vendredi 30 décembre 2016

Pardonnés!

http://www.rds.ca/hockey/canadiens/

Canadiens 3 - Panthers 2 (Prol.)

Images of Francois Gagnon

Coupables mercredi alors qu’ils ont bêtement laissé filer une victoire qui semblait acquise, les joueurs du Canadien se sont fait tout pardonner, ou presque, en arrachant une victoire qui a mis du temps à venir.
De fait, le Canadien a joué aux Panthers de la Floride le même tour qu’il s’est fait jouer par le Lightning à Tampa. Loin de disputer un mauvais match, le Canadien semblait à court de munitions pour revenir de l’arrière et au moins propulser le match en prolongation.
Mais quand les Panthers lui ont ouvert la porte, il a su en profiter. Phillip Danault qui a disputé une solide partie au centre du premier trio a offert le but égalisateur à Brendan Gallagher avec moins de trois minutes à faire en temps réglementaire.
Un but égalisateur pour l’équipe, mais aussi, mais surtout, un but libérateur pour Gallagher qui a non seulement mis fin à une disette de 13 rencontres, mais aussi à une terrible séquence d’un maigre but en 29 rencontres.

Sans surprise aucune, Gallagher avait retrouvé le sourire lorsque les journalistes l’ont croisé dans le vestiaire des vainqueurs après la rencontre. «Tout le monde était au courant de ma situation», a-t-il reconnu d’amblée.
Gallagher était heureux. Avec raison. Al Montoya l’était tout autant. Victime de six revers de suite, une séquence amorcée le 4 novembre dernier lors de la dégelée de 10-0 encaissée à Columbus, Montoya savourait une première victoire depuis le 26 octobre dernier.
Montoya ne pouvait porter seul le poids de la raclée infligée par les Blue Jackets. Il ne pouvait porter seul non plus le poids des cinq revers qui l’ont suivie. Mais à un moment donné, il devait gagner.
L’occasion ne pouvait être mieux choisie que lors de son retour à Floride où il était l’adjoint de Roberto Luongo encore l’an dernier. Surtout qu’en gagnant hier, Montoya a aidé le Canadien à freiner à trois la séquence de revers de suite tout en permettant au Tricolore de savourer une troisième victoire à ses huit derniers matchs.
Un sport de résultats
Bon! Il n’y a pas de quoi sabrer le champagne quand tu gagnes trois fois seulement en huit matchs. J’en conviens. Mais si l’on tient compte des blessures qui minent l’équipe, du fait que le Canadien est en exil dans le cadre de son traditionnel et ô combien difficile marathon du temps des fêtes sur les patinoires ennemies, la victoire aux dépens des Panthers fait du bien.
Beaucoup de bien.
Vrai que le Canadien n’a pas mieux joué que la veille à Tampa. De fait, je crois même qu’il a moins bien joué dans l’ensemble que jeudi, mais l’inversion des scénarios en fin de rencontre a changé toute la perception des deux rencontres.
Quand on vous dit que le hockey de la LNH est un sport de résultats d’abord et avant tout, c’est exactement ce que l’on veut dire.
Outré de la performance de son équipe jeudi alors qu’il a dénoncé le manque d’effort de son club, Michel Therrien parlait de caractère après la partie.
Pourtant! Le Canadien a commis une erreur bête sur le premier but des Panthers. Max Pacioretty a triché vers la zone ennemie en anticipant une rondelle qui n’est jamais venue avec le résultat que le défenseur qu’il devait couvrir, Jason Demers, a obtenu un tir de qualité qui a lancé les Panthers en avant.
S’il est vrai que Pacioretty s’est racheté en nivelant les chances en début de période médiane, les Panthers ont repris les devants pas longtemps après. Et bien honnêtement, le Canadien ne donnait pas l’impression de vouloir lui faire perdre cette avance.
L’issue du match a toutefois adouci les analyses du coach, du moins celles qu’il a livrées aux journalistes, et des joueurs qui respiraient plus facilement que la veille après la rencontre.
Grand bien leur fasse.
