’est juste une autre opportunité pour nous de continuer d’avancer avec le vent dans les voiles », ajoute Torrey Mitchell, qui refusait de voir les Sabres comme une menace sournoise.
Therrien s’est quelque peu répété, décidant de réutiliser son analogie automobile pour illustrer l’importance du moment présent.
« Quand je conduis ma voiture, je ne regarde pas trop souvent dans mon miroir pour voir ce qui passe en arrière. Je regarde bien plus ce qui se passe en avant. On est un peu dans cette situation lorsqu’on dirige une équipe de hockey. À l’occasion, on regarde ce qui s’est passé dans les matchs précédents, mais le plus important, c’est le prochain match. »
Les Sabres, qui ont perdu quatre de leurs six premiers matchs, ne montrent plus le même visage que l’année dernière. Les recrues Jack Eichel et Sam Reinhart, deux choix de première ronde, font maintenant partie intégrante de la reconstruction de l’équipe. Evander Kane, acquis dans une transaction avec les Jets de Winnipeg en février dernier, est un autre des principaux nouveaux visages de l’équipe. Et derrière le banc, Ted Nolan a été remplacé par Dan Bylsma, celui qui avait succédé à Therrien à la tête des Penguins de Pittsburgh.
« Ils ont fait des changements quand même importants au cours de l’été, constate le pilote du CH. Ils comptent sur un jeune prodige en Eichel. C’est une équipe qui joue avec plus d’énergie qu’elle l’a démontré dans le passé. »
« Ils jouent avec acharnement et accordent peu de buts, note Gallagher, qui a lui aussi remarqué une vigueur renouvelée chez ses prochains adversaires. On ne l’aura pas facile. »
La pression? Quelle pression?
Le début de saison sans tache du Canadien force les observateurs à garder un œil sur le livre des records de la LNH. Montréal a besoin de trois autres victoires pour égaler la marque établie par les Maple Leafs de Toronto en 1993-1994 et les Sabres en 2006-2007.
Mais ce souci d’écrire l’histoire ne semble pas trop préoccuper ceux qui tiennent le crayon entre leurs doigts.
« Je ne sens pas cette pression, dit Therrien. Honnêtement, je ne sens pas un groupe qui joue avec de la pression. Au contraire, je trouve qu’on démontre beaucoup d’enthousiasme, d’énergie et de plaisir. Ce sont des signes qui m’indiquent qu’on ne sent pas de pression. On veut juste connaître un autre bon match demain. »
« Je ne pense pas que les gars y pensent tant que ça, lance Gallagher. Notre mentalité n’a pas changé depuis le tout premier match. On se concentre sur les défis que proposent notre prochaine partie et on se prépare en conséquence. On est conscient qu’il n’y en aura pas de facile, mais en même temps on est confiant que si on fait notre boulot, ça continuera de bien aller. »
Therrien a confirmé que Mike Condon obtiendra son deuxième départ de la saison vendredi soir. Il s’agira du seul changement que l’entraîneur apportera à sa formation toujours invaincue.
Le Canadien n’a concédé que sept buts en autant de matchs pour façonner son parcours parfait. Il a été particulièrement radin au cours de ses trois dernières sorties, alors qu’il a limité un impressionnant trio d’équipes formé des Rangers de New York, les Red Wings de Detroit et les Blues de St Louis à un seul petit but.
Autre signe annonciateur d’un possible match à sens unique : les Sabres marquent moins de deux buts par match (11 buts en 6 rencontres) depuis le début de la saison.
Après son arrêt à Buffalo, le Canadien reviendra à la maison pour y accueillir les Maple Leafs de Toronto samedi.

