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dimanche 4 octobre 2015

Marcel Aubut dans de beaux draps

http://www.985fm.ca/regional/nouvelles/

Publié par Simon Bourassa pour (Québec) FM93 le dimanche 04 octobre 2015 à 05h55. Modifié à 07h05.
Marcel Aubut dans de beaux draps
Suite à la démission de Marcel Aubut survenue hier dans la mêlée des allégations d'harcèlement sexuel envers des employées du COC, l'organisme a décidé de nommer une femme à sa présidence par interim.
Tricia Smith, quadruple olympienne et avocate assurera donc la transition à la tête du COC.
De plus, Amélia Salehabadi-Fouques, l'avocate qui a affirmé la semaine dernière avoir été victime de harcèlement de la part de Marcel Aubut à confirmé avoir déposé une plainte au Barreau du Québec.
Malgré la démission de Me Aubut, le COC a décidé de poursuivre l'enquête interne et favorise la dénonciation de ce genre de comportements.
Ce scandale pourrait nuire au COC qui est actuellement à la recherche de partenaires financiers en vue des jeux de Rio, Marcel Aubut étant le solliciteur en chef de l'organisme.

jeudi 1 octobre 2015

Le COC enquête sur Aubut

http://www.985fm.ca/national/nouvelles/

Publié par La Presse Canadienne le mercredi 30 septembre 2015 à 20h37. Modifié par Charles Payette le jeudi 01 octobre 2015
Le COC enquête sur Aubut
Marcel Aubut (Margaret Bowles/COC)
MONTRÉAL - Le Comité olympique canadien a confirmé qu'il avait officiellement reçu une plainte contre son président, Marcel Aubut, mercredi soir. Selon le quotidien Globe and Mail, Aubut ferait l'objet d'une enquête interne à la suite du dépôt d'une plainte pour harcèlement sexuel.
Le COC a précisé dans un communiqué qu'il avait «immédiatement initié un processus d'enquête», sans préciser la nature de celle-ci.
«Monsieur Aubut a déclaré qu'il n'a jamais eu l'intention d'offenser ou d'indisposer quiconque par des paroles qu'il aurait prononcées dans le cadre de ses fonctions», pouvait-on lire dans une déclaration d'Aubut.
La plainte aurait été déposée par une employée de la Fondation olympique canadienne, qui est affiliée au COC et dont les bureaux sont dans le même bâtiment situé à Toronto, ont précisé des sources au quotidien anglophone. Un ex-dirigeant du COC, qui a requis l'anonymat, a précisé que la plainte contre Aubut porte sur des «commentaires verbaux» formulés envers l'employée.

L'organisme a précisé qu'il avait retenu les services de François Rolland, un ancien juge de la Cour supérieure du Québec, en tant qu'enquêteur indépendant dans le dossier.

Le COC a ajouté qu'il avait accepté qu'Aubut se retire de ses fonctions de président du COC et de la Fondation olympique canadienne pour la durée de l'enquête. Interrogé à savoir qui le remplacera sur une base intérimaire, un porte-parole du COC s'est limité à dire que «nous n'émettrons pas d'autres commentaires».

À ce stade-ci, une enquête policière est écartée. Selon Aubut, l'enquête dont il fait l'objet devrait connaître son dénouement à la mi-octobre.

Aubut est un avocat qui fut le directeur exécutif des Nordiques de Québec jusqu'à leur déménagement au Colorado en 1995. Il a contribué à la défection des joueurs étoiles Anton, Marian et Peter Stastny de l'ex-Tchécoslovaquie en 1980 afin de se joindre aux Nordiques.

En 2000, il est devenu membre du COC et a été élu au sein du Bureau des directeurs et du Comité exécutif en 2005. Aubut a été élu président du COC en mars 2009, occupant officiellement sa nouvelle fonction à compter d'avril 2010.

Il est devenu membre de l'Ordre du Canada en 1986 et fut promu officier en 1993. En 2006, il a été nommé officier de l'Ordre national du Québec.

Aubut a également été intronisé au Temple de la renommée des sports du Canada en 1999.

lundi 25 mai 2015

Le départ des Nordiques «n’était pas inévitable»

http://www.journaldemontreal.com/

Régis Labeaume contredit les propos de Marcel Aubut

Régis Labeaume et Marcel Aubut ont déjà été en de meilleurs termes, comme sur cette photo prise en marge d’une conférence de presse ce printemps. Cette fois, c’est le dossier du départ des Nordiques qui est source de discorde.
PHOTO D'ARCHIVES

Régis Labeaume et Marcel Aubut ont déjà été en de meilleurs termes, comme sur cette photo prise en marge d’une conférence de presse ce printemps. Cette fois, c’est le dossier du départ des Nordiques qui est source de discorde.

Roby St-Gelais
Régis Labeaume est convaincu que les Nordiques ont plié bagages vers le Colorado parce que «des gens voulaient passer à la caisse» et qu’il est «incompréhensif» qu’ils ne soient pas demeurés dans la Vieille Capitale.
À la veille du 20e anniversaire de la vente de l’équipe, le maire de Québec y est allé de cette déclaration incendiaire, hier, commentant ainsi l’entrevue de Marcel Aubut parue dimanche dans Le Journal sous la plume du confrère Jean-Luc Lavallée. Aubut a affirmé qu’il était impossible pour lui et ses partenaires à l’époque (Métro-Richelieu, Daishowa, La Capitale, O’Keefe, Autil inc. et le Fonds de solidarité de la FTQ) de conserver leurs actifs plus longtemps. Les Nordiques ont été vendus pour 75 M$ à Comsat Communications qui l’a déménagé à Denver à l’aube de la saison 1995-1996.
«Les Nordiques n’auraient jamais dû partir, ce n’était pas inévitable, a lancé le maire Labeaume. Je n’ai jamais cru que leur départ était inévitable. Pourquoi, nous, nous avons réussi à convaincre les autorités et les gouvernements d’avoir un (nouvel) amphithéâtre?
Pourquoi on a réussi à convaincre les autorités publiques à investir alors qu’on n’a pas de club et qu’ils (les actionnaires) n’auraient pas réussi avec un club? Ça ne m’est jamais rentré dans la tête.»
Question d’attitude
Il est clair pour le maire, qui milite en faveur du retour de la LNH à Québec depuis plusieurs années, que les propriétaires ont voulu s’enrichir à ce moment. Il remet même en question leur approche auprès du gouvernement péquiste dans leur tentative de sauver les dégâts.
«Si tu veux vendre, est-ce que ton attitude est différente dans ton travail de convaincre les autorités publiques? C’est pour ça que j’ai toujours cru qu’il était possible de garder les Nordiques. Il y a des entreprises qui voulaient passer à la caisse, elles avaient le droit. Ça fait 20 ans et je l’ai encore sur le cœur.
«Les Nordiques ne perdaient pas d’argent. C’est incompréhensible.»