Car ragaillardis qu’ils soient par la victoire acquise dans le sud de la Floride, Michel Therrien et ses joueurs pourront mieux se préparer en vue du duel imposant qui l’attend à Pittsburgh où il complétera le volet 2016 de la saison 2016-2017 face aux Penguins et à un certain Sidney Crosby qui est redevenu le meilleur joueur de hockey de la LNH. Le meilleur joueur de hockey au monde.
Danault a repris le dessus
Contrairement à l’occasion qu’il a bousillée en prolongation mercredi, Max Pacioretty a fait jeudi ce qu’un franc-tireur doit faire quand les occasions de qualité se présentent. Il en a profité.
Avec son but et les sept tirs cadrés sur les neuf qu’il a décochés au cours de la rencontre, le capitaine a pris les moyens pour faire oublier sa bévue du début de rencontre.
Et le voilà de retour sur un rythme l’assurant d’une saison de 33 buts. Ce n’est pas encore assez. Pacioretty doit flirter avec le plateau des 40 pour assumer son rôle de leader offensif du Tricolore. Je suis bien d’accord sur ce point. Mais c’est une belle remontée...
Autre remontée à souligner : celle de Phillip Danault. Après un petit passage à vide tout à fait normal alors que le mandat de faire oublier l’absence d’Alex Galchenyuk semblait de plus en plus lourd à porter, peut-être même trop lourd, le centre québécois a disputé peut-être son meilleur match de la saison.
Son but gagnant, un très beau but en passant alors qu’il a déjoué James Reimer avec un bon tir décoché avec puissance et précision alors qu’il filait à fond la caisse en prolongation y est certainement pour quelque chose. Tout comme la passe qu’il a refilée à Gallagher pour lui offrir le but égalisateur en guise de cadeau de Noël avec un brin de retard.
Mais le fait qu’il ait disputé 20 mises en jeu – le plus haut total chez le Canadien devant Torrey Mitchell (18) et Tomas Plekanec (17) est un signe qui ne ment pas quant à la place de plus en plus grande qu’il occupe au sein de la formation.
Non! Je ne crois pas que Danault soit un centre de premier trio. Je ne crois pas même qu’il soit un centre en mesure de s’imposer sur une base régulière au sein d’un deuxième trio. Mais dans un monde idéal, quand Galchenyuk sera de retour et que le Canadien aura trouvé un successeur à David Desharnais et Tomas Plekanec, Danault rendra de fiers services au sein d’un troisième trio.
Le petit gars sait jouer au hockey. Il est rapide, c’est évident. Mais il a aussi du talent. Et le fait de se débarrasser lentement du sentiment d’imposteur et/ou du malaise normal de se retrouver sur une chaise inconfortable en raison du mandat qu’il remplit présentement lui permet de démontrer un peu plus ce talent.
Vent de contestation
Si la victoire arrachée aux Panthers pardonne en partie la victoire échappée à Tampa, elle devrait aussi apaiser, ne serait-ce qu’un peu, le vent de critiques qui commence à souffler en direction de Michel Therrien.
Des critiques normales en raison des récents insuccès de l’équipe. Des critiques qui dépassent un brin, voire deux, les bornes quand on considère le nombre de joueurs de la Ligue américaine qui occupent des places bien trop importantes en ce moment.
Lorsque Galchenyuk, Shaw et surtout Markov seront de retour – tout en tenant pour acquis que d’autres joueurs n’iront pas les remplacer sur la liste des blessés – il faudra que le Canadien soit plus incisif qu’il ne l’est présentement.
J’en conviens.
Et s’il ne l’est pas, il faudra réagir vite, car avec un mois de janvier aussi difficile que celui qui guette le Tricolore – 14 matchs en 28 jours, huit sur les patinoires ennemies, six dans le cadre de deux parties en deux soirs – le club pourrait soudainement se retrouver en lutte pour une place en séries au lieu de se battre pour la première place de sa division s’il devait sous-performer.
Mais pour le moment, il n’y a pas lieu de paniquer. Et ceux qui réclament la tête de Michel Therrien laissent leurs préjugés défavorables à son endroit prendre le dessus sur une analyse plus objective d’une situation qui est loin d’être facile.