jeudi 10 septembre 2015

La preuve (aujourd’hui) que le vrai capitaine du CH, c’est Price? | Pacioretty a eu peur pour sa santé

http://www.danslescoulisses.com/fr/

Publié le 10 septembre 2015 à 08:39 par

DLC

Enfin… La saison 2015-16 s’ouvrira (non-officiellement) aujourd’hui, chez le Canadien, avec le tournoi de golf annuel (pour la Fondation des Canadiens pour l’enfance).
Les recrues disputeront 3 rencontres en 3 jours, à London (de vendredi à dimanche) avant de revenir à Brossard pour s’entraîner mardi et mercredi. Jeudi, ce sera l’ouverture du vrai camp d’entraînement, avec les (difficiles) tests physiques…
Les réseaux de télévision sportifs sont (en ondes) en direct de Laval-sur-le-Lac depuis 8:00 ce matin. Au menu : des réflexions et des hypothèses sur le prochain capitaine du CH… Et des clips des cassettes jouées par les joueurs du Tricolore!
Genre de  On veut faire les séries, après tout est possible… Je suis dans la meilleure forme de ma carrière… On a la meilleure équipe depuis longtemps!
Plusieurs de mes collègues (et employés du Canadien) n’ont pas beaucoup dormi, la nuit dernière… #CadranTôt
Si jamais il n’y a pas de capitaine cette saison, chez le CH, ça signifiera que Price est le vrai capitaine, officieusement… Et/ou que Brendan Gallagher ou Max Pacioretty sera nommé capitaine, dans 1 ou 2 saisons.
Et pour l’instant, tout semble indiquer que le CH a préféré le statu quo! #PasDeCapitaine

On ne croit donc pas assez au leadership de la vieille école (Markov et Plekanec)… Ou peut-être qu’eux ne désirent tout simplement pas porter le « C », en réalité!
Et on n’est pas convaincu (encore?) de Pacioretty et Subban!
Encore 4 assistants? Pacioretty et Subban qui se passe encore le 3e « A »? Je croyais vraiment qu’on avait réglé ça et que Pacioretty allait succéder à Saku Koivu et Brian Gionta…
Marc de Foy le croyait aussi… Mentionnant que Bergevin se devait de trancher!

« Le Tricolore sans capitaine, ça ne correspond pas a son rang! »
Mais bon! Semble-t-il que Marc Bergevin a encore trouvé le moyen de nous surprendre tous (en pensant comme unDG, et non comme un fan, hehe).
Au final, il faut se dire que le vrai capitaine de l’équipe, c’est Carey Price, mais qu’on ne fera pas la même erreur qu’avec Luongo, à Vancouver. Il y a déjà assez de fardeau sur les épaules d’un gardien #1, dans une ville comme Montréal…
Bâtard qu’il va coûter cher à signer dans 3 ans, le Price…
On jase là… Mais qu’auraient décidé les joueurs dans le vestiaire, si on leur avait demandé de voter? Probablement qu’ils auraient élu Carey Price…
On déplait donc aux partisans et aux puristes, chez la direction du Triclore… Mais pas aux joueurs dans le vestiaire! Et c’est comme ça, au final, que doit penser/agir un DG!
Notre capitaine, officieusement?
Notre capitaine, officieusement?
En rafale
– Il ne reste plus que 27 petits jours avant le 7 octobre, date du 1er match de la saison régulière du CH…
– EOTP sont-ils en train que réaliser qu’au final, Michel Therrien fait (bien) la jobLIEN
Oui… Mais avec plusieurs « mais ». Mais bon, c’est un bon début!
– On a appris hier soir que Max Pacioretty s’est fracturé le tibia (tout juste sous le genou) cet été, mais qu’aucun ligament n’a été touché. Il a aussi patiné pour la 1ere fois hier (depuis 4 mois), à Brossard. LIEN
Il devra reprendre le rythme seul… Mais il devrait être à son poste le 7 octobre, face aux Leafs!
– On peut (encore) s’attendre à une saison phénoménale (finaliste au trophée Norris?) de la part de P.K. Subban.LIEN
– Jarred Tinordi sera-t-il le joueur le plus amélioré chez le Canadien, cette saison?
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