mardi 12 mai 2015

Un événement spécial pour marquer la remise des clés du Centre Vidéotron à Québecor

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Centre Vidéotron
PHOTO COURTOISIE

Québecor et la Ville de Québec ont l’intention de souligner par un événement spécial la fin de la construction de l’amphithéâtre et la remise des clés au gestionnaire, le 15 juillet.
Les ouvriers en sont au dernier droit de la construction de l’amphithéâtre. Le tout doit être complété pour le 15 juillet. Y aura-t-il un événement spécial pour marquer cette étape? «Je suis prêt à en faire un. Je ne sais pas si Québecor va vouloir en faire un», a répondu le maire, Régis Labeaume, en mêlée de presse, lundi. Appelé à préciser, son attaché de presse, Paul-Christian Nolin, a indiqué que si un tel événement avait lieu, «ce serait quelque chose de très symbolique».
La porte-parole de Québecor pour le dossier de l’amphithéâtre, Lise-Andrée Roy, a confirmé que l’entreprise compte marquer le coup. «Définitivement, on va souligner cette journée. De quelle façon, je ne le sais pas encore. Est-ce que ce sera un événement grand public ou uniquement médiatique? Ce n’est pas déterminé.»
Le 15 juillet marque l’installation officielle de son gestionnaire, Québecor. C’est le début de la période de rodage de l’aréna.
Le maire dit avoir surtout hâte de recevoir «le chèque» de son gestionnaire. L’entreprise médiatique doit en effet remettre 33 millions $ à la Ville de Québec pour le droit d’apposer le nom de Vidéotron pour les 25 prochaines années. Un loyer de 3,15 millions $ en moyenne par an doit aussi lui être versé. Mais il devra patienter un peu, puisque l’entente prévoit que les sommes seront versées le 15 septembre.
Portes ouvertes
L’administration Labeaume est en pleine réflexion pour l’organisation des journées portes ouvertes au Centre Vidéotron. Tel que le révélait Le Journalrécemment, la Ville permettra au public de visiter l’aréna avant le party officiel d’ouverture. Cela permettra en même temps de roder l’édifice et de corriger les lacunes le cas échéant.
«C’est toute une logistique. On pense qu’il va y avoir un certain nombre de personnes, mais on est obligé de prévoir qu’il y en aura plus. C’est pas rien. Alors on va essayer de prévoir tous les scénarios. Et on ne peut pas l’échapper», a commenté Régis Labeaume.

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