mercredi 28 décembre 2016

Une 13e victoire de suite pour les Blue Jackets

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Publié le 27 décembre 2016 à 22h48 | Mis à jour le 27 décembre 2016 à 22h48
Les Jackets n'ont jamais aussi bien amorcé une... (Photo Jay LaPrete, AP)
Les Jackets n'ont jamais aussi bien amorcé une saison (24-5-4).
 Ils ont aussi le meilleur différentiel buts pour / buts contre de la ligue, à plus 46.
PHOTO JAY LAPRETE, AP
MITCH STACY
Associated Press
COLUMBUS, Ohio
Après une saison où ils ont fini avant-derniers dans l'Est, les Blue Jackets y dominent grâce à une campagne exceptionnelle.
Mardi soir, ils ont signé une 13e victoire de suite en l'emportant 4-3 contre Boston.
Ce qui les propulsent, c'est un alignement où figurent peu de vedettes, mais beaucoup de joueurs qui amènent une contribution importante.
Mardi, le capitaine Nick Foligno a enfilé le but décisif à mi-chemin au troisième vingt.
Vendredi, Sergei Bobrovsky a bloqué 36 tirs et Columbus a défait le CH, 2-1. La veille, un tour du chapeau de Scott Hartnell a guidé les Blue Jackets vers un gain de 7-1 contre les Penguins, les champions en titre de la coupe Stanley.

Les Jackets n'ont jamais aussi bien amorcé une saison (24-5-4). Ils ont aussi le meilleur différentiel buts pour / buts contre de la ligue, à plus 46.
Le groupe de John Tortorella est dans la course pour mériter un premier championnat de section - ce qui est déjà impressionnant, car le personnel est à peu près le même que la saison dernière.
Qu'est-ce qui a changé, dans ce cas?
«L'approche mentale, dit Tortorella, qui a remplacé Todd Richards en octobre 2015, après que l'équipe ait perdu les sept premiers matches de cette campagne. Nous sommes beaucoup mieux équipés à ce niveau-là... composer avec les situations, comprendre ce que ça veut dire d'être un professionnel. Nous sommes plus à notre affaire.»
«L'enthousiasme, ajoute l'ailier gauche Brandon Saad, troisième pointeur des siens, avec 13 buts et 16 passes. Quand vous gagnez, tout le monde est dans un état d'esprit positif et confiant. Et nous jouons bien en équipe. La saison dernière, ce n'était pas aussi plaisant d'arriver à l'aréna.»
Foligno est à nouveau productif avec 28 points déjà, lui qui a été limité à 37 points en 2015-16. En 2014-15, il a dominé les Blue Jackets avec 73 points, dont 31 buts.
«Ce qui aide le plus, c'est ce que nous avons défini qui nous sommes, dit Foligno. Ça nous manquait et c'est crucial pour avoir du succès. Nous avons de la profondeur, une bonne défense et de la vitesse, en plus de compter sur d'excellents gardiens. Nous croyons vraiment en nos chances ces temps-ci.»
Le défenseur Zach Werenski affiche le type de maturité qu'on ne soupçonne pas chez un athlète de 19 ans. Il mûrit aux côtés de son acolyte de 22 ans Seth Jones, lui aussi un passeur de premier plan.
Le centre Sam Gagner se révèle une aubaine, les Blue Jackets l'ayant embauché pour 650 000 $ pour la saison en cours, au mois d'août. Il a déjà inscrit 14 buts après une récolte de huit en 53 matches la saison dernière, avec les Flyers.
«Ça aide de faire partie d'une équipe gagnante, dit Gagner. Quand on connaît son rôle et ce qu'on attend de vous, c'est motivant. Ç'a l'est encore plus quand il y a de bonnes chances de remporter le match. Je me plais bien avec cette équipe-là.»

