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jeudi 25 février 2016

Encore Ferrari à Barcelone, cette fois Raikkonen

http://ici.radio-canada.ca/sports/sports_motorises/

Mise à jour le jeudi 25 février 2016 à 14 h 09 HNE
Kimi RaikkonenKimi Raikkonen  Photo :  GI/Dan Istitene
Kimi Raikkonen (Ferrari) a été le plus rapide de la quatrième journée des essais d'hiver, jeudi, à Barcelone.
Le Finlandais a fait 77 tours et enregistré le chrono de référence de 1 min 23 s 477/1000. C'était la troisième fois en quatre jours que Ferrari faisait le temps de référence.
Il a été le seul dans les 83 secondes au tour, son chrono a été réalisé en pneus ultra-tendres juste avant la pause de midi.
Il a devancé la Red Bull du Russe de Daniil Kvyat (1:24,293) et la Force India du Mexicain Alfonso Celis fils (1:24,840).
Kevin Magnussen a continué son bon travail dans la Renault. Il a fait 153 tours et le quatrième temps (1:25,263), au terme de la journée la plus productive de la semaine de l'équipe française.
Du côté de McLaren-Honda, Fernando Alonso n'a pu faire que trois tours, dont aucun chronométré, en raison d'une nouvelle fuite, cette fois du système de refroidissement. Mercredi, son coéquipier Jenson Button avait longtemps été immobilisé par un problème hydraulique.
L'aileron de la Mercedes-Benz à BarceloneL'aileron avant de la Mercedes-Benz à Barcelone  Photo :  Twitter
Les pilotes Mercedes-Benz n'ont pas cherché la performance. Ils ont évalué un nouveau museau, radicalement différent de celui apparu lors des trois premiers jours.
Ils ont tourné dans les 86 secondes au tour en pneus mi-tendres (moyen). Lewis Hamilton a fait 99 tours, Nico Rosberg 86. C'est l'Allemand qui a été le plus rapide des deux, par un dixième de seconde.
Le pilote indonésien Rio Haryanto (Manor-Mercedes-Benz) a provoqué la sortie du drapeau rouge, jeudi. Il est sorti de piste au virage no 5 et a endommagé sa voiture.
Une deuxième et dernière séance de travail d'avant saison aura lieu la semaine prochaine sur le même circuit catalan, de mardi à vendredi, puis les voitures embarqueront pour l'Australie où commencera la saison 2016, le 20 mars à Melbourne.
Essais d'hiver, 4e jour, Barcelone :
  1. Kimi Raikkonen (FIN/Ferrari) 1:23,477 (77 tours)
  2. Daniil Kvyat (RUS/Red Bull) 1:24,293 (94)
  3. Alfonso Celis fils (MEX/Force India-Mercedes-Benz) 1:24,840 (75)
  4. Kevin Magnussen (DEN/Renault) 1:25,263 (153)
  5. Max Verstappen (NED/Toro Rosso-Ferrari) 1:25,393 (110)
  6. Felipe Nasr (BRA/Sauber-Ferrari) 1:26,053 (121)
  7. Nico Rosberg (GER/Mercedes-Benz) 1:26,187 (86)
  8. Lewis Hamilton (GBR/Mercedes-Benz) 1:26,295 (99)
  9. Felipe Massa (BRA/Williams-Mercedes-Benz) 1:26,483 (54)
  10. Esteban Gutiérrez (MEX/Haas-Ferrari) 1:27,802 (89)
  11. Rio Haryanto (INA/Manor-Mercedes-Benz) 1:28,266 (51)
Non-chronométré :
  • Fernando Alonso (ESP/McLaren-Honda), 3 tours

mercredi 17 février 2016

Le manager de Schumacher espère son «retour»

http://www.985sports.ca/course/nouvelles/

Publié par ToileF1.com le mercredi 17 février 2016 à 04h49. Modifié par Charles Payette à 05h45.
Le manager de Schumacher espère son «retour»
Michael Schumacher/toileF1
(98,5 Sports) - Sabine Kehm, manager de Michael Schumacher, espère que le septuple Champion du monde sera «un jour de retour avec nous», rappelant que la convalescence de l'Allemand était un processus demandant énormément de patience.
Michael Schumacher a été victime d'un accident de ski en décembre 2013, en France, souffrant de sévères blessures à la tête l'ayant plongé dans un long coma avant qu'il ne puisse rejoindre son domicile pour suivre sa convalescence quelques mois plus tard.

