http://www.985sports.ca/hockey/
Publié par La Presse Canadienne le vendredi 29 mai 2015 à 15h49. Modifié par Danielle Arsenault à 23h36.
Résumé du match
Après une première période sans histoire, Henrik Lundqvist a été la vedette du deuxième vingt. Le gardien des Rangers a notamment effectué un superbe arrêt aux dépens de Tyler Johnson en fin de période afin de permettre aux siens de garder le score 0-0.
Puis en début de troisième période, Alex Killorn a donné une avance de 1-0 au Lightning. À 1:54, son revers de l'enclave a déjoué Lundqvist, dont la vue était voilée. C'était le septième but de Killorn en séries; des mentions d'aide ont été octroyées à Matthew Carle (3) et Valtteri Filppula (8). Lightning 1 - Rangers 0
Sans un autre bel arrêt de Lundqvist aux dépens de Cédric Paquette, le Lightning mènerait déjà 2-0 avec plus de 11 minutes à faire au match! Mais le gardien des Rangers fait l'arrêt avec sa mitaine.
En contre-attaque, Tyler Johnson file en zone adverse avec la rondelle du côté droit, il repère Ondrej Palat qui arrivait à toute vitesse dans l'enclave. Avec un tir des poignets vif, Palat (7) a déjoué Lundqvist à 11:17, doublant ainsi l'avance du Lightning. Mentions d'aide à Johnson (9) et Ben Bishop (3). Lightning 2 - Rangers 0
Avec un peu moins de trois minutes à faire au match, l'entraîneur-chef des Rangers, Alain Vigneault a décidé de retirer son gardien Lundqvist pour ajouter un attaquant supplémentaire, mais en vain.
Victoire du Lightning, 2-0, contre les Rangers.
Notes d'avant-match: Le Lightning ne sera pas intimidé à NY
NEW YORK - Le légendaire Madison Square Garden n'intimide pas le Lightning de Tampa Bay. Ni la récente séquence de succès des Rangers de New York lors des matchs ultimes présentés dans le vénérable amphithéâtre.
«C'est le même sport, avec les mêmes règlements que partout ailleurs», a rappelé le défenseur Victor Hedman.
L'entraîneur-chef du Lightning Jon Cooper ne sortira pas le ruban à mesurer comme l'avait fait Gene Hackman dans le film Le Grand défi (v.f. de 'Hoosiers') pour prouver que la patinoire de «l'aréna le plus célèbre du monde» mesure aussi 200 pieds par 85, comme partout ailleurs dans le circuit Bettman. Ses joueurs et lui espèrent cependant renverser la tendance des Rangers lors des matchs ultimes en gagnant la rencontre de vendredi soir pour obtenir leur billet pour la série finale de la Coupe Stanley.
«Nous ne faisons pas partie de ces statistiques, alors ça ne nous concerne pas, a dit Cooper en conférence téléphonique mercredi. Mais lorsqu'on jette un coup d'oeil aux statistiques, on ne peut s'empêcher d'être impressionnés par ce qu'ils ont accompli. Ils n'y sont toutefois pas parvenus contre notre groupe et notre équipe, et nous formons un jeune groupe assez confiant.»
La confiance du Lightning émane probablement de sa fiche de 3-1 au Madison Square Garden cette saison, dont deux victoires en trois opportunités jusqu'ici en finale de l'Est. Hedman a reconnu qu'il s'agissait d'un «milieu hostile» où il est difficile de jouer, mais a ajouté que le Lightning avait toujours été à l'aise à Manhattan.
Tout comme les Rangers, particulièrement dans les matchs sans lendemain. Ils ont disputé quatre matchs ultimes au MSG depuis 2012, tous remportés par la marque de 2-1.
Dans ces circonstances, ils ont défait les Capitals de Washington en prolongation en demi-finale de l'Est, les Flyers de Philadelphie l'an dernier ainsi que les Sénateurs d'Ottawa et les Capitals en 2012.
«Les matchs nos 7 sont excitants sur cette patinoire, car les partisans rendent l'ambiance carrément électrique, a noté le joueur de centre des Rangers Derek Stepan à Tampa, en Floride, mercredi. On joue pendant toute une saison pour obtenir l'avantage de la patinoire, et c'est ce que nous sommes parvenus à faire cette année.»
En résumé, les Rangers n'ont jamais perdu un match no 7 à domicile.
«Ça veut donc dire qu'ils sont dûs pour en perdre un, non?, a déclaré l'ailier du Lightning Alex Killorn. Mais non, honnêtement, ils forment une équipe qui, lorsqu'elle se retrouve au pied du mur, joue très bien.
«Mais nous avons également démontré dernièrement que notre équipe est unie, que nous sommes capables de rebondir.»
L'entraîneur-chef du Lightning Jon Cooper ne sortira pas le ruban à mesurer comme l'avait fait Gene Hackman dans le film Le Grand défi (v.f. de 'Hoosiers') pour prouver que la patinoire de «l'aréna le plus célèbre du monde» mesure aussi 200 pieds par 85, comme partout ailleurs dans le circuit Bettman. Ses joueurs et lui espèrent cependant renverser la tendance des Rangers lors des matchs ultimes en gagnant la rencontre de vendredi soir pour obtenir leur billet pour la série finale de la Coupe Stanley.
«Nous ne faisons pas partie de ces statistiques, alors ça ne nous concerne pas, a dit Cooper en conférence téléphonique mercredi. Mais lorsqu'on jette un coup d'oeil aux statistiques, on ne peut s'empêcher d'être impressionnés par ce qu'ils ont accompli. Ils n'y sont toutefois pas parvenus contre notre groupe et notre équipe, et nous formons un jeune groupe assez confiant.»
La confiance du Lightning émane probablement de sa fiche de 3-1 au Madison Square Garden cette saison, dont deux victoires en trois opportunités jusqu'ici en finale de l'Est. Hedman a reconnu qu'il s'agissait d'un «milieu hostile» où il est difficile de jouer, mais a ajouté que le Lightning avait toujours été à l'aise à Manhattan.
Tout comme les Rangers, particulièrement dans les matchs sans lendemain. Ils ont disputé quatre matchs ultimes au MSG depuis 2012, tous remportés par la marque de 2-1.
Dans ces circonstances, ils ont défait les Capitals de Washington en prolongation en demi-finale de l'Est, les Flyers de Philadelphie l'an dernier ainsi que les Sénateurs d'Ottawa et les Capitals en 2012.
«Les matchs nos 7 sont excitants sur cette patinoire, car les partisans rendent l'ambiance carrément électrique, a noté le joueur de centre des Rangers Derek Stepan à Tampa, en Floride, mercredi. On joue pendant toute une saison pour obtenir l'avantage de la patinoire, et c'est ce que nous sommes parvenus à faire cette année.»
En résumé, les Rangers n'ont jamais perdu un match no 7 à domicile.
«Ça veut donc dire qu'ils sont dûs pour en perdre un, non?, a déclaré l'ailier du Lightning Alex Killorn. Mais non, honnêtement, ils forment une équipe qui, lorsqu'elle se retrouve au pied du mur, joue très bien.
«Mais nous avons également démontré dernièrement que notre équipe est unie, que nous sommes capables de rebondir.»