samedi 24 décembre 2016

Une défaite honorable

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Sergueï Bobrovsky frustre Paul Byron
Sergueï Bobrovsky frustre Paul Byron (Source d'image:Getty)
Images of Francois Gagnon

Le Canadien a eu la bonne idée de ne pas débarquer à Columbus avec la rage au cœur; avec l’objectif de jouer sans réfléchir histoire de venger la dégelée de 10-0 encaissée le 4 novembre dernier.
Car à ce jeu, au lendemain de sa victoire de 7-1 aux dépens de Sidney Crosby et ses Penguins, la meilleure équipe de la LNH cette saison, du moins sur le simple point des statistiques, aurait une fois encore haché finement le Canadien. Les Blue Jackets ont d’ailleurs donné un aperçu de ce qui aurait pu arriver dès la deuxième minute du jeu : une mauvaise communication et/ou lecture de jeu de la part de Chris Terry, qui aurait dû couvrir Nathan Beaulieu parti en fond de zone ennemie, a offert une descente à trois contre un aux Jackets qui se sont butés à Al Montoya qui a sauvé la mise.
Un but rapide des Jackets aurait fait très mal. De fait, j’ai la conviction que s’ils avaient touché le fond du filet sur ce jeu, les hommes de John Tortorella auraient lessivé le Canadien.
Mais Montoya qui n’a pas à rougir de sa performance de vendredi à Columbus a su éviter le début d’une autre glissade.