Avec Toile F1

jeudi 4 juin 2015

Grand Prix de Formule Un: des groupes dénoncent l'exploitation sexuelle tolérée

http://www.985fm.ca/national/nouvelles/

Publié par La Presse Canadienne le mercredi 03 juin 2015 à 13h18.
Grand Prix de Formule Un: des groupes dénoncent l'exploitation sexuelle tolérée
MONTRÉAL — Un regroupement d'organismes oeuvrant auprès de prostituées lance une campagne pour dénoncer l'exploitation sexuelle exacerbée durant le Grand Prix de Formule Un qui se déroulera le week-end prochain à Montréal.
La campagne consiste à alimenter les comptes de réseaux sociaux du maire de Montréal, Denis Coderre, et de Tourisme Montréal de différents messages de sensibilisation au problème, en plus de tenir une «manifestation familiale abolitionniste» samedi au centre-ville de Montréal.

«On interpelle le maire Coderre et Tourisme Montréal pour demander d'abord que la loi sur la prostitution soit appliquée», a expliqué la porte-parole de la Concertation des luttes contre l'exploitation sexuelle (CLES), Éliane Legault-Roy, en entrevue téléphonique avec La Presse Canadienne.

«On devrait aussi en informer les touristes, les fans de Formule Un, pour qu'ils soient au courant qu'au Canada, acheter les services sexuels d'autrui, c'est criminel», a-t-elle ajouté.

En conférence de presse, mercredi, plusieurs porte-parole ont fait valoir que les clubs de danseuses, les agences d'escortes et salons de massage intensifient leur publicité en prévision du Grand Prix.

«L'agence d'escortes m'avait fortement incitée à me mettre davantage disponible durant le Grand Prix, tout en m'indiquant qu'elle offrait des rabais aux clients durant cette période», a raconté Shanie Roy, ex-escorte et porte-parole du Collectif d'aide aux femmes exploitées sexuellement (CAFES).

«Plusieurs touristes sont ici pour avoir du bon temps. On leur a vendu Montréal comme étant une ville sexy. Parfois ils ont même planifié leur voyage en fonction d'aller dans les clubs de danseuses ou de rencontrer des escortes. Il y a vraiment un tourisme sexuel dans les grands événements comme le Grand Prix», a dit Éliane Legault-Roy

Or, l'inévitable contrepartie de cette situation est que le recrutement de jeunes femmes, surtout les plus vulnérables, s'accroît également et que les travailleuses du sexe sont soumises à des pressions extrêmes durant cette période.

«Plusieurs intervenants terrain, dans les centres jeunesse notamment, remarquent que leurs jeunes filles sont davantage recrutées», a révélé Mme Legault-Roy.

«Nous, les femmes qu'on voit dans le milieu de la prostitution nous disent qu'elles vont se faire demander de travailler plus, des journées beaucoup plus longues», a-t-elle ajouté.

Les organisations impliquées se montrent particulièrement critiques face à la tolérance qui entoure l'exploitation sexuelle et à l'apparente normalité que les autorités semblent y accoler.

«C'est comme si on acceptait que ça vienne avec la culture de la Formule Un. L'industrie du sexe est complètement banalisée pendant le week-end de la Formule Un. Elle est partout, elle s'affiche, elle s'annonce. On ne ferme pas les yeux, en fait, on trouve ça normal et c'est inquiétant», a laissé tomber Mme Legault-Roy, tout en faisant remarquer que cette banalisation s'inscrit dans une gradation qui commence avec le fait de payer des jolies filles vêtues de manière suggestive pour les exhiber avec des bolides.

À terme, les organisations estiment qu'il faudra s'attaquer de manière plus musclée à l'industrie du sexe et ses exploitants, en allant jusqu'à «révoquer les permis des salons de massage, bars de danseuses, toutes les entreprises qui vivent de l'exploitation sexuelle des femmes», a déclaré la fondatrice de la CLES, Diane Matte.