Prudence plutôt que vengeance
Une fois cette imprudence passée, le Canadien a joué intelligemment. Prudemment. Il s’est contenté de dégager la rondelle lorsque les opportunités n’étaient pas là. Et je vous assure qu’elles n’étaient pas là souvent. Il s’est donc assuré de ralentir le jeu afin de se donner une chance de rivaliser avec un adversaire déjà très fort, mais qui le devenait trop en raison des blessures.
Les 26 mises en jeu disputées en première période et les 26 qui ont suivi en période médiane confirment le rythme saccadé de ce match. Un rythme sans l’ombre d’un doute dicté par Michel Therrien qui savait très bien à quel point son équipe était vulnérable. Un rythme qui était donc parfait pour aider la cause du Tricolore.
Bon! Le Canadien a perdu quand même. C’est vrai.
Mais en évitant le pire lors des deux premières périodes, en ouvrant la machine en troisième période et surtout en offrant un effort collectif plus que louable lors des 60 minutes de jeu, le Canadien a oui encaissé un revers de 2-1, mais on peut dire sans en être gêné que le Canadien a cette fois encaissé une défaite honorable à Columbus.
Le Canadien a perdu parce que les Blue Jackets ont été en mesure de profiter des quelques erreurs défensives du Canadien pour marquer. Ce que le Canadien n’a pas été en mesure de faire à l’autre bout de la glace.
Il a perdu parce que raison, entre autres, de ses effectifs réduits, l’attaque à cinq a encore été moribonde vendredi soir. Vrai que le Canadien n’a eu que deux supériorités numériques. Mais les deux fois, il n’a rien fait de bon à cinq contre quatre. Rien de rien. Pas facile dans Galchenyuk, Markov et Desharnais. J’en conviens. Mais le Canadien aurait grand intérêt à revenir à la base. À opter pour les jeux simples au lieu de se lancer dans des orchestrations difficiles qui poussent les acteurs de soutien vers de fausses notes, car ils sont loin d’avoir les capacités des virtuoses manquant actuellement à l’appel.
Au moins : cette attaque massive anémique n’a pas été victime d’un but comme ce fut le cas jeudi contre le Wild. Mince consolation!
Vrai que le Canadien s’est aussi fait voler – sur une échappée de Paul Byron en fin de deuxième période – par le gardien Sergei Bobrovsky. Mais aussi bon soit Bob The Goalie et il est bon comme le confirme le fait qu’il a maintenant limité ses adversaires à un but ou moins dans neuf de ses 16 derniers départs – il les a aussi limités à deux buts ou moins dans 14 de ses 16 dernières parties – on ne peut pas dire que le Canadien l’a grandement mis à l’épreuve vendredi.
Radulov et Gallagher à bout de souffle
Les 37 tirs du Canadien sont d’ailleurs un brin trompeur. Après deux périodes, la descente de Paul Byron et une autre de Chris Terry représentaient à mes yeux, les deux seules bonnes occasions de marquer du Tricolore. Disons que j’en ai raté une ou deux autres. Ça demeure mince.
Il y en a eu quelques autres en troisième, je l’admets. Mais le Canadien n’a pu faire de miracle parce que ses meilleurs joueurs, les Pacioretty, Plekanec, Radulov et Gallagher pour ne nommer qu’eux n’ont pas été à la hauteur des meilleurs des Blue Jackets.
De fait, ce sont les McCarron et autres joueurs de soutien qui ont été les meilleurs à l’attaque hier soir.
L’effort était là. Oui. Mais sans la contribution des meilleurs effectifs, le Canadien ne pourra pas trouver une façon de faire fi des blessures qui minent sa formation pour signer plus de victoire qu’encaisser des revers.
Si le Canadien semblait essoufflé par moment vendredi – et c’est normal, car en plus d’être hypothéqué par les blessures, il doit composer avec un calendrier qui n’était pas facile au cours des derniers jours et qui le sera bien davantage alors que huit de ses neuf prochains matchs seront disputés sur la route.
Mais si globalement l’équipe semble essoufflée, Brendan Gallagher lui semble carrément à bout de souffle. Il travaille, travaille beaucoup, mais travaille mal. Les résultats ne sont pas là et leur absence commence à peser vraiment lourd sur les épaules du petit bonhomme qui commence à courber le dos. À perdre son sourire. À perdre son énergie contagieuse.
Pas question de perdre espoir – je ne l’ai d’ailleurs pas encore largué dans mon pool – sans doute parce que j’ai des préjugés favorables à son endroit. Mais en l’absence de résultats et en raison d’une physionomie qui témoigne un grand désarroi, je comprends très bien pourquoi Michel Therrien tend à se tourner davantage maintenant vers Paul Byron que vers Gallagher lorsqu’il a besoin de générer de l’attaque.
Alex Radulov est lui aussi à bout de souffle. Et c’est normal. Après une si longue absence, en raison du fait qu’il ait vieilli un peu et qu’il ne soit pas le meilleur des patineurs, il était facile de prévoir qu’il frapperait un mur un moment donné. L’absence de Galchenyuk ne l’aide pas du tout. C’est évident. Mais il a perdu un peu de son énergie sur la patinoire. En plus, il garde trop la rondelle et la perd plus souvent quand il ne se la fait pas carrément voler.
Pis encore, et on a remarqué la même chose du côté de Gallagher lors des derniers matchs, Radulov écope maintenant des pénalités. Une conséquence normale également lorsqu’un gars ralentit, perd confiance, devient un brin ou deux frustré.
Si je ne lance pas la serviette dans le cas de Gallagher, je la lancerai encore moins dans le cas de Radulov. La question est maintenant de savoir combien de temps il lui faudra pour traverser ce passage à vide normal et quel sera son niveau d’énergie, son rendement, une fois cette séquence traversée. Le retour au jeu de Galchenyuk dictera bien sûr des grands pans de ces réponses.
Le congé de Noël fera le plus grand bien à Gallagher et Radulov. Il fera le plus grand bien au reste de l’équipe également. Mais bon! Il fera aussi le plus grand bien aux adversaires également.
Ce qui veut dire que le traditionnel voyage des Fêtes s’annonce difficile encore cette année.
Un très joyeux Noël à vous tous. De la santé, beaucoup de santé. De l’amour à offrir et à recevoir. Du plaisir, du plein air, de l’activité physique et bien simplement du bonheur. Beaucoup de bonheur.
On se retrouve en forme, du moins je l’espère, de l’autre côté de Noël.